786 resultados para Corporate Finance and Governance: Government Policy and Regulation


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This study investigates a longitudinal dataset consisting of financial and operational data from 37 listed companies listed on Vietnamese stock market, covering the period 2004-13. By performing three main types of regression analysis - pooled OLS, fixed-effect and random-effect regressions - the investigation finds mixed results on the relationships between operational scales, sources of finance and firms' performance, depending on the choice of analytical model and use of independent/dependent variables. In most situation, fixed-effect models appear to be preferable, providing for reasonably consistent results. Toward the end, the paper offers some further explanation about the obtained insights, which reflect the nature of a business environment of a transition economy and an emerging market.

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This paper seeks to draw out this focus on form in British public administration reform by focusing on the role that the idea of the corporate form has played in reform. Drawing on the codification of Foundation Trusts in the English NHS, I argue that, while accountability ought to be considered as a 'social space' in which conduct conducive to particular interests emerges, reformers tend to regard accountability as a function of appropriate procedures and forms. The turn to the corporate form relies on a hope that it will deliver various 'accountability' benefits will emerge. This hope, I argue, is misplaced

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Using ownership and control data for 890 firm‐years, this article examines the concentration of capital and voting rights in British companies in the second half of the nineteenth century. We find that both capital and voting rights were diffuse by modern‐day standards. However, this does not necessarily mean that there was a modern‐style separation of ownership from control in Victorian Britain. One major implication of our findings is that diffuse ownership was present in the UK much earlier than previously thought, and given that it occurred in an era with weak shareholder protection law, it somewhat undermines the influential law and finance hypothesis. We also find that diffuse ownership is correlated with large boards, a London head office, non‐linear voting rights, and shares traded on multiple markets.

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There is a body of academic literature addressing two issues of importance for leveling the playing field for all classes of investors: 1) the impact of institutional investors on liquidity; and 2) the impact of Regulation Fair Disclosure on institutional investors and liquidity. Our study addresses both issues with the purpose of attaining a better understanding and explanation of this relationship. We classify institutional ownership according to Bushee's (1998, 2001) methodology; transient institutions, dedicated institutions and quasi-indexers. Our results indicate that while transient institutions and quasi-indexers have a positive impact on liquidity, dedicated institutional ownership is negatively associated with liquidity. This result is consistent with prior theoretical studies. We also find that the effectiveness ofthe Regulation Fair Disclosure in improving liquidity is limited to firms with higher transient institutional ownership, whereas quasi-indexed institutions have not been significantly affected by the regulations. In fact, the liquidity of firms is lower for firms with higher dedicated institutional holdings, which is evidence of the "chilling effect".

