271 resultados para Glomus irregulare DAOM197198


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Phosphate (Pi) acquisition of crops via arbuscular mycorrhizal (AM) symbiosis acquires increasing importance due to the limited rock Pi reserves and the demand for environmentally sustainable agriculture. However, the symbiotic Pi uptake machinery has not been characterized in any monocotyledonous plant species. Among these, rice is the primary staple food for more than half of the human population and thus central for future food security. However, the relevance of the AM symbiosis for rice Pi nutrition is presently unclear. Here, we show that 70% of the overall Pi acquired by rice is delivered via the symbiotic route. To better understand this pathway we combined genetic, molecular and physiological approaches to determine the specific functions of the two rice Pi transporters, PT11 and PT13, which are expressed only during AM symbiosis. The PT11 lineage of proteins is present in mono- and dicotyledons whereas PT13, while found across the Poaceae, is absent from dicotyledons. Surprisingly, mutations in either PT11 or PT13 affected fungal colonization and arbuscule formation demonstrating that both genes are essential for AM symbiosis between rice and Glomus intra.rad.ices. Importantly, for symbiotic Pi uptake, only PT11 is necessary and sufficient. We found that mycorrhizal rice, remarkably, received almost all Pi via the symbiotic route. Such dominating mycorrhizal Pi uptake was found in plants grown under controlled conditions as well as in field soils, suggesting that the AM symbiosis is relevant for the Pi nutrition of field grown rice. Development of smaller arbuscules in PT11 mutants suggested that symbiotic Pi signaling is required for fungal nourishment by the plant. However, co-culture of mutant with wild type nurse plants did not restore normal arbuscule size in mutant roots, indicating that other factors than malnutrition accounted for the altered arbuscule phenotype. Surprisingly, the loss of PT13 did not affect symbiotic Pi uptake although it impacted arbuscule morphology, suggesting that PT13 is involved in signaling during arbuscule development. However, induction of PT13 was not only monitored in arbusculated cells but also in inner cortex cells of non-inoculated roots of plants grown under high Pi fertilization conditions. According to preliminary observations, PT13 localized at the tonoplast in arbusculated and non-arbusculated cells, suggesting that it might be involved in transporting Pi into the vacuole, possibly for maintaining cellular Pi homeostasis. The further investigation showed that fungal colonization level was significantly affected in the crown roots of two ptlS mutant alleles, but not in large lateral roots, implying the possible role of PT13 for maintaining Pi homeostasis in the crown roots. - L'acquisition de phosphate (Pi) par les plantes cultivées s'effectue grâce à une symbiose mycorhizienne arbasculaire (AM). L'étude de cette symbiose devient fondamentale puisque d'une part, les réserves en phosphate minéral sont limitées, et, d'autre part, la demande pour une agriculture écologiquement soutenable se renforce. La machinerie d'absorption symbiotique du phosphate n'est cependant pas encore élucidée chez les plantes monocotylédones. Parmi celles-ci, le riz occupe une place primordiale. Aliment de base pour plus de la moitié de la population mondiale, il revêt de ce fait une dimension essentielle en termes de sécurité alimentaire. Pourtant, l'importance de la symbiose AM chez le riz dans le processus d'acquisition du phosphate n'est, encore de nos jours, que peu comprise. Dans cette étude, nous montrons que 70% du phosphate acquis par le riz est mis à disposition de la plante grâce à la symbiose AM. Afin de mieux comprendre ce mécanisme, nous avons employé des approches physiologiques et génétiques nous permettant de déterminer les fonctions spécifiques de deux transporteurs de Pi, PT11 et PT13, présents chez le riz et exprimés uniquement durant la symbiose AM. La famille de gènes à laquelle appartient PT11 est présente chez les monocotylédones ainsi que chez les dicotylédones tandis que PT13, bien que retrouvé au sein des Poaceae, est absent chez les dicotylédones. Etonnamment, des versions mutées de PT11 ou de PT13 affectent la colonisation par le champignon endo-mycorhizien ainsi que la formation d'arbuscules, démontrant l'importance de ces deux gènes dans la symbiose AM entre le riz et Glomus intraradices. Il est à noter que seul PT11 se révèle nécessaire et suffisant pour l'apport de Pi grâce à la symbiose. Nous avons observé que la presque totalité du phosphate dont dispose le riz lors d'une symbiose AM provient du champignon. De telles proportions ont été observées tant chez des plantes cultivées en conditions contrôlées que chez des plantes cultivées dans les champs. Cela suggère l'importance de la symbiose AM dans le processus d'acquisition du Pi chez le riz cultivé à l'extérieur. Le développement d'arbuscules plus petits chez le mutant PT11 tend à montrer qu'une voie signalétique impliquant le Pi symbiotique est nécessaire pour l'entretien du champignon par la plante. Toutefois, une co-culture du mutant avec des plantes sauvages ne permet pas de restaurer des arbuscules de taille normale dans les racines du mutant. Ce résultat indique