460 resultados para Cinéma militant


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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.

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Questions relating to contemporary understandings of democracy continue to preoccupy the academic landscape, from politics to law—how does one define democracy; is it necessary to recalibrate the concept of democracy to meet the exigencies of the current global security "crisis" and, following from this, how does one understand (and control) the democratic relationship of representation and accountability between citizen and state? Although those writing on the recalibration of democratic theory come from different points of departure, they often arrive at a similar conclusion; namely that this global era poses significant challenges to contemporary understandings of democracy. This article identifies and focuses on one challenge posed by the concept of “militant” democracy against the backdrop of the Turkish case.

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Thesis (Ph.D.)--University of Washington, 2016-07

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Cette étude propose l’analyse de représentations queer dans le cinéma des années 2000. Plus précisément, elle porte sur la façon dont l’abus sexuel au masculin est représenté dans deux films produits en 2004, soit La mauvaise éducation (La mala educación), du réalisateur espagnol Pedro Almodovar, et Mysterious Skin, du réalisateur étatsunien Gregg Araki. À l’aide de la réflexion contenue dans Ça arrive aussi aux garçons : l’abus sexuel au masculin du sociologue Michel Dorais, l’objectif vise à démontrer comment cet événement traumatique influence de manière significative la construction identitaire et sexuelle des personnages principaux. De manière plus générale, ce mémoire positionne ces deux réalisateurs dans la grande et riche lignée du cinéma queer, qui met en scène des désirs hors norme et des identités sexuelles alternatives. Le premier chapitre porte sur les théories queer et ses diverses manifestations au grand écran. Il permet par la suite de réunir Almódovar et Araki dans une même étude et de souligner la pertinence de cette réunion. Le deuxième chapitre s’intéresse, à l’aide d’analyses d’extraits significatifs des films, à la façon dont chacun met en scène l’abus sexuel au masculin et comment cet événement se présente dans la vie des protagonistes. Le dernier chapitre se penche sur la construction identitaire et sexuelle des personnages principaux, afin de mieux comprendre l’incidence de l’abus sexuel. Jumelée aux travaux de Judith Butler, l’approche queer sera donc mise de l’avant dans cette étude qui se montre d’emblée attentive, d’un point de vue cinématographique, aux notions de sexe, de genre et de désir, et ce, à travers l’analyse de plusieurs extraits filmiques et d’éléments à la fois narratifs et structurels particulièrement significatifs quant à la représentation de l’abus sexuel au masculin.

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Cette recherche part d’un double intérêt. Pour la spiritualité, dont on entend beaucoup parler dans un 21e siècle inquiet et en quête de nouveaux repères. Et pour le cinéma, ou 7e art, phénomène culturel phare des temps modernes, qui reflète abondamment les problématiques et questionnements du monde. À une époque où on observe une tendance à l’homogénéisation culturelle, résultat de la mondialisation économique, cette thèse traite du « cinéma transnational ». Elles aussi, les œuvres de ce cinéma traversent l’espace planétaire, mais tout en conservant un solide ancrage local et une singularité artistique. Ce sont en bonne partie les films que l’on retrouve dans les festivals internationaux, tels Cannes, Venise et Berlin. Le cinéma traduisant toutes les interrogations possibles du présent, plusieurs films apparaissent donc porteurs d’un questionnement à portée spirituelle. Et ce, avec des moyens non discursifs, propres à l’art cinématographique. Ils invitent aussi à la rencontre de l’autre. L’objectif de la thèse consiste à décrire comment, par l’analyse d’une douzaine de films transnationaux, on peut dégager de nouveaux concepts sur la façon avec laquelle se vit la spiritualité à notre époque, en relation avec l’autre, et pourquoi cette spiritualité s’accompagne nécessairement de considérations éthiques. Pour accomplir cette tâche, la thèse s’appuie sur les travaux de deux philosophes, Gilles Deleuze (France) et Stanley Cavell (États-Unis), qui ont marqué les études cinématographiques au cours des dernières décennies, par des approches jugées complémentaires pour cette recherche. Le premier a développé sa pensée à partir de ce qui distingue le cinéma des autres arts, et le second, à partir de l’importance du cinéma pour les spectateurs et les spectatrices. Enfin, la thèse se veut une théologie, ou pensée théologico-philosophique, indépendante d’une tradition religieuse et au diapason des réalités du 21e siècle.

