825 resultados para International Cooperation


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Microfilm.

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"The essays that constitute this volume were written at the suggestion of the Council for the Study of International Relations." - Pref.

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The International Cooperation Agency (identified in this article as IDEA) working in Colombia is one of the most important in Colombian society with programs that support gender rights, human rights, justice and peace, scholarships, aboriginal population, youth, afro descendants population, economic development in communities, and environmental development. The identified problem is based on the diversified offer of services, collaboration and social intervention which requires diverse groups of people with multiple agendas, ways to support their mandates, disciplines, and professional competences. Knowledge creation and the growth and sustainability of the organization can be in danger because of a silo culture and the resulting reduced leverage of the separate group capabilities. Organizational memory is generally formed by the tacit knowledge of the organization members, given the value of accumulated experience that this kind of social work implies. Its loss is therefore a strategic and operational risk when most problem interventions rely on direct work in the socio-economic field and living real experiences with communities. The knowledge management solution presented in this article starts first, with the identification of the people and groups concerned and the creation of a knowledge map as a means to strengthen the ties between organizational members; second, by introducing a content management system designed to support the documentation process and knowledge sharing process; and third, introducing a methodology for the adaptation of a Balanced Scorecard based on the knowledge management processes. These three main steps lead to a knowledge management “solution” that has been implemented in the organization, comprising three components: a knowledge management system, training support and promotion of cultural change.

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This thesis examines relations between the French Confederation Generale du Travail (CGT) and the labour movements of other countries in the years leading up to the First World War. The aim of the study is to examine the CGT's policy of internationalism in practice, both in relations with other labour movements and in its membership of the International Secretariat of National Trade Union Centres (between 1900 and 1914). In particular, the relationship between the French and German labour movements is explored in the light of the events of August 1914. This study shows that the relationship was a reflection of the respective positions of the French and German labour movements in the international movement. It also subjects to close scrutiny the assumption, widely made before 1914, that workers had more in common with each other than with the ruling classes of their own country, by analysing the extent of, and the reasons for internationalism and international cooperation in the labour movement. As a study of the International Secretariat of National Trade Union Centres, an organisation about which very little has previously been written, this thesis complements existing work on the international labour movement prior to 1914. It also provides new insights into the French CGT by concentrating on the fundamental areas of internationalism and opposition to war, and offers fresh contributions to the continuing debate on the international labour movement and its response to the outbreak of war.

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Le principe de coopération est considéré depuis longtemps comme l’une des pierres angulaires du droit international, toutefois, l’existence d’une obligation de coopérer en droit international reste encore controversée. Les ressources en eau, à cause de leur fluidité et de leurs multiples usages, démontrent toujours l’interdépendance humaine. En matière de cours d’eau transfrontaliers, la Convention de New York inclut explicitement dans son texte l’obligation générale de coopérer comme l’un de ses trois principes fondamentaux. Il nous incombe alors de voir quelle obligation de coopérer les États souverains s’imposent dans leurs pratiques ? Pour répondre à cette question, nous procédons tout d’abord à une étude positiviste du contenu normatif de l’obligation de coopérer. Nous constatons que l’incorporation de la notion de l’obligation de coopérer dans le principe de la souveraineté est une tendance manifeste du droit international qui a évolué du droit de coexistence composé principalement des règles d’abstention, au droit de coopération qui comporte essentiellement des obligations positives de facere, dont la plus représentative est l’obligation de coopérer. Néanmoins, il n’existe pas de modèle unique d’application pour tous les États, chaque bassin disposant de son propre régime coopératif. Pour mesurer l’ampleur des régimes coopératifs, nous étudions cinq paramètres : le champ d’application, les règles substantielles, les règles procédurales, les arrangements institutionnels et le règlement des différends. Quatres modèles de coopération ressortent : le mécanisme consultatif (l’Indus), le mécanisme communicateur (le Mékong), le mécanisme de coordination (le Rhin) et le mécanisme d’action conjointe (le fleuve Sénégal). Pour ce qui est de la Chine, il s’agit de l’État d’amont en voie de développement le plus important dans le monde qui a longtemps été critiqué pour son approche unilatérale dans le développement des eaux transfrontières. Nous ne pouvons pas cependant passer sous silence les pratiques de coopération qu’elle a développées avec ses voisins. Quelle est son interprétation de cette obligation générale de coopérer ? Notre étude des pratiques de la Chine nous aide, en prenant du recul, à mieux comprendre tous les aspects de cette obligation de coopérer en droit international. Afin d’expliquer les raisons qui se cachent derrière son choix de mode de coopération, nous introduisons une analyse constructiviste qui est plus explicative que descriptive. Nous soutenons que ce sont les identités de la Chine qui ont déterminé son choix de coopération en matière de cours d’eau transfrontaliers. Notre étude en vient à la conclusion que même s’il y a des règles généralement reconnues, l’obligation de coopérer reste une règle émergente en droit international coutumier. Ses modes d’application sont en réalité une construction sociale qui évolue et qui peut varier énormément selon les facteurs culturels, historiques ou économiques des États riverains, en d’autres mots, selon les identités de ces États. La Chine est un État d’amont en voie de développement qui continue à insister sur le principe de la souveraineté. Par conséquent, elle opte pour son propre mécanisme consultatif de coopération pour l’utilisation des ressources en eau transfrontalières. Néanmoins, avec l’évolution de ses identités en tant que superpuissance émergente, nous pouvons probablement espérer qu’au lieu de rechercher un pouvoir hégémonique et d’appliquer une stratégie unilatérale sur l’utilisation des ressources en eau transfrontalières, la Chine adoptera une stratégie plus coopérative et plus participative dans l’avenir.

