932 resultados para Indução floral


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Floral nectar is thought to be the primary carbohydrate source for most dipteran species. However, it has been shown that black flies (Burgin & Hunter 1997 a,b,c), mosquitoes (Foster 1995; Burkett et al. 1999; Russell & Hunter 2002), deer flies (Magnarelli & Burger 1984; Janzen & Hunter 1998; Ossowski & Hunter 2000), horse flies (Schutz & Gaugler 1989; Hunter & Ossowski 1999) and sand flies (MacVicker et al. 1990; Wallbanks et al. 1990; Cameron et al. 1992, 1995; Schlein & Jacobson 1994, 1999; Hamilton & EI Naiem 2000) feed on homopteran honeydew as well as floral nectar. Prior to 1997 floral nectar was thought to be the main source of carbohydrates for black flies. However, Burgin & Hunter (1 997a) demonstrated that up to 35% of black flies had recently consumed meals of homo pte ran honeydew. This information has necessitated a re-assessment of many life history aspects of black flies. Attempts are being made to examine the effects of nectar versus honeydew on black fly fecundity and parasite transmission (Hazzard 2003). Recently, Stanfield and Hunter (unpublished data) have shown that in female black flies, honeydew sugars produce flights of longer distance and duration than do nectar sugars. This thesis examines two aspects of black fly biology as it relates to sugar meal consumption. First, the effects of honeydew and nectar on black fly longevity are examined. Second, the proximate causation behind longer flight performances in honeydew-fed flies will be examined. The comparison between these two sources is important because nectar is composed of mainly simple sugars (monosaccharides and disaccharides) whereas honeydew is composed of both simple and complex sugars (including trisaccharides and tetrasaccharides ).

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Black and white photograph, 4 cm x 3 ½ cm, of Robert Band as a young child. This photograph is encased in a floral frame with a brass back. The back of the photo is inscribed with “Robert D. W. Band”.

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Tesis (Maestría en Ciencias Forestales) UANL, 2011.

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Le clade Dialiinae représente l’une des premières lignées de la sous-famille Caesalpinioideae des Leguminosae. Il se compose de 17 genres (environ 90 espèces), avec des taxons qui sont répandus dans toutes les régions tropicales du monde. Morphologiquement, le groupe comprend un assemblage divers de taxons qui peut représenter une «phase expérimentale» dans l’évolution florale des légumineuses. Différents représentants du clade présentent de la poly-, mono-, et asymétrie, et semblent avoir subi un haut degré de perte d’organe, produisant, dans certains cas, des fleurs extrêmement réduites qui sont à peine reconnaissables comme appartenant à la famille des légumineuses. Afin d’obtenir une image plus claire de l’évolution florale du clade Dialiinae, une phylogénie bien résolue et bien soutenue est nécessaire. Dans le but de créer une telle phylogénie, un total de 37 échantillons d’ADN des Dialiinae a été séquencé pour deux régions chloroplastiques, soit rps16 et trnL. De plus, une étude morphologique complète a été réalisée. Un total de 135 caractères végétatifs et reproductifs a été évalué pour 79 espèces de Dialiinae et pour quatre groupes externes. Les analyses phylogénétiques ont d’abord été effectuées sur un groupe restreint de taxons pour lesquels les trois types de données étaient disponibles. Les nœuds fortement soutenus de cette phylogénie ont ensuite été utilisés comme contrainte pour une seconde analyse de parcimonie avec les données morphologiques d’un ensemble plus important de taxons. Les caractères morphologiques ont été optimisés sur l’un des arbres les plus parcimonieux de cette seconde analyse. Un certain nombre de nouvelles relations au niveau de l’espèce ont été résolues, créant une image plus claire quant à l’évolution de la forme florale dans le temps, particulièrement pour les genres Labichea et Dialium. En plus de leur morphologie florale mature diverse, les Dialiinae sont également très variables dans leur ontogénèse florale, affichant à la fois la perte et la suppression des organes, et présentant une variété de modes d’initiation d’organes. Afin de construire une image plus complète du développement floral et de l’évolution dans ce clade, l’ontogénèse florale de plusieurs espèces non documentées à ce jour a été étudiée. La série complète du développement a été compilée pour six espèces de Dialiinae; quatre de Dialium, ainsi que Poeppigia procera et Mendoravia dumaziana. Le mode et le moment de l’initiation des organes étaient pour la plupart uniforme pour toutes les espèces de Dialium étudiés. Tant pour ce qui est des gains ou des pertes d’organes chez Dialium, une tendance est apparente – l’absence d’organe abaxial. Que ce soit pour les sépales ou les étamines, les gains se produisent toujours en position médiane adaxiale, tandis que les étamines et les pétales perdus sont toujours les organes les plus ventraux. Les taxons étudiés ici illustrent le manque apparent de canalisation du développement observé chez les Caesalpinioideae. Cette plasticité ontogénétique est le reflet de la diversité morphologique au niveau des fleurs tel qu’observée dans l’ensemble de la sous-famille. Une des espèces de Dialiinae, Apuleia leiocarpa, produit une inflorescence andromonoïque, une caractéristique qui est unique en son clade et rare dans les légumineuses dans son ensemble. La microscopie optique et électronique ont été utilisées pour entreprendre une étude détaillée de la morphologie florale de ce taxon. On a constaté que tandis que les fleurs hermaphrodites produisent un seul carpelle et deux étamines, les fleurs staminées produisent trois étamines sans toutefois montrer signe de développement du carpelle. Les inflorescences semblent produire près de quatre fois plus de fleurs staminées que de fleurs hermaphrodites, lesquelles occupent toujours la position centrale de l’inflorescence cymeuse. Ce ratio élevé mâle/bisexuel et la détermination précoce du sexe chez Apuleia sont rares chez les Caesalpinioideae, ce qui suggère que l’andromonoecie se développe dans ce genre comme un moyen d’accroître la dispersion du pollen plutôt qu’en réponse à des limitations de ressources.