954 resultados para Hospitals infantils
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Ants inhabit several types of natural and urban habitats, where they successfully nest. In urban environments, the hospitals should be considered priority for studies, as ants pose risks to human health due to their pathogen carrying potential. We aimed at surveying the literature about studies on ants in hospital settings in Brazil in the past 20 years. We found 40 papers in 22 journals, the first one published in 1993. Among them, 26 papers assessed pathogenic microorganisms on ants. We recorded 59 ant species, being Tapinoma melanocephalumthe most common. The Minas Gerais and São Paulo states had the largest number of published papers. Mato Grosso do Sul and Rio Grande do Sul showed the highest number of species. Exotic ant species were recorded in all states, except Goiás. Considering the potential to carry microorganisms and the importance of thorough studies on the ecology of ant species, our results can support and guide further research in Brazil.
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Although tremendous advances have been made in the diagnosis and treatment of patients, hospital administrative systems have progressed relatively slowly. The types of information available to managers in industrial sectors are not available in the health sector. For this reason, many phenomena, such as the variations of average costs and lengths of stay between different hospitals, have remained poorly explained.The DRG system defines groups of patients that consume relatively homogeneous quantities of hospital resources. On the basis, it is possible to standardize average lengths of stay and average hospital costs in terms of the differences in case mix treated. Thus DRGs can serve as an explanation of variations in these factors between different hospitals, and also (but not only) for prospective reimbursement schems. As in a number of other European countries, a project has been set up in Switzerland to examine the possibilities of using DRGs in hospital management, planning and financing.
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Contexte : Les infections du site opératoire (Surgical Site Infections - SSI) sont des complications fréquentes des procédures chirurgicales et un problème majeur de la santé publique. La surveillance constitue un élément essentiel de la prévention des SSI. Les résultats publiés récemment par certains pays européens suggèrent un impact positif qu'un réseau de surveillance active peut avoir sur le taux de SSI dans les hôpitaux participants. Objectif : La présente étude évalue les effets de la surveillance sur l'incidence des SSI en analysant les résultats du programme suisse multicentrique de surveillance des SSI. Méthodes : L'étude porte sur les 13 premières années du programme, regroupant au total 23 hôpitaux périphériques, cantonaux et universitaires de la Suisse occidentale et du sud. Ce programme, qui a intégré le consortium national Swissnoso en 2011, a été organisé conformément aux principes du système américain de National Nosocomial Infections Surveillance (NNIS). La surveillance incluait les procédures de la chirurgie viscérale (appendicectomie, cholécystectomie, chirurgie du colon et herniaire) et de l'orthopédie (arthroplastie de la hanche et du genou). Les données démographiques et cliniques étaient recueillies de manière standardisée par les infirmières cliniciennes en infectiologie pendant et après l'hospitalisation. Les rapports annuels, résumant les taux des SSI pour chaque type de procédure ainsi que la comparaison inter-hospitalière des risques relatifs ajustés à l'index NNIS, ont été discutés au sein de chaque établissement entre le comité des chirurgiens et le responsable local du programme. Analyses statistiques : Les taux cumulatifs des SSI ont été calculés pour chaque procédure chirurgicale. Une stratification selon le type de SSI (superficielle, profonde, organe/espace) et selon l'index NNIS a été respectée. Les facteurs de risque des SSI ont été identifiés pour chaque procédure par les analyses univariées des caractéristiques du patient (âge, sexe, score ASA, temps avant l'opération) et celles de l'opération (classe de contamination, durée de la chirurgie, urgence, antibioprophylaxie, laparoscopie, procédures multiples, ré¬intervention). Afin d'évaluer l'effet de la durée de la surveillance sur le taux des SSI, le temps de participation au programme a été calculé et stratifié par périodes d'un an par hôpital et par procédure. La corrélation entre la durée de la surveillance et les SSI a été estimée en utilisant les modèles de régression logistique pour chaque procédure avec l'ajustement pour les variables avec p ^ 0.2. Dans toutes les analyses, la valeur p < 0.05 était considéré significative. Résultats : Les taux globaux des SSI étaient : 18.2% pour les colectomies, 6.4% pour les appendicectomies, 2.3% pour les cholécystectomies, 1.7% pour les cures des hernies et 1.6% et 1.3% pour les arthroplasties de la hanche et du genou, respectivement. L'incidence des SSI post-hospitalières allait du 21% pour les colectomies au 94% pour les arthroplasties du genou. Concernant les facteurs prédictifs des SSI, l'index NNIS était valable seulement pour la chirurgie gastro-intestinale, la laparoscopie étant globalement protectrice mais associée à un taux d'infections profondes plus élevé après l'appendicectomie. La durée de la participation au programme de surveillance n'apportait pas de diminution des taux des SSI dans aucune procédure incluse dans l'étude. Conclusions : L'étude confirme l'impact de la surveillance post-hospitalière sur le taux des SSI, l'effet protectrice de la laparoscopie ainsi que l'absence de la valeur prédictive de l'index NNIS en orthopédie. Contrairement aux autres programmes européens nous n'avons pas détecté d'effet positif de la durée de la surveillance sur le taux des SSI. Les résultats obtenus ouvrent la discussion sur l'utilisation plus effective des données de surveillance des SSI.
