982 resultados para Récepteur lectine de type C
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In this study, genotyping techniques including staphylococcal chromosomal cassette mec (SCCmec) typing, pulsed-field gel electrophoresis (PFGE), multilocus sequence typing (MLST) and restriction-modification tests were used to compare the molecular characteristics of methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA) isolates recovered at two times within a 10-year interval (1998 and 2008) from a tertiary Brazilian hospital. In addition, the antimicrobial susceptibility profiles were analyzed. All 48 MRSA isolates from 1998 and 85.7% from 2008 (48/56 isolates) displayed multidrug-resistance phenotypes and SCCmec III. All but one of the 13 representative SCCmec III isolates belonged to CC8 and had PFGE patterns similar to that of the BMB9393 strain (Brazilian epidemic clone of MRSA; BEC). In 2008, we found an increased susceptibility to rifampicin and chloramphenicol among the SCCmec III isolates. In addition, we detected the entrance of diverse international MRSA lineages susceptible to trimethoprim-sulfamethoxazole (SXT), almost all belonging to CC5. These non-SCCmec III isolates were related to the USA 300 (ST8-SCCmec IV; PFGE-type B), USA 800 (ST5-SCCmec IV; subtype D1), USA 100 (ST5-SCCmec II; subtype D2), and EMRSA-3/Cordobes (ST5-SCCmec I, type C) clones. To the best of our knowledge, this is the first report of the emergence of isolates genetically related to the EMRSA-3/Cordobes clone in southeast Brazil. In this regard, these isolates were the most common non-SCCmec III MRSA in our institution, accounting for 8.9% of all isolates recovered in 2008. Thus, despite the supremacy of BEC isolates in our country, significant changes may occur in local MRSA epidemiology, with possible consequences for the rationality of MRSA empiric therapy.
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The purpose of this work was to evaluate the physical, physicochemical, chemical and microbiological characteristics of in natura açai (Euterpe precatoria Mart.)beverageprocessed and commercialized in Rio Branco, Acre, submitting it to acidification and pasteurization treatments and evaluating their effects. Açaí fruits were processed to obtain the beverage as generally consumed. A 25 L sample was collected from a processing unit at a market in Rio Branco and transported to the Laboratory of Food Technology at the Federal University of Acre, for sampling of the experiments in a completely randomized design. Analyses of total solids, pH, total titrable acidity, proteins, lipids, moulds and yeasts, total and heat-tolerant coliforms at 45 ºC were performed in in natura beverage and after treatments. The results of the ANOVA showed, except for lipids, difference (p < 0.01) in the parameters. The in natura açaí beverage presented an elevated contamination by total and heat-tolerant coliforms at 45 ºC, moulds and yeasts, being in hygienic-sanitary conditions both unsatisfactory and unsafe for consumption. Pasteurization was efficient in reducing the beverage microbiota; it reduced contamination to an acceptable level according to the legislation, warranting food quality and safety. The acidified treatment partially reduced the microbiota. The beverage was classified as fine or type C.
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Cette recherche a été inspirée par les travaux de John Bowlby sur l’attachement ainsi que par les écrits psychanalytiques de Sigmund Freud et de Donald Winnicott sur le développement de la relation père-garçon. Trois objectifs ont été formulés dans la présente étude : A) Les jeunes garçons d’âge préscolaire pourraient-ils projeter, à travers quelques sessions de jeu symbolique libre, leurs représentations paternelles? B) S’ils les projettent, quelle est la nature de ces représentations paternelles? C) Existe-t-il une relation entre le type d’attachement (évalué par un instrument standard) et les représentations paternelles projetées dans le jeu symbolique libre? Dix garçons de quatre ans ont été filmés à la maison et dans une garderie pendant, en moyenne, quatre sessions totalisant par enfant, une durée moyenne de deux heures trente minutes de jeu symbolique. Le type d’attachement a été évalué à l’aide de l’Attachment Story Completion Task. Les résultats démontrent que l’ensemble des garçons ont été en mesure de projeter des représentations paternelles basées sur la figure du père. Tous ces garçons ont perçu le père comme une figure de protection et huit enfants sur dix ont exprimé verbalement leur attachement à ce dernier. Un enfant de type évitant (type A) n’a pas évoqué la figure du père dans son jeu. Ce père était rarement à la maison pour s’occuper de son garçon. Enfin, le dernier enfant, de type ambivalent (un enfant particulièrement agressif de type C), a présenté dans son jeu des interactions négatives avec le père et ce, tout au long des sessions de jeu symbolique. Il appert ainsi que le jeu symbolique permet à l’enfant de projeter des représentations de la figure paternelle. Ces représentations sont en lien avec le type d’attachement que l’enfant détient au moment de l’évaluation.
