444 resultados para Turtle Caretta-caretta
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Variation in temperature affects the biology of sea turtles at a range of scales. To elucidate the drivers of seasonality of nesting and duration of season, databases across four species of sea turtles (Caretta caretta n=37, Chelonia mydas n=64, Dermochelys coriacea n=44 and Eretmochelys imbricata n=36) at a global scale were created. By using remotely sensed sea surface temperature data, thermal profiles across the nesting season were generated. Duration of nesting season was correlated with latitude in all species but was more tightly coupled with temperature; seasons were significantly longer with increased mean SST. In general, nesting seasonality occurred at warmest time of the year. SST for the month before, month after and the month of peak nesting significantly affected the month of peak nesting.
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Embora cada vez mais assumida como um imperativo institucional pelo mundo todo, em Cabo Verde, as experiencias de participação das comunidades locais na gestão da biodiversidade e recursos naturais são até hoje, muito fracas. No entanto, embora legalmente protegidas, ano após ano as populações de tartarugas marinhas vem-se cada vez mais reduzidas, com os respectivos habitats degradados. Num contexto em que importantes recursos da pesca artesanal se encontram em franca diminuição, ou já não são comercialmente viáveis,as comunidades piscatórias enfrentam cada dia condições adversas face a globalização do desenvolvimento económico. Consequentemente, a introdução de sistemas de gestão de recursos costeiros, mais inclusivos, eficazes e eficientes e que reforcem a participação das comunidades, constituem um imperativo. Dessa forma, a conservação das tartarugas marinhas na região de Barlavento, mais propriamente nas ilhas à Noroeste, foi concebida para promover o envolvimento de comunidades costeiras na preservação dessas espécies e de outros recursos marinhos ameaçados, tudo isto em prol do desenvolvimento rural sustentável e redução da pobreza. Os resultados indicam que a abordagem é eficaz, traduzindo-se em 1) Redução efectiva das capturas e consumo local de tartarugas marinhas; 2) Identificação local das espécies, sua distribuição e, identificação das ameaças que enfrentam. Assim, a população de fêmeas da Caretta caretta em São Nicolau, foi identificada como uma das mais abundantes do arquipélago. 3) Trabalhos relevantes no reforço da consciência ambiental da população no geral. As comunidades piscatórias têm livremente apoiado não só na redução da captura de tartarugas mas também tem estado envolvidas em acções de vigilância e fiscalização de praias, prevenindo mesmo a extracção de areia em zonas de postura. Internamente, têm promovido luta contra práticas irresponsáveis de pesca, tais como o uso de dinamite na pesca de pequenos pelágicos. 4) Adopção de instrumentos integradores promovendo a participação interinstitucional e multidisciplinar e, particularmente, a mobilização de recursos, criando espaços para o envolvimento directo das comunidades na concepção e planificação de acções e planos locais de conservação. 5) Investigação participativa, apropriadamente articulada com a comunicação social e fiscalização como responsabilidade compartilhada, enquanto escola eficaz de aprendizagem interactiva de formas alternativas de gestão e utilização sustentável de recursos naturais costeiros. Os desafios resumem na 1) necessidade de um contexto político e legal que oriente e regulamente a implementação de iniciativas de conservação de tartarugas marinhas baseadas na comunidade, em regimes de gestão concertada (co-gestão); 2) no engajamento e apropriação efectiva, assim como a devida articulação institucional e, 3) sustentabilidade económica das acções.
