812 resultados para Islet amyloid
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Chronic intake of saturated free fatty acids is associated with diabetes and may contribute to the impairment of functional beta cell mass. Mitogen activated protein kinase 8 interacting protein 1 also called islet brain 1 (IB1) is a candidate gene for diabetes that is required for beta cell survival and glucose-induced insulin secretion (GSIS). In this study we investigated whether IB1 expression is required for preserving beta cell survival and function in response to palmitate. Chronic exposure of MIN6 and isolated rat islets cells to palmitate led to reduction of the IB1 mRNA and protein content. Diminution of IB1 mRNA and protein level relied on the inducible cAMP early repressor activity and proteasome-mediated degradation, respectively. Suppression of IB1 level mimicked the harmful effects of palmitate on the beta cell survival and GSIS. Conversely, ectopic expression of IB1 counteracted the deleterious effects of palmitate on the beta cell survival and insulin secretion. These findings highlight the importance in preserving the IB1 content for protecting beta cell against lipotoxicity in diabetes.
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The endocrine pancreas of the rock bass (Ambloplites rupestris) was examined by light and electron microscopy. Two cell types with staining properties similar to mammalian A and B cells, and a third, non-staining cell type were found in the spherical pancreatic islets that were surrounded by a connective tissue capsule and embedded in two small masses of exocrine tissue. From an analysis of the ultrastructure of the A and B cells, a secretory cycle for each of these cell types was proposed. The secretory cycle of the A cell consisted of three well defined stages: (1) A cell production stage: during which A granule formation occurred in the sacs of the Golgi apparatus and the cell was characterized by the presence of numerous secretory granules, some elements of lamellar endoplasmic reticulum, and a homogeneously granular nucleus. The cytoplasm contained few distended cisternae, variable numbers of free ribosomes, microtubules and small vesicles. (2) A cell release stage: during which the release of A granules occurred and the cell usually contained several large distended cisternae and variable numbers of secretory granules. Granule release mechanisms included exocytosis, by which individual granules were released into the extracellular space after their membranes fused with the plasmalemma, and emiocytosis, by which one or more granules were released into a large cisterna whose membrane fused with the plasmalemma and formed a pore through which the cisternal contents passed out of the cell. (3) A cell reorganization stage: during which the changeover from the release stage to the production stage occurred and the reorganization of organelles and membrane structures took place. The cell contained few secretory granules and numerous small endoplasmic reticular cisternae. The cytoplasm exhibited less electron density than either of the other two stages. The A granule after formation underwent a series of morphological changes which were described in four numerically identified phases. The secretory cycle of the B cell consisred of two stages: (1) B cell production stage: during which the B granule formation occurred in the sacs of the Go1gi apparatus. The cell was characterized by an irregular outline, the presence of numerous secretory granules, and an irregularly shaped nucleus which contained variable amounts of clumped chromatin. The cytoplasm contained moderate amounts of lamellar endoplasmic reticulum studded with ribosomes, several small vesicles, and an active Go1gi apparatus. (2) B cell release stage: during which the release of B granules occurred. The cell contained a rounded nucleus with dispersed chromatin, several distended endoplasmic reticular cisternae and a variable number of secretory granules. Granule release occu~ by emiocytosis and exocytosis similar to that found for the A cell.
