999 resultados para Linguistic usage


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Résumé Objectifs : Le but de ce travail est, dans un premier temps, de mettre en évidence les mécanismes qui gouvernent les rivalités d'usage concernant la ressource paysage, afin, dans un deuxième temps, de comprendre comment se résolvent ces différends. Il part du postulat central que l'existence de rivalités d'usage non apaisées nuit à la durabilité de la ressource. Trois types d'acteurs gravitant autour de la ressource paysage doivent être distingués -Les observateurs du paysage sont ceux qui utilisent directement les services fournis par la ressource (p. ex. les touristes « écologiques », les randonneurs, les amoureux de la nature ; dans les conflits, ils peuvent être représentés par les organisations de protection du paysage) ; -Les fournisseurs du paysage servent d'intermédiaires entre le paysage et les observa¬teurs ; ils utilisent le paysage pour attirer des clients ; ils monnayent l'accès au paysage (billet de transport, hôtels, restaurant panoramique) ; ils vendent des représentations du paysage ; -Les utilisateurs des ressources « primaires » (sol, eau, forêt...) ne se préoccupent pas de paysage : ils entretiennent une configuration particulière de ressources primaires qui fait naître chez l'observateur le sentiment qu'il contemple un paysage. Ces catégories analytiques ne sont pas hermétiques, car un même acteur peut se trouver dans plusieurs catégories à la fois. Cadre d'analyse : Sur la base de la typologie des acteurs présentée, il est possible de mettre en évidence six types de rivalités théoriques, chacune opposant entre eux des observateurs, fournisseurs et utilisateurs de ressources primaires. Dans une situation de rivalité, les différents acteurs mobilisent les droits qu'ils ont à disposition pour défendre leurs intérêts. Le cadre d'analyse des régimes institutionnels de ressources naturelles (RIRN) est utilisé afin de mettre en évi¬dence ces droits. Il permet de faire la différence entre le système régulatif de la ressource, qui fait référence aux phénomènes d'appropriation (à défaut de propriété, car le paysage n'entre pas facilement dans les canons définis par le code civil), et les politiques publiques, qui ré¬glementent ces phénomènes d'appropriation. Le cadre des RIRN a la prétention de tisser un lien entre l'économie institutionnelle des ressources naturelles, préoccupée avant tout par la question des droits sur les ressources, et une approche plus politologique, dont les politi¬ques publiques constituent l'objet d'étude. Résultats : Dans le contexte de trois études de cas (le val Baltschieder, la région d'Aletsch et le parc naturel régional de Chartreuse), les conflits paysagers ont été mis en évidence. Les acteurs en présence ont été identifiés, de même que les droits dont ils disposent pour protéger leurs intérêts. Ce travail a démontré que les rivalités entre observateurs (p. ex. surdensité de visi¬teurs), ainsi que celles entre observateurs et utilisateurs de ressources primaires ne trouvent pas de solution sans l'intervention d'une structure de gestion paysagère particulière. Cette dernière peut prendre différentes formes qui doivent toutefois respecter un certain nombre de critères développés dans le travail. Dans le contexte des études de cas, différents modèles d'organisation susceptibles de jouer ce rôle ont été mis en évidence. De telles organisations collectives constituent une des clés pour une gestion durable de la ressource paysage.

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Background: The exploratory study is part of an evaluation of the pre-graduate teaching of communication skills (Lausanne Medical School). It is based on the data of a project highlighting the impact of individualized vs. group training for medicine students in breaking bad news to simulated patients who are diagnosed with cancer. The analysis of the video-taped interviews of the students (N=63) with the RIAS has shown a current usage of utterances such as I don't know if -you have any plans for the future / you have already heard about chemotherapy / ... or I don't know how -you are feeling today after this surgery / you like that all this stuff takes place / ...Aim: The present study questions the specificity of these assertive utterances used as questions (indirect), the specificity of their content, and their intentionality - specific vs. exploratory.Methods: The mentioned utterances are qualitatively analyzed (content analysis, intentionality analysis, etc).Results: 26 students (41%) used 1 to 6 times I don't know utterances during the interviews that contain 53 of such utterances in total. In contrast, they are atypical in an oncologist sample who conducted similar interviews (N=31; 4 oncologist used them 1 to 2 times). In more than half of the cases (29/53), simulated patients interpret I don't know questions as giving them a space to speak (open responses). Conclusions: The atypicality of the I don't know utterances in the oncologist sample may have linguistic explanations in terms of generational marker, but the specificity of the content suggests psychological explanations in terms of defense mechanism as well (marker of "toning down" or insecurity as regards the discussed topic).Keywords: Breaking bad news, communication skills, oncology, pre-graduate medical education, indirect questioning

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Background: Although combination antiretroviral therapy (cART) dramatically reduces rates of AIDS and death, a minority of patients experience clinical disease progression during treatment. <p>Objective: To investigate whether detection of CXCR4(X4)-specific strains or quantification of X4-specific HIV-1 load predict clinical outcome. Methods: From the Swiss HIV Cohort Study, 96 participants who initiated cART yet subsequently progressed to AIDS or death were compared with 84 contemporaneous, treated nonprogressors. A sensitive heteroduplex tracking assay was developed to quantify plasma X4 and CCR5 variants and resolve HIV-1 load into coreceptor-specific components. Measurements were analyzed as cofactors of progression in multivariable Cox models adjusted for concurrent CD4 cell count and total viral load, applying inverse probability weights to adjust for sampling bias. Results: Patients with X4 variants at baseline displayed reduced CD4 cell responses compared with those without X4 strains (40 versus 82 cells/mu l; P= 0.012). The adjusted multivariable hazard ratio (HR) for clinical progression was 4.8 [95% confidence interval (Cl) 2.3-10.0] for those demonstrating X4 strains at baseline. The X4-specific HIV-1 load was a similarly independent predictor, with HR values of 3.7(95%Cl, 1.2-11.3) and 5.9 (95% Cl, 2.2-15.0) for baseline loads of 2.2-4.3 and > 4.3 log(10)copies/ml, respectively, compared with < 2.2 log(10)copies/ml. Conclusions: HIV-1 coreceptor usage and X4-specific viral loads strongly predicted disease progression during cART, independent of and in addition to CD4 cell count or total viral load. Detection and quantification of X4 strains promise to be clinically useful biomarkers to guide patient management and study HIV-1 pathogenesis.