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Les questions abordées dans les deux premiers articles de ma thèse cherchent à comprendre les facteurs économiques qui affectent la structure à terme des taux d'intérêt et la prime de risque. Je construis des modèles non linéaires d'équilibre général en y intégrant des obligations de différentes échéances. Spécifiquement, le premier article a pour objectif de comprendre la relation entre les facteurs macroéconomiques et le niveau de prime de risque dans un cadre Néo-keynésien d'équilibre général avec incertitude. L'incertitude dans le modèle provient de trois sources : les chocs de productivité, les chocs monétaires et les chocs de préférences. Le modèle comporte deux types de rigidités réelles à savoir la formation des habitudes dans les préférences et les coûts d'ajustement du stock de capital. Le modèle est résolu par la méthode des perturbations à l'ordre deux et calibré à l'économie américaine. Puisque la prime de risque est par nature une compensation pour le risque, l'approximation d'ordre deux implique que la prime de risque est une combinaison linéaire des volatilités des trois chocs. Les résultats montrent qu'avec les paramètres calibrés, les chocs réels (productivité et préférences) jouent un rôle plus important dans la détermination du niveau de la prime de risque relativement aux chocs monétaires. Je montre que contrairement aux travaux précédents (dans lesquels le capital de production est fixe), l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque dépend du degré des coûts d'ajustement du capital. Lorsque les coûts d'ajustement du capital sont élevés au point que le stock de capital est fixe à l'équilibre, une augmentation du paramètre de formation des habitudes entraine une augmentation de la prime de risque. Par contre, lorsque les agents peuvent librement ajuster le stock de capital sans coûts, l'effet du paramètre de la formation des habitudes sur la prime de risque est négligeable. Ce résultat s'explique par le fait que lorsque le stock de capital peut être ajusté sans coûts, cela ouvre un canal additionnel de lissage de consommation pour les agents. Par conséquent, l'effet de la formation des habitudes sur la prime de risque est amoindri. En outre, les résultats montrent que la façon dont la banque centrale conduit sa politique monétaire a un effet sur la prime de risque. Plus la banque centrale est agressive vis-à-vis de l'inflation, plus la prime de risque diminue et vice versa. Cela est due au fait que lorsque la banque centrale combat l'inflation cela entraine une baisse de la variance de l'inflation. Par suite, la prime de risque due au risque d'inflation diminue. Dans le deuxième article, je fais une extension du premier article en utilisant des préférences récursives de type Epstein -- Zin et en permettant aux volatilités conditionnelles des chocs de varier avec le temps. L'emploi de ce cadre est motivé par deux raisons. D'abord des études récentes (Doh, 2010, Rudebusch and Swanson, 2012) ont montré que ces préférences sont appropriées pour l'analyse du prix des actifs dans les modèles d'équilibre général. Ensuite, l'hétéroscedasticité est une caractéristique courante des données économiques et financières. Cela implique que contrairement au premier article, l'incertitude varie dans le temps. Le cadre dans cet article est donc plus général et plus réaliste que celui du premier article. L'objectif principal de cet article est d'examiner l'impact des chocs de volatilités conditionnelles sur le niveau et la dynamique des taux d'intérêt et de la prime de risque. Puisque la prime de risque est constante a l'approximation d'ordre deux, le modèle est résolu par la méthode des perturbations avec une approximation d'ordre trois. Ainsi on obtient une prime de risque qui varie dans le temps. L'avantage d'introduire des chocs de volatilités conditionnelles est que cela induit des variables d'état supplémentaires qui apportent une contribution additionnelle à la dynamique de la prime de risque. Je montre que l'approximation d'ordre trois implique que les primes de risque ont une représentation de type ARCH-M (Autoregressive Conditional Heteroscedasticty in Mean) comme celui introduit par Engle, Lilien et Robins (1987). La différence est que dans ce modèle les paramètres sont structurels et les volatilités sont des volatilités conditionnelles de chocs économiques et non celles des variables elles-mêmes. J'estime les paramètres du modèle par la méthode des moments simulés (SMM) en utilisant des données de l'économie américaine. Les résultats de l'estimation montrent qu'il y a une évidence de volatilité stochastique dans les trois chocs. De plus, la contribution des volatilités conditionnelles des chocs au niveau et à la dynamique de la prime de risque est significative. En particulier, les effets des volatilités conditionnelles des chocs de productivité et de préférences sont significatifs. La volatilité conditionnelle du choc de productivité contribue positivement aux moyennes et aux écart-types des primes de risque. Ces contributions varient avec la maturité des bonds. La volatilité conditionnelle du choc de préférences quant à elle contribue négativement aux moyennes et positivement aux variances des primes de risque. Quant au choc de volatilité de la politique monétaire, son impact sur les primes de risque est négligeable. Le troisième article (coécrit avec Eric Schaling, Alain Kabundi, révisé et resoumis au journal of Economic Modelling) traite de l'hétérogénéité dans la formation des attentes d'inflation de divers groupes économiques et de leur impact sur la politique monétaire en Afrique du sud. La question principale est d'examiner si différents groupes d'agents économiques forment leurs attentes d'inflation de la même façon et s'ils perçoivent de la même façon la politique monétaire de la banque centrale (South African Reserve Bank). Ainsi on spécifie un modèle de prédiction d'inflation qui nous permet de tester l'arrimage des attentes d'inflation à la bande d'inflation cible (3% - 6%) de la banque centrale. Les données utilisées sont des données d'enquête réalisée par la banque centrale auprès de trois groupes d'agents : les analystes financiers, les firmes et les syndicats. On exploite donc la structure de panel des données pour tester l'hétérogénéité dans les attentes d'inflation et déduire leur perception de la politique monétaire. Les résultats montrent qu'il y a évidence d'hétérogénéité dans la manière dont les différents groupes forment leurs attentes. Les attentes des analystes financiers sont arrimées à la bande d'inflation cible alors que celles des firmes et des syndicats ne sont pas arrimées. En effet, les firmes et les syndicats accordent un poids significatif à l'inflation retardée d'une période et leurs prédictions varient avec l'inflation réalisée (retardée). Ce qui dénote un manque de crédibilité parfaite de la banque centrale au vu de ces agents.