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Le principe de coopération est considéré depuis longtemps comme l’une des pierres angulaires du droit international, toutefois, l’existence d’une obligation de coopérer en droit international reste encore controversée. Les ressources en eau, à cause de leur fluidité et de leurs multiples usages, démontrent toujours l’interdépendance humaine. En matière de cours d’eau transfrontaliers, la Convention de New York inclut explicitement dans son texte l’obligation générale de coopérer comme l’un de ses trois principes fondamentaux. Il nous incombe alors de voir quelle obligation de coopérer les États souverains s’imposent dans leurs pratiques ? Pour répondre à cette question, nous procédons tout d’abord à une étude positiviste du contenu normatif de l’obligation de coopérer. Nous constatons que l’incorporation de la notion de l’obligation de coopérer dans le principe de la souveraineté est une tendance manifeste du droit international qui a évolué du droit de coexistence composé principalement des règles d’abstention, au droit de coopération qui comporte essentiellement des obligations positives de facere, dont la plus représentative est l’obligation de coopérer. Néanmoins, il n’existe pas de modèle unique d’application pour tous les États, chaque bassin disposant de son propre régime coopératif. Pour mesurer l’ampleur des régimes coopératifs, nous étudions cinq paramètres : le champ d’application, les règles substantielles, les règles procédurales, les arrangements institutionnels et le règlement des différends. Quatres modèles de coopération ressortent : le mécanisme consultatif (l’Indus), le mécanisme communicateur (le Mékong), le mécanisme de coordination (le Rhin) et le mécanisme d’action conjointe (le fleuve Sénégal). Pour ce qui est de la Chine, il s’agit de l’État d’amont en voie de développement le plus important dans le monde qui a longtemps été critiqué pour son approche unilatérale dans le développement des eaux transfrontières. Nous ne pouvons pas cependant passer sous silence les pratiques de coopération qu’elle a développées avec ses voisins. Quelle est son interprétation de cette obligation générale de coopérer ? Notre étude des pratiques de la Chine nous aide, en prenant du recul, à mieux comprendre tous les aspects de cette obligation de coopérer en droit international. Afin d’expliquer les raisons qui se cachent derrière son choix de mode de coopération, nous introduisons une analyse constructiviste qui est plus explicative que descriptive. Nous soutenons que ce sont les identités de la Chine qui ont déterminé son choix de coopération en matière de cours d’eau transfrontaliers. Notre étude en vient à la conclusion que même s’il y a des règles généralement reconnues, l’obligation de coopérer reste une règle émergente en droit international coutumier. Ses modes d’application sont en réalité une construction sociale qui évolue et qui peut varier énormément selon les facteurs culturels, historiques ou économiques des États riverains, en d’autres mots, selon les identités de ces États. La Chine est un État d’amont en voie de développement qui continue à insister sur le principe de la souveraineté. Par conséquent, elle opte pour son propre mécanisme consultatif de coopération pour l’utilisation des ressources en eau transfrontalières. Néanmoins, avec l’évolution de ses identités en tant que superpuissance émergente, nous pouvons probablement espérer qu’au lieu de rechercher un pouvoir hégémonique et d’appliquer une stratégie unilatérale sur l’utilisation des ressources en eau transfrontalières, la Chine adoptera une stratégie plus coopérative et plus participative dans l’avenir.

