957 resultados para Capital Gains Tax
Resumo:
El discurso del gobierno de la provincia de Córdoba apuesta a una ciudad de las tecnologías. El modelo elegido privilegia el lugar de las empresas de software y los call centers, especialmente aquellos liderados por capitales extranjeros. A los fines de presentar algunos interrogantes sobre las políticas de promoción industrial, se tomarán como punto de partida los recientes anuncios del desembarco de Intel en Córdoba y se analizarán los beneficios ofrecidos por el gobierno. Además se indagará acerca de las ventajas y desventajas de favorecer la localización de estas empresas, y se ampliará el campo de estudio para incluir las empresas de capitales locales que participan en estas ramas productivas. De esta forma se busca iniciar un debate y reflexionar acerca del impacto del modelo adoptado por el gobierno provincial.
Resumo:
To prepare an answer to the question of how a developing country can attract FDI, this paper explored the factors and policies that may help bring FDI into a developing country by utilizing an extended version of the knowledge-capital model. With a special focus on the effects of FTAs/EPAs between market countries and developing countries, simulations with the model revealed the following: (1) Although FTA/EPA generally ends to increase FDI to a developing country, the possibility of improving welfare through increased demand for skilled and unskilled labor becomes higher as the size of the country declines; (2) Because the additional implementation of cost-saving policies to reduce firm-type/trade-link specific fixed costs ends to depreciate the price of skilled labor by saving its input, a developing country, which is extremely scarce in skilled labor, is better off avoiding the additional option; (3) If a country hopes to enjoy larger welfare gains with EPA, efforts to increase skilled labor in the country, such as investing in education, may be beneficial.
Resumo:
As várias teorias acerca da estrutura de capital despertam interesse motivando diversos estudos sobre o assunto sem, no entanto, ter um consenso. Outro tema aparentemente pouco explorado refere-se ao ciclo de vida das empresas e como ele pode influenciar a estrutura de capital. Este estudo teve como objetivo verificar quais determinantes possuem maior relevância no endividamento das empresas e se estes determinantes alteram-se dependendo do ciclo de vida da empresa apoiada pelas teorias Trade Off, Pecking Order e Teoria da Agência. Para alcançar o objetivo deste trabalho foi utilizado análise em painel de efeito fixo sendo a amostra composta por empresas brasileiras de capital aberto, com dados secundários disponíveis na Economática® no período de 2005 a 2013, utilizando-se os setores da BM&FBOVESPA. Como resultado principal destaca-se o mesmo comportamento entre a amostra geral, alto e baixo crescimento pelo endividamento contábil para o determinante Lucratividade apresentando uma relação negativa, e para os determinantes Oportunidade de Crescimento e Tamanho, estes com uma relação positiva. Para os grupos de alto e baixo crescimento alguns determinantes apresentaram resultados diferentes, como a singularidade que resultou significância nestes dois grupos, sendo positiva no baixo crescimento e negativa no alto crescimento, para o valor colateral dos ativos e benefício fiscal não dívida apresentaram significância apenas no grupo de baixo crescimento. Para o endividamento a valor de mercado foi observado significância para o Benefício fiscal não dívida e Singularidade. Este resultado reforça o argumento de que o ciclo de vida influência a estrutura de capital.
Resumo:
Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
Defining Europe's Capital Markets Union. Bruegel Policy Contribution Issue 2014/12, 13 November 2014
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The new European Commission has signalled that it will work to create a ‘capital markets union’. This is understood as an agenda to expand the non-bank part of Europe’s financial system, which is currently underdeveloped. The aim in the short term is to unlock credit provision as banks are deleveraging, and in the longer term, to favour a more diverse, competitive and resilient financial system. Direct regulation of individual non-bank market segments (such as securitisation, private placements or private equity) might be useful at the margin, but will not per se lead to significant capital markets development or the rebalancing of Europe’s financial system away from the current dominance by banks. To reach these goals, the capital markets union agenda must be broadened to address the framework conditions for the development of individual market segments. Six possible areas for policy initiative are, in increasing order of potential impact and political difficulty: regulation of securities and specific forms of intermediation; prudential regulation, especially of insurance companies and pension funds; regulation of accounting, auditing and financial transparency requirements that apply to companies that seek external finance; a supervisory framework for financial infrastructure firms, such as central counterparties, that supports market integration; partial harmonisation and improvement of insolvency and corporate restructuring frameworks;and partial harmonisation or convergence of tax policies that specifically affect financial investment.