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Social housing policy in the UK mirrors wider processes Associated with shifts in broad welfare regimes. Social housing has moved from dominance by state housing provision to the funding of new investment through voluntary sector housing associations to what is now a greater focus on the regulation and private financing of these not-for-profit bodies. If these trends run their course, we are likely to see a range of not-for-profit bodies providing non-market housing in a highly regulated quasi-market. This paper examines these issues through the lens of new institutional economics, which it is believed can provide important insights into the fundamental contractual and regulatory relationships that are coming to dominate social housing from the perspective of the key actors in the sector (not-for-profit housing organisations, their tenants, private lenders and the regulatory state). The paper draws on evidence recently collected from a study evaluating more than 100 stock transfer organisations that inherited ex-public housing in Scotland, including 12 detailed case studies. The paper concludes that social housing stakeholders need to be aware of the risks (and their management) faced across the sector and that the state needs to have clear objectives for social housing and coherent policy instruments to achieve those ends.

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Behavioral finance, or behavioral economics, consists of a theoretical field of research stating that consequent psychological and behavioral variables are involved in financial activities such as corporate finance and investment decisions (i.e. asset allocation, portfolio management and so on). This field has known an increasing interest from scholar and financial professionals since episodes of multiple speculative bubbles and financial crises. Indeed, practical incoherencies between economic events and traditional neoclassical financial theories had pushed more and more researchers to look for new and broader models and theories. The purpose of this work is to present the field of research, still ill-known by a vast majority. This work is thus a survey that introduces its origins and its main theories, while contrasting them with traditional finance theories still predominant nowadays. The main question guiding this work would be to see if this area of inquiry is able to provide better explanations for real life market phenomenon. For that purpose, the study will present some market anomalies unsolved by traditional theories, which have been recently addressed by behavioral finance researchers. In addition, it presents a practical application of portfolio management, comparing asset allocation under the traditional Markowitz’s approach to the Black-Litterman model, which incorporates some features of behavioral finance.

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Although growth opportunities fade and profitability declines as firms mature, older firms are no more likely to be acquired than young firms are. This article documents and explains that phenomenon. We argue that, because mature organizations are rationally less flexible, they are more costly to integrate and therefore comparatively unattractive acquisition candidates. The evidence supports this explanation of the negative age dependence of takeover hazard. The evidence also shows that negative exogenous shocks to merger benefits further reduce the takeover hazard of mature firms. We test many alternative explanations and find no evidence that they can explain the hazard decline.

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This paper investigates whether managers rely on dividends to obtain a higher price in a stock offering and whether the stock price reaction to dividend and offering announcements justifies such a coordination. The evidence does not support either conjecture. Issuing firms are not more likely to pay or increase dividends than nonissuing forms. Moreover, there is little evidence that firms time stock offering announcements right after dividend declarations to befefit from the attendant information disclosure. The analysis of dividend and stock offering announcement effects suggests few if any benefits from linking divbidend and stock offering announcements.