970 resultados para Alcohol intake
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The reduction of hepatic microsomal transfer protein (MTP) activity results in fatty liver, worsening hepatic steatosis and fibrosis in chronic hepatitis C (CHC). The G allele of the MTP gene promoter, -493G/T, has been associated with lower transcriptional activity than the T allele. We investigated this association with metabolic and histological variables in patients with CHC. A total of 174 untreated patients with CHC were genotyped for MTP -493G/T by direct sequencing using PCR. All patients were negative for markers of Wilson’s disease, hemochromatosis and autoimmune diseases and had current and past daily alcohol intake lower than 100 g/week. The sample distribution was in Hardy-Weinberg equilibrium. Among subjects with genotype 1, 56.8% of the patients with fibrosis grade 3+4 presented at least one G allele versus 34.3% of the patients with fibrosis grade 1+2 (OR = 1.8; 95%CI = 1.3-2.3). Logistic regression analysis with steatosis as the dependent variable identified genotypes GG+GT as independent protective factors against steatosis (OR = 0.4, 95%CI = 0.2-0.8; P = 0.01). The results suggest that the presence of the G allele of MTP -493G/T associated with lower hepatic MTP expression protects against steatosis in our CHC patients.
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The impact of ventricular rate (VR) on the outcome of electrical cardioversion (ECV) of acute atrial fibrillation (AF) is currently unknown. We aimed to determine the effect of VR during acute AF on the success of ECV, recurrence of AF and occurrence of post-cardioversion complications in 30 days follow-up. All ECVs performed in patients with acute atrial fibrillation lasting <48 hours in 2 Finnish university hospitals during 2003-2010 and 1 central hospital during 2010 were retrospectively identified. A total of 6,624 ECVs were performed in 2,821 consecutive patients. VR≤60 BPM was defined low and VR≥160 BPM high. The median VR before ECV was 109 BPM. The success rate of ECV was 94.2%. Bradycardia occurred in 62 (0.9%) and thromboembolic complications in 39 (0.6%) ECVs. Low VR was observed before 75 (1.1%) ECVs and male sex was its only independent predictor. High VR was observed in 165 (2.5%) ECVs. The independent predictors of high VR were younger age, <12 h episode duration, no previous history of AF and alcohol abuse. Low or high VR were not related to the success of ECV, incidence of thromboembolic or bradycardic complications, or recurrence of AF, although VR was significantly (p<0.001) lower in the patients in whom AF recurred. In conclusion, ECV of acute AF is an effective procedure and VR during AF does not affect its efficacy, the maintenance of sinus rhythm or the incidence of bradycardic, thromboembolic or other complications during 30 days follow-up after ECV. Low VR is predominately observed in male patients, while high VR was a feature related to a shorter history of AF and high alcohol-intake.
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L'hyperhomoscystéinémie (HHcy) est considérée comme un facteur indépendant de risque cardio-métabolique. Notre travail avait pour objectifs : 1) de déterminer la prévalence de l’HHcy au Bénin; 2) d’étudier sa relation avec les apports de vitamines B12, B9, B6 et B2, la consommation d’alcool, l’âge, le sexe et le niveau socioéconomique (NSE); 3) de vérifier son association avec les facteurs classiques de risque cardio-métabolique. Un total de 541 sujets apparemment en santé et vivant dans trois zones du Bénin ont été étudiés. L’Hcy sérique a été analysée par ELISA. Des rappels de 24h ont servi à évaluer les apports nutritifs. L’obésité et l’hypertension ont été définies selon l’OMS, la dyslipidémie et la dysglycémie selon la NCEP-ATPIII. Les autres données ont été récoltées par questionnaire. La prévalence de l’HHcy était élevée : 52,2% chez les hommes et de 24,7% chez les femmes. Dans les modèles multivariés, l’Hcy était positivement associée à la consommation de bière locale chez les hommes; chez les femmes, elle était associée négativement à l'apport de vitamine B12. L’Hcy était positivement associée à la tension artérielle, au taux de LDL-cholestérol et au cholestérol total chez les hommes, mais seulement avec le rapport cholestérol total/HDL-cholestérol (CT/HDL-c) chez les femmes. Les femmes présentant une HHcy étaient au moins deux fois plus susceptibles de présenter une hypertension ou un rapport CT/HDL-c élevé que celles dont l’Hcy était normale. Un apport suffisant en B12 ainsi qu’une consommation prudente de boissons alcoolisées pourraient réduire l'HHcy et donc contribuer à réduire le risque cardio-métabolique de cette population du sud du Bénin.
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Les objectifs de l’étude de l’évolution du risque cardiométabolique (RCM) sur une période de quatre ans (2006-2010) chez des adultes béninois consistaient à: • Examiner les relations entre l’obésité abdominale selon les critères de la Fédération Internationale du Diabète (IFD) ou l’insulino-résistance mesurée par le Homeostasis Model Assessment (HOMA) et l’évolution des autres facteurs de RCM, • Examiner les liens entre les habitudes alimentaires, l’activité physique et les conditions socio-économiques et l’évolution du RCM évalué conjointement par le score de risque de maladies cardiovasculaires de Framingham (FRS) et le syndrome métabolique (SMet). Les hypothèses de recherche étaient: • L’obésité abdominale telle que définie par les critères de l’IDF est faiblement associée à une évolution défavorable des autres facteurs de RCM, alors que l’insulino-résistance mesurée par le HOMA lui est fortement associée; • Un niveau socioéconomique moyen, un cadre de vie peu urbanisé (rural ou semi-urbain), de meilleures habitudes alimentaires (score élevé de consommation d’aliments protecteurs contre le RCM) et l’activité physique contribuent à une évolution plus favorable du RCM. L’étude a inclus 541 sujets âgés de 25 à 60 ans, apparemment en bonne santé, aléatoirement sélectionnés dans la plus grande ville (n = 200), une petite ville (n = 171) et sa périphérie rurale (n = 170). Après les études de base, les sujets ont été suivis après deux et quatre ans. Les apports alimentaires et l’activité physique ont été cernés par deux ou trois rappels de 24 heures dans les études de base puis par des questionnaires de fréquence simplifiés lors des suivis. Les données sur les conditions socioéconomiques, la consommation d’alcool et le tabagisme ont été recueillies par questionnaire. Des mesures anthropométriques et la tension artérielle ont été prises. La glycémie à jeun, l’insulinémie et les lipides sanguins ont été mesurés. Un score de fréquence de consommation d’« aliments sentinelles » a été développé et utilisé. Un total de 416 sujets ont participé au dernier suivi. La prévalence initiale du SMet et du FRS≥10% était de 8,7% et 7,2%, respectivement. L’incidence du SMet et d’un FRS≥10% sur quatre ans était de 8,2% et 5%, respectivement. Le RCM s’était détérioré chez 21% des sujets. L’obésité abdominale définie par les valeurs seuils de tour de taille de l’IDF était associée à un risque plus élevé d’insulino-résistance: risque relatif (RR) = 5,7 (IC 95% : 2,8-11,5); d’un ratio cholestérol total/HDL-Cholestérol élevé: RR = 3,4 (IC 95% : 1,5-7,3); mais elle n’était pas associée à un risque significativement accru de tension artérielle élevée ou de triglycérides élevés. Les valeurs seuils de tour de taille optimales pour l’identification des sujets accusant au moins un facteur de risque du SMet étaient de 90 cm chez les femmes et de 80 cm chez les hommes. L’insulino-résistance mesurée par le HOMA était associée à un risque élevé d’hyperglycémie: RR = 5,7 (IC 95% : 2,8-11,5). En revanche, l’insulino-résistance n’était pas associée à un risque significatif de tension artérielle élevée et de triglycérides élevés. La combinaison de SMet et du FRS pour l’évaluation du RCM identifiait davantage de sujets à risque que l’utilisation de l’un ou l’autre outil isolément. Le risque de détérioration du profil de RCM était associé à un faible score de consommation des «aliments sentinelles» qui reflètent le caractère protecteur de l’alimentation (viande rouge, volaille, lait, œufs et légumes): RR = 5,6 (IC 95%: 1,9-16,1); et à l’inactivité physique: RR = 6,3 (IC 95%: 3,0-13,4). Les sujets de niveau socioéconomique faible et moyen, et ceux du milieu rural et semi-urbain avaient un moindre risque d’aggravation du RCM. L’étude a montré que les relations entre les facteurs de RCM présentaient des particularités chez les adultes béninois par rapport aux Caucasiens et a souligné le besoin de reconsidérer les composantes du SMet ainsi que leurs valeurs seuils pour les Africains sub-sahariens. La détérioration rapide du RCM nécessité des mesures préventives basées sur la promotion d’un mode de vie plus actif associé à de meilleures habitudes alimentaires.
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Objectif: Étudier l’association entre la consommation de café, la consommation de thé noir et le risque de cancer du poumon. Méthodologie: Cette recherche utilise les données obtenues lors d’une étude cas-témoin effectuée à Montréal avec des résidents canadiens âgés entre 35 et 75 ans recrutés entre 1996 et 2001. Les cas étaient des individus atteints du cancer et diagnostiqués entre 1996 et 1997 dans l’un des 18 hôpitaux de la région du Grand-Montréal. Les contrôles on été sélectionnés à partir de la liste électorale et appariés selon la fréquence de distribution des cas par groupe d’âge de 5 ans, par sexe et par district électoral. Au total, 1130 cas et 1484 contrôles ont été inclus dans cette étude. Les rapports de cote (RC) et les intervalles de confiance de 95% (CI) des associations entre la consommation de thé noir, de café et le cancer du poumon ont été estimés à l’aide de la régression logistique non conditionnelle. Quatre aspects de la consommation ont été analysés dans des modèles multivariés distincts: la fréquence de consommation, la consommation journalière moyenne, la durée de consommation et la consommation cumulative. Les covariables potentielles considérées incluaient : l’âge, le sexe, l’historique de tabagisme, le statut du répondant, l’ethnicité, la consommation d’alcool, la consommation de fruit et de légume, l’apport énergétique journalier, l’exposition a des agents professionnelle et les variables socio-économiques . Des analyses secondaires par le sexe, le tabagisme et le type histologique de cancer on été effectuées. Résultats : Aucune association statistiquement significative n’a été observée entre la consommation de thé noir et le cancer du poumon. Nos résultats suggèrent qu’une consommation de ≥ 50 ans était associée avec une augmentation du risque d’adénocarcinome comparée à aucune consommation. Nous avons observé une association inverse statistiquement significative entre la consommation occasionnelle de café et le cancer du poumon (RC : 0.32, 95%CI : 0.17-0.59). La durée de consommation de café n’était pas associée avec le cancer du poumon. Conclusion : Nos résultats suggèrent que la consommation à long terme de thé noir pourrait augmenter le risque d’adénocarcinome. D’un autre côté, la consommation occasionnelle de café pourrait réduire le risque de cancer du poumon.
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Colorectal cancer (CRC) is a significant cause of morbidity and mortality in developed countries, with both genetic and environmental factors contributing to the etiology and progression of the disease. Several risk factors have been identified, including positive family history, red meat intake, smoking, and alcohol intake. Protective factors include vegetables, calcium, hormone replacement therapy, folate, nonsteroidal anti-inflammatory drugs, and physical activity. The interaction between these environmental factors, in particular diet and genes, is an area of growing interest. Currently, oncogenes, tumor suppressor genes, and mismatch repair genes are believed to play an essential role in colorectal carcinogenesis. When considering the genetics of CRC, only 10% of cases are inherited and only 2-6% can be ascribed to the highly penetrant genes, such as APC, hMLH and hMSH2. Lower penetrance genes combined with a Western-style diet contribute to the majority of sporadic CRCs. The purpose of this article is to give a brief overview of the epidemiologic studies that have been conducted and present the major findings. Here, we examine the molecular events in CRC, with particular focus on the interaction between genes and environment, and review the most current research in this area.
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The recommendation to reduce saturated fatty acid (SFA) consumption to ≤10% of total energy (%TE) is a key public health target aimed at lowering cardiovascular disease (CVD) risk. Replacement of SFA with unsaturated fats may provide greater benefit than replacement with carbohydrates, yet the optimal type of fat is unclear. The aim was to develop a flexible food-exchange model to investigate the effects of substituting SFAs with monounsaturated fatty acids (MUFAs) or n-6 (ω-6) polyunsaturated fatty acids (PUFAs) on CVD risk factors. In this parallel study, UK adults aged 21-60 y with moderate CVD risk (50% greater than the population mean) were identified using a risk assessment tool (n = 195; 56% females). Three 16-wk isoenergetic diets of specific fatty acid (FA) composition (%TE SFA:%TE MUFA:%TE n-6 PUFA) were designed using spreads, oils, dairy products, and snacks as follows: 1) SFA-rich diet (17:11:4; n = 65); 2) MUFA-rich diet (9:19:4; n = 64); and 3) n-6 PUFA-rich diet (9:13:10; n = 66). Each diet provided 36%TE total fat. Dietary targets were broadly met for all intervention groups, reaching 17.6 ± 0.4%TE SFA, 18.5 ± 0.3%TE MUFA, and 10.4 ± 0.3%TE n-6 PUFA in the respective diets, with significant overall diet effects for the changes in SFA, MUFA, and n-6 PUFA between groups (P < 0.001). There were no differences in the changes of total fat, protein, carbohydrate, and alcohol intake or anthropometric measures between groups. Plasma phospholipid FA composition showed changes from baseline in the proportions of total SFA, MUFA, and n-6 PUFA for each diet group, with significant overall diet effects for total SFA and MUFA between groups (P < 0.001). In conclusion, successful implementation of the food-exchange model broadly achieved the dietary target intakes for the exchange of SFA with MUFA or n-6 PUFA with minimal disruption to the overall diet in a free-living population. This trial was registered at clinicaltrials.gov as NCT01478958.
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Repeated administration of low doses of ethanol gradually increases locomotor responses to ethanol in adult Swiss mice. This phenomenon is known as behavioral sensitization. However, we have shown that adolescent Swiss mice show either behavioral tolerance or no sensitization after repeated ethanol injections. Although the mesolimbic dopamine system has been extensively implicated in behavioral sensitization, several studies have demonstrated an important role of glutamatergic transmission in this phenomenon. In addition, relatively few studies have examined the role of developmental factors in behavioral sensitization to ethanol. To examine the relationship between age differences in behavioral sensitization to ethanol and the neurochemical adaptations related to glutamate within nucleus accumbens (NAc), in vivo microdialysis was conducted in adolescent and adult Swiss mice treated with ethanol (1.8 g/kg) or saline for 15 days and subsequently challenged with an acute dose (1.8 g/kg) of ethanol 6 days later. Consistent with previous findings, only adult mice demonstrated evidence of behavioral sensitization. However, ethanol-treated adolescent mice demonstrated a 196.1 +/- 40.0% peak increase in extracellular levels of glutamate in the NAc after ethanol challenge in comparison with the basal values, whereas ethanol-treated adult mice demonstrated a 52.2 +/- 6.2% reduction in extracellular levels of glutamate in the NAc after ethanol challenge. These observations suggest an age-dependent inverse relationship between behavioral and glutamatergic responses to repeated ethanol exposure. (C) 2011 Elsevier Inc. All rights reserved.
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It is well known that melatonin participates in the regulation of many important physiological functions such as sleep-wakefulness cycle, motor coordination and neural plasticity, and cognition. However, as there are contradictory results regarding the melatonin production diurnal profile under alcohol consumption, the aim of this paper was to study the phenomenology and mechanisms of the putative modifications on the daily profile of melatonin production in rats submitted to chronic alcohol intake. The present results show that rats receiving 10% ethanol in drinking water for 35 days display an altered daily profile of melatonin production, with a phase delay and a reduction in the nocturnal peak. This can be partially explained by a loss of the daily rhythm and the 25% reduction in tryptophan hydroxylase activity and, mainly, by a phase delay in arylalkylamine N-acetyltransferase gene expression and a 70% reduction in its peak activity. Upstream in the melatonin synthesis pathway, the results showed that noradrenergic signaling is impaired as well, with a decrease in beta 1 and alpha 1 adrenergic receptors` mRNA contents and in vitro sustained loss of noradrenergic-stimulated melatonin production by glands from alcohol-treated rats. Together, these results confirm the alterations in the daily melatonin profile of alcoholic rats and suggest the possible mechanisms for the observed melatonin synthesis modification.
