112 resultados para Czechoslovakia


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Twenty-five years ago today the Velvet Revolution kicked off in what was then Czechoslovakia to bring an end to the one-party government of the Communist Party. This exclusive translation of a feature from the Czech journal A2 Cultural Bi-Weekly explains that the events of 1989 were about more than just Václav Havel, a playwright and leader in the revolution who was elected president in 1990. A generation of unfulfilled promises later, Czechs are struggling to revive the spirit of not only democracy and humanism, but also socialism. This article originally appeared in Ricochet, November 17, 2014.

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Vaclav Havel changed history as an advocate of freedom and universal human rights. A playwright, essayist, poet, dissident, and politician, Havel became a symbol of the civic opposition to the communist government in Czechoslovakia. After the Prague “Velvet Revolution” that toppled the communist regime, Havel became president of Czechoslovakia, and later the first president of the Czech Republic. Ten years ago, on September 21, 2002, President Vaclav Havel came to FIU and delivered memorable remarks about freedom and in support of a peaceful transition to democracy in Cuba. Madeleine K. Albright is Chair of Albright Stonebridge Group, a global strategy firm, and Chair of Albright Capital Management LLC, an investment advisory firm focused on emerging markets. She was the 64th Secretary of State of the United States. On May 29, 2012, Dr. Albright received the Presidential Medal of Freedom, the nation’s highest civilian honor, from President Obama. She received an honorary degree from FIU in 1996. Dr. Albright is a Professor in the Practice of Diplomacy at the Georgetown University School of Foreign Service. The panel discussion includes: Thomas Dine, President of the American Friends of the Czech Republic The Honorable Petr Gandalovic, Ambassador of the Czech Republic to the U.S. Carl Gershman, President of the National Endowment for Democracy Martin Palous, Director, Vaclav Havel Library, SIPA Senior Fellow Marifeli Perez-Stable, Interim Director, Latin American and Caribbean Center

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En 1989, la Pologne, la Hongrie, la Tchécoslovaquie et la République démocratique allemande (RDA) furent secouées par des mouvements de protestations qui précipitèrent la dissolution de leur régime communiste. Il est souvent admis, dans l’historiographie comme dans la mémoire populaire, que les intellectuels, dont plusieurs écrivains, ont joué un rôle déterminant lors de ces bouleversements. Or, l’analyse de la révolution en Allemagne de l’Est et des prises de position de son intelligentsia littéraire démontre qu’une telle conclusion s’applique mal à cet État : les auteurs phares de la RDA, qui se sont pourtant présentés pendant et après la révolution comme des victimes et des opposants au régime, n’ont jamais partagé les revendications anticommunistes de leurs concitoyens et ont conservé un discours socialiste. Ce mémoire entend expliquer cette réaction particulière des écrivains les mieux établis de l’Allemagne de l’Est – soit Christa Wolf, Heiner Müller, Stefan Heym, Volker Braun et Christoph Hein. En étudiant leurs textes non fictifs et en analysant la relation qu’ils entretenaient avec le régime, la population et l’idéologie promue en RDA, nous démontrerons que ces auteurs avaient développé, avant l’ouverture du mur de Berlin, une stratégie d’action alliant loyauté socialiste et critique de l’autoritarisme, ce qui leur avait permis de cumuler un important capital social et culturel. À l’automne 1989 et lors du processus de réunification allemande, l’intelligentsia littéraire a en fait agi en fonction de cette même stratégie ; celle-ci, toutefois, n’était pas adaptée aux nouvelles conditions sociales.

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International theory is replete with contested concepts, none more than state sovereignty. Although embodied in the UN Charter, it came under continuous strain during the early Cold War, culminating in the crucial year of 1956. Subsequent Soviet ideologists sought to justify the invasion of Czechoslovakia as „limited sovereignty”, dubbed by US analysts the "Brezhnev Doctrine". A few Western scholars thought this ended with the "non-invasion" of Poland in 1980-1981, but Russian archives reveal that it was not annulled until spring 1989.

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En 1989, la Pologne, la Hongrie, la Tchécoslovaquie et la République démocratique allemande (RDA) furent secouées par des mouvements de protestations qui précipitèrent la dissolution de leur régime communiste. Il est souvent admis, dans l’historiographie comme dans la mémoire populaire, que les intellectuels, dont plusieurs écrivains, ont joué un rôle déterminant lors de ces bouleversements. Or, l’analyse de la révolution en Allemagne de l’Est et des prises de position de son intelligentsia littéraire démontre qu’une telle conclusion s’applique mal à cet État : les auteurs phares de la RDA, qui se sont pourtant présentés pendant et après la révolution comme des victimes et des opposants au régime, n’ont jamais partagé les revendications anticommunistes de leurs concitoyens et ont conservé un discours socialiste. Ce mémoire entend expliquer cette réaction particulière des écrivains les mieux établis de l’Allemagne de l’Est – soit Christa Wolf, Heiner Müller, Stefan Heym, Volker Braun et Christoph Hein. En étudiant leurs textes non fictifs et en analysant la relation qu’ils entretenaient avec le régime, la population et l’idéologie promue en RDA, nous démontrerons que ces auteurs avaient développé, avant l’ouverture du mur de Berlin, une stratégie d’action alliant loyauté socialiste et critique de l’autoritarisme, ce qui leur avait permis de cumuler un important capital social et culturel. À l’automne 1989 et lors du processus de réunification allemande, l’intelligentsia littéraire a en fait agi en fonction de cette même stratégie ; celle-ci, toutefois, n’était pas adaptée aux nouvelles conditions sociales.

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El objetivo de este estudio de caso es analizar la forma en la cual la política exterior expansionista y racista del Tercer Reich repercutió en la invasión militar de Checoslovaquia y en la creación de un régimen fascista en Croacia. El surgimiento del Tercer Reich implicó el desencadenamiento de la Segunda Guerra Mundial, generando un cambio en la configuración del Sistema Internacional. Desde el ascenso de Hitler al poder en 1933, Alemania proyectó una discursiva racista y expansionista en su política exterior, con el objetivo de configurar un nuevo ordenamiento europeo. Por lo anterior, la política exterior del Tercer Reich justificó la invasión de Checoslovaquia basándose en los principios del espacio vital que permitieron adherir el territorio al Reich, e influyó en el ascenso del régimen fascista de Ante Pavelić en Croacia, quien colaboró para la consecución del interés nacional racial alemán.