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Informations de base sur la République du Cap Vert L'archipel du Cap Vert est constitué par dix îles et huit îlots situés à environ 500 km de la côte occidentale africaine. Sa superficie est de 4033 km2. Les îles sont d'origine volcanique et sont implantées sur la zone sud-ouest de la plate-forme sénégalaise sur la croûte océanique d'âge comprise entre 140 et 120 millions d'années. Le relief est très accidenté dans les îles les plus jeunes (Fogo, Santiago, Santo Antão et S. Nicolau), mais relativement plat dans les îles plus anciennes (Maio, Boavista e Sal). Les sols sont peu évolués, avec des horizons pédologiques peu différenciés. Par sa situation géographique, dans une zone d'aridité météorologique, le climat du Cap Vert est sahélien du type tropical sec, soumis aux vents alizés du nordest, avec des températures modérées (environ 24ºC) et une faible amplitude thermique dû à l'environnement atlantique. Les précipitations sont généralement faibles sur l'ensemble du pays, ne dépassant pas les 300 mm de moyenne annuelle pour les 65% du territoire situé à moins de 400 m d'altitude. Les zones sous l'influence des alizés étant encore plus sèches (150 mm de moyenne annuelle). Sur les versants situés à plus de 500 m d'altitude faisant face aux alizés, on peut atteindre ou dépasser les 700 mm. Les pluies sont irrégulières et généralement mal distribuées dans le temps et dans l'espace. Le peuplement et son influence sur la biodiversité Après leur colonisation par les humains au cours du XVème siècle, les îles du Cap Vert ont été soumises à une forte exploitation des ressources biologiques. Des facteurs anthropiques avec conséquences directe et indirecte sur la végétation, tels que l'agriculture pluviale, dans la plupart des cas pratiquée sur les fortes pentes des versants, l'utilisation du bois de feu, le surpâturage et l'introduction des espèces exotiques ont contribué à la dégradation graduelle de la végétation et des habitats de l'archipel. Le rôle de ces facteurs a été encore accentué par l'action passif des facteurs intrinsèques tels que l'insularité et la fraction importante du territoire occupée par des zones arides et semi-arides. La végétation des zones arides et semi-arides qui occupent, au Cap Vert, plus de 70% du sol arable du territoire, a un faible pouvoir de régénération. Sa flore insulaire est sensible par le fait d'avoir évolué en l'absence de prédateurs et d'être issues de petites populations avec une diversité génétique limitée et par une aire de dissémination très limitée. La diversité des espèces Il existe au Cap Vert, 110 espèces de bryophytes dont 15 sont endémiques. Du total, 36% sont extinctes ou menacées. Parmi les endémiques 40% sont menacées. Les espèces d’angiospermes sont en nombre de 240 dont 45 sont endémiques. A noter que 27% du total sont extinctes ou menacées. Parmi les endémiques, 54% sont en danger de disparition. La biodiversité animale cours des risques majeures de survie. Des 37 espèces de gastéropodes existantes, 15 sont endémiques dont 67% sont menacées. Les arachnides sont au nombre de 111 dont 46 sont endémiques. Parmi les endémiques, 78% sont menacées. Il existe 470 espèces d'insectes (coléoptères) dont 155 sont endémiques. 