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BACKGROUND: In 2004, complementary and alternative medicine (CAM) was offered by physicians in one-third of Swiss hospitals. Since then, CAM health policy has changed considerably. This study aimed to describe the present supply and use of CAM in hospitals in the French-speaking part of Switzerland, and to explore qualitatively the characteristics of this offer. METHODS: Between June 2011 and March 2012, a short questionnaire was sent to the medical directors of hospitals (n = 46), asking them whether CAM was offered, where and by whom. Then, a semi-directive interview was conducted with ten CAM therapists. RESULTS: Among 37 responses (return rate 80%), 19 medical directors indicated that their hospital offered at least one CAM and 18 reported that they did not. Acupuncture was the most frequently available CAM, followed by manual therapies, osteopathy and aromatherapy. The disciplines that offered CAM most frequently were rehabilitation, gynaecology and obstetrics, palliative care, psychiatry, and anaesthetics. In eight out of ten interviews, it appeared that the procedures for introducing a CAM in the hospital were not tightly supervised by the hospital and were mainly based on the goodwill of the therapists, rather than clinical/scientific evidence. CONCLUSION: The number of hospitals offering CAM in the French-speaking part of Switzerland seemed to have risen since 2004. The selection of a CAM to be offered in a hospital should be based on the same procedure of evaluation and validation as conventional therapy, and if the safety and efficiency of the CAM is evidence-based, it should receive the same resources as a conventional therapy.
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Report on a review of selected general and application controls over the University of Iowa Hospitals and Clinics’ GE Centricity System for the period May 28, 2012 through July 30, 2012
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The rate of nasal carriage of Staphylococcus aureus and associated risk factors were determined in a cross-sectional study involving Swiss children's hospitals. S. aureus was isolated in 562 of 1363 cases. In a stepwise multivariate analysis, the variables age, duration of antibiotic use, and hospitalization of a household member were independently associated with carriage of S. aureus.
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Rapport de synthèse : Bien que les complications sévères de l'anesthésie soient actuellement rares, des informations contradictoires existent à propos du rôle et de l'importance de l'hypertension artérielle chronique sur la survenue de complications en cours d'anesthésie. En raison de la prévalence élevée de l'hypertension artérielle dans la population et du grand nombre d'anesthésies effectuées, il est important de clarifier cette relation. Le but de l'étude était d'évaluer si les personnes hypertendues étaient à risque accru de présenter des complications lors d'anesthésies à partir de données collectées de routine lors d'anesthésies usuelles réalisées en Suisse. Nous avons utilisé les données figurant dans le registre ADS (Anesthésie Données Suisse) correspondant à des anesthésies, générales ou locorégionales, réalisées pour chirurgie élective chez des adultes, entre 2000 et 2004 dans 24 hôpitaux suisses. L'attention était portée principalement sur les incidents cardio-vasculaires, mais les autres incidents relevés de routine ont aussi été évalués. La présence d'une hypertension artérielle chronique était définie par la présence d'un traitement antihypertenseur ou par l'anamnèse d'une hypertension artérielle, combinée à la mesure d'une pression artérielle élevée (systolique >160 mm Hg ou diastolique >100 mm Hg) lors de l'examen préopératoire de l'anesthésiste. Les incidents relevés en cours d'anesthésie ont été définis a priori et sont enregistrés de routine sur la feuille d'anesthésie et reportés dans une base de données centralisée. En raison de la structure des données, des analyses hiérarchiques ont été effectuées incluant des variables individuelles (niveau 1), liées aux groupes d'interventions chirurgicales (niveau 2) et à l'hôpital (niveau 3). Parmi les 124 939 interventions, 27 881 (22%) concernaient des patients connus pour une hypertension artérielle chronique. Au moins un incident est survenu dans 16,8% des interventions (95% Cl 16,6 -17,0%). Chez 7 549 patients, au moins un incident cardio- vasculaire est survenu, soit dans 6% des anesthésies (95% Cl 5.9-6.2%). Le rapport des cotes (odds ratio) moyen ajusté pour les incidents cardio-vasculaires chez les patients hypertendus était de 1.38 (95% Cl 1.27-1.49), indiquant une augmentation du risque chez les patients hypertendus. Cependant, l'hypertension n'était pas liée à un risque augmenté de survenue d'un autre incident. Les rapports de cotes ajustés de la survenue d'une complication cardiovasculaire en présence d'une hypertension artérielle variaient selon les hôpitaux entre 0.41 et 2.25. Ainsi, cette étude confirme la présence d'un risque accru de survenue d'une complication cardiovasculaire chez un patient hypertendu lors d'une anesthésie pour chirurgie élective. Il s'agissait le plus souvent d'une arythmie ou d'une perturbation hémodynamique. Cette augmentation du risque proche de 40% a aussi été trouvée dans une revue systématique avec méta-analyse. L'hétérogénéité des institutions -qui persiste même en tenant compte des ajustements pour le type d'intervention chirurgicale et des variables individuelles (case-mix) - suggère des différences de pratique de l'anesthésie selon l'hôpital.