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Cette thèse traite de la résistance du VIH-1 aux antirétroviraux, en particulier de l'activité antivirale de plusieurs inhibiteurs non nucléosidiques de la transcriptase inverse (INNTI) ainsi que des inhibiteurs de protéase (IP). Nous avons exploré l’émergence et la spécificité des voies de mutations qui confèrent la résistance contre plusieurs nouveaux INNTI (étravirine (ETR) et rilpivirine (RPV)) (chapitres 2 et 3). En outre, le profil de résistance et le potentiel antirétroviral d'un nouvel IP, PL-100, est présenté dans les chapitres 4 et 5. Pour le premier projet, nous avons utilisé des sous-types B et non-B du VIH-1 pour sélectionner des virus résistants à ETR, et ainsi montré que ETR favorise l’émergence des mutations V90I, K101Q, E138K, V179D/E/F, Y181C, V189I, G190E, H221H/Y et M230L, et ce, en 18 semaines. Fait intéressant, E138K a été la première mutation à émerger dans la plupart des cas. Les clones viraux contenant E138K ont montré un faible niveau de résistance phénotypique à ETR (3,8 fois) et une diminution modeste de la capacité de réplication (2 fois) par rapport au virus de type sauvage. Nous avons également examiné les profils de résistance à ETR et RPV dans les virus contenant des mutations de résistance aux INNTI au début de la sélection. Dans le cas du virus de type sauvage et du virus contenant la mutation unique K103N, les premières mutations à apparaître en présence d’ETR ou de RPV ont été E138K ou E138G suivies d’autres mutations de résistance aux INNTI. À l’inverse, dans les mêmes conditions, le virus avec la mutation Y181C a évolué pour produire les mutations V179I/F ou A62V/A, mais pas E138K/G. L'ajout de mutations à la position 138 en présence de Y181C n'augmente pas les niveaux de résistance à ETR ou RPV. Nous avons également observé que la combinaison de Y181C et E138K peut conduire à un virus moins adapté par rapport au virus contenant uniquement Y181C. Sur la base de ces résultats, nous suggérons que les mutations Y181C et E138K peuvent être antagonistes. L’analyse de la résistance au PL-100 des virus de sous-type C et CRF01_AE dans les cellules en culture est décrite dans le chapitre 4. Le PL-100 sélectionne pour des mutations de résistance utilisant deux voies distinctes, l'une avec les mutations V82A et L90M et l'autre avec T80I, suivi de l’addition des mutations M46I/L, I54M, K55R, L76F, P81S et I85V. Une accumulation d'au moins trois mutations dans le rabat protéique et dans le site actif est requise dans chaque cas pour qu’un haut niveau de résistance soit atteint, ce qui démontre que le PL-100 dispose d'une barrière génétique élevée contre le développement de la résistance. Dans le chapitre 5, nous avons évalué le potentiel du PL-100 en tant qu’inhibiteur de protéase de deuxième génération. Les virus résistants au PL-100 émergent en 8-48 semaines alors qu’aucune mutation n’apparaît avec le darunavir (DRV) sur une période de 40 semaines. La modélisation moléculaire montre que la haute barrière génétique du DRV est due à de multiples interactions avec la protéase dont des liaison hydrogènes entre les groupes di-tétrahydrofuranne (THF) et les atomes d'oxygène des acides aminés A28, D29 et D30, tandis que la liaison de PL-100 est principalement basée sur des interactions polaires et hydrophobes délocalisées à travers ses groupes diphényle. Nos données suggèrent que les contacts de liaison hydrogène et le groupe di-THF dans le DRV, ainsi que le caractère hydrophobe du PL-100, contribuent à la liaison à la protéase ainsi qu’à la haute barrière génétique contre la résistance et que la refonte de la structure de PL-100 pour inclure un groupe di-THF pourrait améliorer l’activité antivirale et le profil de résistance.
