987 resultados para France XVIIIe siècle
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Mode of access: Internet.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Sujet peu abordé par l'historiographie helvétique, le château, comme « institution » et comme monument, est pourtant indissociable du paysage politique et culturel suisse au XVIIIe siècle. Lieu de pouvoir et de mémoire, centre administratif et agricole, création artistique marquante, il est pour les élites de l'époque le symbole même de la réussite sociale. Ce colloque interdisciplinaire cherche à comprendre de quelle manière le château est utilisé et habité par ces élites, quelles formes d'arts s'y développent et, plus largement, quel sens il conserve dans les petites républiques qui constituent la Suisse de l'Ancien Régime. Le château sera ainsi étudié comme centre économique et symbolique d'une entité seigneuriale. La perception qu'en avaient des patriciens soucieux de légitimer leur aptitude traditionnelle au commandement politique retiendra également l'attention, de même que la vie culturelle qui s'y développa, sous l'influence des Lumières. Son « programme » architectural sera comparé aux édifices féodaux plus anciens, afin de mettre en évidence comment les agencements du XVIII e siècle conjuguent tradition et modernité. L'intérêt se portera encore sur son décor intérieur et sur son mobilier, à la recherche de l'imaginaire iconographique qui entoure la vie hors la ville. Enfin, le jardin qui accompagne le château permettra de mettre en évidence l'inscription de l'édifice dans son cadre topographique.
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Boecio introdujo cambios notables en la consideración de algunas nociones filosóficas y teológicas, en particular en las de «persona», «esencia» y «eternidad». Estudio la evolución de estas tres ideas, representadas en los textos objeto de análisis por palabras y expresiones como «personne», «créature humaine» o «éternel». Para hacerlo, interrogo desde perspectivas diversas –léxica, semántica, sintáctica y pragmática–, un corpus compuesto por obras de reflexión (tratados, cartas, memorias...) escritos en francés por mujeres entre los siglos XIV y XVIII.
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À Paris, au XVIIIe siècle, le théâtre se propage dans l’ensemble des couches sociales. Il devient un outil privilégié pour diffuser les nouvelles idées de l’époque. Les spectateurs deviennent alors le centre d’attention des créateurs autant pour les auteurs dramatiques, que pour les acteurs. C’est l’évolution de cette interaction qui nous a intéressé : comment, par sa présence, le public a pu influencer les représentations ; mais aussi à l’inverse, comment ce théâtre a pu modifier le comportement de certains spectateurs. Afin de comprendre l’ensemble des aspects de cette relation, nous avons divisé notre mémoire en quatre sections. La diversité des profils sociaux des spectateurs qui se sont déplacés vers les salles ainsi que la multiplication des types de salles de spectacle qu’ils ont fréquentées tout au long du siècle seront abordées dans un premier temps. Par la suite, nous analyserons les particularités de la confrontation des attentes des spectateurs et des visés des créateurs. Ensuite, quels étaient les dispositifs mis à la disponibilité des créateurs pour répondre aux espérances du public, mais aussi y trouver leur gain ! Pour terminer, nous présenterons l’impact de la représentation sur le public une fois qu’il a quitté la salle de spectacle.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Thèse réalisée en cotutelle avec l'université Clermont 2 (Clermont-Ferrand, France)
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L'ouvrage commence (fol. 13) par : « Comme après le trespas de très haulte et très puissante princesse madame Anne de France... » et finit (fol. 258) par : «... le langaige mal aorné cueilly de ma nativite beaujoloyse, qui en fera l'excuse. Finis. Quant ce sera ». Il est précédé (fol. 1-10) premièrement d'une dédicace à « maistre Gilbert Bayart, conseiller du roy nostre sire, notaire et secretaire de ses finances », secondement, d'une autre dédicace à « hault et puissant seigneur messire Anne de Montmorency, chevalier de l'ordre du roy, seigneur dudit lieu, premier baron de l'Isle de France, mareschal et grant maistre », datée de Lyon, ce premier jour de janvier l'an mil cinq cens trente et ung » et suivies d'un prologue, dont les premiers mots sont : « Pour ce que depuys l'an mil troys cens cinquante... ». En différents endroits sont des corrections ou additions. Aux fol. 261-263 est une lettre de l'auteur à « François de Herville, notaire et secretaire du roy... commissaire des morte-payes de Guyenne », son frère, dans laquelle il lui annonce l'envoi de son ouvrage, et lui demande de le revoir, pour après le présenter à Gilbert Bayart. La fin du volume (fol. 265-284) est remplie par deux listes des évêchés et archevêchés du royaume, l'une pour la cotisation du clergé, l'autre pour la cotisation de la noblesse dans la contribution destinée à payer la rançon du roi François Ier et le « recouvrement » des dauphin et duc d'Orléans, ses enfants, prisonniers en Espagne. Sébastien Moreau, qui avait été chargé de la levée des décimes du clergé en Limousin, se proposait d'indiquer les sommes auxquelles les différents évêchés avaient été texés et les sommes reçues. Aucun chiffre n'y a malheureusement été mis. On a ajouté en tête du ms. (fol. A et B) une note, écrite au XVIIIe siècle, sur l'intérêt que présente cet ouvrage.
