834 resultados para artists in residence
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Ce mémoire porte sur les deux premiers recueils de Raoul Duguay (ruts et or le cycle du sang dure donc). Il cherche à examiner les liens étroits qu’entretient la poésie de Duguay avec la production parallèle du poète, qui s’oriente dès la fin des années 1960 vers la chanson. Le mémoire s’attachera d’abord, dans le premier chapitre, à présenter l’histoire des liens entre les poètes et la chanson au Québec afin de relever les points de contact significatifs au cours des années 1960 et de poser le cadre théorique de la chanson comme objet d’étude. Dans un deuxième temps, l’analyse des deux premiers recueils de poèmes de Duguay nous mènera à une réflexion sur la présence de la métaphore du chant, puis de la parole poétique en poésie québécoise, qui annonce un changement de paradigme dans l’approche du lyrisme et du sujet lyrique. Enfin, le troisième chapitre se penchera sur le contexte contre-culturel québécois, pour examiner le discours et le contre-discours sur la poésie, pour expliquer le phénomène de décloisonnement des genres qui conduit Raoul Duguay à investir le champ de la culture populaire de sa poésie. Il y sera aussi question du sujet « dans le langage », de l’expérience de la langue et de la subjectivité de la voix.
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La version intégrale de ce mémoire est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (http://www.bib.umontreal.ca/MU). La base de données qui accompagne mon mémoire a été créée dans le logiciel Access 2003 à partir de l’inventaire nominatif du contenu des émissions diffusées à la radio entre 1929 et 1939 retracé dans les grilles-horaire de La Presse.
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Thèse dirigée sous la direction conjointe de Lise Lamarche et Jean Trudel.
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Le graffiti est depuis longtemps associé au vandalisme dans les métropoles où il prolifère. Il s’intègre au paysage urbain à un point tel que, même s’il procède d’une logique de visibilité et de promotion, nous parvenons à ne plus le remarquer. Pourtant, sa présence suscite toujours la colère des citoyens propriétaires de murs vandalisés et des autorités municipales qui, chaque année, dépensent de grosses sommes d’argent pour l’effacer. Malgré les restrictions et les amendes, le graffiti est néanmoins devenu un véritable phénomène d’art urbain : des artistes graffiteurs ont atteint la notoriété en dehors de leur sous-culture et ont pu exposer légalement leur travail, du fait d’un intérêt croissant du milieu officiel de l’art. Celui-ci contribue à faire grandir l’engouement et l’enthousiasme pour une pratique d’art urbaine. Le graffiti illustre l’expression d’une identité qui s’approprie et subvertit les surfaces urbaines de la ville, au moyen d’un nom propre fictif qui n’a aucune légitimation juridique et légale. De plus, l’application et la diffusion de la signature graffitique communiquent des valeurs qui guident et définissent toute la sous-culture du graffiti. Ces valeurs sont culturellement considérées comme masculines : le risque, le défi et la dissidence. La figure de l’artiste graffiteur apparaît ainsi comme une figure marginale et rebelle. Un tel portrait laisse alors entrevoir une culture fortement machiste, d’autant plus que les garçons qui exercent le graffiti sont beaucoup plus nombreux. Or, si les femmes artistes de la communauté graffitique représentent une minorité, c’est notamment parce que leur attrait pour une pratique illicite, nocturne et dangereuse est moindre. À partir d’une approche qui touche aux gender studies et à certains concepts traditionnels de l’histoire de l’art, nous cherchons à expliquer l’intérêt généralement plus faible des femmes pour le graffiti. Nous désirons également démontrer comment l’exercice des artistes féminines du graffiti se distingue de celui de leurs homologues masculins. De quelle manière se détermine leur expérience? Leur iconographie sert-elle à les définir? Quelles sont leurs opinions et leurs perceptions sur leur propre culture? Finalement, comment caractérisent-elles leur statut de femme artiste au sein d’une communauté "machiste"?