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Drak2 est un membre de la famille des protéines associées à la mort et c’est une sérine/thréonine kinase. Chez les souris mutantes nulles Drak2, les cellules T ne présentent aucune défectuosité apparente en apoptose induite par activation, après stimulation avec anti-CD3 et anti-CD28, mais ont un seuil de stimulation réduit, comparées aux cellules T de type sauvage (TS). Dans notre étude, l’analyse d’hybridation in situ a révélé que l’expression de Drak2 est ubiquiste au stade de la mi-gestation chez les embryons, suivie d’une expression plus focale dans les divers organes pendant la période périnatale et l’âge adulte, notamment dans le thymus, la rate, les ganglions lymphatiques, le cervelet, les noyaux suprachiasmatiques, la glande pituitaire, les lobes olfactifs, la médullaire surrénale, l’estomac, la peau et les testicules. Nous avons créé des souris transgéniques (Tg) Drak2 en utilisant le promoteur humain beta-actine. Ces souris Tg montraient des ratios normaux entre cellules T versus B et entre cellules CD4 versus CD8, mais leur cellularité et leur poids spléniques étaient inférieurs comparé aux souris de type sauvage. Après activation TCR, la réponse proliférative des cellules T Tg Drak2 était normale, même si leur production d’interleukine (IL)-2 et IL-4 mais non d’interféron-r était augmentée. Les cellules T Tg Drak2 activées ont démontré une apoptose significativement accrue en présence d’IL-2 exogène. Au niveau moléculaire, les cellules T Tg Drak2 ont manifesté une augmentation moins élevée des facteurs anti-apoptotiques durant l’activation; un tel changement a probablement rendu les cellules vulnérables aux attaques subséquentes d’IL-2. L’apoptose compromise dans les cellulesT Tg Drak2 a été associée à un nombre réduit de cellules T ayant le phénotype des cellules mémoires (CD62Llo) et avec des réactions secondaires réprimées des cellules T dans l’hypersensibilité de type différé. Ces résultats démontrent que Drak2 s’exprime dans le compartiment des cellules T mais n’est pas spécifique aux cellules T; et aussi qu’il joue des rôles déterminants dans l’apoptose des cellules T et dans le développement des cellules mémoires T. En outre, nous avons recherché le rôle de Drak2 dans la survie des cellules beta et le diabète. L’ARNm et la protéine Drak2 ont été rapidement induits dans les cellules beta de l’îlot après stimulation exogène par les cytokines inflammatoires ou les acides gras libres et qui est présente de façon endogène dans le diabète, qu’il soit de type 1 ou de type 2. La régulation positive de Drak2 a été accompagnée d’une apoptose accrue des cellules beta. L’apoptose des cellules beta provoquée par les stimuli en question a été inhibée par la chute de Drak2 en utilisant petit ARNi. Inversement, la surexpression de Drak2 Tg a mené à l’apoptose aggravée des cellules beta déclenchée par les stimuli. La surexpression de Drak2 dans les îlots a compromis l’augmentation des facteurs anti-apoptotiques, tels que Bcl-2, Bcl-xL et Flip, sur stimulation par la cytokine et les acides gras libres. De plus, les expériences in vivo ont démontré que les souris Tg Drak2 étaient sujettes au diabète de type 1 dans un modèle de diabète provoqué par de petites doses multiples de streptozotocine et qu’elles étaient aussi sujettes au diabète de type 2 dans un modèle d’obésité induite par la diète. Nos données montrent que Drak2 est défavorable à la survie des cellules beta. Nous avons aussi étudié la voie de transmission de Drak2. Nous avons trouvé que Drak2 purifiée pouvait phosphoryler p70S6 kinase dans une analyse kinase in vitro. Lasurexpression de Drak2 dans les cellules NIT-1 a entraîné l’augmentation de la phosphorylasation p70S6 kinase tandis que l’abaissement de Drak2 dans ces cellules a réduit la phosphorylation. Ces recherches mécanistes ont prouvé que p70S6 kinase était véritablement un substrat de Drak2 in vitro et in vivo. Cette étude a découvert les fonctions importantes de Drak2 dans l’homéostasie des cellules T et le diabète. Nous avons prouvé que p70S6 kinase était un substrat de Drak2. Nos résultats ont approfondi nos connaissances de Drak2 à l’intérieur des systèmes immunitaire et endocrinien. Certaines de nos conclusions, comme les rôles de Drak2 dans le développement des cellules mémoires T et la survie des cellules beta pourraient être explorées pour des applications cliniques dans les domaines de la transplantation et du diabète.