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This dissertation examines four life writings by militant-authors of the Việt Minh and Front de la Libération Nationale (FLN): Ngô Văn Chiêu’s Journal d’un combattant Viet-Minh (1955), Đặng Văn Việt’s De la RC 4 à la N 4: la campagne des frontières (2000), Si Azzedine’s On nous appelait fellaghas (1976), and Saadi Yacef’s two-volume La Bataille d’Alger (2002). In describing the Vietnamese and Algerian Revolutions through the perspectives of combatants who participated in their respective countries’ national liberation struggles, the texts reveal that four key factors motivated the militants and led them to believe that independence was historically inevitable: (1) a philosophical, political, and ideological framework, (2) the support of multiple segments of the local population, (3) the effective use of guerrilla and psychological warfare, and (4) military, moral, and political assistance provided by international allies. By fighting for the independence of their countries and documenting their revolutionary experiences, the four militant-authors leave their mark on the world using both the sword and the pen.

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Volet cinématographique d’une révolution d’ordre social, la Nouvelle Vague a cristallisé les changements qui ont bouleversé la société européenne au début des années soixante. De l’émancipation sexuelle à la mise en scène d’une jeunesse affranchie, elle sut se faire le miroir cinématographique d’une libération des mœurs qui fit entrer les Européens dans une ère nouvelle. Si une nouvelle conception du cinéma suffit à accorder une place de choix au mouvement dans son histoire, ses représentants ont également forgé une nouvelle figure du héros masculin dans le paysage cinématographique français. Loin des héros lisses de l'académisme ou de la gravité de ceux du réalisme poétique qui l'ont par exemple précédé, l'héroïsme conjugué par la Nouvelle Vague insufflait légèreté, oisiveté et désinvolture à des protagonistes dont le dilettantisme des acteurs Jean-Pierre Léaud et Jean-Paul Belmondo (par exemple) en constitua le parangon. Le travail de recherche dont il est ici question visera principalement à s’interroger sur la façon dont ce héros atypique semble s’être annexé aux voix du cinéma français contemporain qui en présentent une mosaïque de réinterprétations. Mouvement dont le rayonnement ne semble toujours pas s’être tari – son héritage est encore revendiqué par plusieurs cinéastes – et qui dépasse la sphère du cinéma, nous viserons surtout à rendre compte de la pérennité de la Nouvelle Vague à travers l'examen de la perpétuation de son héritage par de nouvelles générations d'auteurs. Ce projet de mémoire s'essaiera notamment à la définition d'une identité du héros cinématographique français contemporain qui ne nous semble a priori pas si éloignée de celle colportée dans les années soixante par les porte-étendards de la Nouvelle Vague.

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Nous proposons, dans ce mémoire, d’explorer les possibilités pratiques et pédagogiques d’une approche autopoïétique de la création sonore au cinéma. Notre principal souci sera de saisir les modalités de l’ascèse propre aux artistes qui se livrent à une telle activité, comprise comme un « apprentissage de soi par soi » (Foucault), afin de faire celui qui peut faire l’œuvre (processus de subjectivation), et le rôle descriptif et opératoire de cet exercice - en tant qu’effort pour penser de façon critique son propre savoir-faire -, dans le faire-œuvre et l’invention de possibles dans l’écriture audio-visuelle cinématographique. Pour ce faire, d’une part, nous étudierons, à partir de témoignages autopoïétiques, le rapport réflexif de trois créateurs sonores à leur pratique et leur effort pour penser (et mettre en place) les conditions d’une pratique et d’une esthétique du son filmique comme forme d’art sonore dans un contexte audio-visuel, alors qu’ils travaillent dans un cadre normalisant : Randy Thom, Walter Murch et Franck Warner. D’autre part, nous recourrons à différentes considérations théoriques (la théorie de l’art chez Deleuze et Guattari, la « surécoute » chez Szendy, l’histoire de la poïétique à partir de Valéry, etc.) et pratiques (la recherche musicale chez Schaeffer, la relation maître-apprenti, les rapports entre automatisme et pensée dans le cinéma moderne chez Artaud et Godard, etc.), afin de contextualiser et d’analyser ces expériences de création, avec l’objectif de problématiser la figure de l’artiste-poïéticien sur un plan éthique dans le sillage de la théorie des techniques de soi chez Foucault.