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Ce mémoire de maîtrise porte principalement sur les œuvres des artistes Sophie Calle, Sylvie Cotton, Donigan Cumming, Martin Dufrasne et Marc-Antoine K. Phaneuf. L’objectif de cette recherche est d’observer les différents allers-retours qu’ils effectuent dans leur pratique entre la sphère privée et la sphère publique et qui problématisent notre rapport à l’intimité. Dans le premier chapitre, je déterminerai ce qui caractérise respectivement l’espace public et l’espace privé, pour ensuite cibler les lieux et les figures de l’intime. Dans le deuxième chapitre, seront étudiés les gestes et les méthodes d’appropriation de la sphère privée par les artistes à l’aide de la pratique de la collection, la pratique ethnographique ainsi que la pratique de la surveillance. L’impact de ces pratiques sur l’investissement de l’artiste dans la durée est relevé, ainsi que leur inscription dans un art dit contextuel. Enfin, je terminerai par une réflexion sur ma propre pratique, en considérant ce qui l’apparente et la distingue des artistes étudiés dans celui-ci.
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Aquesta tesi explora els orígens de la pintura abstracta des d'un punt de vista eminentment conceptual. Parteix de la hipòtesi que l'abstracció es pot considerar la culminació dels ideals estètics del Simbolisme finisecular; i considera que un dels elements de continuïtat entre Simbolisme i abstracció fou l'ideal de l'obra d'art total o Gesamtkunstwerk. La tesi estudia els pintors Vassily Kandinsky i Piet Mondrian per mostrar, a través de l'anàlisi de les seves obres i textos, que aquest ideal d'obra total fou per ambdós un leit-motiv fonamental en la seva evolució vers l'abstracció. En el cas de Kandinsky s'estudien especialment les seves composicions escèniques, i en el cas de Mondrian, l'arranjament del seu estudi, projectes en el marc dels quals es va desenvolupar la seva pintura. En ambdós casos, com també en el Simbolisme, el projecte de l'obra d'art total es considera tant des de la vessant artística, com en relació al seu valor utòpic.
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Another Proof of the Preceding Theory was produced as part of a residency run by Artists in Archeology in conjunction with the Stonehenge Riverside project. The film explores the relationship between science, work and ritual, imagining archaeology as a future cult. As two robed disciples stray off from the dig, they are drawn to the drone of the stones and proceed to play the henge like a gigantic Theremin. Just as a Theremin is played with the hand interfering in an electric circuit and producing sound without contact, so the stones respond to the choreographed bodily proximity. Finally, one of the two continues alone to the avenue at Avebury, where the magnetic pull of the stones reaches its climax. Shot on VHS, the film features a score by Zuzushi Monkey, with percussion and theremin sounds mirroring the action. The performers are mostly artists and archeologists from the art and archaeology teams. The archeologists were encouraged to perform their normal work in the robes, in an attempt to explore the meeting points of science and ritual and interrogate our relationship to an ultimately unknowable prehistoric past where activities we do not understand are relegated to the realm of religion. Stonehenge has unique acoustic properties, it’s large sarsen stones are finely worked on the inside, left rough on the outside, intensifying sound waves within the inner horseshoe, but since their real use, having been built over centuries, remains ambiguous, the film proposes that our attempts to decode them may themselves become encoded in their cumulative meaning for future researchers.
