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The 1982–1994 National Long-Term Care Surveys indicate an accelerating decline in disability among the U.S. elderly population, suggesting that a 1.5% annual decline in chronic disability for elderly persons is achievable. Furthermore, many risk factors for chronic diseases show improvements, many linked to education, from 1910 to the present. Projections indicate the proportion of persons aged 85–89 with less than 8 years of education will decline from 65% in 1980 to 15% in 2015. Health and socioeconomic status trends are not directly represented in Medicare Trust Fund and Social Security Administration beneficiary projections. Thus, they may have different economic implications from projections directly accounting for health trends. A 1.5% annual disability decline keeps the support ratio (ratio of economically active persons aged 20–64 to the number of chronically disabled persons aged 65+) above its 1994 value, 22:1, when the Hospital Insurance Trust Fund was in fiscal balance, to 2070. With no changes in disability, projections indicate a support ratio in 2070 of 8:1—63% below a cash flow balance.
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From the Preface. Pursuant to Article 13(3) of Council Decision 2010/427/EU of 26 July 2010 establishing the organisation and functioning of the European External Action Service, the High Representative is held to provide a review of the organisation and functioning of the EEAS by mid-‐2013. This review will cover, inter alia, the implementation of Article 6(6), (8) and (11), so as to ensure an adequate geographical and gender balance and a meaningful presence of nationals from all member states in the EEAS. If necessary, the review will be accompanied by appropriate proposals for the revision of the 2010 Council Decision (e.g., suggestions for additional specific measures to correct possible imbalances of staffing). In that case, the Council will, in accordance with Article 27(3) TEU, revise the Decision in light of the review by the beginning of 2014. This short and user-‐friendly legal commentary on the 2010 Council Decision is the first of its kind and is intended to inform those involved in the review process and to serve as a reference document for practitioners and analysts dealing with the EEAS. This commentary is not an elaborate doctrinal piece, but rather a textual and contextual analysis of each article, that takes account of i) other relevant legal provisions (primary, secondary, international), ii) the process leading to the adoption of the 2010 Council Decision (i.e. travauxpréparatoires), iii) the preamble of the Council Decision, and iv) insofar as it is possible at this stage, early implementation. Wherever relevant, cross-‐references to other provisions of the EEAS Council Decision have been made so as to tie in the different commentaries and ensure overall consistency.
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Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.
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This Special Report offers recommendations for the amendment of the Council Decision 2010/427/EU establishing the organisation and functioning of the European External Action Service. Its purpose is to contribute, in practical legal terms, to the ongoing review of the Decision in 2013, as well as to the possible discussion on its revision that may take place in 2014. In particular, it sheds light on possible adjustments in the application of the Decision ‘à droit constant’, but also suggests potential alteration of its formulation.
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This short and user-friendly legal commentary on the 2010 Council Decision establishing the organisation and functioning of the EEAS is the first of its kind. It is intended to inform those involved in the review process and to serve as a reference document for practitioners and analysts dealing with the EEAS. Rather than an elaborate doctrinal piece, this legal commentary is a textual and contextual analysis of each article that takes account of i) other relevant legal provisions (primary, secondary, international); ii) the process leading to the adoption of the 2010 Council Decision; iii) the preamble of the Council Decision and iv) insofar as it is possible at this stage, early implementation. Wherever relevant, cross-references to other provisions of the Council Decision have been made so as to tie in the different commentaries and ensure overall consistency.
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Russia’s contacts with the external world over the past year have been characterised by a gradual improvement in its relations with the West, as well as the use of non-confrontational rhetoric, the most far-reaching example of which was the address President Dmitri Medvedev gave to Russian ambassadors this July. In an attempt to harmonise foreign policy with the widely propagated programme for the modernisation of Russia1 President Medvedev presented a vision of the Russian Federation as a responsible global power which is open to co-operation. According to this vision, Russian foreign policy would help to attract foreign investments and technologies. The West was presented as a partner, not a rival. Both this rhetoric and the atmosphere of co-operation in relations with the USA and the EU contrast with the assertive and aggressive Russian policy which was symbolised by and culminated in the Russian-Georgian conflict of 2008. The changes observed in Russian foreign policy are quite limited, and are not constructing a new external strategy. Those changes are rather an attempt to find more efficient ways to implement old strategic goals. The new image of a responsible global power is inconsistent, and Russian policy is still assertive and geopolitically motivated. Although a new rhetoric is really in place, the Russian political elite’s perception of their country’s place and role in the contemporary international order remains unchanged. Moscow’s readiness to become engaged in genuine co-operation with the West has not increased significantly; it is still to a great extent declarative in nature.
