110 resultados para orchids


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From: Compte rendus des séances de l'Académie des sciences, tome XVIII, séance du 25 mars 1844," p. 497-513.

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From: Memoires de la Société royale des Sciences de Lille, 1839.

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A small, isolated population of the threatened western prairie fringed orchid (Platanthera praeclara Sheviak & Bowles) occurs at Pipestone National Monument, Minnesota, in a mesic prairie that is periodically burned to control invasive cool-season grasses. During 1995-2004, monitoring counts of flowering orchids in the monument varied considerably for different years. Similar precipitation amounts in the spring and histories of burning suggest that fire and precipitation in the spring were not the causes of the variation. For the eight non-burn years in the monitoring record, we compared the number of flowering plants and the precipitation amounts during six growth stages of the orchid and found a 2-variab1e model (precipitation during senescence/bud development and precipitation in the dormant period) explained 77% of the annual variation in number of flowering plants. We also conducted a fire experiment in early May 2002, the typical prescribed burn period for the monument, and found that the frequency of flowering, vegetative, and absent plants observed in July did not differ between burned and protected locations of orchids. We used the model and forecasts of precipitation in the spring to develop provisional burn decision scenarios. We discussed management implications of the scenarios.

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Le genre Angraecum est un groupe d’orchidées tropicales qui compte environ 221 espèces réparties en Afrique subsaharienne, dans l’ouest de l’Océan Indien, et au Sri Lanka. Plus de la moitié des espèces se trouvent à Madagascar, dont au moins 90% sont endémiques à l’île. L’étude systématique et taxonomique du genre Angraecum a toujours été problématique à cause de sa grande diversité morphologique. Pour faciliter la classification, des sections ont été établies dont la plus connue est celle de Garay (1973), qui regroupe les espèces sous 19 sections. Plusieurs analyses phylogénétiques avaient montré que le genre Angraecum et les sections de Garay ne sont pas monophylétiques. Cependant, aucune révision systématique n’a été apportée à cause du faible échantillonnage dans ces analyses. En incorporant un plus grand nombre d'espèces et en ajoutant d’autres caractères morphologiques dans l’analyse, nous avons apporté une plus grande résolution à la reconstruction phylogénétique du groupe. Cette résolution concerne surtout les nœuds plus profonds qui représentent les différents clades à l’intérieur d'Angraecum, qui correspondent à des sections naturelles. A partir de ces clades, nous avons redéfini 14 sections monophylétiques toute en reconnaissant cinq nouvelles. Grâce à cette nouvelle phylogénie d'Angraecum, nous avons pu étudier la diversification du genre et de la sous-tribu Angraecinae en utilisant des méthodes macroévolutives, notamment les roles joués par les traits floraux dans la spéciation, tout en l'interprétant grâce aux histoires géologique et paléoclimatique. Le modèle de diversification chez les Angraecinae semble avoir été celui communément rencontré dans les forêts tropicales humides, c’est-à-dire une diversification par accumulation graduelle d’espèces à travers le temps et non pas une radiation adaptative rapide, comme souvent observée chez des lignées animales malgaches. Plusieurs caractères morphologiques jouent un rôle important dans la diversification des espèces d'Angraecum. Le début de la diversification d'Angraecum à Madagascar coïncide avec le mouvement progressif de l’île vers le nord, l’établissement de la mousson dans la partie nord de l’île durant le Miocène, et l’expansion de la forêt tropicale malgache pendant cette période. Notre étude de l’histoire biogéographique des Angraecinae suggère une origine malgache de la sous-tribu et du genre Angraecum. On observe de la dispersion à longue distance à partir de Madagascar vers le reste du monde dans le genre Angraecum. La forêt tropicale humide du Nord Est de Madagascar est le point de départ de la diversification des espèces d'Angraecum. Le premier événement de dispersion a débuté à l’intérieur de l’île vers la fin du Miocène. Cet évènement est marqué par une migration du Nord Est vers le centre de Madagascar. Par ailleurs, la majorité des événements de dispersion à longue distance se sont produits durant le Pliocène-Pléistocène à partir soit du centre, soit du Nord Est de l'île. On assiste à des migrations indépendantes vers l’Afrique de l’est et les Comores d’une part, et vers les Mascareignes d’autre part. Un seul événement fondateur ayant conduit à l’apparition de la section Hadrangis est observé dans les Mascareignes. La saison cyclonique joue un rôle significatif dans la dispersion à longue distance des graines d’orchidées, comparée aux vents dominants qui soufflent dans la région ouest de l’Océan Indien, notamment l’alizé et la mousson. La similarité des niches écologiques a facilité l’expansion des espèces d'Angraecum dans les Comores et les Mascareignes.

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Natural selection mediated by pollinators has influenced the evolution of floral diversity of the flowering plants (angiosperms). The scope of this thesis was to study: 1) phenotypic selection, 2) mating systems, and 3) floral shifts involved in plant speciation. Model plant species were Platanthera bifolia and P. chlorantha (Orchidaceae). These orchids are moth-pollinated, strictly co-sexual (bisexual flowers), and produce a spike that displays 10-20 white flowers. I explored the influence of characters on plant fitness by using multiple linear regressions. Pollen removal (male fitness) and fruit set (female fitness) increased with more flowers per plant in three P. bifolia populations. There was selection towards longer spurs in a dry year when average spur length was shorter than in normal-wet years. Female function was sensitive to drought, which enabled an application of the male function hypothesis of floral evolution (Bateman's principle). The results show that selection may vary between populations, years, and sex-functions. I examined inbreeding by estimating levels of geitonogamy (self-pollination between flowers of an individual) with an emasculation method in two P. bifolia populations. Geitonogamy did not vary with inflorescence size. Levels of geitonogamy was 20-40% in the smaller, but non-significant in the larger population. This may relate to lower number of possible mates and pollinator activity in the smaller population. Platanthera bifolia exhibits the ancestral character state of tongue-attachment of pollinia on the pollinator. Its close relative P. chlorantha attaches its pollinia onto the pollinator's eyes. To explore the mechanism of a floral shift, pollination efficiency and speed was compared between the two species. The results showed no differences in pollination efficiency, but P. chlorantha had faster pollen export and import. Efficiency of pollination in terms of speed may cause floral shifts, and thus speciation.