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On retrouve dans le complexe Chrosomus eos-neogaeus une forme cybride ayant le génome nucléaire de C. eos et le génome mitochondrial de C. neogaeus. Ce modèle particulier fournit une occasion unique d’étudier l’influence d’une mitochondrie exogène sur le métabolisme et la physiologie d'organismes vivant en milieu naturel, et s'étant donc adaptés à cette situation cellulaire atypique. La mitochondrie jouant un rôle fondamental vital, nous nous attendons à ce que la présence d’une mitochondrie exogène chez la forme cybride ait un impact sur l’expression de son génome et du protéome qui en découle. L’objectif de ce projet est d’étudier les différences au niveau protéomique entre des individus C. eos purs (forme sauvage) et des cybrides provenant d'habitats similaires afin de faire ressortir au maximum les différences dues à la présence de mitochondries C. neogaeus chez la forme cybride. Pour ce faire, nous avons comparé les protéomes des formes cybride et sauvage en utilisant l'électrophorèse en deux dimensions. Un sous-groupe de protéines produisant un signal spécifique révélé par l’analyse comparative a été identifié et analysé par spectrométrie de masse (LC/MS). Les résultats indiquent que la présence de mitochondries C. neogaeus chez le cybride influence fortement la régulation génique chez ce dernier. De plus, les protéines identifiées apportent des pistes intéressantes supportant l'hypothèse que la présence de mitochondries C. neogaeus chez le cybride rendrait ce biotype plus résistant au froid que la forme sauvage.
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Le système endocannabinoïde (eCB) est présent dans le système nerveux central (SNC) de mammifères, incluant la rétine, et est responsable de la régulation de nombreux processus physiologiques. Bien que la présence du récepteur cannabinoïde de type 1 (CB1R) a bien été documenté dans la rétine de rongeurs et primates, il y a encore une controverse quant à la présence du récepteur cannabinoïde de type 2 (CB2R) au niveau du SNC. En utilisant la microscopie confocale, nous sommes les premiers à signaler les patrons d’expression du CB2R dans la rétine de singe. Nos résultats démontrent que le CB2R est exprimé exclusivement dans les cellules de Müller de la rétine du singe. En outre, nous avons comparé les différents patrons d’expression du système eCB dans la rétine de la souris, du toupaye, ainsi que du singe vervet et macaque. Nous rapportons que les distributions de CB1R, FAAH (fatty acid amid hydrolase), MAGL (monoacylglycerol lipase) et DAGLα (diacylglycerol lipase alpha) sont hautement conservées parmi ces espèces alors que CB2R et NAPE-PLD (N-acyl phosphatidylethanolamine phospholipase D) présentent différents profils d'expression. CB2R n'a pas été détecté dans les cellules neuronales de la rétine des primates. L’immunoréactivité de NAPE-PLD est présente dans les couches de la rétine de souris et toupayes, mais a été limitée à la couche des photorécepteurs des singes vervet et macaque. Pour étudier les corrélats neuronaux et le rôle de la signalisation du système eCB dans la rétine, nous avons établi un protocole standard pour l'électrorétinographie (ERG), puis enregistré la réponse ERG de la rétine après le blocage des récepteurs avec des antagonistes spécifiques pour CB1R (AM251) et CB2R (AM630). Comparé au témoin, dans des conditions photopiques, et à certaines intensités faibles du stimulus, le blocage de CB1R diminue l'amplitude de l'onde-b, alors qu’à des intensités plus élevées, le blocage de CB2R augmente l'amplitude des deux-ondes a et b. De plus, le blocage des récepteurs cannabinoïdes provoque une augmentation de la latence des deux ondes a et b. Dans des conditions d’adaptation à l'obscurité, le blocage de CB1R et CB2R réduit l’amplitudes de l'onde a seulement à des intensités plus élevées et réduit l’onde b à intensités plus faibles. Des augmentations significatives de latence ont été observées dans les deux cas. Ces résultats indiquent que les récepteurs CB1 et CB2 chez les primates non humains sont impliqués dans la fonction rétinienne conditions photopiques. En outre, nous avons évalué le profil d'expression du CB1R, de FAAH et de NAPE-PLD au-delà de la rétine dans le corps géniculé latéral des singes et nous rapportons pour la première fois que CB1R et FAAH sont exprimés davantage dans les couches magnocellulaires. La NAPE-PLD a été localisée à travers les couches magno- et parvocellulaires. Aucune de ces composantes n’est exprimée dans les couches koniocellulaires. Ces résultats nous aident à mieux comprendre les effets des cannabinoïdes sur le système visuel qui pourraient nous mener à trouver éventuellement de nouvelles cibles thérapeutiques.
