117 resultados para Danseuse nue
Resumo:
La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.
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La présente recherche rend compte de la perception de leurs activités de huit femmes ayant pratiqué ou pratiquant toujours diverses formes d’activités sexuelles rémunérées dans un contexte hors rue. Les formes d’activités les plus souvent abordées sont la danse nue avec et sans contacts, l’escorte, le massage érotique et le phénomène communément appelé « sugar daddy », soit l’échange des services contre rémunération avec un client en particulier. Deux participantes de l’échantillon ont, parallèlement à leurs pratiques hors rue, exercé dans la rue. Le terme « pratiques sexuelles rémunérées » a été privilégié afin d’assurer une perspective neutre, c’est-à-dire sans parti pris a priori pour aucune des deux visions préexistantes par rapport au phénomène se situant à deux extrémités de ce que nous percevons plutôt être un continuum, soit la vision abolitionniste voulant que la « prostitution » soit une forme d’exploitation et de violence sexuelle commise principalement à l’égard des femmes, qui devrait être décriminalisée pour les femmes, mais criminalisée pour les clients et les proxénètes, et la vision soutenant que le « travail du sexe » est un choix qui constitue un travail comme un autre et, conséquemment, mérite d’être décriminalisé complètement, et ce, même pour les clients et les proxénètes. Notre approche visait essentiellement à permettre d’aller chercher les visions subjectives des femmes sur leur pratique, point de vue que nous retrouvons peu dans les écrits et les débats sur le sujet. La cadre théorique qui sous-tend notre analyse est celui de l’intersectionnalité. Les principales sources de discrimination ressorties sont l’âge, le statut socioéconomique, et l’origine ethnique pour une participante. Ces sources augmentent les facteurs de vulnérabilité faisant que les femmes se dirigent vers l’univers des pratiques sexuelles rémunérées, y demeurent ou parfois y retournent après un arrêt, ceci afin d’assurer leur subsistance, la consommation de substances psychoactives ou pour pouvoir rembourser des dettes et/ou se payer certains luxes. Le but de notre étude est de découvrir et de comprendre la perception des femmes quant à leur expérience associée à la pratique de différentes formes d’activités sexuelles rémunérées hors rue. Il s’agissait plus spécifiquement de décrire, comprendre et analyser la trajectoire ayant conduit les femmes vers la pratique d’activités sexuelles rémunérées; comprendre leurs trajectoires et leurs expériences en fonction des différents types de pratique, plus ou moins intense, plus ou moins variée et plus ou moins étendue dans le temps et, enfin, de situer leur perspective sur le continuum du débat social positionnant la pratique d’activités sexuelles rémunérées comme étant soit une forme d’exploitation ou une forme de travail comme un autre. Afin d’atteindre ces objectifs, une approche qualitative faite d’entretiens semi-dirigés auprès des femmes a été réalisée. Nous avons ainsi pu situer les perspectives des femmes sur un continuum où plusieurs trouvaient leur place dans des visions plus nuancées de leur réalité, alors que d’autres rejoignaient davantage une des deux visions polarisées. En effet, certaines ont vécu leur expérience essentiellement comme une forme d’exploitation et de violence à leur égard, alors que d’autres en traitent comme un choix et un travail comme un autre.
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Illustrated t.p.
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t. I. La lépreuse. L'holocauste.--t. II. Le masque L'enchantement.--t. III. Résurrection. Maman Colibri.--t. IV. La marche nuptiale. Poliche.--t. V. La femme nue. Le scandale.--t. VI. La vierge folle. Le songe d'un soir d'amour. La déclaration.--VII. Le phalène.--t. VIII. L'enfant de l'amour. Notre image.--t. IX. Les flambeaux. Les soeurs d'amour.--t. X. L'amazone. L'animateur.--t. XI. L'homme à la rose. La tendresse.--t. XII. La possession. La chair humaine.
