920 resultados para healthy men
Resumo:
A disfunção eréctil é actualmente considerada um problema de saúde pública que afecta muitos milhares de homens em todo o mundo. Para além dos factores de natureza médica, reconhecidamente implicados neste tipo de problemática sexual, a literatura empírica tem destacado um conjunto de variáveis de cariz psicológico envolvidas nas dificuldades. Não obstante, o estudo acerca da influência de variáveis disposicionais no funcionamento eréctil não tem merecido muita atenção da literatura científica nos últimos anos. Neste sentido, o conjunto de estudos apresentados no âmbito da presente dissertação procurou investigar de que forma variáveis disposicionais como as dimensões da personalidade, afecto-traço, auto-consciência sexual e mecanismos de excitação e inibição sexual, intervêm na resposta de excitação sexual masculina e são susceptíveis de se constituírem como factores de risco psicológico para o desenvolvimento e/ou manutenção da disfunção eréctil. Este trabalho envolveu a participação de um total de 1,274 indivíduos da população Portuguesa e os resultados obtidos indicaram a relevância das referidas variáveis no funcionamento eréctil de homens sexualmente funcionais da comunidade e também em homens diagnosticados com disfunção eréctil. Adicionalmente, os dados mostraram que as dimensões disposicionais avaliadas se encontram envolvidas na disfunção eréctil associada a diferentes factores etiológicos (factores psicológicos e/ou médicos), sublinhando a sua relevância para a generalidade das situações clínicas relacionadas com a perda da função eréctil e de forma independente dos factores precipitantes envolvidos. Ao demonstrar empiricamente que aspectos individuais de natureza psicológica são susceptíveis de interagir com factores de ordem médica no desenvolvimento e na manutenção da disfunção eréctil, o conjunto dos dados apresentados oferece uma perspectiva integrada para a conceptualização deste quadro clínico e encoraja a utilização de uma abordagem terapêutica multidisciplinar no tratamento das dificuldades erécteis.
Resumo:
Dans la population générale plusieurs études ont démontré que les hommes ont, par comparaison aux femmes, de meilleures performances dans les tâches de rotation mentale à trois dimensions. A l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle, on a pu observer que l’exécution de cette tâche de rotation mentale s’accompagnait d’une activation du cortex pariétal chez l’homme mais du cortex prefrontal chez la femme. Ces différences entre les deux sexes suggèrent un fonctionnement neuronal différent dans l’appréhension des habiletés cognitives et comportementales. De fait, de nombreuses études ont signalé des différences notables entre les deux sexes quant à leur fonctionnement cérébral tant sur le plan émotionnel que de leurs habiletés visuo spatiales. La schizophrénie est un trouble grave et persistant de la santé mentale dont l’origine est certes multifactorielle et dont les facteurs de protection sont partiellement biologiques, psychologiques et sociales. Cette maladie requiert une approche thérapeutique à la fois clinique médicamenteuse, psychologique et sociale visant à une réintégration des malades dans leur communauté. Le pronostic de cette maladie varie en fonction du sexe ainsi que les atteintes neurologiques, neuropsychologiques et socioculturelles. Il est donc surprenant que l’exploration des mécanismes neuronaux sous-tendant les anomalies fonctionnelles cognitivo-comportementales n’ait point, en schizophrénie, adressé à date la fonctionnalité différente de l’homme et de la femme. Une étude pilote, réalisée dans mon laboratoire d’accueil, ayant suggéré chez le schizophrène, lors du traitement cognitif de stimuli émotionnels, une altération du dimorphisme sexuel observé dans la population normale, il devenait impératif de confirmer ces observations. Ce mémoire vise à vérifier par résonnance magnétique fonctionnelle l’activité neuronale cérébrale témoignant de la performance neuropsychologique de schizophrènes des deux sexes et de la comparer à celle de sujets témoins sains appareillés pour l’âge, la dominance hémisphérique et le statut familial socio-économique. A cette fin, nous avons enregistré, lors d’une tâche de rotation mentale à trois dimensions, les variables neurocognitives traduisant la validité des réponses ainsi que leur rapidité d’exécution. Simultanément, nous avons enregistré, par résonnance magnétique fonctionnelle, les sites d’activation cérébrale ainsi que leur degré d’activation corticale. Les données expérimentales, neurocognitives et cérébro-fonctionnelles, furent analysées en comparant les deux sexes d’une part et les deux états de santé d’autre part. Les résultats de ce mémoire ont fait l’objet de deux articles qui sont inclus. Les résultats obtenus confirment l’hypothèse d’un dimorphisme homme/femme dans la population générale ainsi que chez le schizophrène. Ces résultats appuient aussi l’hypothèse de l’altération, chez le schizophrène, du dimorphisme observé dans la population générale.