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Introdução: A incidência da doença arterial coronária é uma das principais causas de morbidade e motalidade em diversos países e o estudo dos fatores de risco têm grande importância na prevenção e no tratamento dessa enfermidade. Entre outros fatores, a obesidade e a obesidade abdominal têm sido associadas com a maior incidência de DAC. A ingestão diária de nutrientes também pode estar relacionada com essa doença, porém, uma vez que a alimentação é complexa e contém diversos nutrientes, ainda não foi possível elucidar o impacto da alimentação no risco de desenvolver a doença arterial coronária. Objetivo: Avaliar a relação entre o consumo alimentar diário, a presença de obesidade abdominal e achados angiográficos de obstrução arterial em pacientes portadores de cardiopatia isquêmica, submetidos a cateterismo cardíaco. Métodos: Foi realizado um estudo transversal, com 284 pacientes submetidos a cateterismo cardíaco, da unidade de hemodinâmica de um hospital universitário. Foi avaliada a RCQ, o IMC, a ingestão alimentar diária através de um inquérito nutricional, a análise bioquímica do sangue e a avaliação do laudo do cateterismo cardíaco. Resultados: Dos pacientes avaliados, 172 indivíduos (60,6%) apresentavam alterações em uma ou mais artérias coronárias. A ingestão média diária de calorias foi de 2450,56 Kcal/dia. O consumo de proteínas foi em média 1,66 g/Kg/dia, de carboidratos foi de 3,83 g/Kg/dia e de lipídeos foi de 1,21 g/Kg/dia. A idade, o sexo masculino, os níveis séricos de triglicerídeos, o consumo de álcool e a glicemia em jejum foram estatisticamente significativos na análise multivariada. Conclusão: Nos pacientes avaliados, o consumo diário de calorias encontra-se adequado, porém a ingestão de proteínas, carboidratos e lipídeos estão inadequados. Em relação aos fatores de risco para DAC, as mulheres apresentaram maior associação para desenvolver a síndrome metabólica do que os homens.
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Foram entrevistados via ligação telefônica 1.410 indivíduos, amostra aleatória e representativa da população acima de 18 anos residente em domicílios conectados à rede de telefonia fixa. A prevalência de tabagismo foi de 21,8%, maior em homens (25%) e em indivíduos na faixa entre 18 e 29 anos. Tabagismo e sedentarismo juntos ocorrem em 13,9% dos homens e 14,2% das mulheres; tabagismo e baixo consumo de frutas em 12,9% dos homens e 12,3% das mulheres; e tabagismo e baixo consumo de legumes em 5,8% dos homens e 5,1% das mulheres. A associação de tabagismo e consumo excessivo de álcool foi observada apenas nos homens (em 3,5% deles) e, da mesma forma que verificada para tabagismo isoladamente, sua ocorrência concomitante a outros fatores comportamentais de risco de doenças e agravos crônicos não transmissíveis (DANT) associou-se inversamente à escolaridade. Os dados apontam indícios de efeito de aglomeração entre tabagismo e sedentarismo, tabagismo e álcool em excesso, tabagismo e dieta inadequada, justificando intervenções focadas na prevenção e redução concomitante dos principais fatores comportamentais de risco de DANT.
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Mucosal bridges are rare laryngeal lesions probably of genetic origin. They may cause dysphonia of varying degrees, especially when associated with other laryngeal lesions such as vocal sulci and cysts. Reports on mucosal bridges are rare, and the better treatment is inconclusive.Aim. To report the authors' experience in 14 cases of mucosal bridge showing details on endoscopic examinations and treatment.Study Design. Retrospective study.Methods. We reviewed the medical records of 14 patients with a diagnosis of mucosal bridge confirmed by video-laryngostroboscopy and direct laryngoscopy who attended the Outpatient Clinic of Voice Disorders of the Discipline of Otorhinolaryngology, Botucatu Medical School, São Paulo State University, São Paulo. Data collected included information on gender, age, symptoms, time of onset, history of intubation, smoking status, alcohol intake, associated laryngeal lesions, treatment, and GRBAS (grade of hoarseness, roughness, breathiness, asthenia, and stress) scale ratings.Results. of 14 patients, 10 were females and four were males. There was a prevalence of adults (n = 12), with only two of the patients being younger than 13 years (10 and 13 years). Mucosal bridges showed no correlations with smoking, alcohol intake, or gastroesophageal and sinonasal symptoms. Voice abuse was reported in 50% of the cases that consisted of patients who had high-voice demand occupations. In seven cases, mucosal bridges were associated with other laryngeal lesions, particularly vocal cysts and sulci. All patients who underwent surgery and phonotherapy showed improved vocal quality.Conclusions. We documented 14 patients with dysphonia caused by mucosal bridge. Promising results were obtained with surgery.
Resumo:
Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
Resumo:
Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)
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Fundação de Amparo à Pesquisa do Estado de São Paulo (FAPESP)