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Measuring human capital has been a significant challenge for economists because the main variable of interest is intangible and not directly observable. In the Middle Eastern and Northern African region the task is further complicated by the general scarcity of comparable and reliable data. This study overcomes these challenges by relying on a unique international survey that covers most of the region and by deriving a market-based measure that uses returns to education and various labour market factors as guidance. The results show that private returns to schooling are relatively low in most southern Mediterranean countries (SMC). Israel and Turkey are clear outliers, surpassing even the EU-MED averages. In Algeria and Jordan, the returns are almost flat, implying that earnings do not respond significantly to education levels. Despite high attainment levels, Greece, Spain and Portugal also perform badly; only marginally surpassing some of the bottom-ranked SMC, providing evidence of problems in absorption capacity. The baseline scenarios for 2030 show substantial sensitivity to current estimates on returns to education. In particular, improving attainment levels can produce measurable gains in the future only when the returns to education are already high. Such is the case for Egypt, Morocco and Turkey, which substantially improve their human capital stocks under the baseline scenarios, surpassing several EU-MED countries with little or no room for improvement.
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While most academic and practitioner researchers agree that a country’s commercial banking sector’s soundness is a very significant indicator of a country’s financial market health, there is considerably less agreement and substantial confusion surrounding what constitutes a healthy bank in the aftermath of 2007+ financial crisis. Global banks’ balance sheets, corporate governance, management compensation and bonuses, toxic assets, and risky behavior are all under scrutiny as academics and regulators alike are trying to quantify what are “healthy, safe and good practices” for these various elements of banking. The current need to quantify, measure, evaluate, and compare is driven by the desire to spot troubled banks, “bad and risky” behavior, and prevent real damage and contagion in the financial markets, investors, and tax payers as it did in the recent crisis. Moreover, future financial crisis has taken on a new urgency as vast amounts of capital flows (over $1 trillion) are being redirected to emerging markets. This study differs from existing methods in the literature as it entail designing, constructing, and validating a critical dimension of financial innovation in respect to the eight developing countries in the South Asia region as well as eight countries in emerging Europe at the country level for the period 2001 – 2008, with regional and systemic differentials taken into account. Preliminary findings reveal that higher stages of payment systems development have generated efficiency gains by reducing the settlement risk and improving financial intermediation; such efficiency gains are viewed as positive financial innovations and positively impact the banking soundness. Potential EU candidate countries: Albania; Montenegro; Serbia
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Cette thèse est une collection de trois articles en macroéconomie et finances publiques. Elle développe des modèles d'Equilibre Général Dynamique et Stochastique pour analyser les implications macroéconomiques des politiques d'imposition des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Le premier chapitre analyse les mécanismes de transmission à l'économie, des effets d'un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises. Dans une économie constituée d'un gouvernement, d'une firme représentative et d'un ménage représentatif, j'élabore un théorème de l'équivalence ricardienne avec l'impôt sur le profit des entreprises. Plus particulièrement, j'établis que si les marchés financiers sont parfaits, un ré-échelonnement de l'impôt sur le profit des entreprises qui ne change pas la valeur présente de l'impôt total auquel l'entreprise est assujettie sur toute sa durée de vie n'a aucun effet réel sur l'économie si l'état utilise un impôt forfaitaire. Ensuite, en présence de marchés financiers imparfaits, je montre qu'une une baisse temporaire de l'impôt forfaitaire sur le profit des entreprises stimule l'investissement parce qu'il réduit temporairement le coût marginal de l'investissement. Enfin, mes résultats indiquent que si l'impôt est proportionnel au profit des entreprises, l'anticipation de taxes élevées dans le futur réduit le rendement espéré de l'investissement et atténue la stimulation de l'investissement engendrée par la réduction d'impôt. Le deuxième chapitre est écrit en collaboration avec Rui Castro. Dans cet article, nous avons quantifié les effets sur les décisions individuelles d'investis-sement et de production des entreprises ainsi que sur les agrégats macroéconomiques, d'une baisse temporaire de l'impôt sur le profit des entreprises en présence de marchés financiers imparfaits. Dans un modèle où les entreprises