Resumo:
La schizophrénie est une psychopathologie largement hétérogène caractérisée entre autres par d’importantes défaillances dans le fonctionnement cognitif et émotionnel. En effet, par rapport à la population générale, forte proportion de ces individus présentent une mémoire déficitaire pour les événements émotionnels. À ce jour, le peu d’études qui se sont penchées sur la mémoire émotionnelle épisodique dans la schizophrénie, ont uniquement mis l’emphase sur l'effet de la valence des stimuli (c’est-à-dire le caractère agréable ou désagréable du stimulus). Toutefois, aucune n’a investigué spécifiquement l’intensité de la réaction aux stimuli (c’est-à-dire une faible par rapport à une forte réaction) malgré quantité de preuves faisant montre, dans la population générale, de différents processus de mémoire émotionnelle pour des stimuli suscitant une forte réaction par rapport à ceux évoquant une faible réponse. Ce manque est d’autant plus flagrant étant donné le nombre d’études ayant rapporté un traitement et un encodage atypiques des émotions spécifiquement au niveau de l’intensité de la réponse subjective chez des patients atteints de schizophrénie. Autre fait important, il est étonnant de constater l’absence de recherches sur les différences de sexe dans la mémoire émotionnelle étant donné l’ensemble des divergences entre hommes et femmes atteints de schizophrénie au niveau de la prévalence, de l’âge de diagnostic, de la manifestation clinique, de l’évolution de la maladie, de la réponse au traitement et des structures cérébrales. Pour pallier à ces lacunes, ce mémoire a évalué : (1) l’effet de la valence des stimuli et de l'intensité de la réaction émotionnelle au niveau des fonctions cérébrales correspondant à la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie comparativement à des participants sains; et (2) les possibles différences de sexe dans les processus cérébraux impliqués dans la mémoire émotionnelle chez des patients atteints de schizophrénie par rapport à des volontaires sains. Ainsi, la première étude a comparé les activations cérébrales de patients atteints de schizophrénie par rapport à des participants sains au cours d’une tâche de mémoire émotionnelle dont les stimuli variaient à la fois au niveau de la valence et de l'intensité de la réaction subjective. 37 patients atteints de schizophrénie ainsi que 37 participants en bonne santé ont effectué cette tâche de mémoire émotionnelle lors d’une session d’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf). Pour toutes les conditions étudiées (images négatives, positives, de faible et de forte intensité), le groupe atteint de schizophrénie a performé significativement moins bien que les volontaires sains. Comparativement aux sujets sains, ils ont montré moins d’activations cérébrales dans les régions limbiques et préfrontales lors de la reconnaissance des images négatives, mais ont présenté un patron d'activations similaire à celui des participants sains lors de la reconnaissance des images chargées positivement (activations observées dans le cervelet, le cortex temporal et préfrontal). Enfin, indépendamment de la valence des stimuli, les deux groupes ont démontré une augmentation des activations cérébrales pour les images de forte intensité par rapport à celles de plus faible intensité. La seconde étude a quant à elle exploré les différences de sexe potentielles au niveau des activations cérébrales associées à la mémoire émotionnelle dans la schizophrénie et dans la population en général. Nous avons comparé 41 patients atteints de schizophrénie (20 femmes) à 41 participants en bonne santé (19 femmes) alors qu’ils effectuaient la même tâche de mémoire émotionnelle mentionnée plus haut. Or, pour cette étude, nous nous sommes concentrés sur les conditions suivantes : la reconnaissance d’images positives, négatives et neutres. Nous n'avons pas observé de différences entre les hommes et les femmes au niveau des performances à la tâche de mémoire pour aucune des conditions. En ce qui a trait aux données de neuroimagerie, comparativement aux femmes en bonne santé, celles atteintes de schizophrénie ont montré une diminution des activations cérébrales dans les régions corticales du système limbique (p. ex. cortex cingulaire moyen) et dans les régions sous-corticales (p. ex. amygdale) lors de la reconnaissance d'images négatives. Pour ce qui est de la condition positive, elles ont présenté, comparativement au groupe de femmes saines, des diminutions d’activations spécifiquement dans le cervelet ainsi que dans le gyrus frontal inférieur et moyen. Les hommes