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Des gaz anesthésiques sont souvent administrés dans le cadre de l'anesthésie générale. Cet article décrit les résultats d'une campagne de mesures de l'exposition du personnel à ces gaz. Les résultats des mesures effectuées démontrent une situation acceptable du point de vue des normes suisses. Certaines activités sont néanmoins responsables d'une exposition plus importante selon le type d'anesthésie
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L'incontinence urinaire (IU) se définit comme une élimination involontaire d'urine. Le programme transverse des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) sur la prévention et les traitements de I'IU avance l'hypothèse qu'environ 400'000 personnes, en Suisse en souf- frent. Parmi les personnes hospitalisées en réhabilitation et gériatrie, la proportion d'IU at- teindrait même 56%. Cette proportion s'élève encore dans des services de long séjour pour atteindre 70%. Malgré l'inconfort causé par l'IU et son lien avec un déclin fonctionnel, la litté- rature démontre que l'IU reste trop peu reconnue par les infirmières en soins gériatriques. Cette étude de type quantitatif descriptif corrélationnel vise à mesurer la prévalence de l'IU lors d'une admission en gériatrie et à évaluer le niveau d'implication infirmière dans la prise en compte de celle-ci. Le modèle de Classification Internationale du fonctionnement du han- dicap de la santé de l'Organisation mondiale de la santé est utilisé. L'implication infirmière est caractérisée par la présence explicite dans les dossiers patients d'un diagnostic infirmier, d'une prescription infirmière ou d'une intervention infirmière relatifs à l'IU. Après analyse de 100 dossiers sélectionnés au hasard au sein d'un département gériatrique d'un hôpital uni- versitaire, les résultats indiquent une prévalence de 72% d'incontinence. La majorité des personnes touchées sont des femmes (64%). Dans l'ensemble des dossiers de personnes présentant IU, on retrouve que 1,4% ont un diagnostic infirmier, 54% une prescription infir- mière, et 72%, une intervention infirmière. La grande majorité des interventions sont de type palliatif. Des corrélations montrent une association entre l'IU et l'âge et entre les préoccupa- tions infirmières et la raison principale d'admission. Ces résultats sont discutés en lien avec la littérature et des recommandations sont proposées pour améliorer la pratique clinique et favoriser la poursuite de la recherche infirmière dans ce domaine.
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Le but de cette étude est de mesurer ainsi que de qualifier l'impact de l'implication des proches aidants de patients hospitalisés dans des unités de soins psychiatriques aigus sur eux-mêmes. Le cadre conceptuel utilisé est celui du fardeau des familles de Schene (1990). Il différencie les parties objectives et subjectives du fardeau familial. La récolte de données a été réalisée à l'aide de l'Involvement Evaluation Questionnaire (IEQ). Les résultats de cette étude montrent que les proches aidants souffrent d'un niveau d'inquiétude élevé, 3.8 sur une échelle de Likert à 5 questions, ainsi que d'un niveau de tension à 2.44 sur une échelle de Likert à 5 questions. Des associations ont été trouvées. L'augmentation de la durée du trouble diminue l'inquiétude, avec une valeur ρ de 0.048. Le fait d'être habitué à la situation a également un impact en diminuant la tension, avec une valeur ρ de 0.002. Plus on est « habitué à la situation », avec une valeur ρ de -0.021, moins le proche est inquiet par rapport à la situation du patient. Ainsi que, plus le patient est jeune, plus le proche aidant ressent de tension, avec une valeur ρ de 0.008. Ces résultats, peu généralisables au vu du petit échantillon (n=24), pourraient toutefois impliquer une réflexion approfondie sur l'accueil, la place et le soutien des proches aidants de patients souffrants de troubles psychiatriques hospitalisés dans une unité de soins aigus de la part des infirmières.
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Introduction : Les fractures du membre inférieur (MI) de l'enfant traitées par immobilisation plâtrée engendrent une modification significative de la mobilité exacerbée en cas d'obésité. L'accéléromètre est un outil d'évaluation du degré d'activité physique (AP) de l'enfant scientifiquement validé. Il n'a jamais fait l'objet d'étude chez un enfant ayant souffert d'une fracture du MI. Le but de ce travail était d'identifier les problèmes dans l'utilisation d'un accéléromètre comme moyen de mesure de l'AP après fracture nécessitant une décharge du MI. Une adaptation de la réhabilitation post-traumatique en fonction du BMI pourrait alors être proposée. Méthode : Identification d'enfants âgés de 8 et 15 ans, victimes d'une fracture du membre inférieur, consultant aux urgences de l'Hôpital de l'Enfance d'octobre 2013 à mai 2014 et nécessitant une décharge post-traumatique. Etaient exclus les enfants polytraumatisés ou souffrants d'un déficit mental. Données pré-requises des patients: âge, poids, taille, sexe, mécanisme de l'accident, type de fracture et traitement. Proposition de port d'un Actiwatch® Spectrum au poignet et cheville pour la période de remobilisation en décharge. Identification des avantages et problèmes liés à l'usage de l'appareil durant les premiers 30 jours de la période de réhabilitation. Importance : L'absence totale d'étude sur la mobilité post-fracture, la complexité des problèmes liés à la marche en décharge, les contraintes de l'immobilisation plâtrée et la prévalence grandissante de l'obésité pédiatrique justifient la recherche d'un moyen fiable pour quantifier la mobilité d'un enfant en décharge après traumatisme du MI. Résultats : Sur 43 fractures du MI traitées à l'HEL durant la période de l'étude, 13 enfants identifiés, dont 1 exclu pour maladie psychiatrique, 1 refus de participation, 2 transferts immédiats, 2 non inclus pour causes pratiques. Sept garçons âgés de 11 à 16 ans ont accepté le port de l'Actiwatch® pour une durée variant entre 7 et 27 jours (moyenne 15). Nombre d'activités (NA) médians de 5 enfants: 171,79 ±105,37 [cpm]* à J1 et 219,48 ±145,52 [cpm] à J5. NA totales médianes sur 24h : 114'072±44'791 [cpm] à J1 et 234'452 ±134'775 [cpm] à J5. Une dynamique de regain de mobilité est mise en évidence avec intensités maximales et minimales du nombre d'activités pour chacun. La médiane du temps de sommeil des 5 enfants était de 716± 45,5 [mn]. Les problèmes rencontrés ont été d'ordre mécanique (Un Actiwatch® fut défectueux), d'ordre pratique (un perdu et rendu tardivement, un port intermittent, une réaction allergique au bracelet à 4j de port). Conclusions La compliance à l'utilisation de l'Actiwatch® sur toute la durée de la décharge n'était pas optimale. La mobilité moyenne des enfants était objectivable de par leur dynamique, leur intensité maximale et minimale et comparables vis-à-vis de certaines études. Une différence avec les sujets en surpoids est observable. La durée de sommeil de chaque enfant suggère que l'antalgie administrée en cours de traitement est suffisante. Utiliser ce capteur de manière prolongée et sur un grand collectif d'enfants serait un moyen fiable et simple d'objectiver la dynamique de reprise de l'activité physique chez ces patients. Profil de l'étude : observation de cas.
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1943/07/25 (N21).
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1942/07 (N9).
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1944/08/25 (N37).
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1942/05 (REPRODUCTION).
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1942/03 (N1).
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1943/08/15 (N22).
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1944/04/01 (N30).