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Sturgis' source: Mrs. A.L. Nue; Original photo by Revenaugh & Co., Photographic & Portrait Studio, No. 28 Huron St., upstairs
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Sturgis' source: Mrs. A.L. Nue; Original photo by Revenaugh & Co., Photographic & Portrait Studio, No. 28 Huron St., upstairs
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Au nombre des différents emplois issus de la grammaticalisation des deux formes itive (aller) et ventive (venir) (cf. Bres et Labeau 2010, à par.), on trouve le tour que Damourette et Pichon (1911-1936) ont proposé de nommer extraordinaire, dans lequel l’auxiliarisation des verbes de mouvement aller et venir « confère au verbe dont l’infinitif le suit un caractère dérangeant par rapport à l’ordre attendu des choses » (§ 1652). Dans le présent article, nous ne traiterons pas ce tour dans sa généralité (ce que nous faisons dans Bres et Labeau (2011, en préparation)) mais en analyserons une dimension, plus exactement une forme : lorsque l’extraordinaire est produit par venir, comme dans : (1) M'habiller ? – Oui. C'est pas prudent d'entrer nue comme ça chez trois vieux gars. Il vous arriverait des choses et après vous viendriez dire qu'on s'est conduits comme des goujats. Pourtant ce serait pas notre faute, mais la vôtre ! Elle éclata de rire, reconnaissant la voix et le style. (Vincenot Le Pape des escargots, 1972) (2) Quand vous avez des problèmes, je suis là pour vous aider, pour vous remonter le moral, mais quand c’est moi qui souffre, vous vous en foutez complètement. Et vous venez prétendre que vous êtes des amis… (internet) A l’inverse du tour où l’extraordinaire se signifie avec aller, l’extraordinaire avec venir a été fort peu étudié. Ce que nous entendons corriger par le présent travail. Notre corpus d’étude se compose de 500 occurrences, dont 90 avec venir. Il s’agissait au départ d’un corpus buissonnier, relevé au fil des lectures et des interactions verbales (50 occurrences). Nous l’avons élargi et complété ensuite par des recherches sur Frantext et sur Google. Nous commencerons par rappeler brièvement la façon dont nous concevons la grammaticalisation de aller et de venir (1.) Nous parcourrons ensuite les travaux antérieurs consacrés à l’extraordinaire, pour voir la place qu’ils accordent à venir (2.). Dans un troisième temps, nous positionnerons l’usage de venir dans ce tour par rapport à celui de aller ; nous rendrons compte de son moindre emploi par les restrictions dont il fait l’objet ; et nous pointerons l’évolution qui tend à se faire jour dans les pratiques quotidiennes familières actuelles (3.).
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Terrestrial and oceanic biomass carbon sinks help reduce anthropogenic CO2 emissions and mitigate the long-term effect of increasing atmospheric CO2. Woody plants have large carbon pools because of their long residence time, however N availability can negatively impact tree responses to elevated CO2. Seasonal cycling of internal N in trees is a component that contributes to fitness especially in N limited environments. It involves resorption from senescing leaves of deciduous trees and storage as vegetative storage proteins (VSP) in perennial organs. Populus is a model organism for tree biology that efficiently recycles N. Bark storage proteins (BSP) are the most abundant VSP that serves as seasonal N reserves. Here I show how poplar growth is influenced by N availability and how growth is influenced by shoot competition for stored N reserves. I also provide data that indicates that auxin mediates BSP catabolism during renewed shoot growth. Understanding the components of N accumulation, remobilization and utilization can provide insights leading to increasing N use efficiency (NUE) of perennial plants.
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Nitrogen (N) is an essential plant nutrient in maize production, and if considering only natural sources, is often the limiting factor world-wide in terms of a plant’s grain yield. For this reason, many farmers around the world supplement available soil N with synthetic man-made forms. Years of over-application of N fertilizer have led to increased N in groundwater and streams due to leaching and run-off from agricultural sites. In the Midwest Corn Belt much of this excess N eventually makes its way to the Gulf of Mexico leading to eutrophication (increase of phytoplankton) and a hypoxic (reduced oxygen) dead zone. Growing concerns about these types of problems and desire for greater input use efficiency have led to demand for crops with improved N use efficiency (NUE) to allow reduced N fertilizer application rates and subsequently lower N pollution. It is well known that roots are responsible for N uptake by plants, but it is relatively unknown how root architecture affects this ability. This research was conducted to better understand the influence of root complexity (RC) in maize on a plant’s response to N stress as well as the influence of RC on other above-ground plant traits. Thirty-one above-ground plant traits were measured for 64 recombinant inbred lines (RILs) from the intermated B73 & Mo17 (IBM) population and their backcrosses (BCs) to either parent, B73 and Mo17, under normal (182 kg N ha-1) and N deficient (0 kg N ha-1) conditions. The RILs were selected based on results from an earlier experiment by Novais et al. (2011) which screened 232 RILs from the IBM to obtain their root complexity measurements. The 64 selected RILs were comprised of 31 of the lowest complexity RILs (RC1) and 33 of the highest complexity RILs (RC2) in terms of root architecture (characterized as fractal dimensions). The use of the parental BCs classifies the experiment as Design III, an experimental design developed by Comstock and Robinson (1952) which allows for estimation of dominance significance and level. Of the 31 traits measured, 12 were whole plant traits chosen due to their documented response to N stress. The other 19 traits were ear traits commonly measured for their influence on yield. Results showed that genotypes from RC1 and RC2 significantly differ for several above-ground phenotypes. We also observed a difference in the number and magnitude of N treatment responses between the two RC classes. Differences in phenotypic trait correlations and their change in response to N were also observed between the RC classes. RC did not seem to have a strong correlation with calculated NUE (ΔYield/ΔN). Quantitative genetic analysis utilizing the Design III experimental design revealed significant dominance effects acting on several traits as well as changes in significance and dominance level between N treatments. Several QTL were mapped for 26 of the 31 traits and significant N effects were observed across the majority of the genome for some N stress indicative traits (e.g. stay-green). This research and related projects are essential to a better understanding of plant N uptake and metabolism. Understanding these processes is a necessary step in the progress towards the goal of breeding for better NUE crops.