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Objective: To assess the impact of patient admission in different hospital types in Switzerland on early in-hospital and 1-year outcomes in patients with acute coronary syndrome (ACS).Methods: From 1997 to 2009, 31,010 ACS patients from 76 Swiss hospitals were enrolled in the AMIS Plus registry. Large tertiary teaching institutions with 24 hour/7 day cardiac catheterization facilities were classified as type A hospitals, all others as type B. One-year outcome was studied in a subgroup of patients admitted after 2005. Multivariate logistic regression models were used to calculate the odds ratios (OR with 95%CI) for independent predictors of mortality and major adverse cardiac events (MACE).Results: There were 11 type A hospitals with admissions of 15,987 (52%) patients and 65 type B hospitals with 15,023 (48%) patients. Patients initially admitted into B hospitals were older, more frequently female, hypertensive and diabetic, had more severe comorbidities and more frequently NSTE-ACS/UA. They were less likely to receive aspirin, clopidogrel and GPIIb/IIIa antagonists. STE-ACS patients initially admitted into B hospitals received more thrombolysis than those admitted into A hospitals, but less percutaneous coronary intervention (PCI). From the patients admitted to B hospitals, 5271 (35%) were transferred for intervention. Crude in-hospital mortality and MACE were higher in patients from B hospitals. Crude 1-year mortality of 3747 ACS patients followed up was higher in patients initially admitted into B hospitals, but no differences were found for MACE. Hospital type, after adjustment for age, risk factors, type of ACS and co-morbidities, was not an independent predictor of in-hospital mortality (OR 0.94; 0.76-1.16), in-hospital MACE (0.98; 0.82-1.17), 1-year mortality or 1-year MACE (1.06; 0.85-1.33). Analysis of the time of admission indicated a crude outcome in favor of hospitalization during duty-hours but no significant effect could be documented for 1-year outcome.Conclusion: ACS patients admitted to type B hospitals were older, had more severe co-morbidities, more NSTEACS and received less intensive treatment. However, after correcting for baseline inequalities, early and mid-term outcomes were similar regardless of hospital type. Ultimate patient outcome thus does not appear to be influenced by the type of hospital where the initial admission takes place. Appropriate early referral of selected patients probably partly explains this finding.
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Report on a review of the operations of certain departments of the University of Iowa Hospitals and Clinics for the period July 1, 2010 through December 31, 2012
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Report on a special investigation of the University of Iowa Hospitals and Clinics, Health Care Information Systems Department, for the period January 1, 2005 through July 5, 2013
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An outbreak of vancomycin-resistant enterococci (VRE) occurred in 2011 in several hospitals of western Switzerland. Given that VRE can spread rapidly within hospitals and due to the potential transfer of resistance genes to other nosocomial pathogens like MRSA, stringent control measures were implemented. Excellent coordination of control measures between partner healthcare settings was successful in stopping the outbreak.
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During a 1-year period, 87 methicillin-resistant Staphylococcus aureus isolates were collected from 4 major Cuban hospitals for epidemiological analysis. The majority (86%) were related to the community-associated USA300 clone, whereas the remaining belonged to a new clone ST72-V. Interestingly, no hospital-associated clone was found in these Cuban hospitals.