sont sujettes à des chocs de productivité idiosyncratiques, nous avons d'abord établi que le rationnement de crédit affecte plus les petites (jeunes) entreprises que les grandes entreprises. Pour des entreprises de même taille, les entreprises les plus productives sont celles qui souffrent le plus du manque de liquidité résultant des imperfections du marché financier. Ensuite, nous montré que pour une baisse de 1 dollar du revenu de l'impôt, l'investissement et la production augmentent respectivement de 26 et 3,5 centimes. L'effet cumulatif indique une augmentation de l'investissement et de la production agrégés respectivement de 4,6 et 7,2 centimes. Au niveau individuel, nos résultats indiquent que la politique stimule l'investissement des petites entreprises, initialement en manque de liquidité, alors qu'elle réduit l'investissement des grandes entreprises, initialement non contraintes. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse des effets de la réforme de l'imposition des revenus d'entreprise proposée par le Trésor américain en 1992. La proposition de réforme recommande l'élimination des impôts sur les dividendes et les gains en capital et l'imposition d'une seule taxe sur le revenu des entreprises. Pour ce faire, j'ai eu recours à un modèle dynamique stochastique d'équilibre général avec marchés financiers imparfaits dans lequel les entreprises sont sujettes à des chocs idiosyncratiques de productivité. Les résultats indiquent que l'abolition des impôts sur les dividendes et les gains en capital réduisent les distorsions dans les choix d'investissement des entreprises, stimule l'investissement et entraîne une meilleure allocation du capital. Mais pour être financièrement soutenable, la réforme nécessite un relèvement du taux de l'impôt sur le profit des entreprises de 34\% à 42\%. Cette hausse du taux d'imposition décourage l'accumulation du capital. En somme, la réforme engendre une baisse de l'accumulation du capital et de la production respectivement de 8\% et 1\%. Néanmoins, elle améliore l'allocation du capital de 20\%, engendrant des gains de productivité de 1.41\% et une modeste augmentation du bien être des consommateurs.
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Mode of access: Internet.
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"Bids will be received until 11:00 A.M. Central Standard Time, Wednesday, December 6, 1995 at the James R. Thompson Center, 100 West Randolph, Capital Development Board Room, 14th Floor, Chicago, Ill."
Resumo:
"Bids will be received until 11:00 A.M. Central Standard Time, Thursday, January 27, 1994 at the James R. Thompson Center, 100 West Randolph, Capital Development Board Room, 14th Floor, Chicago, Ill."
Resumo:
"March 4, 1986"--Pt. 5.
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Shipping list no: 86-162-P.
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A dividend imputation tax system provides shareholders with a credit (for corporate tax paid) that can be used to offset personal tax on dividend income. This paper shows how to infer the value of imputation tax credits from the prices of derivative securities that are unique to Australian retail markets. We also test whether a tax law amendment that was designed to prevent the trading of imputation credits affected their economic value. Before the amendment, tax credits were worth up to 50% of face value in large, high-yielding companies, but Subsequently it is difficult to detect any value at all. (C) 2003 Elsevier B.V. All rights reserved.
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As várias teorias acerca da estrutura de capital despertam interesse motivando diversos estudos sobre o assunto sem, no entanto, ter um consenso. Outro tema aparentemente pouco explorado refere-se ao ciclo de vida das empresas e como ele pode influenciar a estrutura de capital. Este estudo teve como objetivo verificar quais determinantes possuem maior relevância no endividamento das empresas e se estes determinantes alteram-se dependendo do ciclo de vida da empresa apoiada pelas teorias Trade Off, Pecking Order e Teoria da Agência. Para alcançar o objetivo deste trabalho foi utilizado análise em painel de efeito fixo sendo a amostra composta por empresas brasileiras de capital aberto, com dados secundários disponíveis na Economática® no período de 2005 a 2013, utilizando-se os setores da BM&FBOVESPA. Como resultado principal destaca-se o mesmo comportamento entre a amostra geral, alto e baixo crescimento pelo endividamento contábil para o determinante Lucratividade apresentando uma relação negativa, e para os determinantes Oportunidade de Crescimento e Tamanho, estes com uma relação positiva. Para os grupos de alto e baixo crescimento alguns determinantes apresentaram resultados diferentes, como a singularidade que resultou significância nestes dois grupos, sendo positiva no baixo crescimento e negativa no alto crescimento, para o valor colateral dos ativos e benefício fiscal não dívida apresentaram significância apenas no grupo de baixo crescimento. Para o endividamento a valor de mercado foi observado significância para o Benefício fiscal não dívida e Singularidade. Este resultado reforça o argumento de que o ciclo de vida influência a estrutura de capital