le rôle de facteurs autres que la malnutrition aboutissant à la formation d'arbuscules altérés. Si la perte de PT13 n'affecte pas l'acquisition de phosphate symbiotique, la morphologie de l'arbuscule est, quant à elle, modifiée. Ceci suggère un rôle de PT13 durant le développement de l'arbuscule. Or, l'induction de PT13 est non seulement détectée dans des cellules contenant des arbuscules mais également dans des cellules du cortex, ceci chez des plantes cultivées sans champignon mais dans des conditions de fortes concentrations en engrais phosphaté. En accord avec des observations précédentes, PT13 est localisé au niveau du tonoplaste des cellules contenant ou non des arbuscules. Ceci suggère que PT13 pourrait être impliqué dans le transport du Pi vers la vacuole, éventuellement pour maintenir une certaine homéostasie du phosphate. Dans cette étude, nous démontrons également que le niveau de colonisation par le champignon est affecté de manière significative dans les racines principales des deux allèles du mutants ptl3, mais pas dans les grosses racines latérales. Cela impliquerait un rôle possible de PT13 dans le maintien de l'homéostasie du phosphate dans les racines principales. RESUME POUR UN LARGE PUBLIC Le phosphate (Pi), l'un des éléments minéraux essentiel au développement des plantes, se trouve généralement en faible quantité dans le sol, limitant ainsi la croissance des plantes. Le rendement de la production agricole dépend dès lors de l'addition d'engrais contenant du phosphate inorganique (Pi), obtenu à partir de ressources minières riches en phosphate. Or, ces ressources devraient être épuisées d'ici la fin du siècle. Les racines des plantes possèdent des transporteurs de phosphate efficaces leur permettant d'acquérir rapidement le Pi présent dans le sol. Comme le Pi s'avère immobile dans le sol, l'absorption rapide par les racines crée des zones pauvres en Pi autour des systèmes racinaires. Pour surmonter cet obstacle, les plantes ont développé une symbiose avec des champignons endomycorhiziens, la symbiose mycorhizienne arbusculaire (AM). Cette association leur donne accès à d'autres ressources en phosphate puisque le mycélium de ces champignons se développe sur une surface 100 fois supérieure à celle des racines. Cela augmente considérablement la surface de nutrition, dépassant ainsi la zone appauvrie en Pi. Le phosphate, transporté grâce au champignon jusqu'à l'intérieur des racines, est fourni à la plante par le biais de structures établies à l'intérieur des cellules végétales, appelées arbuscules. De leur côté, les plantes possèdent des transporteurs spécifiques afin de recevoir le Pi fourni par les champignons. A l'heure actuelle, la machinerie nécessaire à cette absorption a été uniquement décrite chez des plantes dicotylédones. Or, comprendre l'apport de phosphate par les champignons mycorhiziens s'avère particulièrement pertinent dans le cas des espèces monocotylédones cultivées telles que les céréales. Ces dernières constituent en effet la majeure partie de l'alimentation humaine. Parmi les céréales, le riz demeure l'aliment de base de la population mondiale, d'où son importance en terme de sécurité alimentaire. Durant mon travail de thèse, j'ai identifié et caractérisé le transporteur du riz impliqué dans l'apport de phosphate par ce type de symbiose AM. J'ai également démontré que le riz, lorsqu'il vit en symbiose, bénéficie de la presque totalité du Pi transporté par le champignon. Environ 40% de la production globale de riz est cultivée dans des conditions permettant la symbiose avec des mycorhizes arbusculaires. Les variétés de riz adaptées à ces conditions aérobiques deviennent des alternatives favorables aux cultivars actuels nécessitant une forte irrigation. Elles se révèlent en effet plus tolérantes aux pénuries d'eau et permettent l'utilisation de pratiques agricoles moins intensives. Les données présentées dans cette étude enrichissent nos connaissances concernant l'absorption du phosphate chez le riz grâce à la symbiose AM. Ces connaissances peuvent s'avérer décisives pour le développement de cultivars du riz plus adaptés à une agriculture écologiquement soutenable.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar o efeito da inoculação de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) no crescimento da aceroleira (Malpighia emarginata D.C.). Estacas semi-lenhosas de dois genótipos de aceroleira (Barbados e Miró), com dois pares de folhas, foram plantadas para enraizamento das mudas. Após dois meses, montou-se um experimento em telado, inoculando dois isolados de FMA (Gigaspora margarita Becker & Hall e Glomus etunicatum Becker & Gerdemann) nessas mudas, em solo com 3 mg/dm³ de fósforo. Ao término do experimento (110 dias), observou-se que a inoculação de FMA proporcionou maior altura, aumentou a biomassa seca da parte aérea e a área foliar, e evidenciou correlações positivas entre algumas características de crescimento da planta e o número de esporos de FMA, em comparação com as plantas não colonizadas. Melhores respostas de crescimento foram obtidas nos dois genótipos com a inoculação de G. margarita. A concentração de P na parte aérea das plantas não variou significativamente entre os tratamentos com inoculação. A associação com FMA reduziu em pelo menos dois meses o tempo de produção de mudas dos dois genótipos de aceroleira.

