774 resultados para gender-based violence victims
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Purpose: Depression in older females is a significant and growing problem. Females who experience life stressors across the life span are at higher risk for developing problems with depression than their male counterparts. The primary aim of this study was (a) to examine gender-specific differences in the correlates of depression in older primary care patients based on baseline and longitudinal analyses; and (b) to examine the longitudinal effect of biopsychosocial risk factors on depression treatment outcomes in different models of behavioral healthcare (i.e., integrated care and enhanced referral). Method: This study used a quantitative secondary data analysis with longitudinal data from the Primary Care Research in Substance Abuse and Mental Health for Elderly (PRISM-E) study. A linear mixed model approach to hierarchical linear modeling was used for analysis using baseline assessment, and follow-up from three-month and six-month. Results: For participants diagnosed with major depressive disorder female gender was associated with increased depression severity at six-month compared to males at six-month. Further, the interaction between gender and life stressors found that females who reported loss of family and friends, family issues, money issues, medical illness was related to higher depression severity compared to males whereas lack of activities was related to lower depression severity among females compared to males. Conclusion: These findings suggest that gender moderated the relationship between specific life stressors and depression severity similar to how a protective factor can impact a person's response to a problem and reduce the negative impact of a risk factor on a problem outcome. Therefore, life stressors may be a reliable predictor of depression for both females and males in either behavioral health treatment model. This study concluded that life stressors influence males basic comfort, stability, and survival whereas life stressors influence females' development, personal growth, and happiness; therefore, life stressors may be a useful component to include in gender-based screening and assessment tools for depression. ^
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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.
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La migration internationale, expérience centrale et de plus en plus féminisée de la mondialisation, semble fortement structurée par les rapports de genre qui peuvent faciliter ou limiter la trajectoire. En outre, une attention particulière doit être portée à la vulnérabilité différenciée des femmes face aux violences dans les processus de recrutement, de déplacement et de passage des frontières. Le contexte de déplacement forcé en étant un particulier, il est essentiel de prendre en compte la situation et le point de vue des femmes en situation de refuge tout comme il est nécessaire de questionner les structures mises en place pour assurer leur accès aux services ainsi que le respect de leurs droits. Dans ce contexte, cette recherche s’intéresse à l’importance de l’interaction entre les différents axes d’inégalités sociales dans la production et la transformation des formes de violences basées sur le genre vécues par les déplacées colombiennes tant dans la phase prédépart, dans l’étape de déplacement que lors de leur insertion dans le pays voisin où elles cherchent refuge : l’Équateur. En plus de s’amalgamer aux autres axes de différenciation sociale tels que l’âge, l’ethnie, la classe sociale et l’orientation sexuelle les caractéristiques vulnérabilisantes liées au genre se dévoilent dans un continuum de violences qui vient à son tour influencer les rapports inégaux. L’utilisation d’un concept comme celui du continuum permet une réflexion sur la nature multi-facétique de la violence. En plus d’aller plus loin que la hiérarchisation des abus, ce concept favorise l’exploration de formes de violences qui, contrairement aux violences extrêmes et directes, sont moins communément étudiées. En effet, les violences basées sur le genre ne sont pas des phénomènes isolés, mais des manifestations qui s’entrecroisent le long d’un continuum au cours duquel elles se supportent, se nourrissent mutuellement et parfois se fusionnent pour se transformer.
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Cette recherche constitue un essai de théorie critique féministe matérialiste et radicale. Elle poursuit principalement un objectif de dénonciation de la structure actuelle du droit du logement. À partir d’un cadre conceptuel fondé sur le féminisme matérialiste et radical, elle souhaite faire ressortir le point de vue de la classe des femmes dans l’habitation. Le droit du logement est ici utilisé dans un sens large, puisqu’il se réfère à la fois au logement comme phénomène juridique, mais aussi sociologique. À l’intérieur de la discipline juridique, il renvoie à l’ensemble des législations actuellement en vigueur au Québec en ce qui concerne la vie à domicile. Notre étude se concentre sur deux modes d’occupation des lieux, à travers le droit de propriété et le système locatif. Le droit au logement fait l’objet d’une reconnaissance internationale dans les textes portant sur les droits humains. Il est reconnu comme le « droit à un logement suffisant ». Au Canada et au Québec, il ne fait pas l’objet d’une reconnaissance explicite, malgré les engagements pris sur la scène internationale. Un portrait statistique, appuyé sur le critère du sexe, permet de mettre en évidence qu’il existe des écarts entre les hommes et les femmes en ce qui concerne la mise en application du droit du logement. Les femmes accèdent plus difficilement à un logement; elles y effectuent la majorité du travail domestique, de service et de « care » et elles sont les principales victimes des violences commises à domicile. Dans le système d’habitation, l’expérience des femmes se comprend comme une appropriation à la fois privée et collective par la classe des hommes, telle que réfléchie par Colette Guillaumin, qui se concentre autour de la division sexuelle du travail et des violences sexuées. Le droit du logement, dans sa forme actuelle, repose sur l’appropriation de la force de travail des femmes et de leur corps. Ces deux critères permettent de construire une grille d’analyse féministe matérialiste et radicale pour analyser la structure du droit du logement, tel que conçu en droit civil. Cette analyse féministe permet également de situer le droit étatique comme une pratique patriarcale. Cette dernière contribue à assurer le maintien du système d’habitation, qui est assimilable à un système hégémonique, au sens développé par Gramsci. Cette étude réfléchit sur le droit du logement dans le climat politique néolibéral. Le néolibéralisme est développé comme une idéologie qui impose une rationalité marchande à l’ensemble des politiques étatiques. À partir d’une méthode décrite comme métathéorique externe radicalement réflexive, puisqu’elle propose l’importation d’outils conceptuels étrangers à la discipline du droit moderne, nous réfléchissons de manière radicale la construction du droit civil et des institutions qui encadrent le droit du logement. La collecte des données s’effectue à partir de la recherche documentaire. Quatre institutions du droit civil seront examinées dans le détail, soit le sujet du droit, la dichotomie privé/public, la médiation du droit du logement par les biens immeubles, à travers le rapport contractuel et le droit de propriété, et finalement les notaires. L’analyse féministe du sujet du droit insiste sur un paradoxe. D’une part, l’universalité présumée de ce sujet, laquelle permet de poser l’égalité et la liberté pour toutes les personnes juridiques. Or, plutôt que d’être neutre sexuellement comme le prétend le droit positif, nous démontrons comment ce sujet est constamment un membre de la classe des hommes. D’autre part, nous analysons comment le droit reconnaît le sexe de ses sujets, mais surtout comment cette sexualité est construite sur l’idéologie naturaliste. Ce modèle de sujet masculin est fondamental dans la construction du droit du logement. L’étude féministe de la dichotomie privé/public en fait ressortir le caractère situé. En effet, si par essence aucun domaine ou enjeu n’est en soit privé ou public, le processus de qualification, lui, est un acte de pouvoir. Nous verrons comment le droit civil crée des zones de droit privé, comprises comme des zones de non-droit pour les femmes. La qualification de privé dévalue également le travail accompli par cette classe de sexe. Le droit du logement est pourtant centré sur le rapport contractuel et sur le droit de propriété. Il importe alors d’examiner la nature du consentement donné par les femmes comme groupe social dans les contrats de vente et de location. Ces contrats ne prennent pas en compte l’expérience des femmes dans leur formation. Les catégories qui y sont attachées, telles que vendeur.e ou locataire, représentent le point de vue de la classe des hommes. Bien que la popularité de la copropriété auprès de la classe des femmes semble porteuse d’un vent de changement, nous analysons comment le discours dominant qui l’entoure instrumentalise certaines revendications féministes, tout en laissant dans l’ombre la question du travail domestique et des violences sexuées. Finalement, nous nous intéressons aux notaires en les repensant comme des intellectuel.les organiques, tels que conçu.es par Gramsci, pour la classe des hommes. Cette fonction d’intellectuel.les permet de mettre en lumière comment chaque transaction immobilière favorise la reproduction des intérêts patriarcaux, remettant ainsi en question la nature des devoirs de conseil et d’impartialité du notariat. À la lumière de cette analyse, le Code civil du Québec est qualifié dans une perspective féministe matérialiste et radicale pour devenir un système qui institutionnalise l’appropriation des femmes par l’entremise du droit du logement. Ce travail de recherche permet d’envisager certaines pistes de réflexion pour des rénovations potentielles des pratiques juridiques entourant le droit du logement, notamment la pratique notariale, tournées vers des objectifs féministes de justice sociale.
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How can we understand the gender logic underpinning the welfare states/systems of East Asia? Does the comparative literature, which has largely been concerned with western Welfare states, whether in The Three Worlds of Welfare Capitalism (Esping-Andersen 1990), or in gender-based analysis of the male breadwinner model (Lewis 1992, 2001, 2006), have anything to offer in understanding the gender assumptions underpinning East Asian welfare states? Are the welfare systems of East Asian countries distinctive, with Confucian assumptions hidden beneath the surface commitment to gender equality? We will use the (mainly western) comparative literature, but argue that Confucian influences remain important, with strong assumptions of family, market and voluntary sector responsibility rather than state responsibility, strong expectations of women’s obligations, without compensating rights, a hierarchy of gender and age, and a highly distinctive, vertical family structure, in which women are subject to parents-in-law. In rapidly changing economies, these social characteristics are changing too. But they still put powerful pressures on women to conform to expectations about care, while weakening their rights to security and support. Nowhere do welfare states’ promises bring gender equality in practice. Even in Scandinavian countries women earn less, care more, and have less power than men. We shall compare East Asian countries (Japan, Korea, Taiwan where possible) with some Western ones, to argue that some major comparative data (e.g. OECD) show the extreme situation of women in these countries. Some fine new qualitative studies give us a close insight into the experience of mothers, including lone and married mothers, which help us to understand how far the gender assumptions of welfare states are from Scandinavia’s dual earner model. There are signs of change in society as well as in economy, and room for optimism that women’s involvement in social movements and academic enquiry may be challenging Confucian gender hierarchies.
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Rapport de stage présenté à la Faculté des Arts et Sciences en vue de l’obtention du grade de Maître des Sciences (M. Sc.) en Criminologie, Option Stage en Intervention
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Rapport de stage présenté à la Faculté des Arts et Sciences en vue de l’obtention du grade de Maître des Sciences (M. Sc.) en Criminologie, Option Stage en Intervention
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The purpose of this project was to a provide a better understanding of where sexual violence in private residences occurred and how the victims and offenders involved in sexual violence came to be at those places. These findings combined to paint a quite different picture than some might expect. Rather than being a situation where force is used to take victims to a location, or the victims' homes are invaded by force, the circumstances surrounding how sexual violence victims and offenders come to be at the offense location seem to be much more subtle. Victimization where victims and offenders shared a residence accounted for a substantial portion of sexual violence reported in private residences, rendering questions as to how the offender gained entry or why the victim was there, moot under those circumstances. In cases where the offense location was not a mutual residence, victims most often went to the site voluntarily and offenders most frequently gained entry with permission rather than through force or deception.
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This article explores how adult paid work is portrayed in 'family' feature length films. The study extends previous critical media literature which has overwhelmingly focused on depictions of gender and violence, exploring the visual content of films that is relevant to adult employment. Forty-two G/PG films were analyzed for relevant themes. Consistent with the exploratory nature of the research, themes emerged inductively from the films' content. Results reveal six major themes: males are more visible in adult work roles than women; the division of labour remains gendered; work and home are not mutually exclusive domains; organizational authority and power is wielded in punitive ways; there are avenues to better employment prospects; and status/money is paramount. The findings of the study reflect a range of subject matters related to occupational characteristics and work-related communication and interactions which are typically viewed by children in contemporary society.
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Purpose: The purpose of this paper is to explore two dimensions of leadership practices (i.e. teaching and learning and sources of power) used by two exemplary principals in mainland China against a background of education reform and to identify how broader contextual factors have shaped these two dimensions of their leadership.--------- Design/methodology/approach: An exploratory case study was used that drew upon semi-structured interviews, observations and document analysis. Interviews were conducted with two principals, six teachers from each of the two schools and a superintendent who was the supervisor of the two principals.---------- Findings: The findings reveal that there are some common elements in both of the leaders’ practices but also some subtle differences. Both leaders emphasise teaching and learning. One sees herself as curriculum expert; the other delegate teaching responsibilities. While both uses a top down approach, one principal uses an adversarial approach and the other a more facilitative approach.---------- Research limitations/implications: The study used a small sample size. It explored the leaders’ practices in the light of broader contextual factors rather than personal factors or gender-based factors Originality/value – Given the limited empirical research conducted on female principals in mainland China, this qualitative study provides insights into two dimensions of leadership used by two exemplary principals and explains their practices in the light of critical contextual factors such as contemporary and traditional Chinese culture and the school’s organisational context.
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As a woman traveling from one of the world’s youngest nations, Australia, my aim was to examine if western ideology had infiltrated life styles of Chinese women since the “opening up” of China in the 1980s. It is through a metaphoric examination of the contents of women’s handbags – traditionally a very secretive environment – that I sought to investigate aspects of a gender-based economic and social basis of China in 1999.
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Like other highly developed countries, cardiovascular disease (CVD) and coronary heart disease (CHD) are major health problems in Saudi Arabia. The aetiology of cardiovascular disease (CVD) burden within the Saudi population is similar to Western countries with atherosclerosis, hypertension, ischemic heart disease and diabetes highly prevalent with the main risk factors being smoking, obesity and inactivity. There are differences between Saudi men and women in epidemiology, risk factors and health service provision for CHD. These sex and gender based factors are important in considering the health and well-being of Saudi women. Currently, there is limited focus on the cardiovascular health of Saudi women. The aim of this paper is to examine culturally specific issues for Saudi women and the implications for secondary prevention.
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This article explores how adult paid work is portrayed in 'family' feature length films. The study extends previous critical media literature which has overwhelmingly focused on depictions of gender and violence, exploring the visual content of films that is relevant to adult employment. Forty-two G/PG films were analyzed for relevant themes. Consistent with the exploratory nature of the research, themes emerged inductively from the films' content. Results reveal six major themes: males are more visible in adult work roles than women; the division of labour remains gendered; work and home are not mutually exclusive domains; organizational authority and power is wielded in punitive ways; there are avenues to better employment prospects; and status/money is paramount. The findings of the study reflect a range of subject matters related to occupational characteristics and work-related communication and interactions which are typically viewed by children in contemporary society.
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A 1500-word review of Strindberg: A Life by Sue Prideaux (Yale UP, 2012). One way of classifying biographies is to divide them into those that apply their own interpretative framework – be it psychoanalytic, gender-based, socio-historical, and so on – to a given subject and those that aim to meet the subject, on their own terms, or at least in terms that the subject would recognise...
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Alternative dispute resolution, or ‘ADR’, is defined by the National Alternative Dispute Resolution Advisory Council as: … an umbrella term for processes, other than judicial determination, in which an impartial person assists those in a dispute to resolve the issues between them. ADR is commonly used as an abbreviation for alternative dispute resolution, but can also be used to mean assisted or appropriate dispute resolution. Some also use the term ADR to include approaches that enable parties to prevent or manage their own disputes without outside assistance. A broad range of ADR processes are used in legal practice contexts, including, for example, arbitration, conciliation, mediation, negotiation, conferencing, case appraisal and neutral evaluation. Hybrid processes are also used, such as med-arb in which the practitioner starts by using mediation, and then shifts to using arbitration. ADR processes generally fall into one of three general categories: facilitative, advisory or determinative. In a facilitative process, the ADR practitioner has the role of assisting the parties to reach a mutually agreeable outcome to the dispute by helping them to identify the issues in dispute, and to develop a range of options for resolving the dispute. Mediation and facilitated negotiation are examples of facilitative processes. ADR processes that are advisory involve the practitioner appraising the dispute, providing advice as to the facts of the dispute, the law and then, in some cases, articulating possible or appropriate outcomes and how they might be achieved. Case appraisal and neutral evaluation are examples of advisory processes. In a determinative ADR process, the practitioner evaluates the dispute (which may include the hearing of formal evidence from the parties) and makes a determination. Arbitration is an example of a determinative ADR process. The use of ADR processes has increased significantly in recent years. Indeed, in a range of contemporary legal contexts the use of an ADR process is now required before a party is able to file a matter in court. For example, Juliet Behrens discusses in Chapter 11 of this book how the Family Law Act 1975 (Cth) now effectively mandates attendance at pre-filing family dispute resolution in parenting disputes. At the state level, in Queensland, for example, attendance at a conciliation conference can be required in anti-discrimination matters, and is encouraged in residential tenancy matters, and in personal injuries matters the parties must attend a preliminary compulsory conference. Certain ADR processes are used more commonly in the resolution of particular disputes. For example, in family law contexts, mediation and conciliation are generally used because they provide the parties with flexibility in terms of process and outcome while still ensuring that the negotiations occur in a positive, structured and facilitated framework. In commercial contexts, arbitration and neutral evaluation are often used because they can provide the parties with a determination of the dispute that is factually and legally principled, but which is also private and more timely than if the parties went to court. Women, as legal personalities and citizens of society, can find themselves involved in any sort of legal dispute, and therefore all forms of ADR are relevant to women. Perhaps most commonly, however, women come into contact with facilitative ADR processes. For example, through involvement in family law disputes women will encounter family dispute resolution processes, such as mediation. In this chapter, therefore, the focus is on facilitative ADR processes and, particularly, issues for women in terms of their participation in such processes. The aim of this chapter is to provide legal practitioners with an understanding of issues for women in ADR to inform your approach to representing women clients in such processes, and to guide you in preparing women clients for their participation in ADR. The chapter begins with a consideration of the ways in which facilitative ADR processes are positive for women participants. Next, some of the disadvantages for women in ADR are explored. Finally, the chapter offers ways in which legal practitioners can effectively prepare women clients for participation in ADR. Before embarking on a discussion of issues for women in ADR, it is important to acknowledge that women’s experiences in these dispute resolution environments, whilst often sharing commonalities, are diverse and informed by a range of factors specific to each individual woman; for example, her race or socio-economic background. This discussion, therefore, addresses some common issues for women in ADR that are fundamentally gender based. It must be noted, however, that providing advice to women clients about participating in ADR processes requires legal practitioners to have a very good understanding of the client as an individual, and her particular needs and interests. Some sources of diversity are discussed in Chapters 13, 14 and 15.