114 resultados para Décadence
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Translation of: Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence.
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t. 1-4 De l'ésprit des lois.--t. 5 Lettres persanes.--t 6. Considérations sur les causes de la grandeur des Romains, et de leur décadence.--t. 7. Le temple de Gnide. Arsace et Isméne. Poesies. Discours. Ebauche de l'éloge historique du maréchal de Berwick. Pensées diverses. t. 8. Lettres familières.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Historically, Salome was an unexceptional figure who never catalyzed John the Baptist's death. However, in Christian Scripture, she becomes the dancing seductress as fallen daughter of Eve. Her stepfather Herod promises Salome his kingdom if she dances for him, but she follows her mother’s wish to have John beheaded. In Strauss’s opera, after Wilde's Symbolist-Decadent play, Salome becomes independent of Herodias’ will, and the mythic avatar of the femme fatale and persecuted artist who Herod has killed after she kisses John's severed head. Her signature key of C# major, resolving to the C major sung by Herod and Jokanaan at her death, represent her tragic fate musically.
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Pilgrimage to Compostela was decreasing in the nineteenth century. This situation was still worse in France, where the number of pilgrims dwindled dramatically. In fact, there are not many travel narratives in this period, as no relevant French author showed any interest in this religious event. An analysis of these works reveals that the worship to Santiago was somehow considered by these authors a mere historical remnant with an aura of prestige. They allow almost no space for factual descriptions, and therefore used documentary sources to discuss the topic in their own texts. As a consequence, their knowledge of this universe became indirect and intertextual.
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Como ha advertido la crítica, el tópico de la decadencia latina es central para la historia y la literatura de las últimas décadas del siglo XIX. La imaginación histórica del fin-de-siècle vuelve una y otra vez a la caída del Imperio Romano de Occidente, acontecimiento al que se considera una suerte de prefiguración de la décadence del siglo XIX. Uno de los casos más interesantes de esta reflexión sobre la "decadencia latina" es À rebours (1884) de Joris Karl Huysmans, novela donde se formula explícitamente una teoría de la literatura decadente. Esta teoría permite poner en escena cuestiones tales como la evolución literaria, el uso de la tradición o la antítesis, común en el fin-de-siècle, entre materialismo y espiritualismo. La biblioteca del capítulo III de À rebours se presenta pues como un experimento de lectura sumamente interesante, dado que expresa el "anacronismo" propio de la décadence finisecular: des Esseintes se sirve de la latinidad para presentar una serie de problemáticas que son, sin embargo, netamente modernas.
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Parler d'une coopérative est parler d'une association autonome d'individus qui se sont mis ensemble afin de satisfaire leurs idéaux et leurs besoins économiques, sociaux ainsi que culturels par biais d'une entreprise dont les propriétaires sont les membres eux-mêmes et où le pouvoir est exercé démocratiquement. Une coopérative est donc une entreprise collective à responsabilité limitée qui cherche non seulement à combler les besoins économiques et sociaux de ses membres mais possède aussi un engagement envers la communauté. Elle est donc une combinaison de deux structures : l'une, associative (basée sur les règles démocratiques) et l'autre, entrepreneuriale (selon les règles de l'association). Par ailleurs, une coopérative est basée sur les valeurs de liberté, responsabilité, égalité et solidarité. Et pour que ces valeurs se concrétisent, il est nécessaire qu'ils respectent les sept principes du coopératisme international selon l'Alliance Coopérative Internationale : Adhésion volontaire et ouverte à tous, pouvoir démocratique exercé par les membres, participation économique des membres, autonomie et indépendance, éducation, formation et information pour les membres, coopération entre les coopératives, engagement envers la communauté. Étant donné la crise économique et sociale du monde, spécialement celle du Nicaragua, la formule coopérative vient apporter une réponse. Pour satisfaire leurs besoins économiques et sociaux, les personnes peuvent se regrouper et créer l'un ou l'autre type de coopératives. Celles-ci peuvent être de la typologie de producteurs, consommateurs