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Ce mémoire de recherche-création est accompagné du court métrage «Tala». Pour visionner en ligne : vimeo.com/ondemand/talapierphilippechevigny

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Volet cinématographique d’une révolution d’ordre social, la Nouvelle Vague a cristallisé les changements qui ont bouleversé la société européenne au début des années soixante. De l’émancipation sexuelle à la mise en scène d’une jeunesse affranchie, elle sut se faire le miroir cinématographique d’une libération des mœurs qui fit entrer les Européens dans une ère nouvelle. Si une nouvelle conception du cinéma suffit à accorder une place de choix au mouvement dans son histoire, ses représentants ont également forgé une nouvelle figure du héros masculin dans le paysage cinématographique français. Loin des héros lisses de l'académisme ou de la gravité de ceux du réalisme poétique qui l'ont par exemple précédé, l'héroïsme conjugué par la Nouvelle Vague insufflait légèreté, oisiveté et désinvolture à des protagonistes dont le dilettantisme des acteurs Jean-Pierre Léaud et Jean-Paul Belmondo (par exemple) en constitua le parangon. Le travail de recherche dont il est ici question visera principalement à s’interroger sur la façon dont ce héros atypique semble s’être annexé aux voix du cinéma français contemporain qui en présentent une mosaïque de réinterprétations. Mouvement dont le rayonnement ne semble toujours pas s’être tari – son héritage est encore revendiqué par plusieurs cinéastes – et qui dépasse la sphère du cinéma, nous viserons surtout à rendre compte de la pérennité de la Nouvelle Vague à travers l'examen de la perpétuation de son héritage par de nouvelles générations d'auteurs. Ce projet de mémoire s'essaiera notamment à la définition d'une identité du héros cinématographique français contemporain qui ne nous semble a priori pas si éloignée de celle colportée dans les années soixante par les porte-étendards de la Nouvelle Vague.

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Nous proposons, dans ce mémoire, d’explorer les possibilités pratiques et pédagogiques d’une approche autopoïétique de la création sonore au cinéma. Notre principal souci sera de saisir les modalités de l’ascèse propre aux artistes qui se livrent à une telle activité, comprise comme un « apprentissage de soi par soi » (Foucault), afin de faire celui qui peut faire l’œuvre (processus de subjectivation), et le rôle descriptif et opératoire de cet exercice - en tant qu’effort pour penser de façon critique son propre savoir-faire -, dans le faire-œuvre et l’invention de possibles dans l’écriture audio-visuelle cinématographique. Pour ce faire, d’une part, nous étudierons, à partir de témoignages autopoïétiques, le rapport réflexif de trois créateurs sonores à leur pratique et leur effort pour penser (et mettre en place) les conditions d’une pratique et d’une esthétique du son filmique comme forme d’art sonore dans un contexte audio-visuel, alors qu’ils travaillent dans un cadre normalisant : Randy Thom, Walter Murch et Franck Warner. D’autre part, nous recourrons à différentes considérations théoriques (la théorie de l’art chez Deleuze et Guattari, la « surécoute » chez Szendy, l’histoire de la poïétique à partir de Valéry, etc.) et pratiques (la recherche musicale chez Schaeffer, la relation maître-apprenti, les rapports entre automatisme et pensée dans le cinéma moderne chez Artaud et Godard, etc.), afin de contextualiser et d’analyser ces expériences de création, avec l’objectif de problématiser la figure de l’artiste-poïéticien sur un plan éthique dans le sillage de la théorie des techniques de soi chez Foucault.

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Ce mémoire de recherche-création est accompagné du court métrage «Tala». Pour visionner en ligne : vimeo.com/ondemand/talapierphilippechevigny

