112 resultados para Tourisme
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7 RESUME/ABSTRACT Au Sénégal, il existe des pratiques culturelles et cultuelles, séculaires que l’on retrouve au niveau de toutes les composantes ethnolinguistiques. Une donnée qui nous interpelle, chacun en ce qui nous concerne, et nous invite à repenser le devenir de nos spécificités et particularités culturelles face aux assauts répétés et multiformes de la modernité. La caractéristique qui entoure les rites et rituels est le plus souvent sujette à plusieurs formes d’interprétations fantaisistes et parfois dévalorisantes. Force est de reconnaître que le recours à la médecine moderne ne saurait pleinement répondre à ce besoin de tranquillité et de sérénité mystique qui habite chaque africain en général et chaque sénégalais en particulier. Il s’agit ici, pour l’africain et en ce qui nous concerne le sénégalais, de trouver une tranquillité psychologique et une assurance symbolique propres à créer les conditions d’une guérison physique et/ou morale. En ce sens que l’emprise du modernise ne peut aucunement influer totalement sur cette croyance ancestrale que bon nombre de sénégalais, et pas des moindres, ont en l’endroit de ces pratiques. Une prédisposition culturelle sous-tendue par des préoccupations cultuelles qui font l’objet d’une communion agissante entre les différents membres des communautés. Une prise de conscience qui se manifeste à travers des cérémonies ponctuellement organisées et présidées par des prêtres et prêtresses. Notre présente étude participe de la recherche d’un juste équilibre spirituel et temporel apte à offrir une possibilité de concilier les aspects traditionnels des spécificités culturelles de nos composantes ethnolinguistiques avec ce qui constitue les contraintes et exigences de la modernité. Il reste certes évident que cette opposition a généré une sorte de fracture culturelle en véhiculant une autre manière de voir, mais surtout de percevoir nos traditions et coutumes. Cependant à l’heure d’un redimensionnement et d’une adaptation contextuelle de ce qui constitue nos valeurs identitaires, il nous revient de procéder à une démarche de sensibilisation et d’explication pour conférer plus de lisibilité à nos expressions culturelles. La mise en place d’un écomusée des pratiques divinatoires et curatives, est un moyen moderne et pratique de sauvegarde et de valorisation des savoirs et connaissances thérapeutiques endogènes. Outre la création d’emplois et de revenus, cette infrastructure sera une vitrine du patrimoine local qui favorisera le développement d’un tourisme culturel source de devises et vecteur de développement local; ABSTRACT: In Senegal, there are cultural and religious practices, ancient that we find in all the ethno-linguistic components. A given that challenges us, each in our case, and invites us to rethink the future of our cultural specificities and characteristics and multifaceted face of repeated assaults of modernity. The characteristic surrounding the rites and rituals is usually subject to various forms of demeaning and sometimes fanciful interpretations. We must recognize that the use of modern medicine can not fully meet this need of tranquility and mystical serenity that inhabits every African in general and Senegal in particular each. This is, for Africa and for us Senegalese, find a psychological tranquility and symbolic own insurance to create conditions for physical healing and / or legal. In that the grip of modernizing can in no way affect totally on this ancient belief that many Senegalese, not least, have the place of such practices. A cultural predisposition underpinned by cultic concerns that are the subject of an active communion between the community members. An awareness that manifests itself through occasionally organized ceremonies presided over by priests and priestesses. Our present study involved the search for a fair balance spiritual and temporal able to offer an opportunity to reconcile the traditional aspects of the cultural specificities of our ethno-linguistic components with which constitutes the constraints and demands of modernity. While it remains clear that this opposition has generated a kind of cultural divide by conveying a different way of seeing, but above all to collect our traditions and customs. However at the time resizing and contextual adaptation of what constitutes our identity values, it is our responsibility to conduct an outreach approach and explanation to give greater clarity to our cultural expressions. The establishment of a museum of divination and healing practices, is a modern and convenient way to backup and recovery of therapeutic knowledge and endogenous knowledge. In addition to creating jobs and income, this infrastructure will be a showcase of local heritage that promote the development of cultural tourism source of foreign exchange and local development vector.