ou de travailleurs. C'est le 30 avril 1914 qu'est né le coopératisme nicaraguayen. Mais, c'est en 1926 que se crée la première coopérative au Nicaragua. En 1944, le gouvernement de Somoza les reconnaît comme organisations légalement constituées selon le code du travail. Au cours des années 60, l'AID commence à promouvoir les coopératives d'épargne et de crédit. À la fin de ces années, on comptabilise 90 coopératives de cette typologie. Durant les années 70, les coopératives connaissent une croissance importante au Nicaragua spécialement dans le secteur de l'épargne et du crédit appuyées par William Bâez Sacasa par le biais de Funde (Fundaciôn Nicaraguense de Desarrollo). On développe 67 coopératives. Ce projet est bien accueilli dans toutes les régions du Nicaragua. Cet essor est toutefois de courte durée. Un changement politique et économique de 180 degrés dans le gouvernement national dans les années 80 fait en sorte que le grandiose projet coopératif s'effondre. Elles deviennent donc des refuges idéologiques de l'État-parti et vivent dans une situation d'échec économique et social. Actuellement, plusieurs de ces coopératives demeurent toujours sous la tutelle d'un parrain politique et continuent à vivre dans une situation chaotique parce qu'elles ne sont pas tout à fait autonomes et indépendantes. Cependant, de nouvelles coopératives surgissent au Nicaragua ou des anciennes coopératives renaissent des cendres, libres politiquement; elles font la démonstration à la Nation de la possibilité de leur existence et de leur développement. C'est grâce à leur croyances, leurs valeurs, aux principes coopératifs et à leur esprit entrepreneurial que des personnes crédibles et engagées au niveau local ont pu développer des coopératives avec l'appui de l'AID, le BID, WOCCU, FUNDE, entre autres. Pour mieux comprendre l'état actuel des coopératives au Nicaragua, il est important de connaître l'évolution politique et sociale de ce pays. D'abord, la famille Somoza a gouvernée le pays pendant 45 ans d’une manière dictatoriale. On l'accuse de s'enrichir avec l'argent des nicaraguayens. Cependant, l'économie du pays était alors en meilleur état qu'elle n'est aujourd'hui. Pendant cette période de temps est né le coopératisme. Mais, c'était en 1979 que les Somoza ont été renversés par les guérilleros de ligne marxiste, les sandinistes, qui ont gouverné aussi dictatorialement le pays en centralisant tout le pouvoir. L'État-partit était le seigneur de la vie politique, économique et sociale de tous les nicaraguayens. Même les coopératives ont été soumises au control de l'État sandiniste; c'est aussi durant cette période que de nombreuses coopératives ont été créées, surtout dans le secteur de la production agricole. Toutefois, celles-ci étaient devenues des noyaux d'expression idéologique. Après ce dur passage dans l'histoire de ce pays, les sandinistes ont dû procéder à des élections nationales en 1990, afin de connaître la position des citoyens suite à une douloureuse guerre civile. C'est ainsi que s'inscrit un nouvel épisode dans la vie politique, économique et sociale des nicaraguayens. Au cours des douze dernières années, le Nicaragua a eu trois présidents dans un régime démocratique. Ce sont Violeta Chamorro, Amoldo Alemân et, le tout dernier, Enrique Bolanos. Ces trois présidents ont fait en sorte que l'État ne soit plus celui qui contrôle tout. De grands changements se sont produits pour le mieux-être des nicaraguayens. La coopérative d'épargne et de crédit « Financiera Avances » L'essai rappelle l'histoire d'une coopérative dans une petite localité appelée Santo Tomás, Chontales au Nicaragua qui a su émerger d'une dure crise et qui a démontré sa capacité à devenir une coopérative solide et mûre par la persévérance, la ténacité, la foi et les valeurs de certains de ses membres. L'histoire de cette coopérative semble être un roman où de courageux protagonistes montrent leur valeur à travers de trois épisodes : sa naissance et [son] développement (1974-1982), sa décadence (1982-1993) et sa renaissance( 1993-...) [...]
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In this article I analyze the relationships between space and the main characters in La Tour d’amour, by Rachilde. More specifically I focus on how space has already stunned one of the character’s speech and communicative abilities and it is now in the process of impairing speech in the other. By analyzing the novelist’s use of myths, references to the divinity and, especially, the many instances that offer evidence of widespread corruption in the characters’ language, I show how the lighthouse in which the characters dwell can be interpreted as a decadent Tower of Babel.