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A year ago, I became aware of the historical existence of the group CERFI— Le centre d’etudes, de recherches, et de formation institutionelles, or The Study Center for Institutional Research and Formation. CERFI emerged in 1967 under the hand of Lacanian psychiatrist and Trotskyite activist Félix Guattari, whose antonymous journal Recherches chronicled the group’s subversive experiences, experiments, and government-sponsored urban projects. It was a singularly bizarre meeting of the French bureaucracy with militant activist groups, the French intelligentsia, and architectural and planning practitioners at the close of the ‘60s. Nevertheless, CERFI’s analysis of the problems of society was undertaken precisely from the perspective of the state, and the Institute acknowledged a “deep complicity between the intellectual and statesman ... because the first critics of the State, are officials themselves!”1 CERFI developed out of FGERI (The Federation of Groups for Institutional Study and Research), started by Guattari two years earlier. While FGERI was created for the analysis of mental institutions stemming from Guattari’s work at La Borde, an experimental psychiatric clinic, CERFI marks the group’s shift toward urbanism—to the interrogation of the city itself. Not only a platform for radical debate on architecture and the city, CERFI was a direct agent in the development of urban planning schemata for new towns in France. 2 CERFI’s founding members were Guattari, the economist and urban theorist François Fourquet, feminist philosopher Liane Mozère, and urban planner and editor of Multitides Anne Querrien—Guattari’s close friend and collaborator. The architects Antoine Grumback, Alain Fabre, Macary, and Janine Joutel were also members, as well as urbanists Bruno Fortier, Rainier Hoddé, and Christian de Portzamparc. 3 CERFI was the quintessential social project of post-‘68 French urbanism. Located on the Far Left and openly opposed to the Communist Party, this Trotskyist cooperative was able to achieve what other institutions, according to Fourquet, with their “customary devices—the politburo, central committee, and the basic cells—had failed to do.”4 The decentralized institute recognized that any formal integration of the group was to “sign its own death warrant; so it embraced a skein of directors, entangled, forming knots, liquidating all at once, and spinning in an unknown direction, stopping short and returning back to another node.” Allergic to the very idea of “party,” CERFI was a creative project of free, hybrid-aesthetic blocs talking and acting together, whose goal was none other than the “transformation of the libidinal economy of the militant revolutionary.” The group believed that by recognizing and affirming a “group unconscious,” as well as their individual unconscious desires, they would be able to avoid the political stalemates and splinter groups of the traditional Left. CERFI thus situated itself “on the side of psychosis”—its confessed goal was to serve rather than repress the utter madness of the urban malaise, because it was only from this mad perspective on the ground that a properly social discourse on the city could be forged.

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On 9 January 1927 Le Corbusier materialised on the front cover of the Faisceau journal edited by Georges Valois Le Nouveau Siècle which printed the single-point perspective of Le Corbusier’s Plan Voisin and an extract from the architect’s discourse in Urbanisme. In May Le Corbusier presented slides of his urban designs at a fascist rally. These facts have been known ever since the late 1980s when studies emerged in art history that situated Le Corbusier’s philosophy in relation to the birth of twentieth-century fascism in France—an elision in the dominant reading of Le Corbusier’s philosophy, as a project of social utopianism, whose received genealogy is Saint-Simon and Charles Fourier. Le Corbusier participated with the first group in France to call itself fascist, Valois’s militant Faisceau des Combattants et Producteurs, the “Blue Shirts,” inspired by the Italian “Fasci” of Mussolini. Thanks to Mark Antliff, we know the Faisceau did not misappropriate Le Corbusier’s plans, in some remote quasi-symbolic sense, rather Valois’s organisation was premised on the redesign of Paris based on Le Corbusier’s schematic designs. Le Corbusier’s Urbanisme was considered the “prodigious” model for the fascist state Valois called La Cité Française – after his mentor the anarcho-syndicalist Georges Sorel. Valois stated that Le Corbusier’s architectural concepts were “an expression of our profoundest thoughts,” the Faisceau, who “saw their own thought materialized” on the pages of Le Corbusier’s plans. The question I pose is, In what sense is Le Corbusier’s plan a complete representation of La Cité? For Valois, the fascist city “represents the collective will of La Cité” invoking Enlightenment philosophy, operative in Sorel, namely Rousseau, for whom the notion of “collective will” is linked to the idea of political representation: to ‘stand in’ for someone or a group of subjects i.e. the majority vote. The figures in Voisin are not empty abstractions but the result of “the will” of the “combatant-producers” who build the town. Yet, the paradox in anarcho-syndicalist anti-enlightenment thought – and one that became a problem for Le Corbusier – is precisely that of authority and representation. In Le Corbusier’s plan, the “morality of the producers” and “the master” (the transcendent authority that hovers above La Cité) is lattened into a single picture plane, thereby abolishing representation. I argue that La Cité pushed to the limits of formal abstraction by Le Corbusier thereby reverts to the Enlightenment myth it first opposed, what Theodor Adorno would call the dialectic of enlightenment.

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This paper examines art and artefact in the representation and recollection of deeply personal WWII women’s experiences as POW’s under the Japanese. This kind of treatment of internees in the Tjideng Women and Children’s internment camp (and others) in Batavia under the Japanese in WWII, stands in stark and brutal contrast to the idyllic life lived by many families up to that time in what was then known as the Dutch East Indies (Indonesia). The deprivation and brutality of the Japanese incarceration of these women and children evoked responses - not military, but certainly militant, if muted. Representations of those responses – as both art and artefact - may be found in the most unlikely places and unexpected forms - and are still being unearthed to this day. However close we might personally be to these artists and artisans, can we, as observers from a distance, ever truly comprehend through spoken or written words alone, the day-today realities of those extraordinary times?