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O genótipo da planta é fator preponderante na resposta à micorriza. Avaliou-se, neste trabalho, a resposta a fósforo e o grau de dependência micorrízica de variedades de mamoeiro (Carica papaya L.). O experimento foi realizado em casa de vegetação da Embrapa-Centro Nacional de Pesquisa de Mandioca e Fruticultura, com quatro variedades, testando-se seis doses de P: 0, 20, 40, 80, 140, 280 mg dm-3 e três tratamentos fúngicos (um controle não-micorrizado e a inoculação de Glomus clarum ou Gigaspora margarita). Foram estimados os seguintes parâmetros: dose de P para máxima eficiência micorrízica; valor T'; benefício da aplicação do P; benefício micorrízico; eficiência simbiótica, e dependência micorrízica. Plantas não-micorrizadas apresentaram resposta quadrática ao P aplicado e as inoculadas seguiram modelo raiz-quadrático, com grande incremento de matéria seca da parte aérea nas doses baixas; o benefício de P foi maior nas variedades Sunrise Solo e Improved Sunrise Solo - Line 72/12, enquanto as variedades Baixinho de Santa Amália e Tainung nº 1 apresentaram benefício micorrízico proporcionalmente maior, resultando em maior eficiência simbiótica. As variedades de mamoeiro apresentaram a seguinte classificação quanto à dependência micorrízica: Baixinho de Santa Amália = Tainung nº 1 > Sunrise Solo = Improved Sunrise Solo - Line 72/12. A maior ou menor dependência relacionou-se com a capacidade da variedade em produzir raízes.

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A micropropagação e a inoculação de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) podem melhorar a qualidade de mudas produzidas comercialmente. Essas técnicas permitem a produção de plantas homogêneas e de alta qualidade em curtos períodos de tempo, mas isso exige o conhecimento da interação entre fungos e plantas, substratos e técnicas de aclimatização e inoculação. Foi realizado um estudo em condições controladas a fim de desenvolver procedimentos para aclimatizar e inocular FMA nos porta-enxertos de macieira (Malus spp.) Marubakaido, vigoroso e com forte sistema radicular, e M.9, nanizante e com sistema radicular pouco desenvolvido. Plantas oriundas de micropropagação foram imersas em ácido indolebutírico (5miM) e transferidas para substrato à base de solo, a fim de serem enraizadas ex vitro. Antes ou após o enraizamento, inoculou-se uma mistura de isolados de Scutellospora pellucida, Glomus etunicatum e Glomus sp. A fase de enraizamento durou 21 dias, e após 51 e 81 dias avaliaram-se colonização micorrízica, altura, peso da matéria fresca e seca da parte aérea e relação entre raiz e parte aérea das plantas. A colonização micorrízica variou entre 50% e 70% para ambos porta-enxertos, tendo efeito positivo sobre o crescimento do porta-enxerto Marubakaido, enquanto o porta-enxerto M.9 teve seu desenvolvimento inibido pela presença dos FMA.