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BACKGROUND: The impact of early valve surgery (EVS) on the outcome of Staphylococcus aureus (SA) prosthetic valve infective endocarditis (PVIE) is unresolved. The objective of this study was to evaluate the association between EVS, performed within the first 60 days of hospitalization, and outcome of SA PVIE within the International Collaboration on Endocarditis-Prospective Cohort Study. METHODS: Participants were enrolled between June 2000 and December 2006. Cox proportional hazards modeling that included surgery as a time-dependent covariate and propensity adjustment for likelihood to receive cardiac surgery was used to evaluate the impact of EVS and 1-year all-cause mortality on patients with definite left-sided S. aureus PVIE and no history of injection drug use. RESULTS: EVS was performed in 74 of the 168 (44.3%) patients. One-year mortality was significantly higher among patients with S. aureus PVIE than in patients with non-S. aureus PVIE (48.2% vs 32.9%; P = .003). Staphylococcus aureus PVIE patients who underwent EVS had a significantly lower 1-year mortality rate (33.8% vs 59.1%; P = .001). In multivariate, propensity-adjusted models, EVS was not associated with 1-year mortality (risk ratio, 0.67 [95% confidence interval, .39-1.15]; P = .15). CONCLUSIONS: In this prospective, multinational cohort of patients with S. aureus PVIE, EVS was not associated with reduced 1-year mortality. The decision to pursue EVS should be individualized for each patient, based upon infection-specific characteristics rather than solely upon the microbiology of the infection causing PVIE.

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The Authors describe first-hand experiences carried out within the framework of selected International projects aimed at developing collaborative research and education using the One Health (OH) approach. Special emphasis is given to SAPUVETNET, a series of projects co-financed under the EU-ALFA program, and aimed to support an International network on Veterinary Public Health (VPH) formed by Veterinary Faculties from Latin-America (LA) and Europe (EU). SAPUVETNET has envisaged a series of objectives/activities aimed at promoting and enhancing VPH research/training and intersectoral collaboration across LA and EU using the OH approach, as well as participating in research and/or education projects/networks under the OH umbrella, namely EURNEGVEC-European Network for Neglected Vectors & Vector-Borne Infections, CYSTINET-European Network on Taeniosis/Cysticercosis, and NEOH-Network for Evaluation of One Health; the latter includes expertise in multiple disciplines (e.g. ecology, economics, human and animal health, epidemiology, social and environmental sciences, etc.) and has the primary purpose of enabling quantitative evaluation of OH initiatives by developing a standardized evaluation protocol. The Authors give also an account of the ongoing creation of OHIN-OH International Network, founded as a spin-off result of SAPUVETNET. Finally, some examples of cooperation development projects characterised by an OH approach are also briefly mentioned.

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The role of the evaluation for Official Development Assistance (ODA) enterprises including educational development has become critical after increasing “aid fatigue” experienced by the international community in the 1990s. To date, however, monitoring and evaluating outcomes of the projects has been limited to the project life. Consequently these have been mainly through the international aid agencies. Furthermore, the monitoring and evaluation led by international aid agencies have paid little attention to aspects of the sustainability of technical cooperation in educational development. To sustain the impact of technical cooperation, the reinforcement of evaluation has drawn increasing attention in light of the emerging modalities in international development. Therefore this research was inspired to investigate alternative evaluation frameworks for an educational reform project for teacher quality improvement that may increase possibilities for long term sustainability. Importantly, the new modalities in international development and educational issues provide new options. In addition, the research reviewed theoretical and practical issues surrounding evaluation in general, and highlighted the evaluation of education reform projects. The research reported explored via case studies, the evaluation processes employed by the Egyptian education reform projects implemented by the Japan International Cooperation Agency (JICA) and the United Nations Children’s Fund (UNICEF). The case studies used three data sources (archival and relevant documents, a survey questionnaire and interviews) to illuminate the contextually-embedded evaluation processes. The research found that process evaluation is a potential alternative method since it is likely to be locally institutionalised, which may yield long-term sustainability of the projects.

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The extant literature suggests that community participation is an important ingredient for the successful delivery of post-disaster housing reconstruction projects. Even though policy-makers, international funding bodies and non-governmental organisations broadly appreciate the value of community participation, post-disaster reconstruction practices systematically fail to follow, or align with, existing policy statements. Research into past experiences has led many authors to argue that post-disaster reconstruction is the least successful physically visible arena of international cooperation. Why is the principle of community participation not evident in the veracity of reconstructions already carried out on the ground? This paper discusses and develops the concepts of, and challenges to, community participation and the subsequent negative and positive effects on post-disaster reconstruction projects outcomes.