84% des taxa endémiques sont menacées. On suppose que du total des 470 espèces, 64% sont disparues ou en danger. L'état actuel de la faune et de la flore a été donné par la Première Liste Rouge du Cap Vert, publiée en 1996 et qui indique un certain nombre de statistiques effrayantes : sont menacées plus de 26% des angiospermes, plus de 40% des bryophytes, plus de 65% des ptéridophytes et plus de 29% des lichens ; plus de 47% des oiseaux, 25% des reptiles terrestres, 64% des coléoptères, plus de 57% des arachnides, plus de 59% des mollusques terrestres. L'archipel du Cap Vert est situé dans la zone tropicale où, selon Nunan (1992), si on exclue les espèces migratoires on peu compter environ 273 espèces de poissons, dont 70% sont endémiques. La liste des espèces de poissons des îles du Cap Vert est assez diversifiée et compte environ une centaine d'espèces appartenant à différentes familles. En matière de diversité biologique marine l'exploitation des ressources dans la ZEE (Zone Economique Exclusive) sont encore loin d'atteindre le potentiel estimé. Néanmoins, il existe quelques espèces qui sont en danger, notamment les tortues et les langoustes. Dans les eaux capverdiennes il existe 5 espèces de tortues : Dermocelys coriacea, Chelonia mydas, Eretmochelys imbricata, Caretta caretta et Lepidochelys olivacea. Les tortues sont d'une façon générale soumises à une exploitation irrationnelle depuis des décades. La viande et les oeufs, surtout de la tortue mâle sont très appréciés. La carapace est utilisée dans la bijouterie (boucles, bagues, colliers, etc.). Parmi les quatre familles de langoustes connues, l'archipel du Cap Vert recèle deux : la Palinuridae (langouste rose, verte et marron) et la Scyllaride (langouste de pierre). A signaler également une espèce endémique, le Palinuris charlestoni. Toutes les espèces existantes au Cap Vert sont exploitées, souvent à la limite de la durabilité. La République du Cap Vert et la Convention sur la Biodiversité Le Cap Vert a signé la Convention sur la biodiversité en juin 1992 et l'a ratifié en mars 1995. Pour remplir les obligations découlant de l'adoption de la Convention, le pays a complété sa Stratégie Nationale et Plan d'Action sur la Biodiversité en février 1999. Une institution responsable pour la mise en oeuvre de la politique nationale en matière de l'environnement a été créée, le Secrétariat Exécutif pour l'Environnement (SEPA). Le Plan d'Action National a identifié 21 objectifs divisés en huit groupes thèmatiques et contient des activités jusqu'à l'an 2010. Parallèlement à ces actions, la Loi de Base pour l'Environnement, le Code de l'Environnement, le Code de l'Eau et le Code Forestier ont été adoptés. Ce nouveau Code Forestier a été élaboré afin d'actualiser les normes pour une gestion durable des ressources et le transfert des compétences aux régions et communautés. Au niveau stratégique le Cap Vert a élaboré son Programme d'Action National pour l'Environnement (PANA) et a développé le Programme d'Action National de Lutte Contre la Désertification (PAN-LCD) en utilisant l'approche participative faisant appel à tous les acteurs de la société civile y inclus les associations et ONG. Au niveau international le Cap Vert a adhéré aux conventions telles que la biodiversité, les changements climatiques et le contrôle de la désertification. Le pays a également signé les conventions suivantes : Convention des Nations Unies sur le Droit de la Mer, Convention relative à la Protection du Patrimoine Mondial Culturel et Naturel, Convention de Bâle sur les mouvements trans-frontaliers, Convention internationale pour la Prévention de la pollution par des bateaux, Convention de Vienne sur la protection de la couche de l'ozone, Protocole de Montréal sur les substances qui appauvrissent la couche de l'ozone. La mise en oeuvre de la stratégie nationale sur la Diversité Biologique permettra une meilleure gestion de l'eau, des ressources naturelles et des espaces, l'introduction de nouvelles espèces et de nouvelles technologies alternatives pour l'agriculture et l'élevage ainsi que la création de nouveaux emplois alternatifs, à partir des activités génératrices de revenus, et de diminuer ainsi, la pression sur les ressources naturelles.