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Modern Lovers was a survey show of contemporary art practices in dialogue with modernism, bringing together established and emerging artists based in London and international artists from Berlin, Jerusalem and Zagreb. The show features video, film, installation, sculpture, music and performance work that addresses the legacy of the avant garde and the survival of its aesthetics within contemporary culture. In 1976, as punk rock was busy smashing the cultural rubble left behind by the second world war and rejecting the consumer society that had emerged from the ruins, one band bravely announced that it wanted no part in this destruction. Jonathan Richman's Modern Lovers sang about how they still loved the old world. Neither parents nor girlfriends could understand, but the decaying inner city with its false promises of progress still held a fascination for Richman, who claimed he wanted to keep his place in this arcane landscape. Punk's assault on culture was the logical conclusion of modernism's linear narrative of art as a force of innovation that must reject preceding artistic movements to establish new ones. Echoing the negations of Dada, it set out to put an end to this narrative, an end to culture. It is partly because of this inherently destructive and totalising side of Modernism that it has come under harsh critique in the post modern era. Nevertheless, we are still caught up in the same dialectic of progress, revolution and destruction. Post modernism has failed to unseat our desire for the revolutionary moment, even as it has been co-opted to the degree of meaninglessness by the discourses of marketing and Capitalism. But, like Jonathan Richman, the artists in the exhibition "Modern Lovers" keep returning to modernism for something else. Instead of taking it at its word when it proffers revolution, they turn to it in search of reform. Still loving the old world and desiring a dialogue with the past, perhaps as an antidote to the eternal present of Capitalism, they are willing to engage with its aesthetics and ideas on equal ground. Leaving behind the ironic deconstructions of post modernism, they find perspectives worth salvaging and juxtapose them with contemporary visual productions. Trading in the grand narratives of modernity for a more personal approach, they don't seek the purity of form that drove the avant garde movements that inspire them but rather revel in adulteration, dilution and contamination of the past by the present". A live performance by sala-manca was sponsored by the British Council and took place May 26th, 19:00. MODERN LOVERS was accompanied by a catalogue (14.80 cm x 14.80 cm) including essays by Avi Pitchon, the sala-manca group and the curators. A discussion panel about the exhibition themes, as well as the catalogue launch,took place at Goldsmiths College's cinema on the 27th of May at 14:00, chaired by Dr. Suhail Malik (Senior Lecturer & Course Leader Postgraduate Fine Art Critical Studies at Goldsmiths College) and with the participation of Tom Morton (curator, Cubitt Gallery, and regular contributor to Frieze magazine), sala-manca (artist group), Dr. Amanda Beech (artist, curator and senior lecturer at the Wimbledon School of Art), Matthew Poole (course director of MA Gallery Studies, dept. of Art History and Theory at the University of Essex).
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According to many accounts, a key paradigm for understanding art in Post WWII Britain is one of Englishness versus internationalism or abstraction versus realism . These terms have a rich inflection of meanings that have been subject to interrogation over the last few decades. Anwar Shemza came to Britain and practiced his art at a time when these competing claims were at their height. In a postcolonial reading entitled “Black Diaspora Artists in Britain: Three ‘Moments’ in Post-War Britain” Stuart Hall recently used David Scott’s framework of a ‘problem space’, that is discursively defined through questions, tensions and conjunctures, that couched the entry of what he describes as first waive British commonwealth artists into critical visibility in Britain. This can be characterized in part by the reviews of WG Archer and GM Butcher, both supporters of Shemza and prominent critics of the period. Hall includes Shemza in this framework that defines the work and his aspirations as constituted through the tensions of what was perceived to be anti-colonialist aims of modernism through universalism and the ‘nativist’ current in anti-colonial nationalism . This text will focus particularly on the problematic of Landscape as a ‘problem space’ of vernacular and modernism, over here and over there. The aim is not to define Shemza within the tradition of English landscape nor to exclude him but to position him within a discursive field of landscape and modernism in mid twentieth Century art.