atteints de schizophrénie, eux, ont montré une augmentation d’activations par rapport aux hommes sains dans le gyrus préfrontal médian lors de la reconnaissance des stimuli négatifs ; ainsi que dans les régions pariétales, temporales et limbiques lors de la reconnaissance des stimuli positifs. Dans un autre ordre d’idées, notre analyse corrélationnelle a mis en évidence, chez les femmes, un lien significatif entre l’activité cérébrale et les symptômes au cours de la mémoire des stimuli positifs, alors que chez les hommes atteints schizophrénie, ce lien a été observé au cours de la mémoire des stimuli négatifs. Bref, l’ensemble de nos résultats suggère, chez les patients atteints de schizophrénie, un fonctionnement cérébral atypique spécifiquement lors de la reconnaissance d’images négatives, mais un fonctionnement intact lors de la reconnaissance de stimuli positifs. De plus, nous avons mis en évidence la présence de différences de sexe dans les activations cérébrales associées à la mémoire épisodique émotionnelle soulignant ainsi l'importance d’étudier séparément les hommes et les femmes atteints de schizophrénie dans le cadre de recherches sur les plans cognitif et émotionnel.
Resumo:
Contexte L’américanisation des habitudes de vie, notamment de l’alimentation, semble être en grande partie responsable de l’augmentation incessante de l’incidence élevée des maladies cardiovasculaires. La période postprandiale, où l’homéostasie vasculaire et métabolique est mise à l’épreuve, est d’une importance considérable dans le développement ou la prévention de l’athérosclérose et représente maintenant la majeure partie du temps d’éveil. La compréhension de l’influence de la composition d’un repas sur son impact postprandial est donc essentielle dans notre lutte dans la prévention de ces maladies. Objectifs L’objectif principal de ce projet de recherche était d’étudier les réponses endothéliale et métabolique à un repas de type méditerranéen mixte (MMM), puisqu’elles sont inconnues. Ce projet avait aussi pour objectifs d’évaluer l’impact microvasculaire d’un tel repas et de caractériser la composition postprandiale des acides gras plasmatiques. À titre comparatif, ces éléments ont aussi été étudiés suite à un repas riche en gras saturés (HSFAM). Méthodes Vingt-huit (28) hommes sains, exempts de facteurs de risque de maladies cardiovasculaires ont reçu de façon randomisée les deux repas à l’étude. Le MMM, composé de saumon frais et de légumes cuits dans l'huile d'olive, contenait 7.87g de SFA et 2.29g d’acides gras polyinsaturés oméga-3, tandis que le HSFAM, composé d'un sandwich déjeuner avec œuf, saucisse et fromage, contenait 14.78g de SFA. Les mesures de la fonction endothéliale mesurée par échographie brachiale (FMD), de la fonction microvasculaire mesurée par spectroscopie proche de l’infrarouge (NIRS) et de la composition des acides gras plasmatique ont été effectuées à jeun et en période postprandiale. Résultats Deux sous-groupes de répondeurs aux repas à l’étude se sont dégagés de ces travaux. Un premier sous-groupe de sujets ayant une triglycéridémie à jeun élevée, mais normale (hnTG) a démontré des altérations endothéliales seulement suivant le repas HSFAM. Un second sous-groupe de sujets ayant une triglycéridémie plus faible et normale (lnTG) n’a quant à lui pas subi d’altérations endothéliales suivant les deux repas à l’étude. Les sujets hnTG ont aussi démontré une charge triglycéridémique postprandiale (iAUC) plus importante et qui était de surcroît enrichie en acide stéarique suivant la HSFAM et en acide gras polyinsaturés oméga-3 suivant le MMM. L’évaluation par NIRS de la fonction microvasculaire nous révèle un ralentissement de la réoxygénation post-ischémique qui suggère une altération postprandiale du recrutement capillaire chez les sujets hnTG seulement. De telles altérations, qui semblent être plus importantes suivant le HSFAM, pourraient être en partie responsables de l’impact endothélial de ce repas. Conclusions Cet essai clinique démontre donc de façon novatrice qu’un repas MMM n’a pas d’effet endothélial délétère et que cette neutralité est indépendante de la triglycéridémie à jeun. De plus, une triglycéridémie à jeun élevée mais normale semble indiquer des dysfonctions endothéliales et métaboliques à des épreuves nutritionnelles tel un repas HSFAM. La consommation de repas méditerranéens par des individus sains à la triglycéridémie marginale serait bénéfique, peut-être même davantage que pour des individus de triglycéridémie plus faible, dans la prévention de l’athérogénèse et des maladies cardiovasculaires.