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Huit contes avec préface signée du maître du pavillon Lu tian.8 livres (manquent les livres 6 à 8).
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Les médecins et autres écrivains de l’Ancien Régime qui ont décrié les effets néfastes de la mise en nourrice l’ont tenue en partie responsable de la forte mortalité infantile. L’habitude de confier l’allaitement et les soins de l’enfant à une femme autre que sa mère est présente dès le XIIIe siècle dans les milieux aristocratiques français. Bourgeois et autres citadins feront de même dès le XVIIe siècle. Transportée outre-Atlantique par les colons du Canada, la mise en nourrice a laissé de nombreuses traces dans les sources paroissiales, notariales et judiciaires de la colonie. Les démographes et historiens se sont penchés sur le phénomène dans le cadre d’études portant sur différents groupes sociaux (noblesse, « bourgeoisie ») ou populations (ville de Québec et l’ensemble du Canada sous le Régime français). Ils ont privilégié l’étude des nourrissons et de leurs familles. Ce mémoire s’intéresse à la mise en nourrice à Montréal et aux alentours des années 1680 aux années 1760. Il s’emploie d’abord à suivre le parcours de 436 nourrissons, décédés pour la plupart en bas âge : milieu socio-professionnel des parents connus, profil démographique, lieu d’accueil par une nourrice. Il étudie ensuite 245 femmes qui ont pris soin de ces enfants : leur parcours migratoire, les différents paramètres socio-démographiques de leur existence. Plusieurs de nos observations correspondent à celles d’autres chercheurs ou, du moins, ne les contredisent pas, tout en offrant une perspective montréalaise sur le phénomène. Au chapitre de l’inédit, citons l’élargissement, au XVIIIe siècle, de la gamme des professions exercées par les pères de nourrissons, ainsi que l’existence de plus d’un profil de nourrice, du point de vue de l’âge (et de la capacité à allaiter), de l’état matrimonial et du degré de vulnérabilité.
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Ce mémoire étudie les autodafés de livres représentés dans trois textes français de la seconde moitié du XVIIIe siècle : l’article « Bibliomanie » (1752) de l’Encyclopédie, écrit par Jean le Rond D’Alembert, le roman l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais (1770) de Louis Sébastien Mercier et la comédie le Bureau d’esprit (1776-1777) de Jean-Jacques Rutlidge. Il révèle, chez ces auteurs, une critique du livre qui paradoxalement s’accompagne de sa défense. Le premier chapitre décrit succinctement la croissance de l’imprimé en France, à l’époque, l’évolution des goûts en matière de lecture, et un imaginaire du livre dans lequel entrent une impression d’envahissement et une grande admiration pour l’écrit. Les trois chapitres subséquents suivent l’ordre chronologique de parution des textes retenus et analysent les scènes de livres brûlés qu’ils contiennent. D’Alembert et Mercier, non sans réserves, aimeraient jeter au feu la majorité des livres qui les entourent. Rutlidge constitue un cas particulier : l’autodafé vise un ouvrage précis, soit une traduction française de Shakespeare. Le mémoire, en conclusion, évoque quatre textes plus récents où sont rapportés des autodafés de livres : le poème « À qui la faute ? » de Victor Hugo, le roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la pièce les Combustibles d’Amélie Nothomb et le roman les Corpuscules de Krause de Sandra Gordon. Reprenant des idées présentes chez D’Alembert, Mercier et Rutlidge, ces œuvres illustrent leur richesse.
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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal