965 resultados para Aurelia (1er s. av. J.-C.) -- Portraits


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La ville préhispanique de Cantona, située dans la vallée d’Oriental dans l’état de Puebla au Mexique, atteignit sa première apogée culturelle entre 150 av. J.C. et 600/650 A.D. Durant cette période, des complexes cérémoniaux comprenant des groupes de pyramides-temples et des terrains de jeu de balle furent construits. Ces installations servirent au déroulement de nombreux rites au cours desquels les victimes de sacrifices étaient décapitées, démembrées, décharnées, écorchées, bouillies, brûlées et, dans certains cas, consommées. D’autres traitements du corps humain comportent l’inhumation d’individus en position assise et repliés sur eux-mêmes. Pour mieux comprendre le traitement mortuaire rituel des corps humains à Cantona, les découvertes faites sur place sont comparées aux données datant de la même époque obtenues dans trois régions voisines : la vallée de Mexico, Puebla-Tlaxcala et le golfe du Mexique. A partir de ces renseignements, on peut en déduire que la majorité des découvertes faites à Cantona sont les restes des dépouilles et offrandes provenant de rites destinés à la communication avec les dieux et à l’obtention de la fertilité, tandis que les dépouilles des individus en position assise appartiennent à des prêtres ou à des personnages religieux.

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Thèse doctorale effectuée en cotutelle au département d'histoire de l'Université de Montréal et à l'École doctorale d'archéologie de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne - UMR 7041, Archéologies et Sciences de l'Antiquité - Archéologie du monde grec.

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La civilisation de l’Indus marque les esprits par une apparente uniformité de la culture matérielle sur la totalité de son territoire (environ 1 million de km carré) durant sa période d’apogée (2600-1900 av. J.-C.). Cette étude cherche à tester deux hypothèses qui pourraient expliquer cette homogénéité : 1) Un pouvoir centralisateur contrôlant la production artisanale; et 2) Un vaste réseau d’échanges et de distribution de la production. Dans ce but, la grande majorité des publications accessibles portant sur la production artisanale d’objets en céramique, en pierres semi-précieuses, en coquillage et en métal ont été inventoriées et analyses. Axée sur la spécialisation du travail artisanal, l’étude a identifié quelques objets dits de prestige (perles classiques harappéennes, bracelets en grès cérame) très probablement liés à une élite. La nature de cette élite est ensuite examinée et un nouveau modèle d’organisation sociopolitique de cette civilisation est propos.

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Thrasymaque de Chalcédoine, un sophiste de renom dans l'Athènes du Ve siècle av. J.C. est présenté comme l'interlocuteur principal de Socrate dans le livre I de la République. Il y est surtout question de la justice et des implications qui en découlent, Socrate et Thrasymaque ne s'entendant évidemment pas sur la nature de la justice. Thrasymaque, poussé par le questionnement constant de Socrate, en vient à formuler différentes thèses sur la justice, notamment : «Je soutiens, moi, que le juste n'est rien d'autre que l'intérêt du plus fort» (Rép. 338c) et «la justice et le juste constituent en réalité le bien d'un autre.» (Rép. 343c) Parallèlement, il oppose au philosophe une vision de la justice difficile à accepter, mais aussi difficile à réfuter : celui qui commet l'injustice est plus heureux que celui qui agit en fonction de la justice. Ainsi, pour Thrasymaque, l'injuste est meilleur que le juste et est plus heureux, car l'injustice est plus profitable pour soi-même. Selon cette vision, qu'est-ce donc que la justice, et en quoi n'est-elle pas profitable pour soi-même? L'objectif de ce mémoire sera de faire ressortir positivement la conception de la justice de Thrasymaque, car c'est avec elle qu'entre en conflit la recherche du bonheur. En effet, si la justice est la représentation des intérêts du dirigeant, comme l'avance le sophiste, alors être juste n'est rien d'autre qu'agir en fonction des intérêts d'autrui et non de soi-même. Cependant, dans une Cité où les individus sont sous la gouverne de la loi, il n'est pas si simple d'agir toujours selon ses propres intérêts lorsque ceux-ci sont contraires à la justice. C'est pourquoi il sera également pertinent de s'attarder aux caractéristiques et aux vertus qu'un individu doit posséder, selon Thrasymaque, pour être heureux. Nous essaierons donc de dégager de la pense de Thrasymaque un modèle de vie à suivre : le κρείττων. En dernière analyse, nous mettrons en relief la position de Thrasymaque avec la critique platonicienne. Pour Socrate, la position voulant que l'injustice soit profitable est difficile, car il lui faudra montrer que c'est en fait la justice qui apporte le bonheur, en tant qu'elle est une vertu de l'âme.

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This paper explores the nature and chronology of La Tène and early Roman unenclosed agglomerations in central-eastern France. It has been prompted by the discovery of a c. 115 ha La Tène D2b/Augustan (c. 50 bc to ad 15) site close to Bibracte in the Morvan, located around the source of the River Yonne. This complex provides a new perspective on the chronology and role of Late La Tène and early Roman unenclosed settlements, adding further complexity to the story of the development of Late La Tène oppida. It indicates that these ‘agglomerations followed remarkably varied chronological trajectories, raising important issues concerning the nature of landscape and social change at the end of the Iron Age. Dieser Aufsatz untersucht den Charakter und die Datierung von latènezeitlichen und frührömischen offenen Siedlungen im östlichen Zentralfrankreich. Die Anregung dazu erfolgte durch die Entdeckung einer Latène D2b-zeitlichen bis augusteischen (ca. 50 v. Chr. – 15 n. Chr.) Anlage im Morvan bei Bibracte, die ca. 115 ha Fläche bedeckt und sich um die Quellen des Flusses Yonne erstreckt. Es wird vorgeschlagen, dass dieser Siedlungskomplex eine Ergänzung, aber auch einen Kontrast zu den üblichen Interpretationsmodellen von spätlatènezeitlichen und frührömischen, offenen Großsiedlungen und ihrer zeitlichen Entwicklung darstellt, und weiter zur Komplexität der Entwicklung spätlatènezeitlicher Oppida beiträgt. Es deutet sich an, dass einige der ‘Agglomerationen’ anderen Entwicklungslinien folgen, die wichtige Fragen zur Landschaftsgenese und zum sozialen Wandel am Ende der Eisenzeit aufwerfen. Cet article a pour but d'explorer la nature ainsi que la chronologie des agglomérations ouvertes apparaissant à La Tène Final et au début de la période gallo-romaine du Centre-Est de la France. Il fut inspiré et écrit suite à la découverte dans le Morvan d'un site de 115 ha datant de La Tène D2b et de la période Augustéenne (50 av. J.C. à 15 ap. J.C.) s'étirant autour des Sources de l'Yonne. Cette agglomération apporte de nouvelles perspectives sur la chronologie et sur le rôle des habitats ouverts à la fin de l'Âge du Fer ainsi qu'au début de l'époque gallo-romaine apportant des éléments amenés à renforcer le caractère complexe de l'histoire du développement des oppida à La Tène Final. Cette synthèse tend à démontrer que ces agglomérations suivaient des trajectoires chronologiques variées, élevant un certain nombre de questions, et donc des nouvelles problématiques, concernant la nature du paysage et du changement social à la fin de l'Âge du Fer.