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La synthèse de siliciures métalliques sous la forme de films ultra-minces demeure un enjeu majeur en technologie CMOS. Le contrôle du budget thermique, afin de limiter la diffusion des dopants, est essentiel. Des techniques de recuit ultra-rapide sont alors couramment utilisées. Dans ce contexte, la technique de nanocalorimétrie est employée afin d'étudier, in situ, la formation en phase solide des siliciures de Ni à des taux de chauffage aussi élevés que 10^5 K/s. Des films de Ni, compris entre 9.3 et 0.3 nm sont déposés sur des calorimètres avec un substrat de a-Si ou de Si(100). Des mesures de diffraction de rayons X, balayées en température à 3 K/s, permettent de comparer les séquences de phase obtenues à bas taux de chauffage sur des échantillons de contrôle et à ultra-haut taux de chauffage sur les calorimètres. En premier lieu, il est apparu que l'emploi de calorimètres de type c-NC, munis d'une couche de 340 nm de Si(100), présente un défi majeur : un signal endothermique anormal vient fausser la mesure à haute température. Des micro-défauts au sein de la membrane de SiNx créent des courts-circuits entre la bande chauffante de Pt du calorimètre et l'échantillon métallique. Ce phénomène diminue avec l'épaisseur de l'échantillon et n'a pas d'effet en dessous de 400 °C tant que les porteurs de charge intrinsèques au Si ne sont pas activés. Il est possible de corriger la mesure de taux de chaleur en fonction de la température avec une incertitude de 12 °C. En ce qui a trait à la formation des siliciures de Ni à ultra-haut taux de chauffage, l'étude montre que la séquence de phase est modifiée. Les phases riches en m étal, Ni2Si et théta, ne sont pas détectées sur Si(100) et la cinétique de formation favorise une amorphisation en phase solide en début de réaction. Les enthalpies de formation pour les couches de Ni inférieures à 10 nm sont globalement plus élevées que dans le cas volumique, jusqu' à 66 %. De plus, les mesures calorimétriques montrent clairement un signal endothermique à haute température, témoignant de la compétition que se livrent la réaction de phase et l'agglomération de la couche. Pour les échantillons recuits a 3 K/s sur Si(100), une épaisseur critique telle que décrite par Zhang et Luo, et proche de 4 nm de Ni, est supposée. Un modèle est proposé, basé sur la difficulté de diffusion des composants entre des grains de plus en plus petits, afin d'expliquer la stabilité accrue des couches de plus en plus fines. Cette stabilité est également observée par nanocalorimétrie à travers le signal endothermique. Ce dernier se décale vers les hautes températures quand l'épaisseur du film diminue. En outre, une 2e épaisseur critique, d'environ 1 nm de Ni, est remarquée. En dessous, une seule phase semble se former au-dessus de 400 °C, supposément du NiSi2.