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A relação entre cultura e desenvolvimento é um dos assuntos centrais dos debates contemporâneos que vão além do ambiente acadêmico e atinge a agenda política em diversos países. A cultura exerce um papel importante para o desenvolvimento que não se restringe à dimensão econômica, pois é capaz de construir ou reconstruir identidades, elevar a auto-estima individual e coletiva, adicionar valor ao patrimônio existencial humano. Faz-se necessário, ainda, um outro conceito de desenvolvimento, calcado em outras lógicas, sendo geográfica, social e culturalmente referenciado e promovendo uma transformação social profunda. No Brasil, alguns governos locais vêm assumindo o seu papel de protagonista do desenvolvimento com base nessa proposta. Em Nova Iguaçu - cidade localizada na Baixada fluminense - vem sendo desenvolvida uma política pública cujo protagonista e indutora é a Prefeitura municipal. Trata-se do Programa Bairro-Escola que, embora tenha como centralidade a educação, articula diversas secretarias da prefeitura e promove benefícios e oportunidades sociais às crianças, adolescentes e aos demais moradores da cidade que extrapolam o aspecto educacional. Para a sua operacionalização, a Prefeitura desenvolve parcerias com atores de diversas naturezas. O objetivo dessa dissertação foi compreender de que maneira o Bairro-Escola de Nova Iguaçu, especialmente seus programas, projetos e ações culturais, contribui para o desenvolvimento local. No que diz respeito à metodologia, a estratégia de pesquisa adotada, foi o estudo de caso. Para a coleta dos dados primários e secundários foram adotadas duas técnicas, a saber: bibliográfica-documental; e entrevistas semi-estruturadas com alguns representantes do Bairro-Escola e da Secretaria de Cultura de Nova Iguaçu. Os resultados indicam que o Bairro-Escola aponta para um esforço de inclusão e desenvolvimento social por meio de programas e ações integradas. Em síntese, as contribuições ao desenvolvimento proporcionadas pelo Bairro-Escola, pelas vias da cultura, em Nova Iguaçu são: ampliação do acesso da população à leitura - criação de cinco bibliotecas ramais nas Escolas da Rede Pública Municipal e reequipamento de duas bibliotecas comunitárias; criação de uma Escola de ensino e formação em audiovisual (Escola Livre de Cinema), com núcleos em quatro bairros da cidade; criação de uma Escola Livre de Música Eletrônica, atendendo, inicialmente, a 400 crianças beneficiárias do Bairro-Escola; oportunidade de experimentação artística para quase 7.000 crianças e jovens; capacitação de 52 artistas locais em artes cênicas; criação de um grupo cultural formado por artistas locais (Grupo Nós da Baixada) - grupo de artes cênicas no bairro Cerâmica; oportunidade de estágio (renda e aperfeiçoamento profissional) para cerca de 90 jovens nas oficinas culturais; perspectiva de trabalho para 96 grupos artístico-culturais locais, por meio do convênio com o Ministério da Cultura; fortalecimento de grupos artístico-culturais locais, por meio de assessoramento para a profissionalização e desenvolvimento desses grupos.
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Pós-graduação em Artes - IA
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Pós-graduação em Artes - IA
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Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
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Uma linha de pesquisa freqüente sobre a lateralização cerebral em artistas tem investigado o comportamento daqueles que sofrem de diversos síndromes neuropatológicas, afetando o hemisfério esquerdo ou direito. Em contraste, Bertrand (2001), observando que alguns poucos estudos reportaram um aumento na prevalência de canhotismo e ambidestrismo entre artistas, indicou a necessidade para a realização de pesquisas sistemáticas sobre as características laterais em artistas normais. Na ausência de tais estudos, e devido à dificuldade de obter dados de artistas profissionais, este projeto foi planejado com o fim de investigar em detalhe, assimetrias laterais na dominância manual, habilidade motora e atenção visuoespacial em alunos das artes e os de outros cursos (o grupo de controle). Estes alunos foram recrutados do Departamento de Artes da Universidade Federal de Maranhão e de um centro público de arte em São Luis. A amostra foi composta de 50 alunos de controle (24 destros e 26 canhotos), e 51 alunos das artes (27 destros e 24 canhotos). Dados foram obtidos para dominância manual, ocular e podálica, e para o desempenho em duas medidas de proficiência motora: batidas digitais e o Teste de Pinos na Forma de Chaves (o Grooved Pegboard). Além disso, uma versão do Teste Visual de Bisecçionar Linhas (TVBL) foi aplicado com o objetivo de comparar o grau de pseudonegligência dentro e entre alunos das artes e os de controle. Procurou-se averiguar se em relação aos alunos de controle, aqueles das artes mostrariam um grau reduzido de assimetria intermanual na dominância manual e nas habilidades motoras, bem como um nível maior de exatidão no TVBL. No que tange a presença de tais diferenças na performance, nossas predições foram apoiadas. Os alunos das artes, em particular, os canhotos, foram menos consistentes e mais ambidestros do que os alunos dos outros cursos. Eles também exibiram um nível menor de desempenho entre as mãos nos dois testes motores. Além do mais, enquanto que o grau de pseudonegligência foi elevado nos alunos de controle, as respostas dos alunos das artes foram mais exatas, resultando em um nível reduzido de erro em torno do ponto zero verídico. Em concordância com pesquisas prévias com músicos, em geral, os alunos das artes apresentaram um nível de atenção visuoespacial mais equilibrado, e estas diferenças foram relacionadas às exigências cognitivas implícitas no treino nas artes visuais.