979 resultados para Architecture project
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Building Information Modelling (BIM) provides a shared source of information about a built asset, which creates a collaborative virtual environment for project teams. Literature suggests that to collaborate efficiently, the relationship between the project team is based on sympathy, obligation, trust and rapport. Communication increases in importance when working collaboratively but effective communication can only be achieved when the stakeholders are willing to act, react, listen and share information. Case study research and interviews with Architecture, Engineering and Construction (AEC) industry experts suggest that synchronous face-to-face communication is project teams’ preferred method, allowing teams to socialise and build rapport, accelerating the creation of trust between the stakeholders. However, virtual unified communication platforms are a close second-preferred option for communication between the teams. Effective methods for virtual communication in professional practice, such as virtual collaboration environments (CVE), that build trust and achieve similar spontaneous responses as face-to-face communication, are necessary to face the global challenges and can be achieved with the right people, processes and technology. This research paper investigates current industry methods for virtual communication within BIM projects and explores the suitability of avatar interaction in a collaborative virtual environment as an alternative to face-to-face communication to enhance collaboration between design teams’ professional practice on a project. Hence, this paper presents comparisons between the effectiveness of these communication methods within construction design teams with results of further experiments conducted to test recommendations for more efficient methods for virtual communication to add value in the workplace between design teams.
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Following the death of engineer General Jorge Próspero de Verboom in 1744 and after a few years of transition in the management of Spanish fortifications, Juan Martín Zermeño took on the role, initially with a temporary mandate, but then definitively during a second period that ran from 1766 until his death in 1772. He began this second period with a certain amount of concern because of what had taken place during the last period of conflict. The Seven Years War (1756–1763) which had brought Spain into conflict with Portugal and England in the Caribbean had also lead to conflict episodes along the Spanish–Portuguese border. Zermeño’s efforts as a planner and general engineer gave priority to the northern part of the Spanish–Portuguese border. After studying the territory and the existing fortifications on both sides of the border, Zermeño drew up three important projects in 1766. The outposts that needed to be reinforced were located, from north to south, at Puebla de Sanabria, Zamora and Ciudad Rodrigo, which is where he is believed to have come from. This latter township already had a modern installation built immediately after the war of the Spanish Succession and reinforced with the Fort of La Concepción. However, Zamora and Puebla de Sanabria had some obsolete fortifications that needed modernising. Since the middle of the 15th century Puebla de Sanabria had had a modern castle with rounded turrets, that of the counts of benavente. During the 16th and 17th centuries it had also been equipped with a walled enclosure with small bastions. During the war of the Spanish Succession the Portuguese had enlarged the enclosure and had erected a tentative offshoot to the west. In order to draw up the ambitious Puebla de Sanabria project Zermeño had the aid of some previous reports and projects, such as those by the count of robelin in 1722, the one by Antonio de Gaver in 1752, and Pedro Moreau’s report dated June 1755. This study includes a technical analysis of Zermeño’s project and its strategic position within the system of fortifications along the Spanish–Portuguese border.
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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Cette thèse traite de quelques moments clés dans l’histoire urbaine et architecturale moderne de la ville de Tunis. Elle les aborde conjointement à la problématique du percement de son noyau historique : la médina, née d’un projet de modernisation urbaine lancé par les beys de Tunis à la fin du XIXe siècle, poursuivi par le protectorat français de 1881 à 1956, puis par le gouvernement indépendant de 1956 à 1987. Partant, la recherche est répartie sur trois temps avec, au centre, le projet de la percée dite de la Casbah adopté par le Président Bourguiba à la fin de 1959. Pour plusieurs raisons, ce moment est cité rapidement dans la littérature malgré son importance dans la compréhension du visage actuel de la capitale tunisienne. Pour le saisir, on a dû retourner aux premières tentatives de percement de la médina de Tunis par le colonisateur français en 1887. Puis, on s’est progressivement approché de l’ancêtre direct de la percée bourguibienne paru sur le Plan directeur de Tunis en 1948. De ce premier temps, on a mis en valeur les stratégies coloniales dans leur gestion du territoire et leur rapport au processus de valorisation/dévalorisation du patrimoine issu de la civilisation arabo-islamique. Le second temps, qui correspond au plan de décolonisation mené par l’État indépendant dès 1955, est marqué par le lancement d’un « concours international ouvert pour une étude d’aménagement de la ville de Tunis » organisé par le Secrétariat d’État aux travaux publics en collaboration avec l’Union internationale des architectes. L’étude de cet événement et du colloque qui l’a suivi a ôté le voile sur ses raisons d’être politico-économiques que dissimulaient les usuels soucis de l’hygiène, de la circulation et de l’embellissement du Grand Tunis. Pour appuyer davantage ces constats, un troisième et dernier temps a été dédié au chantier de Tunis au lendemain du concours. L’accent mis sur les lieux symboliques du pouvoir et le désir obsessif des autorités à se les approprier ont réduit ce chantier à une redistribution concertée des symboles de la souveraineté nationale dans le but de centraliser et de personnifier le pouvoir en place. Le présent travail se situe dans le cadre des études postcoloniales et projette un regard critique sur la décolonisation en rapport avec ce qu’on a taxé d’urbanisme d’État. Propulsé par une certaine perception de la modernité, cet urbanisme est indissociable d’une instrumentalisation politique qui met l’accent sur les questions identitaires et patrimoniales, insiste sur la rupture avec le passé et tend à écarter l’opinion publique des questions inhérentes à l’aménagement du territoire et à la sauvegarde de la mémoire collective. En procédant par une analyse contextuelle de faits historiques et une lecture typomorphologique de la percée de la Casbah, cette recherche attire l’attention sur l’ampleur de certaines décisions gouvernementales concernant l’aménagement de l’espace urbain et la conservation de l’héritage architectural à court, moyen et long termes. Elle renseigne aussi sur le rôle des collectivités, de l’élite et des professionnels dans la canalisation de ces décisions pour ou contre leur droit à la ville.
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"Working paper no. 1."
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[Conceptual Sketch], untitled. Blue ink sketch on tracing paper, signed, 12 x 26 1/2 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
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[Conceptual Sketch], untitled. Blue, green and brown ink sketch on tracing paper, 18x34 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
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[Conceptual Sketch], untitled. Ink sketch on tracing paper, 12x23 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
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[Early Conceptual Sketch], untitled. Blue ink sketch with marker coloring on tracing paper, 12 x 21 1/2 iinches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
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[Conceptual Sketch], untitled. Blue ink sketch with yellow marker coloring on tracing paper, 12 x 24 1/2 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
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[Conceptual Sketch], untitled. Blue ink sketch with blue marker coloring on tracing paper, 12 x 19 1/2 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
Resumo:
[Conceptual Sketch], untitled. Ink sketch on tracing paper, 18 x 17 1/2 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
Resumo:
[Conceptual Sketch], untitled. Blue ink sketch on tracing paper, 23x12 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
Resumo:
[Conceptual Sketch of Roof], untitled. Blue ink sketch on tracing paper, 22x12 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]
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[Schematic Design Drawing of Elevation], untitled. Colored ink and pencil drawing on black-line print, drawn on train between "Basil and Firenze," initialed, 8 1/2 x 11 inches [from photographic copy by Lance Burgharrdt]