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Bei der Bestimmung der irreduziblen Charaktere einer Gruppe vom Lie-Typ entwickelte Lusztig eine Theorie, in der eine sogenannte Fourier-Transformation auftaucht. Dies ist eine Matrix, die nur von der Weylgruppe der Gruppe vom Lie-Typ abhängt. Anhand der Eigenschaften, die eine solche Fourier- Matrix erfüllen muß, haben Geck und Malle ein Axiomensystem aufgestellt. Dieses ermöglichte es Broue, Malle und Michel füur die Spetses, über die noch vieles unbekannt ist, Fourier-Matrizen zu bestimmen. Das Ziel dieser Arbeit ist eine Untersuchung und neue Interpretation dieser Fourier-Matrizen, die hoffentlich weitere Informationen zu den Spetses liefert. Die Werkzeuge, die dabei entstehen, sind sehr vielseitig verwendbar, denn diese Matrizen entsprechen gewissen Z-Algebren, die im Wesentlichen die Eigenschaften von Tafelalgebren besitzen. Diese spielen in der Darstellungstheorie eine wichtige Rolle, weil z.B. Darstellungsringe Tafelalgebren sind. In der Theorie der Kac-Moody-Algebren gibt es die sogenannte Kac-Peterson-Matrix, die auch die Eigenschaften unserer Fourier-Matrizen besitzt. Ein wichtiges Resultat dieser Arbeit ist, daß die Fourier-Matrizen, die G. Malle zu den imprimitiven komplexen Spiegelungsgruppen definiert, die Eigenschaft besitzen, daß die Strukturkonstanten der zugehörigen Algebren ganze Zahlen sind. Dazu müssen äußere Produkte von Gruppenringen von zyklischen Gruppen untersucht werden. Außerdem gibt es einen Zusammenhang zu den Kac-Peterson-Matrizen: Wir beweisen, daß wir durch Bildung äußerer Produkte von den Matrizen vom Typ A(1)1 zu denen vom Typ C(1) l gelangen. Lusztig erkannte, daß manche seiner Fourier-Matrizen zum Darstellungsring des Quantendoppels einer endlichen Gruppe gehören. Deswegen ist es naheliegend zu versuchen, die noch ungeklärten Matrizen als solche zu identifizieren. Coste, Gannon und Ruelle untersuchen diesen Darstellungsring. Sie stellen eine Reihe von wichtigen Fragen. Eine dieser Fragen beantworten wir, nämlich inwieweit rekonstruiert werden kann, zu welcher endlichen Gruppe gegebene Matrizen gehören. Den Darstellungsring des getwisteten Quantendoppels berechnen wir für viele Beispiele am Computer. Dazu müssen unter anderem Elemente aus der dritten Kohomologie-Gruppe H3(G,C×) explizit berechnet werden, was bisher anscheinend in noch keinem Computeralgebra-System implementiert wurde. Leider ergibt sich hierbei kein Zusammenhang zu den von Spetses herrührenden Matrizen. Die Werkzeuge, die in der Arbeit entwickelt werden, ermöglichen eine strukturelle Zerlegung der Z-Ringe mit Basis in bekannte Anteile. So können wir für die meisten Matrizen der Spetses Konstruktionen angeben: Die zugehörigen Z-Algebren sind Faktorringe von Tensorprodukten von affinen Ringe Charakterringen und von Darstellungsringen von Quantendoppeln.
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Introducción La mutación genética Val30Met de la proteína transtiretina (TTR) es causante de la polineuropatía amiloidótica familiar, comprometiendo en fases iniciales las fibras nerviosas pequeñas (mielinizadas Aδ y amielínicas tipo C), involucradas en funciones autonómicas, nocicepción, percepción térmica y sudoración. Los métodos neurofisiológicos convencionales, no logran detectar dichas anormalidades, retardando el inicio de tratamientos específicos para la enfermedad. Metodología El objetivo principal fue evaluar el test de cuantificación sensitiva (QST) como método de detección temprana de anormalidades de fibra pequeña, en individuos Val30Met, seguidos en el Hospital Universitario Santa María, Lisboa. Se clasificaron los pacientes en 3 grupos, según sintomatología y examen neurológico. Se analizaron los umbrales para percepción de frío, dolor con el calor y vibración en los grupos, en correlación con controles sanos. Resultados 18 registros de controles sanos y 33 de individuos con la mutación, divididos en asintomáticos (24,2%), sintomáticos con examen neurológico normal (42,4%) y sintomáticos con examen neurológico anormal (33,3%). No se encontraron diferencias entre los pacientes asintomáticos y los controles. Los umbrales para frío (p=0,042) y en el dolor intermedio con el calor (HP 5) (p=0,007) se encuentran elevados en individuos Val30Met sintomáticos con examen normal. En los pacientes sintomáticos con alteraciones al examen, también se presentaron alteraciones en el intervalo entre el inicio y el dolor intermedio con el calor (HP 5-0,5) (p=0,009). Discusión Los umbrales de frío y de percepción de dolor con el calor, permiten detectar anormalidades en personas con la mutación TTR Val30Met, sintomáticos, incluyendo aquellos sin cambios objetivos al examen neurológico.