Resumo:
La participación en carreras atléticas de calle ha aumentado; esto requiere detectar riesgos previos al esfuerzo físico. Objetivo. Identificar factores de riesgo del comportamiento y readiness de inscritos a una carrera. Método. Estudio transversal en aficionados de 18-64 años. Encuesta digital con módulos de IPAQ, PARQ+ y STEP. Muestreo aleatorio sistemático con n=510, para una inactividad física esperada de 35% (±5%). Se evaluó nivel de actividad física, consumo de alcohol (peligroso), de fruta, verdura, tabaco y sal, y readiness. Resultados. El cumplimiento de actividad física fue 97,4%; 2,4% consume nivel óptimo de fruta o verdura (diferencias por edad, sexo y estrato), 3,7% fuma y 44,1% consumo peligroso de alcohol. El 19,8% reportó PARQ+ positivo y 5,7% requiere supervisión. Hay diferencias por trabajo y estudio. Discusión. Los aficionados cumplen el nivel de actividad física; pero no de otros factores. Una estrategia de seguridad en el atletismo de calle es evaluar los factores de riesgo relacionados con el estilo de vida así como el readiness.
Resumo:
Background: Greatly increasing dietary flaxseed oil [rich in the n-3 polyunsaturated fatty acid (PUFA) alpha-linolenic acid (ALA)] or fish oil [rich in the long-chain n-3 PUFAs eicosapentaenoic (EPA) and docosahexaenoic (DHA) acids] can reduce markers of immune cell function. The effects of more modest doses are unclear, and it is not known whether ALA has the same effects as its long-chain derivatives. Objective: The objective was to determine the effects of enriching the diet with ALA or EPA+DHA on immune outcomes representing key functions of human neutrophils, monocytes, and lymphocytes. Design: In a placebo-controlled, double-blind, parallel study, 150 healthy men and women aged 25-72 y were randomly assigned to I of 5 interventions: placebo (no additional n-3 PUFAs), 4.5 or 9.5 g ALA/d, and 0.77 or 1.7 g EPA+DHA/d for 6 mo. The n-3 PUFAs were provided in 25 g fat spread plus 3 oil capsules. Blood samples were taken at 0, 3, and 6 mo. Results: The fatty acid composition of peripheral blood mononuclear cell phospholipids was significantly different in the groups with higher intakes of ALA or EPA+DHA. The interventions did not alter the percentages of neutrophils or monocytes engaged in phagocytosis of Escherichia coli or in phagocytic activity, the percentages of neutrophils or monocytes undergoing oxidative burst in response to E. coli or phorbol ester, the proliferation of lymphocytes in response to a T cell mitogen, the production of numerous cytokines by monocytes and lymphocytes, or the in vivo delayed-type hypersensitivity response. Conclusion: An intake of f less than or equal to9.5 g ALA/d or less than or equal to1.7 g EPA+DHA/d does not alter the functional activity of neutrophils, monocytes, or lymphocytes, but it changes the fatty acid composition of mononuclear cells.