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O objetivo deste trabalho foi verificar a influência da inoculação de seis espécies de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) (Glomus clarum, Scutellospora heterogama, Glomus etunicatum, Acaulospora scrobiculata, Gigaspora margarita e Glomus manihotis) no desenvolvimento vegetativo, nutrição mineral e conteúdo de substâncias de reserva em porta-enxertos de abacateiro (Persea sp.), oriundos de caroços. Os porta-enxertos foram cultivados em casa de vegetação com cobertura de sombrite (70%) e acondicionados em sacos de polietileno preto (5 L), contendo substrato constituído de solo + areia + resíduo decomposto de casca de acácia-negra (Acacia mearnii) (2:2:1, v:v:v). Dois meses após a infecção das plântulas com FMA (30 g/plântula), observou-se que a dependência do abacateiro aos FMA variou com a espécie de fungo em estudo. Scutellospora heterogama, Acaulospora scrobiculata e Glomus etunicatum proporcionaram melhor nutrição, maior conteúdo em substâncias de reserva e maior desenvolvimento vegetativo das plantas. Glomus clarum somente incrementou a altura das plantas. A infecção com Glomus manihotis não alterou o desenvolvimento vegetativo dos porta-enxertos, e Gigaspora margarita foi prejudicial.

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O objetivo deste trabalho, conduzido em casa de vegetação, foi avaliar os efeitos da inoculação de fungos micorrízicos arbusculares (Glomus etunicatum e Glomus clarum) e da adição de níveis de P (0, 50, 100 e 200 mg/kg de solo) sobre a morfologia do sistema radicular do milho (Zea mays L.), cultivar BR 201, e a concentração de P na planta, em duas épocas de colheita (18 e 104 dias após semeadura) em solo Latossolo Vermelho-Escuro distrófico desinfestado com Bromex. O experimento foi realizado na Embrapa-Centro Nacional de Pesquisa de Milho e Sorgo, Sete Lagoas, MG. A inoculação de fungos micorrízicos aumentou o peso das raízes secas, o número de raízes laterais primárias e secundárias, e o teor de P na planta, porém reduziu a relação peso das raízes secas/peso da parte aérea seca e o número de pêlos radiculares. Esses efeitos foram dependentes das doses de P aplicadas ao solo e da espécie de fungo micorrízico. O peso das raízes secas das plantas micorrizadas mostrou correlação significativa (P<=0,05) com a colonização micorrízica, nas raízes seminais e adventícias, e o número de raízes laterais primárias e secundárias das plantas micorrizadas mostrou correlação significativa (P<=0,05) com a colonização micorrízica. Glomus etunicatum foi mais eficiente no aumento do peso das raízes secas, do número de raízes laterais primárias e secundárias e no aumento do teor de P na planta, em todas as doses de P; entretanto, doses altas de P reduziram esses efeitos das duas espécies de fungos, como conseqüência da redução da colonização micorrízica.

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O objetivo deste trabalho foi identificar e quantificar os esporos de FMA presentes em viveiros e pomares de citros no Rio Grande do Sul. Foram coletadas amostras de solo e de raízes de dez viveiros e doze pomares de oito municípios produtores de citros, nas quais avaliaramse conteúdo nutricional, número de esporos por 100 g de solo seco e colonização das radicelas, e determinaramse as espécies autóctones. As espécies, em ordem decrescente de ocorrência, foram: Glomus macrocarpum > Scutellospora heterogama > Acaulospora scrobiculata = Acaulospora birreticulata > Glomus invermaium = Glomus occultum = Entrophospora colombiana > Glomus claroideum = Glomus constrictum > Scutellospora persica.

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Foram investigadas espécies e densidade de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) que possam beneficiar o crescimento de mudas de maracujazeiro-amarelo (Passiflora edulis Sims. f. flavicarpa Deg.). O delineamento utilizado foi o inteiramente casualizado, em arranjo fatorial de 5 x 3 + 1, com cinco FMA (Gigaspora albida, G. margarita, Acaulospora longula, Glomus etunicatum e Scutellospora heterogama), três níveis de inóculo (200, 300 e 400 esporos/planta) e um controle (sem inoculação), com três repetições, em solo fumigado contendo 3 mg dm-3 de P e pH 5,3. Não houve interação significativa entre a densidade de inóculo e as espécies de FMA em relação ao crescimento do hospedeiro. No entanto, a biomassa seca da parte aérea e a área foliar atingiram valores máximos no tratamento com 300 esporos/planta. Em geral, as mudas que receberam inóculos de G. albida, G. margarita e G. etunicatum apresentaram maior crescimento, colonização e densidade de esporos na rizosfera do que as associadas a A. longula e S. heterogama, que tiveram crescimento similar ao controle. A inoculação, no maracujazeiro, com três dos FMA testados proporcionou maior vigor à planta, reduzindo o tempo necessário para o transplantio ao campo.

