Letter from John Avery to Cotton Tufts, 1790 April 9

A handwritten invitation from John Avery to Cotton Tufts for a meeting of the Harvard Board of Overseers' "Committee to enquire into the state of the College" on April 13, 1790.

Memorial addresses on the death of Gov. John W. Geary /

"Printed by order of the Senate and House of Representatives."

Poems by the late John Williams,

Mode of access: Internet.

The British Tunicata;

Mode of access: Internet.

Moderne Geister. Literarische Bildnisse aus dem neunzehnten Jahrhundert.

Paul Heyse.--Max Klinger.--Ernest Renan.--Gustave Flaubert.--Edmond und Jules de Goncourt.--Iwan Turgenjew.--John Stuart Mill.--Hans Christian Andersen.--Esaias Tegnér.--Björnstjerne Björnson.--Henrik Ibsen.

Memoir of the late John Osgood Stone, M.D.,

Mode of access: Internet.

Reflections and comments, 1865-1895,

"The articles in this volume have appeared in the Nation during the last thirty years."

The works of Sir Henry Taylor.

Vol. 3-5 have imprint: London, C. K. Paul & co., 1878.

Critical miscellanies,

Vol. 4 reprinted from the Times and Nineteenth century and has imprint: New York, The Macmillan company, 1908.

Boston Theatre. ... Farewell benefit of Miss Agnes Robertson ... This, Friday evening March 27, 1857, will be performed the beautiful comedy, in 2 acts, by A. Harris, entitled The little treasure! ... After which, 1st time at this theatre, a new Protean burletta, written expressly for Miss Agnes Robertson, by Dion Boucicault, called The chameleon ...

Playbill for the production of A little treasure by A. Harris and The chameleon by Dion Boucicault, at Boston Theatre, March 27th, 1857.

The case of John C. Watrous, United States judge for Texas; a political story of high crimes and misdemeanors.

Bibliographical references included in "Notes" (p. [89]-103)

Critical miscellanies,

Vol. 4, reprinted from the Times and Nineteenth century, has imprint: New York, The Macmillan company, 1908.

La démocratie et ses institutions : comment les institutions perçoivent et transforment les questions de politiques publiques

Cette thèse porte sur les fondements philosophiques des institutions démocratiques canadiennes et analyse comment leur conception réelle contribue à les atteindre. Pour passer de la théorie à la pratique, la démocratie doit être institutionnalisée. Les institutions ne sont pas que de simples contraintes sur les actions du gouvernement. Elles incarnent des normes démocratiques. Cependant, les théories démocratiques contemporaines sont souvent abstraites et désincarnées. Alors qu’elles étudient les fondements normatifs de la démocratie en général, elles réfléchissent rarement sur les mécanismes permettant d’atteindre l’idéal démocratique. À l’inverse, la science politique tente de tracer l’ensemble du paysage institutionnel entourant l’action de l’État. Mais l’approche de la science politique a une faiblesse majeure : elle n’offre aucune justification épistémologique ou morale des institutions démocratiques. Cette dichotomie entre les principes et les institutions est trompeuse. Les principes de la démocratie libérale sont incarnés par les institutions. En se concentrant sur les fondements philosophiques des institutions démocratiques et libérales, cette thèse fait revivre une longue tradition d’Aristote à John Stuart Mill et réunissant des penseurs comme Montesquieu et James Madison. Actuellement, la recherche universitaire se détourne encore des questions institutionnelles, sous prétexte qu’elles ne seraient pas assez philosophiques. Cependant, le design institutionnel est une question philosophique. Cette thèse propose des améliorations pour que les institutions démocratiques remplissent leur rôle philosophique de manière plus adéquate. Le suicide médicalement assisté est utilisé comme un exemple de l’influence des institutions sur la démocratie.

La démocratie et ses institutions : comment les institutions perçoivent et transforment les questions de politiques publiques

Cette thèse porte sur les fondements philosophiques des institutions démocratiques canadiennes et analyse comment leur conception réelle contribue à les atteindre. Pour passer de la théorie à la pratique, la démocratie doit être institutionnalisée. Les institutions ne sont pas que de simples contraintes sur les actions du gouvernement. Elles incarnent des normes démocratiques. Cependant, les théories démocratiques contemporaines sont souvent abstraites et désincarnées. Alors qu’elles étudient les fondements normatifs de la démocratie en général, elles réfléchissent rarement sur les mécanismes permettant d’atteindre l’idéal démocratique. À l’inverse, la science politique tente de tracer l’ensemble du paysage institutionnel entourant l’action de l’État. Mais l’approche de la science politique a une faiblesse majeure : elle n’offre aucune justification épistémologique ou morale des institutions démocratiques. Cette dichotomie entre les principes et les institutions est trompeuse. Les principes de la démocratie libérale sont incarnés par les institutions. En se concentrant sur les fondements philosophiques des institutions démocratiques et libérales, cette thèse fait revivre une longue tradition d’Aristote à John Stuart Mill et réunissant des penseurs comme Montesquieu et James Madison. Actuellement, la recherche universitaire se détourne encore des questions institutionnelles, sous prétexte qu’elles ne seraient pas assez philosophiques. Cependant, le design institutionnel est une question philosophique. Cette thèse propose des améliorations pour que les institutions démocratiques remplissent leur rôle philosophique de manière plus adéquate. Le suicide médicalement assisté est utilisé comme un exemple de l’influence des institutions sur la démocratie.

CAPÍTULO I: CAPITALISMO, DEMOCRACIA Y DESARROLLO: ENTRE EL REALISMO Y LA UTOPÍA

Adam Smith se maravilló con los resultados de la división del trabajo y del cambio desarrollado en una economía de mercado (el mecanismo de la “mano invisible”); pero llamó la atención sobre los límites a largo plazo del proceso capitalista de acumulación, que parecía imponer una tendencia a la baja de las ganancias.David Ricardo fue un firme defensor del libre comercio y propuso la teoría de las “ventajas comparativas”, pero avanzó el descubrimiento del fundamento económico de la lucha de clases, que él ubicó en la pugna distributiva por el “producto neto” y en la ley de los rendimientos decrecientes.John Stuart Mill realizó una síntesis sincrética de la Escuela clásica inglesa y del desarrollo capitalista hasta mediados del siglo XIX, pero incorporó en su marco conceptual la contradicción entre la producción y la distribución (la eficiencia y la equidad), y adelantó la teoría del “estado estacionario”.Karl Marx reconoció e incluso elogió, la “misión histórica civilizadora” del capitalismo y el gigantesco desarrollo de las fuerzas productivas que el mismo ha hecho posible, pero dedicó gran parte de su vida a demostrar científicamente los efectos autodestructivos sobre el ser humano y sobre la naturaleza que el capitalismo conlleva en sus entrañas.