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Le récepteur DcR3 (Decoy receptor 3) est un membre de la famille des récepteurs aux facteurs de nécrose tumorale (TNF). Il est fortement exprimé dans les tissus humains normaux ainsi que les tumeurs malignes. DcR3 est un récepteur pour trois ligands de la famille du TNF tels que FasL, LIGHT et TL1A. Étant une protéine soluble donc dépourvue de la portion transmembranaire et intracytoplasmique, le récepteur DcR3 est incapable d’effectuer une transduction de signal intracellulaire à la suite de son interaction avec ses ligands. De ce fait, DcR3 joue un rôle de compétiteur pour ces derniers, afin d’inhiber la signalisation via leurs récepteurs fonctionnels tels que Fas, HVEM/LTbetaR et DR3. Lors de nos précédentes études, nous avons pu démontrer, que DcR3 pouvaist moduler la fonction des cellules immunitaires, et aussi protéger la viabilité des îlots de Langerhans. À la suite de ces résultats, nous avons généré des souris DcR3 transgéniques (Tg) en utilisant le promoteur du gène β-actine humaine afin d’étudier plus amplement la fonction de ce récepteur. Les souris Tg DcR3 ont finalement développé le syndrome lupus-like (SLE) seulement après l’âge de 6 mois. Ces souris présentent une variété d'auto-anticorps comprenant des anticorps anti-noyaux et anti-ADN. Elles ont également manifesté des lésions rénales, cutanées, hépatiques et hématopoïétiques. Contrairement aux modèles de lupus murin lpr et gld, les souris DcR3 sont plus proche du SLE humain en terme de réponse immunitaire de type Th2 et de production d'anticorps d'anti-Sm. En péus, nous avons constaté que les cellules hématopoïétiques produisant DcR3 sont suffisantes pour causer ces pathologies. DcR3 peut agir en perturbant l’homéostasie des cellules T pour interférer avec la tolérance périphérique, et ainsi induire l'autoimmunité. Chez l'humain, nous avons détecté dans le sérum de patients SLE des niveaux élevés de la protéine DcR3. Chez certains patients, comme chez la souris, ces niveaux sont liés directement aux titres élevés d’IgE. Par conséquent, DcR3 peut représenter un facteur pathogénique important du SLE humain. L’étude des souris Tg DcR3, nous a permis aussi d’élucider le mécanisme de protection des îlots de Langerhans. Le blocage de la signalisation des ligands LIGHT et TL1A par DcR3 est impliqué dans une telle protection. D'ailleurs, nous avons identifié par ARN microarray quelques molécules en aval de cette interaction, qui peuvent jouer un rôle dans le mécanisme d’action. Nous avons par la suite confirmé que Adcyap1 et Bank1 joue un rôle critique dans la protection des îlots de Langerhans médiée par DcR3. Notre étude a ainsi élucidé le lien qui existe entre la signalisation apoptotique médiée par Fas/FasL et la pathogénèse du SLE humain. Donc, malgré l’absence de mutations génétiques sur Fas et FasL dans le cas de cette pathologie, DcR3 est capable de beoquer cette signalisation et provoquer le SLE chez l’humain. Ainsi, DcR3 peut simultanément interférer avec la signalisation des ligands LIGHT et TL1A et causer un phénotype plus complexe que les phénotypes résultant de la mutation de Fas ou de FasL chez certains patients. DcR3 peut également être utilisé comme paramètre diagnostique potentiel pour le SLE. Les découvertes du mécanisme de protection des îlots de Langerhans par DcR3 ouvrent la porte vers de nouveaux horizons afin d'explorer de nouvelles cibles thérapeutiques pour protéger la greffe d'îlots.
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Four terminally blocked tripeptides containing delta-aminovaleric acid residue self-assemble to form supramolecular beta-sheet structures as are revealed from their FT-IR data. Single crystal X-ray diffraction studies of two representative peptides also show that they form parallel beta-sheet structures. Self-aggregation of these beta-sheet forming peptides leads to the formation of fibrillar structures, as is evident from scanning electron microscopic (SEM) and transmission electron microscopic (TEM) images. These peptide fibrils bind to a physiological dye, Congo red and exhibit a typical green-gold birefringence under polarized light, showing close resemblance to neurodegenerative disease causing amyloid fibrils. (c) 2005 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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The crystal structure of a terminally protected tripeptide Boc-Leu-Aib-beta-Ala-OMe 1 containing non-coded amino acids reveals that it adopts a beta-turn structure, which sell-assembles to form a supramolecular beta-sheet via non-covalent interactions. The SEM image of peptide 1 exhibits amyloid-like fibrillar morphology in the solid state. (C) 2002 Elsevier Science Ltd. All rights reserved.