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O objetivo deste trabalho foi determinar a influência da inoculação de seis espécies de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) (Glomus clarum, G. etunicatum, G. manihotis, Acaulospora scrobiculata, Scutellospora heterogama e Gigaspora margarita) sobre o desenvolvimento vegetativo de mudas de abacateiro (Persea sp.), nas fases de porta-enxerto, de muda enxertada e de muda no pomar. A influência dos FMA em abacateiros foi variável conforme a espécie do endófito em estudo. As espécies S. heterogama, A. scrobiculata, G. etunicatum e G. clarum colonizaram mais intensamente o sistema radicular dos abacateiros, promovendo melhor desenvolvimento vegetativo das plantas, na fase de porta-enxerto, ao longo do período de produção da muda e após o transplante para pomar.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar o efeito da interação entre fungos micorrízicos arbusculares e a comunidade microbiana do solo, sobre a disponibilidade, a absorção e a atenuação da toxidez de Mn em soja. As plantas foram micorrizadas com Glomus etunicatum ou G. macrocarpum, com e sem o restabelecimento da comunidade microbiana do solo autoclavado. Um tratamento não micorrizado teve a comunidade microbiana restabelecida, enquanto outro foi mantido como controle absoluto. As plantas micorrizadas apresentaram maior crescimento e atenuação da toxidez de Mn, principalmente quando se restabeleceu a comunidade microbiana. Nesse caso, houve aumento da disponibilidade de Fe e diminuição da disponibilidade de Mn no substrato. O teor de P foi maior nas plantas micorrizadas. Houve menor concentração de Fe e Mn na parte aérea das plantas micorrizadas, mais evidente quando a comunidade microbiana foi restabelecida. Nas raízes, esse comportamento foi o mesmo quanto ao Mn e inverso quanto ao ferro. A diminuição da concentração de Mn na parte aérea das plantas micorrizadas foi atribuída à diminuição de sua disponibilidade no substrato, enquanto em relação ao Fe foi atribuída à sua retenção nas raízes.

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Apesar de a mineração de bauxita causar grandes alterações nas características do solo, com efeitos negativos nas micorrizas arbusculares, os efeitos da reabilitação de áreas mineradas sobre os fungos micorrízicos arbusculares (MA) e sua simbiose são pouco conhecidos. O objetivo deste trabalho foi avaliar a ocorrência, diversidade e eficiência dos fungos MA, em áreas de mineração de bauxita, com diferentes tipos de vegetação e idades de reabilitação. Amostras de solo da rizosfera foram coletadas para analisar o micélio fúngico extrarradicular, o número de esporos, a riqueza e diversidade de fungos MA e para avaliar a colonização micorrízica e eficiência simbiótica de populações fúngicas. A mineração afetou negativamente os fungos MA, sendo a recuperação destes mais relacionada com o tipo de vegetação do que com o tempo de reabilitação da área. Foram encontradas as espécies: Gigaspora margarita, Gigaspora sp., Paraglomus occultum, Glomus sp., Entrophospora colombiana e Acaulospora scrobiculata. A ocorrência desses fungos foi favorecida pela presença de gramíneas ede bracatinga. Embora Eucalyptus saligna não seja um bom hospedeiro para os fungos MA, quando associado a sub-bosque bem desenvolvido e diverso, contribuiu para a recuperação dos fungos. As populações fúngicas isoladas de áreas com braquiária e feijão-guandu ou de bracatinga com capim-gordura apresentaram elevada eficiência para o feijoeiro, mostrando que é possível recuperar a função deste grupo de microrganismos utilizando diferentes tipos de vegetação. Estes isolados apresentam potencial de utilização em programas de reabilitação de solos minerados.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar a capacidade infectiva das espécies de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) e relacionála com o número mais provável (NMP) de propágulos infectivos e número de esporos extraídos diretamente do campo. Amostras de solo foram coletadas em áreas degradadas pela mineração de bauxita com cobertura de 2, 6, 12 e 16 anos após revegetação e em uma área de floresta primária, em Porto Trombetas, PA. Os esporos de FMA foram extraídos e identificados taxonomicamente por suas características morfológicas. A maioria das espécies apresentou comportamento diferente nas áreas em estudo. Glomus macrocarpum foi a que apresentou infectividade mais rápida e alto potencial infectivo, nos solos das cinco áreas estudadas. Esta espécie também apresentou alto NMP de propágulos e alto número de esporos em todas as áreas estudadas. A capacidade infectiva das espécies não está relacionada com a densidade de propágulos. As espécies de FMA possuem diferentes graus de tolerância às condições de solo e se comportaram de maneira diferente de acordo com a idade da revegetação.