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FOREWORD. When one looks at the present state of the CSDP, one cannot help but look on with disenchantment at the energy that appears to have abandoned both institutions and Member States. Commentators increasingly take for granted that nothing much should be expected from this field of EU policy. The reasons for this state of mind are well known: the recent economic and financial strains, which have impacted all EU action since 2008, means that most of the Member States will struggle to keep their defence budgets at their present level in the future, and we may even see reductions. Furthermore, and to put it mildly, most of the recent CSDP operations have also experienced a lack of enthusiasm. Adding to this overall trend, the EU is far from presenting a common vision of what security and defence should really mean. Many of the Member States do not want to be involved in all of today’s international turmoils, and they rarely share the strategic culture which inspires those Member States who see themselves as having special responsibilities in dealing with these crises. In the end it may be that Member States diverge fundamentally on the simple question of whether it is relevant for the EU to engage in most of the ‘hot’ crises Europe faces; many prefer to see Europe as a soft power, mostly dedicated to intervening on less dramatic fronts and more inclined to mend than to fight. For whatever reason given, it remains that if there is a lack of common understanding on what CSDP should really be about, it should not come as a surprise if this policy is presently in stalemate. As an additional blow, the Ukrainian crisis, which dragged on for the whole of last year, could only add to the downward spiral the EU has been experiencing, with a new Russia aggressively confronting Europe in a manner not too distant from the Cold War days. This attitude has triggered the natural reaction among EU Member States to seek reassurances from NATO about their own national security. Coupled with the return of France a few years ago into the integrated military command, NATO’s renewed relevance has sent a strong message to Europe about the military organisation’s credibility with regard to collective defence. Surprisingly, this overall trend was gathering momentum at the same time as other more positive developments. The European Council of December 2013 dedicated its main session to CSDP: it underlined Europe’s role as a ‘security provider’ while adopting a very ambitious road map for Europe in all possible dimensions of the security sector. Hence the impression of a genuine boost to all EU institutions, which have been invited to join efforts and give CSDP a reinvigorated efficiency. In the same way, the increasing instability in Europe’s neighbourhood has also called for more EU operations: most recently in Iraq, Libya, Northern Nigeria or South Sudan. Pressure for further EU engagement has been one of the most constant features of the discussions taking place around these crises. Moreover, a growing number of EU partners in Asia, Latin America or Eastern Europe have shown a renewed eagerness to join CSDP missions in what sounds like a vote of confidence for EU capacities. What kind of conclusion should be drawn from this contradictory situation? Probably that the EU has much more potential than it can sometimes figure out itself, if only it would be ready to adapt to the new global realities. But, more than anything else, an enhanced CSDP needs from all Member States strong political will and a clear vision of what they want this policy to be. Without this indispensable ingredient CSDP may continue to run its course, as it does today. It may even grow in efficiency but it will keep lacking the one resource that would definitely help it overcome all the present shortcomings that have prevented Europe from finding its true role and mission through the CSDP. Member States remain central to EU security and defence policy. This is why this collection of essays is so valuable for assessing in no uncertain way the long road that lies ahead for any progress to be made. Pierre VIMONT Senior Associate at Carnegie Europe Former Executive Secretary-General of the European External Action Service
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The recent crisis in Japan, which combined tsunami and technological events, shows that any crisis, especially those in developed and developing countries, is from here out a hybrid crisis, mixing natural factors and human/technological (NATECH). Faced with such dramatic events, which exceed any means available for emergency rescue service, it is necessary a) to remain prudent and b) to prepare. One of the means for preparing is unquestionably training. However, here, undoubtedly there are important constraints: How to train, for example, while reproducing vividly and realistically, an event? How to exceed the admittedly useful, although very limited, level of the table-top exercise? How also to avoid the unnecessary mobilization of dozens, even hundreds, of field and operation staffers to take part in an exercise which could lead to a disappointing outcome? A major crisis, a major exercise, in effect. The solution of virtual reality has emerged, in Europe and in the United States. It is also sometimes called “serious game”.