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Single crystal X-ray diffraction studies of a terminally blocked tripeptide Boc-Leu(1)-Aib(2)-Leu(3)-OMe 1 demonstrates that it adopts a bend structure without any intramolecular hydrogen bond. Peptide 1 self-assembles to form a supramolecular antiparallel beta-sheet structure by various non-covalent interactions including intermolecular hydrogen bonds in the crystal and it exhibits amyloid-like fibrillar morphology in the solid state. (C) 2003 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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FT-IR data of six terminally blocked tripeptides containing Acp (epsilon-aminocaproic acid) reveals that all of them form supramolecular beta-sheets in the solid state. Single crystal X-ray diffraction studies of two peptides not only support this data but also disclose the fact that the supramolecular beta-sheet formation is initiated via dimer formation. The Scanning Electron Microscopic images of all peptides exhibit amyloid-like fibrils that show green birefringence after binding with Congo red, which is a characteristic feature of many neurodegenerative disease causing amyloid fibrils. (C) 2004 Elsevier Ltd. All rights reserved.
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The self-assembly in films dried from aqueous solutions of a modified amyloid beta peptide fragment is studied. We focus on sequence A beta(16-20), KLVFF, extended by two alanines at the N-terminus to give AAKLVFF. Self-assembly into twisted ribbon fibrils is observed, as confirmed by transmission electron microscopy (TEM). Dynamic light scattering reveals the semi-flexible nature of the AAKLVFF fibrils, while polarized optical microscopy shows that the peptide fibrils crystallize after an aqueous solution of AAKLVFF is matured over 5 days. The secondary structure of the fibrils is studied by FT-IR, circular dichroism and X-ray diffraction (XRD), which provide evidence for beta-sheet structure in the fibril. From high resolution TEM it is concluded that the average width of an AAKLVFF fibril is (63 +/- 18) nm, indicating that these fibrils comprise beta-sheets with multiple repeats of the unit cell, determined by XRD to have b and c dimensions 1.9 and 4.4 nm with an a axis 0.96 nm, corresponding to twice the peptide backbone spacing in the antiparallel beta-sheet. (C) 2008 Elsevier B.V. All rights reserved.
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The solvent-induced transition between self-assembled structures formed by the peptide AAKLVFF is studied via electron microscopy, light scattering, and spectroscopic techniques. The peptide is based on a core fragment of the amyloid beta-peptide, KLVFF, extended by two alanine residues. AAKLVFF exhibits distinct structures of twisted fibrils in water or nanotubes in methanol. For intermediate water/methanol compositions, these structures are disrupted and replaced by wide filamentous tapes that appear to be lateral aggregates of thin protofilaments. The orientation of the beta-strands in the twisted tapes or nanotubes can be deduced from X-ray diffraction on aligned stalks, as well as FT-IR experiments in transmission compared to attenuated total reflection. Strands are aligned perpendicular to the axis of the twisted fibrils or the nanotubes. The results are interpreted in light of recent results on the effect of competitive hydrogen bonding upon self-assembly in soft materials in water/methanol mixtures.
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The terminally protected tripeptide Boc-Ala(1)-Leu(2)-Ala(3)-OMe 1 forms antiparallel hydrogen-bonded dimers of two different conformers in the asymmetric unit and the individual dimers then self-associate to form supramolecular beta-sheet structures in crystals and amyloid-like fibrils in the solid state.
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The role of the disulfide bond in amyloid-like fibrillogenesis in a model peptide system Apurba Kumar Das,(a) Michael G. B. Drew,(b) Debasish Haldar(a) and Arindam Banerjee*(a) (a)Department of Biological Chemistry, Indian Association for the Cultivation of Science, Jadavpur, Kolkata 700 032, India. E-mail: bcab@mahendra.iacs.res.in; Fax: +91-33-2473-2805 b School of Chemistry, The University of Reading, Whiteknights, Reading, UK RG6 6AD Received 28th June 2005, Accepted 20th July 2005 First published as an Advance Article on the web 11th August 2005