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1. Accumulating evidence indicates that plant resistance against above-ground herbivores can be affected by the presence of arbuscular mycorrhizal fungi (AMF) in association with the host plant. Little is known, however, about how AMF composition can influence herbivore choice to feed on a particular plant. 2. Unravelling the preference-performance hypothesis in a multitrophic context is needed to expand our knowledge of complex multitrophic interactions in natural systems. If given mycorrhizal fungal genotypes increase attractiveness for a herbivore (reduced plant resistance), then the benefits of increased unpalatability provided by the mycorrhizal fungi (increased plant resistance) might be outweighed by the increased herbivore recruitment. 3. This was addressed by designing three experiments to test the effects of different AMF genotypes, inoculated either alone or in combination, to measure intraspecific AMF effects on plant resistance and insect herbivore preference. Using strawberry (Fragaria vesca L.) plants that were colonised by eight different combinations of Rhizophagus irregularis isolates, we measured effects on plant growth, insect growth and survival, as well as feeding preferences of a generalist herbivore caterpillar (Spodoptera littoralis Boisduval). 4. Overall, it was found that: (i) AMF influenced plant resistance in an AMF genotype-specific manner; (ii) some AMF inoculations decreased insect performance; (iii) insects preferentially chose to feed more on leaves originating from non-mycorrhizal plants; but also that (iv) in a whole plant bioassay, insects preferentially chose the biggest plant, regardless of their mycorrhizal status. 5. Therefore, AMF-mediated trade-offs between growth and resistance against herbivores have been shown. Such trade-offs, particularly driven by plant attractiveness to herbivores, buffer the positive effects of the mycorrhizal symbiosis on enhanced plant growth.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar a composição e a diversidade de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) em áreas em processo de revegetação na região de Porto Trombetas, PA. Coletaram-se amostras compostas de solo em revegetação com 2, 4, 6, 12 e 16 anos, em subsolo exposto sem vegetação e em floresta primária, nos meses de agosto de 1998 (estação seca) e abril de 1999 (estação chuvosa). Os esporos de FMA foram extraídos e identificados taxonomicamente. Analisou-se a densidade relativa, a freqüência de cada espécie e os índices de Shannon-Wiener e de Simpson. Os resultados indicaram que a densidade de esporos de FMA não diferiu significativamente em razão da estação do ano. O número de espécies foi maior no período seco, na floresta primária e na área revegetada aos 2 anos de idade. Entre as espécies de FMA recuperadas, Glomus macrocarpum e Acaulospora mellea foram as que apresentaram maior ocorrência. A diversidade de espécies de FMA foi mais alta e a dominância de espécies foi mais baixa na área revegetada com 2 anos de idade. O retorno do horizonte superficial orgânico com o plantio de mudas micorrizadas é uma prática eficiente para a produção de esporos em subsolo resultante da mineração de bauxita.

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O objetivo deste trabalho foi avaliar os efeitos da inoculação de fungos micorrízicos arbusculares (FMA) nativos e exóticos e da adubação fosfatada no crescimento e no acúmulo de nutrientes em mudas do cajueiro-anão-precoce CCP 76. O experimento, realizado em casa de vegetação, constou de um arranjo fatorial (4x2), sendo três misturas (duas comunidades de FMA nativos e o produto comercial Mycogold) mais o controle sem fungo e duas doses de fósforo (0 e 87 mg/L). Os fungos nativos eram formados pelas espécies Glomus etunicatum, G. glomerulatum, Scutellospora sp. e Acaulospora foveata, da primeira comunidade, e G. etunicatum, Entrophospora sp. e Scutellospora sp., da segunda comunidade. Observou-se resposta das mudas do cajueiro ao fósforo aplicado no solo. A associação simbiótica com os fungos da primeira comunidade e do produto comercial foi vantajosa no desenvolvimento das mudas do cajueiro, aos quatro meses da semeadura.