Resumo:
The purpose of this study was to determine the incorporation into erythrocytes of cis (c)-9,trans (t)-11 conjugated linoleic acid (CLA) and t10,c12 CLA consumed as supplements highly enriched in these isomers. Healthy men (31 8 years) consumed 1, 2, and 4 capsules containing approximately 80 g/100 g of either c9,t11 CLA or t10,c12 CLA for sequential 8-week periods. Fatty acid concentrations in erythrocyte total lipids were determined at baseline and after consumption of the highest dose. The increase in c9,t11 CLA concentration (0.31 g/100 g) was significantly greater than that in t10,c12 CLA (0.19 g/100 g). This was associated with minor changes in concentrations of some fatty acids of chain length greater than 20 carbons. These data suggest selective assimilation of individual CLA isomers into erythrocyte lipids and partial substitution for specific saturated and polyunsaturated fatty acids. (C) 2005 Elsevier Inc. All rights reserved.
Resumo:
There is emerging evidence to show that high levels of NEFA contribute to endothelial dysfunction and impaired insulin sensitivity. However, the impact of NEFA composition remains unclear. A total of ten healthy men consumed test drinks containing 50 g of palm stearin (rich in SFA) or high-oleic sunflower oil (rich in MUFA) on separate occasions; a third day included no fat as a control. The fats were emulsified into chocolate drinks and given as a bolus (approximately 10 g fat) at baseline followed by smaller amounts (approximately 3 g fat) every 30 min throughout the 6 h study day. An intravenous heparin infusion was initiated 2 h after the bolus, which resulted in a three- to fourfold increase in circulating NEFA level from baseline. Mean arterial stiffness as measured by digital volume pulse was higher during the consumption of SFA (P,0·001) but not MUFA (P¼0·089) compared with the control. Overall insulin and gastric inhibitory peptide response was greater during the consumption of both fats compared with the control (P,0·001); there was a second insulin peak in response to MUFA unlike SFA. Consumption of SFA resulted in higher levels of soluble intercellular adhesion molecule-1 (sI-CAM) at 330 min than that of MUFA or control (P#0·048). There was no effect of the test drinks on glucose, total nitrite, plasminogen activator inhibitor-1 or endothelin-1 concentrations. The present study indicates a potential negative impact of elevated NEFA derived from the consumption of SFA on arterial stiffness and sI-CAM levels. More studies are needed to fully investigate the impact of NEFA composition on risk factors for CVD.
Resumo:
BACKGROUND: In 1997, the US Food and Drug Administration passed a unique ruling that allowed oat bran to be registered as the first cholesterol-reducing food at a dosage of 3 g beta-glucan/d. OBJECTIVE: The effects of a low dose of oat bran in the background diet only were investigated in volunteers with mild-to-moderate hyperlipidemia. DESIGN: The study was a double-blind, placebo-controlled, randomized, parallel study. Sixty-two healthy men (n = 31) and women (n = 31) were randomly allocated to consume either 20 g oat bran concentrate (OBC; containing 3 g beta-glucan) or 20 g wheat bran (control) daily for 8 wk. Fasting blood samples were collected at weeks -1, 0, 4, 8, and 12. A subgroup (n = 17) was studied postprandially after consumption of 2 meals (containing no OBC or wheat bran) at baseline and after supplementation. Fasting plasma samples were analyzed for total cholesterol, HDL cholesterol, triacylglycerol, glucose, and insulin. LDL cholesterol was measured by using the Friedewald formula. The postprandial samples were anlayzed for triacylglycerol, glucose, and insulin. RESULTS: No significant difference was observed in fasting plasma cholesterol, LDL cholesterol, glucose, or insulin between the OBC and wheat-bran groups. HDL-cholesterol concentrations fell significantly from weeks 0 to 8 in the OBC group (P = 0.05). There was a significant increase in fasting glucose concentrations after both OBC (P = 0.03) and wheat-bran (P = 0.02) consumption. No significant difference was found between the OBC and wheat-bran groups in any of the postprandial variables measured. CONCLUSIONS: A low dosage of beta-glucan (3 g/d) did not significantly reduce total cholesterol or LDL cholesterol in volunteers with plasma cholesterol concentrations representative of a middle-aged UK population.
Resumo:
Although the beneficial effects of Mediterranean-type diets, which are rich in olive oil, a good source of monounsaturated fatty acids (MUFAs), are generally accepted, little is known about the effects of long-term dietary MUFA intake on postprandial lipoprotein metabolism and hemostasis. This study used a single-blind, randomized, crossover design to investigate the relative effects of a long-term dietary olive oil intervention and a control [saturated fatty acid (SFA)-enriched] diet on postprandial triacylglycerol metabolism and factor VII activity. The postprandial response to a standard test meal was investigated in 23 healthy men who adhered to both diets for 8 wk. cis-MUFAs were successfully substituted for SFAs in the MUFA diet without affecting total dietary fat or energy intakes. The long-term dietary MUFA intervention significantly reduced plasma and LDL-cholesterol concentrations (P = 0.01). Postprandial triacylglycerol concentrations were significantly greater in the early postprandial period after the MUFA diet (P = 0.003). Postprandial factor VII activation and the concentration of the factor VII antigen were significantly lower after the MUFA diet (P = 0.04 and P = 0 006, respectively). This study showed that isoenergetic substitution of MUFAs for SFAs reduces plasma cholesterol and reduces the degree of postprandial factor VII activation. The alterations in the postprandial triacylglycerol response suggest a greater rate of dietary fat absorption and postprandial triacylglycerol metabolism after a diet rich in MUFAs. This study presents new insights into the biochemical basis of the beneficial effects associated with long-term dietary MUFA consumption, which may explain the lower rates of coronary mortality in Mediterranean regions.
Resumo:
This paper describes the use of an antiserum, specific for apolipoprotein (apo) B-48, in a competitive, enzyme-linked immunosorbent assay (ELISA) for apo B-48 in triacylglycerol-rich lipoprotein (TRL) fractions prepared from fasting and post-prandial plasma samples. Previously we showed the antiserum to act as an effective immunoblotting agent following sodium dodecyl sulfate polyacrylamide gel electrophoresis (SDS-PAGE). Its use in this ELISA indicates that the antiserum recognises the C-terminal region of the protein on the surface of lipoprotein particles. The ELISA had a sensitivity of less than 37 ng/ml and intra- and inter-assay coefficients of variation of 3.8% and 8.6%, respectively. There was no cross-reaction in the ELISA against serum albumin, ovalbumin, thyroglobulin, or apo B-100 (purified by immunoaffinity chromatography), and high lipid concentrations (as Intralipid) did not interfere. A low density lipoprotein fraction reacted in the ELISA but SDS-PAGE-Western blot analysis confirmed the presence, in the fraction, of a small amount of apo B-48, indicating the existence of low density dietary-derived lipoprotein particles. ELISA and SDS-PAGE-Western blot analysis were used to measure apo B-48 in 12 series of postprandial samples collected from 4 diabetic and 8 normal subjects, following test meals of varying fat content. The mean correlation between the two methods was r = 0.74. The mean fasting concentration of apo B-48 in the TRL fractions from 15 healthy men was 0.46 μg/ml of plasma.