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O Complexo de Áreas Protegidas do Leste da Ilha da Boa Vista (CAPLBV) inclui áreas terrestres, costeiras e marinhas bem como algumas colinas de baixa altitude em suas zonas terrestres (como a Ponta de Chã de Tarafe e o Monumento Natural de Monte Estância) na parte oriental da ilha da Boa Vista e estende-se por uma vasta área desde a Ponta de Ajudante a sul até a Ponta de Chã de Tarafe a norte. A biodiversidade da ilha da Boa Vista é caracterizada pela existência de várias comunidades de fauna e flora representativas dos ecossistemas costeiros e marinhos de Cabo Verde, da qual se destaca a tartaruga marinha Caretta caretta que aqui tem a sua principal área de desova em Cabo Verde. A vegetação costeira inclui Sporobolus spicatus, Cakile maritima, Sesuvium sesuvioides, Zygophylum fontanesii e Zygophylum simplex, sendo que as espécies mais representativas nas áreas lagunares são Arthrocnemum glaucum, Zygophylum waterlotii, Zygophylum fontanesii, Sporobolus minutus, Sporobolus spicatus e Cyperus bulbosus. A avifauna associada inclui Charadrius alexandrinus, Himantopus himantopus, Arenaria interpres, Pluvialis squatarola, Tringa nebularia, Ardea cinerea, Egretta garcetta, Ibis bulbucus, Platalea leucorodia, Pandion haliaetus, Fregata magnificens, Calonectris edwardsii, Sula leucogaster, Phaethon aethereus, Pelagodroma marina e Oceanodroma castro. As comunidades de corais ao longo da costa da ilha da Boa Vista, nomeadamente no ilhéu de Sal Rei e na baía das Gatas são das mais diversificadas e abundantes de todo o território de Cabo Verde (Cabo Verde 2000, 2001). As espécies do género Conus apresentam uma elevada diversidade e um elevado grau de endemismo. Várias espécies de tubarões e peixes pelágicos bem como mamíferos marinhos se reproduzem nas águas costeiras da Boa Vista. O presente relatório tem como objectivo caracterizar o ambiente terrestre, costeiro e marinho em geral, identificar e avaliar a situação da biodiversidade na área proposta para fazer parte do CAPLBV e nas áreas circundantes, através do levantamento, com recurso à pesquisa bibliográfica e saídas de campo, da diversidade e abundância da flora e fauna, em especial das espécies em vias de extinção e as endémicas, das espécies com importância ecológica no contexto internacional decorrente da posição biogeográfica do arquipélago e das espécies com importância ecológica e económica para a ilha da Boa Vista bem como para o arquipélago de Cabo Verde.
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Se evidenció alta selección interespecífica del espinel superficial experimental, al capturar 130 ejemplares de perico Coryphaena hippurus (87,8%) del total de 148 especímenes que incluyeron 8 especies entre peces, tortugas y cefalópodos; como pesca incidental se registró 1 enganche por lance de tortugas (verde Chelonia mydas y amarilla Caretta caretta). El anzuelo más eficiente para la captura de esta especie, fue el de menor calibre (Nº 6) que capturó 24,6%, el menos eficiente fue el Nº 5 (16,9%); sin embargo, mediante el ANOVA de dos vías se estableció que no existía efecto del tamaño de anzuelo sobre el número de ejemplares capturados (p= 0,963). Los anzuelos no evidenciaron una selección de tallas, al no establecerse diferencias significativas entre distribución de tallas (p= 0,538), excepto para los anzuelos Nº 2 y 6 (p= 0,084), al identificarse diferencia por efecto del tamaño de anzuelo. Las longitudes medias estimadas fueron 119,7 cm, 116,8 cm, 118,3 cm, 115,0 cm y 113,7 cm, para los anzuelos Nº 2, 3, 4, 5 y 6, respectivamente. El tamaño de anzuelo mostró un fuerte efecto sobre el tipo de enganche (p= 0,002), presentándose con mayor frecuencia los enganches en la agalla (53,1%) y boca (44,6%). Generalmente los enganches en la agalla son ocasionados por los anzuelos grandes (Nº 2 y 3), mientras que los de boca son realizados por los anzuelos más pequeños (Nº 5 y 6). La captura por unidad de esfuerzo (CPUE) global del longline experimental fue 1,2 ejemplares de perico para un esfuerzo de 1000 anzuelos por hora, lo que representa la tercera parte de la CPUE estimada para la flota comercial.
Hazard mapping for the eastern face of Turtle Mountain, adjacent to the Frank Slide, Alberta, Canada
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Data sheet produced by the Iowa Department of Natural Resources is about different times of animals, insects, snakes, birds, fish, butterflies, etc. that can be found in Iowa.
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Data sheet produced by the Iowa Department of Natural Resources is about different times of animals, insects, snakes, birds, fish, butterflies, etc. that can be found in Iowa.
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Data sheet produced by the Iowa Department of Natural Resources is about different times of animals, insects, snakes, birds, fish, butterflies, etc. that can be found in Iowa.
