971 resultados para Woffington, Margaret, -1760


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Indenture of deed of land by way of quit-claim between Margaret Adams of St. Catharines and Samuel DeVeaux Woodruff of St. Catharines regarding parts of Lots no. 20 and 21 in the 5th and 6th Concessions in the Township of Grantham. This was registered in the Lincoln County Registry on January 21, 1875 - instrument no. 2053 and instrument no. 4819, January 20, 1875.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Indenture of deed of land situate between Anne Steele of West Nissouri, wife of Archibald Steele of the first part, Anne Pickard of Niagara Township of the second part and Margaret Ellen Rogers, wife of Henry Rogers of Niagara Township of the third part. This is in regard to part of Lot no. 113 in Niagara Township. This was registered in the Township of Niagara on July 5, 1882 – instrument no. 1744, June 13, 1882.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Indenture (Registrar’s printed Certified Copy) between Hamilton K. Woodruff and Margaret Julia Band. This is in regard to parcels and tracts of land in the townships of Sherbourne (no.367), registered June 14, 1926 and Stanhope (no.784) registered Jan. 28, 1926 in the Provisional County of Haliburton, Nov. 3, 1942.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Indenture of Release of Dower between Julia Cleveland Woodruff of St. Catharines (widow of Hamilton K. Woodruff) and Margaret Julia Band of Toronto (wife of Percy K. Band). On Jan.28, 1926 Hamilton K. Woodruff granted and conveyed to Margaret Julia Band 1 acre in the Township of Sherbourne composed of Woodruff Island in St. Nora’s Lake opposite lot no.2 in the 1st concession of Sherborne, except the pine trees on the island. There were also 75 acres in the town of Sherborne composed of St. Margaret’s Island in St. Nora’s Lake. Julia Cleveland did not join in the execution of this conveyance but has agreed to execute this indenture in order to release her dower in said lands. Margaret Julia Band paid $1 to Julia Cleveland Woodruff to complete this transaction, Dec. 1947.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Announcement of the birth of Margaret Elizabeth by Mr. and Mrs. P.C. Band, Toronto, June 6, 1924.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Birthday card and envelope to Margaret from her father H.K. Woodruff, April, 1916.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Hardcover notebook with the name Margaret J. Woodruff inside the front cover. The notebook contains lists of items such as china, glass, silver and pewter. Farther on in the book there are names of various women connected with lists of items. Some of the pages are torn out, 1910.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Indenture of bargain and sale between James and Margaret Boulton of the City of Toronto and to Joseph A. Woodruff of the Town of Niagara for 2 acres in Lot no. 279 and 280 in the Town of Niagara, Mar. 20, 1854.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Letter to Robert Nelles from his daughter Margaret Pilkington (2 ½ pages, handwritten). She talks about her brother’s letter of Nov. 9th and she mentions an article that was in the newspaper about immortal heroes of Upper Canada. She also congratulates Robert on his late appointment, Nov. 14, 1814.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Letter to Robert Nelles from his daughter Margaret Pilkington (3 pages, handwritten) in which she introduces her father to Dr. Pilkington formerly of the 19th Light Dragoons. Dr. Pilkington has some idea of settling in Upper Canada. She concludes the letter by saying that Doctor Pilkington has given up the idea of settling in Upper Canada. The first part of the letter is dated Feb. 24, 1816 and the second half, Feb. 24, 1816.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

UANL

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Résumé Ce mémoire traite des enjeux multiculturels du tournant du vingtième siècle en Amérique du Nord, des problématiques de la communauté de face-à-face ainsi que de la non-conventionalité des protagonistes féminins présents dans The Diviners (1974) de Margaret Laurence et O Pioneers! (1913) de Willa Cather. Cette étude a pour objectif de faire des liens entre ces deux œuvres qui ont été écrites par des auteures féminines, qui mettent en scène des femmes fortes et émancipées dans des petites communautés multiculturelles de l’Ouest. Cette étude traitera également des différences entre les deux romans, soit l’époque et le contexte. Cette étude s’intéressera, en premier lieu, aux différents enjeux de la multiculturalité et analysera les deux romans à la lumière de concepts tels le Melting pot, l’assimilation et l’interculturalité. Cette étude s’intéressera ensuite aux problématiques de la communauté de face-à-face. Elle aura pour objectif de déconstruire l’idéal type de la communauté de face-à-face et de démontrer comment frictions et rejets font partie du quotidien des personnages des deux romans. En dernier lieu, cette étude s’intéressera à la non-conventionalité des personnages féminins principaux. En effet, chacune à leur manière, les protagonistes fracassent les stéréotypes féminins de leur milieu et de leur époque afin de s’émanciper.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

La métaphore de la famille a été utilisée, aussi bien à l’époque coloniale qu’à l’époque républicaine, pour illustrer le système politique idéal, la domination d’un groupe privilégié, les parents, sur une population obéissante, les enfants. Cette thèse survole les multiples facettes de la minorité en Équateur à l’époque coloniale et au début de l’époque républicaine (1760-1845), en se penchant sur les stratégies mises en place par l’État pour reléguer à un rang subalterne des individus n’appartenant pas à la catégorie raciale blanche métisse, c’est-à-dire les Indiens, les Noirs, les sang-mêlés, à travers un discours infantilisant. Elle s’intéresse aussi à la résistance d’individus refusant de se percevoir comme des mineurs et qui n’acceptaient pas l’ordre établi, les lois ou les décisions gouvernementales. En se présentant comme des parents compétents et en réclamant la patria potestad, l’autorité légale sur leurs enfants, des adultes considérés comme des enfants métaphoriques dans la grande famille patriarcale, par exemple des femmes, des pères indiens ou même des esclaves d’origine africaine, ont revendiqué plus d’autonomie pour eux, pour leurs familles, ou pour leurs communautés. Les guerres d’indépendance ont donné naissance à une république, la Grande-Colombie, et plus tard à un pays, l’Équateur. La figure symbolique du « parent » n’était plus incarnée par le roi d’Espagne et son appareil bureaucratique. Le système politique avait maintenant plusieurs « pères », membres d’un groupe restreint de Créoles qui, hier encore, se plaignaient d’être infantilisés par les Espagnols tyranniques. Les gens du peuple, en grande partie composé d’Indiens, étaient toujours considérés comme des « enfants » dans la nouvelle république. Comment expliquer que, dans une Nation désormais libre, des pans entiers de la population demeurent sous la tutelle d’hommes blancs? Une justification sera utilisée à répétition pour expliquer ce phénomène : l’ignorance du peuple et le besoin d’encadrement temporaire de celui-ci. Ainsi, s’est construit sur plus d’un siècle un véritable « mythe », celui d’une Nation en émergence où tous les citoyens seraient enfin placés sur un pied d’égalité, d’une Nation propre qu’on aurait nettoyée à l’aide d’écoles et de campagnes d’éducation populaire d’une tache tenace : celle de la Barbarie.