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La présente étude a comme objectif comprendre la relation entre l implantation et le développement du Tourisme à Natal et les conflits urbains établits entre 2006 et 2010 et publiés par les médias imprimés, élaborant ses impacts dans le quotidien des résidents. Tandis qu une relecture partielle de la méthode régressive-progressive développée par le philosophe français Henri Lefebvre, cherche à recouper du présent, des contradictions qui promeuvent des réactions dans le quotidien de la ville; ainsi qu identifier des moments du passé qui puissent contribuer à sa compréhension. Aujourd hui, nous avons les médias, comme principale source pour observer la perception locale des problèmes causés par l espace conçu, à partir des actions de l État référentes à l activité. Par rapport au passé, ces situations sont recherchées dans des sources secondaires, mettant en évidence le dialogue avec le Relatório Conflitos Urbanos (Rapport Conflits Urbains) à Natal-1976-1986 (ANDRADE et al.,1986), qui présente les conflits existants à des moments qui ont précédé ou ont acompagné le début du développement de l activité au RN, spécialement à Natal. Alors que dans la contribution à la compréhension du rôle du Tourisme dans l apparition de conflits urbains de la ville sont aussi inclues nos coupures vécues, des actions de l État par rapport à la consolidation, ainsi comme pour les conflits qui se sont plus demarqués ou qui ont conduit à la réaction de la population de la ville pendant les périodes analysées. Au final, on cherche à démontrer les limites de la responsabilité de l activité touristique dans l urgence des principaux conflits urbains dans la ville. L analyse des données de la recherche, avec l identification des conflits urbains de Natal et sa relation avec le Tourisme; la présentation des conflits par rapport à la localisation, fréquence et son encadrement dans les catégories de l analyse adoptée; l identification des agents intéressés et la relation entre eux; ont amené à la confirmation de l hypothèse proposée. De cette façon, en prenant en compte les coupures temporelles et spatiales, la source de recherche et la méthodologie adoptées, nous arrivons à la conclusion que l activité touristique à Natal n est pas directement responsable de l apparition des conflits urbains de la ville
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Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.
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Notre mémoire porte sur la mise en valeur du patrimoine archéologique sur la côte nord du Pérou. À partir de deux études de cas, Chan Chan et Huacas de Moche, nous cherchons à faire ressortir différentes approches de mise en valeur au complexe archéologique et d’exposition au musée de site. La cité de Chan Chan aurait été la capitale de l’Empire chimor (900 à 1476 ap. J.C.) et utilisée à titre de siège pour le gouvernement, de résidence, de centre administratif et de centre religieux. Le complexe de Huaca del Sol y de la Luna aurait été la capitale de la civilisation moche (100 av. J.C. à 700 ap. J.C.) à son apogée. Il représente l’un des plus anciens centre urbain-cérémonial de la côte nord du Pérou. Le cas du Musée de site de Chan Chan présente un modèle muséographique des années 1990, tandis que le cas du Musée de site de Huacas de Moche propose une approche puisant ses concepts dans la nouvelle muséologie (2010). D’autre part, ces modèles de gestion, l’un issu du secteur public (Chan Chan) et l’autre (Huacas de Moche) émanant d’une gestion mixte ont une influence sur la manière de présenter l’archéologie au public. Le premier chapitre aborde l’histoire du développement de l’archéologie, des musées et du tourisme au Pérou. La deuxième partie de ce chapitre traite des questions liées à l’herméneutique de la culture matérielle, des questions esthétiques et de l’architecture précolombienne, ainsi que des approches de médiation. Le deuxième chapitre met en parallèle l’analyse du circuit de visite du complexe archéologique de Chan Chan et celui de Huacas de Moche. Le troisième chapitre présente l’analyse de la mise en exposition des musées de site des deux études de cas et des liens créés avec leur site archéologique. Le quatrième chapitre porte sur les formes de financement des projets de fouilles, de conservation, de restauration et de mise en valeur de l’archéologie, ainsi que des stratégies utilisées pour sa diffusion et sa mise en tourisme. Enfin, la dernière section du quatrième chapitre traite des différents moyens utilisés par chacun des complexes archéologiques et leurs musées pour intégrer la communauté locale aux projets de recherche et de mise en valeur archéologique.