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The use of green manures (GMs) in combination with nitrogen (N) fertilizer application is a promising practice to improve N fertilizer management in agricultural production systems. The main objective of this study was to evaluate the N use efficiency (NUE) of rice plant, derived from GMs including sunn hemp (Crotalaria juncea L.), millet (Pennisetum glaucum L.) and urea in the greenhouse. The experimental treatments included two GMs (sunn hemp-15N and millet-15N), absence of N organic source (without GM residues in soil) and four N rates, as urea-15N (0, 28.6, 57.2 and 85.8 mg N kg-1). The results showed that both rice grain and straw biomass yields under sunn hemp were greater than that of millet or without the application of GM. The NUE of rice under sunn hemp was greater than that under millet (18.9 and 7.8% under sunn hemp and millet, respectively). The urea N application rates did not affect the fertilizer NUE by rice (53.7%) with or without GMs. The NUE of GMs by rice plants ranged from 14.1% and 16.8% for root and shoot, respectively. The study showed that green manures can play an important role in enhancing soil fertility and N supply to subsequent crops.
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In most agroecosystems, nitrogen (N) is the most important nutrient limiting plant growth. One management strategy that affects N cycling and N use efficiency (NUE) is conservation agriculture (CA), an agricultural system based on a combination of minimum tillage, crop residue retention and crop rotation. Available results on the optimization of NUE in CA are inconsistent and studies that cover all three components of CA are scarce. Presently, CA is promoted in the Yaqui Valley in Northern Mexico, the country´s major wheat-producing area in which from 1968 to 1995, fertilizer application rates for the cultivation of irrigated durum wheat (Triticum durum L.) at 6 t ha-1 increased from 80 to 250 kg ha-1, demonstrating the high intensification potential in this region. Given major knowledge gaps on N availability in CA this thesis summarizes the current knowledge of N management in CA and provides insights in the effects of tillage practice, residue management and crop rotation on wheat grain quality and N cycling. Major aims of the study were to identify N fertilizer application strategies that improve N use efficiency and reduce N immobilization in CA with the ultimate goal to stabilize cereal yields, maintain grain quality, minimize N losses into the environment and reduce farmers’ input costs. Soil physical and chemical properties in CA were measured and compared with those in conventional systems and permanent beds with residue burning focusing on their relationship to plant N uptake and N cycling in the soil and how they are affected by tillage and N fertilizer timing, method and doses. For N fertilizer management, we analyzed how placement, time and amount of N fertilizer influenced yield and quality parameters of durum and bread wheat in CA systems. Overall, grain quality parameters, in particular grain protein concentration decreased with zero-tillage and increasing amount of residues left on the field compared with conventional systems. The second part of the dissertation provides an overview of applied methodologies to measure NUE and its components. We evaluated the methodology of ion exchange resin cartridges under irrigated, intensive agricultural cropping systems on Vertisols to measure nitrate leaching losses which through drainage channels ultimately end up in the Sea of Cortez where they lead to algae blooming. A throughout analysis of N inputs and outputs was conducted to calculate N balances in three different tillage-straw systems. As fertilizer inputs are high, N balances were positive in all treatments indicating the risk of N leaching or volatilization during or in subsequent cropping seasons and during heavy rain fall in summer. Contrary to common belief, we did not find negative effects of residue burning on soil nutrient status, yield or N uptake. A labeled fertilizer experiment with urea 15N was implemented in micro-plots to measure N fertilizer recovery and the effects of residual fertilizer N in the soil from summer maize on the following winter crop wheat. Obtained N fertilizer recovery rates for maize grain were with an average of 11% very low for all treatments.
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The Short Baseline Neutrino Program at Fermilab aims to confirm or definitely rule out the existence of sterile neutrinos at the eV mass scale. The program will perform the most sensitive search in both the nue appearance and numu disappearance channels along the Booster Neutrino Beamline. The far detector, ICARUS-T600, is a high-granularity Liquid Argon Time Projection Chamber located at 600 m from the Booster neutrino source and at shallow depth, thus exposed to a large flux of cosmic particles. Additionally, ICARUS is located 6 degrees off axis with respect to the Neutrino beam from the Main Injector. This thesis presents the construction, installation and commissioning of the ICARUS Cosmic Ray Tagger system, providing a 4 pi coverage of the active liquid argon volume. By exploiting only the precise nanosecond scale synchronization of the cosmic tagger and the PMT optical flashes it is possible to determine if an event was likely triggered by a cosmic particle. The results show that using the Top Cosmic Ray Tagger alone a conservative rejection larger than 65% of the cosmic induced background can be achieved. Additionally, by requiring the absence of hits in the whole cosmic tagger system it is possible to perform a pre-selection of contained neutrino events ahead of the full event reconstruction.