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Data sheet produced by the Iowa Department of Natural Resources is about different times of animals, insects, snakes, birds, fish, butterflies, etc. that can be found in Iowa.
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In terrestrial snakes, many cases of intraspecific shifts in dietary habits as a function of predator sex and body size are driven by gape-limitation - and hence, are most common in species that feed on relatively large prey, and exhibit a wide body-size range. Our data on seasnakes reveal an alternative mechanism for intraspecific niche partitioning, based on sex-specific seasonal anorexia induced by reproductive activities. Turtle-headed seasnakes (Emydocephalus annulatus) on coral reefs in the New Caledonian Lagoon feed entirely on the eggs of demersal-spawning fishes. DNA sequence data (cytochrome b gene) on eggs that we palpated from stomachs of 37 snakes showed that despite this ontogenetic-stage specialization, the prey come from a taxonomically diverse array of species including damselfish (41% of samples, at least 5 species), blennies (41%, 4 species) and gobies (19%, 5 species). The composition of snake diets shifted seasonally (with damselfish dominating in winter but not summer), presumably reflecting seasonality of fish reproduction. That seasonal shift affects male and female snakes differently, because reproduction is incompatible with foraging. Adult female seasnakes ceased feeding when they became heavily distended with developing embryos in late summer, and males ceased feeding while they were mate-searching in winter. The sex divergence in foraging habits may be amplified by sexual size dimorphism; females grow larger than males, and larger snakes (of both sexes) feed more on damselfish (which often lay their eggs in exposed sites) than on blennies and gobies (whose eggs are hidden within narrow crevices). Specific features of reproductive biology of coral-reef fish (seasonality and nest type) have generated intraspecific niche partitioning in these seasnakes, by mechanisms different from those that apply to terrestrial snakes.
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En 1981, le gouvernement de l'Alberta a amélioré la surveillance de la pointe sud « South Peak » de la montagne Turtle, sur la frontière sud du glissement Frank de 1903. Le programme de surveillance vise à comprendre les taux de déformation des fissures larges et profondes sur « South Peak », et à prédire une seconde avalanche rocheuse sur la montagne. Le programme de surveillance consiste à installer un complément de points statiques et de stations suivies à distance, qui sont mesurés périodiquement. Des données climatiques, microsismiques et de déformation sont recueillies automatiquement à intervalles journaliers, et sont archivées. À la fin des années 1980, le financement pour le développement du programme de surveillance a cessé et quelques installations se sont détériorées. Entre mai 2004 et septembre 2006, des lectures sur les points de surveillance encore fonctionnels ont été compilées et interprétées. De plus, les lectures prélevées auparavant ont été réinterprétées à partir des connaissances récentes sur les modèles de mouvement à court terme et les influences climatiques. Ces observations ont été comparées à des récentes observations aériennes d'un modèle digital d'élévation, provenant de « light detection and ranging (LiDAR) », et des photos de terrain, afin d'estimer plus précisément les taux, l'étendue et la distribution des mouvements pour les derniers 25 ans.
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Large slope failures in fractured rocks are often controlled by the combination of pre-existing tectonic fracturing and brittle failure propagation in the intact rock mass during the pre-failure phase. This study focuses on the influence of fold-related fractures and of post-folding fractures on slope instabilities with emphasis on Turtle Mountain, located in SW Alberta (Canada). The structural features of Turtle Mountain, especially to the south of the 1903 Frank Slide, were investigated using a high-resolution digital elevation model combined with a detailed field survey. These investigations allowed the identification of six main discontinuity sets influencing the slope instability and surface morphology. According to the different deformation phases affecting the area, the potential origin of the detected fractures was assessed. Three discontinuity sets are correlated with the folding phase and the others with post-folding movements. In order to characterize the rock mass quality in the different portions of the Turtle Mountain anticline, the geological strength index (GSI) has been estimated. The GSI results show a decrease in rock mass quality approaching the fold hinge area due to higher fracture persistence and higher weathering. These observations allow us to propose a model for the potential failure mechanisms related to fold structures.