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Cette recherche porte sur les pratiques d’intervention des agents de réponse en intervention de crise (RIC), de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux. Les agents RIC sont des patrouilleurs de première ligne qui ont reçu une formation complète sur les principes d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Ce modèle de réponse spécialisée est une solution proactive qui a pour but d’améliorer l’action policière en situation de crise et de veiller à une meilleure prise en charge de ces personnes par les ressources institutionnelles. La désinstitutionnalisation des soins et des services psychiatriques a eu pour effet une augmentation du nombre de personnes atteintes de troubles mentaux dans la communauté. Par conséquent, cet accroissement a engendré des rapports plus fréquents entre les services policiers et cette clientèle. Les interventions en contexte de crise ou de santé mentale sont particulières et complexes, de même qu’elles requièrent un niveau supérieur de compréhension des crises humaines. Les autorités policières ont admis que ces interventions représentent une part significative de leur travail et que la formation policière traditionnelle ne les prépare pas suffisamment pour intervenir adéquatement auprès de cette population. En réponse à ces considérations et dans l’objectif d’améliorer leur capacité d’agir, les forces policières se sont dotées de modèles de réponse policière spécialisée en intervention de crise. L’approche la plus répandue est l’équipe d’intervention de crise (« crisis intervention team » ou « CIT »), aussi appelée le modèle de Memphis. Il existe plusieurs variantes de ce modèle, mais les composantes principales, c’est-à-dire la formation avancée et la consolidation d’un partenariat avec le système de santé demeurent dans l’ensemble de ces structures. L’objectif de cette recherche consiste à sonder les perceptions des agents RIC, de leur partenaire fixe et des agents en attente de la formation afin de comprendre et de contraster leurs visions et leurs pratiques d’intervention en contexte de crise ou de santé mentale. Chaque groupe a apporté des précisions intéressantes. Nous avons conduit 12 entrevues qualitatives avec des policiers du SPVM. De façon générale, les participants rapportent que leurs pratiques d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux sont davantage ancrées dans une perspective de relation d’aide. Ils mentionnent également que la communication, l’écoute et la confiance doivent être privilégiées avant tout autre stratégie dans les situations qui les permettent et que la force doit être employée seulement lorsqu’elle est nécessaire, c’est-à-dire lorsque leur sécurité ou celle d’autrui est en péril ou lorsque la communication n’est pas possible. Puis, ils admettent que le recours à l’expertise des intervenants en santé mentale permet une analyse plus approfondie de la situation et de l’état mental de la personne visée par l’intervention. D’autre part, en ce qui concerne les limites de la formation policière traditionnelle, les candidats ont soulevé qu’il y a un manque de connaissances en matière de santé mentale ainsi qu’une difficulté associée à l’évaluation de l’état de la personne et du besoin de transport ont été soulevés. Sur le plan des apprentissages, les agents RIC disent avoir une compréhension plus globale de la problématique de santé mentale, de meilleures habiletés communicationnelles, une analyse plus approfondie de la situation, de plus grandes connaissances juridiques, une compréhension du fonctionnement des services hospitaliers ainsi qu’une appréciation particulière pour le partage de savoirs et les principes d’endiguement. Ils font part également de l’importance des rapports pour documenter l’évolution de l’état mental d’une personne et ils ajoutent que la dimension temporelle joue un rôle clé dans la résolution définitive de la problématique. Au sujet des partenaires, ils évoquent des retombées similaires. Toutefois, à la suite de la formation, ils reconnaissent davantage l’importance de leur rôle dans la sécurité de leur partenaire et ils y accordent dorénavant une attention marquée lors de ces interventions. Enfin, les agents non formés formulent des attentes relatives au développement d’outils et de compétences, ce qui leur sera rendu dans la formation RIC. Globalement, les agents RIC et les partenaires interviewés ont modifié leurs pratiques pour les arrimer avec la philosophie des interventions en contexte de crise ou de santé mentale. Ils ont également davantage confiance en leurs capacités et habiletés d’intervention auprès des personnes en crise ou atteintes de troubles mentaux grâce aux connaissances acquises dans la formation.
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Mode of access: Internet.
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Includes tables.
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Companion vol. to the author's State experiences in social services planning.
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