Resumo:
Epidemiological studies have shown an inverse relationship between risk of CVD and intake of whole grain (WG)-rich food. Regular consumption of breakfast cereals can provide not only an increase in dietary WG but also improvements to cardiovascular health. Various mechanisms have been proposed, including prebiotic modulation of the colonic microbiota. In the present study, the prebiotic activity of a maize-derived WG cereal (WGM) was evaluated in a double-blind, placebo-controlled human feeding study (n 32). For a period of 21 d, healthy men and women, mean age 32 (sd 8) years and BMI 23·3 (sd 0·58) kg/m2, consumed either 48 g/d WG cereal (WGM) or 48 g placebo cereal (non-whole grain (NWG)) in a crossover fashion. Faecal samples were collected at five points during the study on days 0, 21, 42, 63 and 84 (representing at baseline, after both treatments and both wash-out periods). Faecal bacteriology was assessed using fluorescence in situ hybridisation with 16S rRNA oligonucleotide probes specific for Bacteroides spp., Bifidobacterium spp., Clostridium histolyticum/perfringens subgroup, Lactobacillus–Enterococcus subgroup and total bacteria. After 21 d consumption of WGM, mean group levels of faecal bifidobacteria increased significantly compared with the control cereal (P = 0·001). After a 3-week wash-out period, bifidobacterial levels returned to pre-intervention levels. No statistically significant changes were observed in serum lipids, glucose or measures of faecal output. In conclusion, this WG maize-enriched breakfast cereal mediated a bifidogenic modulation of the gut microbiota, indicating a possible prebiotic mode of action
Resumo:
Despite growing evidence on the neural bases of emotion regulation, little is known about the mechanisms underlying individual differences in cognitive regulation of negative emotion, and few studies have used objective measures to quantify regulatory success. Using a trait-like psychophysiological measure of emotion regulation, corrugator electromyography, we obtained an objective index of the ability to cognitively reappraise negative emotion in 56 healthy men (session 1), who returned 1.3 years later to perform the same regulation task using fMRI (session 2). Results indicated that the corrugator measure of regulatory skill predicted amygdala-prefrontal functional connectivity. Individuals with greater ability to down-regulate negative emotion as indexed by corrugator at session 1 showed not only greater amygdala attenuation but also greater inverse connectivity between the amygdala and several sectors of the prefrontal cortex while down-regulating negative emotion at session 2. Our results demonstrate that individual differences in emotion regulation are stable over time and underscore the important role of amygdala-prefrontal coupling for successful regulation of negative emotion.
Resumo:
Objective: We assessed whether a wheat bran extract containing arabino-xylan-oligosaccharide (AXOS) elicited a prebiotic effect and influenced other physiologic parameters when consumed in ready-to-eat cereal at two dose levels. Methods: This double-blind, randomized, controlled, crossover trial evaluated the effects of consuming AXOS at 0 (control), 2.2, or 4.8 g/d as part of ready-to-eat cereal for 3 wk in 55 healthy men and women. Fecal microbial levels, postprandial serum ferulic acid concentrations, and other physiologic parameters were assessed at the beginning and end of each condition. Results: The median bifidobacteria content of stool samples (log10/grams of dry weight [DW]) was found to be higher in the subjects consuming the 4.8-g/d dose (10.03) than in those consuming 2.2 g/d (9.93) and control (9.84, P < 0.001). No significant changes in the populations of other fecal microbes were observed, indicating a selective increase in fecal bifidobacteria. Postprandial ferulic acid was measured at 120 min at the start and end of each 3-wk treatment period in subjects at least 50 y old (n = 37) and increased in a dose-dependent manner (end-of-treatment values 0.007, 0.050, and 0.069 μg/mL for the control, AXOS 2.2 g/d, and AXOS 4.8 g/d conditions, respectively, P for trend < 0.001). Conclusion: These results indicate that AXOS has prebiotic properties, selectively increasing fecal bifidobacteria, and increases postprandial ferulic acid concentrations in a dose-dependent manner in healthy men and women.
Resumo:
Recent research indicates gender differences in the impact of stress on decision behavior, but little is known about the brain mechanisms involved in these gender-specific stress effects. The current study used functional magnetic resonance imaging (fMRI) to determine whether induced stress resulted in gender-specific patterns of brain activation during a decision task involving monetary reward. Specifically, we manipulated physiological stress levels using a cold pressor task, prior to a risky decision making task. Healthy men (n = 24, 12 stressed) and women (n = 23, 11 stressed) completed the decision task after either cold pressor stress or a control task during the period of cortisol response to the cold pressor. Gender differences in behavior were present in stressed participants but not controls, such that stress led to greater reward collection and faster decision speed in males but less reward collection and slower decision speed in females. A gender-by-stress interaction was observed for the dorsal striatum and anterior insula. With cold stress, activation in these regions was increased in males but decreased in females. The findings of this study indicate that the impact of stress on reward-related decision processing differs depending on gender.