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Cette étude se penche sur le lien entre le label du patrimoine mondial de l’UNESCO et l’industrie touristique dans un contexte où le titre est de plus en plus convoité et que les destinations cherchent à se démarquer. L’objectif principal consiste à déterminer comment les acteurs du milieu touristique des villes du patrimoine mondial perçoivent le label comme outil promotionnel de la destination. Pour ce faire, le discours est analysé par le biais d’un système de valeurs associées au label pour comprendre comment celles-ci influencent la valence, positive, négative ou neutre accordée au label. Les résultats obtenus démontrent que la valence positive est largement conditionnée par la réputation de l’UNESCO ainsi que l’histoire, l’architecture et la beauté associées aux villes labellisées. Par contre, la protection, valeur à l’origine de la création du label, semble freiner les acteurs dans l’idée le considérer comme un outil utile et valable pour promouvoir la destination.
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This paper examines the factors motivating students to enrol in the Tourism Management program at Champlain College, St-Lambert and why a large number of students abandon the program before obtaining their DEC. There is a great deal of literature on student attrition, however there is little consensus on why students withdraw from college programs and the results cannot be easily generalized to this particular set of students at this time. Understanding the factors that influenced the students to choose Tourism Management at Champlain, St-Lambert and why they then leave before completing the six semesters will help with student success and with the marketing of the program.||Résumé : Ce travail s'intéresse aux facteurs qui motivent les étudiants à s'inscrire au programme de tourisme offert au Collège Champlain de St-Lambert. Il cherche à établir les raisons qui font en sorte qu'un si grand nombre d'étudiants abandonnent le programme avant d'obtenir leur DEC. Plusieurs recherches ont été effectuées sur l'abandon scolaire, mais il n'y a pas de consensus quant aux raisons pour lesquelles les étudiants se retirent du programme collégial. Actuellement, il est difficile d'établir des liens entre les résultats de ces recherches et ce groupe d'étudiants. La compréhension des facteurs qui influencent les étudiants à choisir le tourisme au Collège Champlain et les raisons qui font en sorte qu'ils quittent avant d'avoir complété leur formation, nous permettront d'améliorer le taux de rétention des étudiants dans ce programme. De plus, cela favorisera le marketing du programme.
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Notre objectif avec cette communication est de démontrer que les relations ville/port à Rio de Janeiro sont empreintes de grandes difficultés auxquelles la géographie peut, à défaut d’y remédier, en analyser les tenants et les aboutissants. Pour cela nous avons élaboré notre méthodologie autour de concepts empruntant à la géographie économique (Veltz, Harvey, Sassen…) pour les notions de réseaux, villes, flux ; et à la géographie des transports (transport maritime) pour les notions de relations ville/port (Baudouin, Slack, Hoyle, Monié, Ducruet, Frémont, Rodrigue…). Depuis maintenant quelques décennies, la réorganisation productive à l’œuvre projette d’une manière chaque fois plus évidente les villes et les ports comme des acteurs majeurs de l’intégration de territoires dans les flux issus de la mondialisation croissante des économies. A Rio de Janeiro, nous assistons à de nombreuses initiatives de modernisation du système portuaire et à la revitalisation des friches portuaires de la ville. Depuis un peu plus d’une décennie, le port de Rio est devenu l’un des plus dynamique du pays grâce notamment aux activités de conteneurs, Roll-on/Roll-off, ou encore au développement du tourisme maritime. Cependant, si ces projets s’inscrivent dans une volonté de « connecter » chaque fois un peu plus la seconde métropole brésilienne aux flux de la mondialisation, on s’aperçoit qu’il existe encore de nombreux obstacles caractérisés par les difficultés qu’éprouvent les autorités portuaires et la préfecture de formuler un projet de développement régional autour du port et de la ville. Les relations ville/port à Rio de Janeiro sont marquées par la difficulté de concevoir les ports comme un atout essentiel dans la constitution de réseaux logistiques productifs et intégrés propres à l’économie de circulation actuelle.