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A climatology of almost 700 extratropical cyclones is compiled by applying an automated feature tracking algorithm to a database of objectively identified cyclonic features. Cyclones are classified according to the relative contributions to the midlevel vertical motion of the forcing from upper and lower levels averaged over the cyclone intensification period (average U/L ratio) and also by the horizontal separation between their upper-level trough and low-level cyclone (tilt). The frequency distribution of the average U/L ratio of the cyclones contains two significant peaks and a long tail at high U/L ratio. Although discrete categories of cyclones have not been identified, the cyclones comprising the peaks and tail have characteristics that have been shown to be consistent with the type A, B, and C cyclones of the threefold classification scheme. Using the thresholds in average U/L ratio determined from the frequency distribution, type A, B, and C cyclones account for 30\%, 38\%, and 32\% of the total number of cyclones respectively. Cyclones with small average U/L ratio are more likely to be developing cyclones (attain a relative vorticity $\ge 1.2 \times 10^{-4} \mbox{s}^{-1}$) whereas cyclones with large average U/L ratio are more likely to be nondeveloping cyclones (60\% of type A cyclones develop whereas 31\% of type C cyclones develop). Type A cyclogenesis dominates in the development region East of the Rockies and over the gulf stream, type B cyclogenesis dominates in the region off the East coast of the USA, and type C cyclogenesis is more common over the oceans in regions of weaker low-level baroclinicity.
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A new objective climatology of polar lows in the Nordic (Norwegian and Barents) seas has been derived from a database of diagnostics of objectively identified cyclones spanning the period January 2000 to April 2004. There are two distinct parts to this study: the development of the objective climatology and a characterization of the dynamical forcing of the polar lows identified. Polar lows are an intense subset of polar mesocyclones. Polar mesocyclones are distinguished from other cyclones in the database as those that occur in cold air outbreaks over the open ocean. The difference between the wet-bulb potential temperature at 700 hPa and the sea surface temperature (SST) is found to be an effective discriminator between the atmospheric conditions associated with polar lows and other cyclones in the Nordic seas. A verification study shows that the objective identification method is reliable in the Nordic seas region. After demonstrating success at identifying polar lows using the above method, the dynamical forcing of the polar lows in the Nordic seas is characterized. Diagnostics of the ratio of mid-level vertical motion attributable to quasi-geostrophic forcing from upper and lower levels (U/L ratio) are used to determine the prevalence of a recently proposed category of extratropical cyclogenesis, type C, for which latent heat release is crucial to development. Thirty-one percent of the objectively identified polar low events (36 from 115) exceeded the U/L ratio of 4.0, previously identified as a threshold for type C cyclones. There is a contrast between polar lows to the north and south of the Nordic seas. In the southern Norwegian Sea, the population of polar low events is dominated by type C cyclones. These possess strong convection and weak low-level baroclinicity. Over the Barents and northern Norwegian seas, the well-known cyclogenesis types A and B dominate. These possess stronger low-level baroclinicity and weaker convection.
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A climatology of extratropical cyclones is produced using an objective method of identifying cyclones based on gradients of 1-km height wet-bulb potential temperature. Cyclone track and genesis density statistics are analyzed and this method is found to compare well with other cyclone identification methods. The North Atlantic storm track is reproduced along with the major regions of genesis. Cyclones are grouped according to their genesis location and the corresponding lysis regions are identified. Most of the cyclones that cross western Europe originate in the east Atlantic where the baroclinicity and the sea surface temperature gradients are weak compared to the west Atlantic. East Atlantic cyclones also have higher 1-km height relative vorticity and lower mean sea level pressure at their genesis point than west Atlantic cyclones. This is consistent with the hypothesis that they are secondary cyclones developing on the trailing fronts of preexisting “parent” cyclones. The evolution characteristics of composite west and east Atlantic cyclones have been compared. The ratio of their upper- to lower-level forcing indicates that type B cyclones are predominant in both the west and east Atlantic, with strong upper- and lower-level features. Among the remaining cyclones, there is a higher proportion of type C cyclones in the east Atlantic, whereas types A and C are equally frequent in the west Atlantic.
