999 resultados para Neal, John, 1793-1876.
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Menée dans une approche d'histoire culturelle, cette thèse de doctorat prend pour objet un corpus de guides de voyage en Suisse entre la fin du XVIIIe et le début du XXe siècle. Centrée sur les guides, ces livres qui entretiennent plus que d'autres des liens étroits avec le monde physique, elle a deux grands axes. Le premier est une lecture interdisciplinaire des guides de voyage, qui mêle littérature, bibliographie matérielle, histoire et histoire de l'art. Elle a cherché à comprendre les raisons et logiques du genre, en s'attachant particulièrement à ses fonctions et à ses formes (tant structurelles que textuelles et iconographiques). Cette partie de l'étude est importante, car elle n'a encore jamais été menée. Elle s'articule en deux volets : un volet théorique qui s'intéresse à l'histoire et à la forme des guides de voyage ; et une étude de cas qui s'attache à la lecture plus rapprochée de 6 guides : ceux de Thomas Martyr (1788, 1790 & 1794), Heinrich August Ottokar Reichard (1793 & 1802) et Johann Gottfried Ebel (1793, 1805, 1810-11 & 1817-18) pour la fin du XVIIIe siècle et le tournant du XIXe, et ceux de John Murray (1838 & 1886), Adolphe Joanne (1841, 1865, 1874, 1882 & 1908) et Karl Baedeker (1844, 1852, 1859, 1869, 1876, 1883, 1893, 1901 & 1913) pour le XIXe et la Belle Epoque. Le second axe de cette recherche est une réflexion sur les manières de mettre en scène l'espace dans un texte. En étudiant les itinéraires de voyage en Suisse (mais jusqu'au début du XXe siècle, « la Suisse »est pour les guides de voyage indifféremment un pays et une région supranationale : «les Alpes »), quatre types de mises en forme ont pu être identifiés : le voyage en boucle (linéaire, il part d'un point A pour y revenir), le voyage en marguerite (linéaire avec excursions), le voyage éclaté de l'ordre alphabétique, et enfin le voyage par «routes », fragments d'espace que l'on combine comme les pièces d'un puzzle, créant son chemin au fur et à mesure de sa progression. Ce faisant, on peut affirmer que les guides de voyage modernes (dont la forme se fixe dans les années 1830-1840 avec les premiers Murray, Baedeker et Joanne) se sont construits -malgré tout ce que l'on a pu dire sur la normativité prescriptive du tourisme -autour d'une liberté de plus en plus grande accordée aux voyageurs. Chacune de ces formes et chacun de ces types ayant une histoire et des conditions de possibilités, c'est en s'appuyant sur celles-ci que l'on peut mieux comprendre non seulement l'évolution du voyage et de ses pratiques, mais aussi la constitution de la forme littéraire qui l'a accompagné et permis. Ce faisant, des jalons pour une histoire culturelle du tourisme ont aussi été posés, histoire culturelle que j'appelle maintenant de mes voeux : il est quand même surprenant que, dans le pays de tourisme qu'est la Suisse, quand on s'est jusqu'à présent attaché à l'histoire du tourisme, on n'ait parlé qu'économie, société, infrastructures, loisirs ou santé, voire, plus récemment, écologie et bien-être. Redonner son creuset culturel à ce phénomène, c'est aussi retrouver une part du nôtre, car ces mémoires s'entremêlent indissociablement.
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Edward W. Bowslaugh (1843-1923) was the son of Jacob and Anna (Beamer) Bowslaugh. Edward Bowslaugh married Mary Southward, and the couple had six children, Edgar Morley, Edward Freeman, twins Alfred Malcolm and Alice Mary, Annie Olivia, John Jacob and Mabel Florence. Edward W. Bowslaugh was a farmer, contractor and owner of the Grimsby Planing Mills in Grimsby, Ont. and Bowslaugh’s Planing Mill in Kingsville, Ont. The mills manufactured door and sash trim and other wood related products. Some customers contracted the firm to provide wood products for cottages being built at Grimsby Park, the Methodist camp ground. Some time before 1885 Edward Bowslaugh and his family moved to Kingsville, Ont. to open up a new planing mill and door and sash manufactory. He later sold the Grimsby Planing Mills to Daniel Marsh. The diaries and account books include many names of workers as well as friends and family members residing in the Grimsby and Kingsville areas. James M. Bowslaugh (1841-1882) was the son of Jacob and Anna (Beamer) Bowslaugh. James married first Anna Catharine Merritt and after her death in 1875 he married Mary Gee in 1877. James and Anna had three children, Eliza, James Herbert, George Hiram, all died very young. James and Mary Gee had one son, Charles Leopold Kenneth Frederich Bowslaugh, b. 1881. James Bowslaugh was a farmer and lumberman, much like his younger brother Edward. James’ early diaries often note the activities of himself and his brother Edward. Both Edward and James were heavily involved in the Methodist church, teaching or leading Sunday school and attending prayer meetings. Alfred M. Bowslaugh b. 1873 was the son of Edward W. Bowslaugh and his wife Mary Southward. The school notebook is from his days as a student in Kingsville, Ont.
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Receipt from John Brown, contractor of Thorold, Ontario for cement, Aug. 8, 1876.
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Our first Public Service To Agriculture Award this evening will be presented posthumously to Neal E. Harlan who gained recognition throughout Nebraska and the Midwest in grain merchandising combined with a lifelong interest in the progress of agriculture through education and research.
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Handwritten order to John Sale to pay scholarship funds to Nathan Stone for use by his son, signed by John Clarke, David Tilden, and James Morrill. A receipt dated February 6, 1794 is attached to the document.