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A family of 16 isomolecular salts (3-XpyH)(2)[MX'(4)] (3-XpyH=3-halopyridinium; M=Co, Zn; X=(F), Cl, Br, (I); X'=Cl, Br, I) each containing rigid organic cations and tetrahedral halometallate anions has been prepared and characterized by X-ray single crystal and/or powder diffraction. Their crystal structures reflect the competition and cooperation between non-covalent interactions: N-H center dot center dot center dot X'-M hydrogen bonds, C-X center dot center dot center dot X'-M halogen bonds and pi-pi stacking. The latter are essentially unchanged in strength across the series, but both halogen bonds and hydrogen bonds are modified in strength upon changing the halogens involved. Changing the organic halogen (X) from F to I strengthens the C-X center dot center dot center dot X'-M halogen bonds, whereas an analogous change of the inorganic halogen (X') weakens both halogen bonds and N-H center dot center dot center dot X'-M hydrogen bonds. By so tuning the strength of the putative halogen bonds from repulsive to weak to moderately strong attractive interactions, the hierarchy of the interactions has been modified rationally leading to systematic changes in crystal packing. Three classes of crystal structure are obtained. In type A (C-F center dot center dot center dot X'-M) halogen bonds are absent. The structure is directed by N-H center dot center dot center dot X'-M hydrogen bonds and pi-stacking interactions. In type B structures, involving small organic halogens (X) and large inorganic halogens (X'), long (weak) C-X center dot center dot center dot X'-M interactions are observed with type I halogen-halogen interaction geometries (C-X center dot center dot center dot X' approximate to X center dot center dot center dot X'-M approximate to 155 degrees), but hydrogen bonds still dominate. Thus, minor but quite significant perturbations from the type A structure arise. In type C, involving larger organic halogens (X) and smaller inorganic halogens (X'), stronger halogen bonds are formed with a type II halogen-halogen interaction geometry (C-X center dot center dot center dot X' approximate to 180 degrees; X center dot center dot center dot X'-M approximate to 110 degrees) that is electrostatically attractive. The halogen bonds play a major role alongside hydrogen bonds in directing the type C structures, which as a result are quite different from type A and B.
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Rotational structure has been resolved and analyzed in two of the infrared‐active perpendicular bands of C2H4 vapor: the Type b fundamental band, ν10, at 826 cm—1, and the Type c fundamental band, ν7, at 949 cm—1. Many of the individual PP and RR branch lines have been observed. The analysis has been confined to values of the quantum number K≥3, for which energy levels ethylene shows no detectable deviations from a symmetric‐top rotational structure. The analysis reveals a Coriolis interaction between ν7 and ν10, and between ν4 and ν10, and values of the Coriolis constants ζ7,10z and ζ4,10y are obtained; these are related to normal coordinate calculations for the appropriate symmetry species, and force constants are derived to fit the observed zeta constants. The band center of ν10 has been revised from the original figure of 810 cm—1 to the new value, 826 cm—1, and the inactive frequency ν4 is estimated to lie at 1023±3 cm—1, in good agreement with the previous estimate of 1027 cm—1. The change in the value of ν10 leads to a suggested change in the value of the Raman‐active fundamental ν6 from 1236 to 1222 cm—1. New combination bands have been observed at 2174 cm—1, assigned as ν3+ν10; and at 2252 cm—1, assigned as ν4+ν6; also rotational structure has been resolved and analyzed in the ν6+ν10 band at 2048 cm—1. The new data obtained for the C2H4 molecule are summarized in Table XII, with all of the other data presently available on the vibrational and rotational constants.
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The microwave spectra of CHD2CN and CHD2NC have been measured from 18 to 40 GHz; about 20 type A and 30 type C transitions have been observed for each molecule. These have been fitted to a Hamiltonian using 3 rotational constants, and 5 quartic and 4 sextic distortion constants, in the IrS reduction of Watson [in “Vibrational spectra and structure” Vol. 6 (1977)]; the standard error of the fit is 26 kHz. For methyl cyanide the 5 quartic distortion constants have been used to further refine the recent harmonic force field of Duncan et al. [J. Mol. Spectrosc. 69, 123 (1978)], but the changes are small. Finally, for both molecules, the harmonic force field has been used to determine zero point average moments of inertia Iz from the ground state rotational constants for many isotopic species, and these have been used to determine an rz structure. The results are compared with rs structure calculations.