922 resultados para Venous zinc tolerance test


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Introduction : La Fibrose Kystique (FK) est la maladie autosomique récessive la plus fréquente chez les Caucasiens et est due à une mutation du gène Cystic Fibrosis Transmembrane Regulator (CFTR), codant pour un canal chlore. La principale mutation est la délétion de l'acide aminé phénylalanine en position 508. En raison de l’augmentation de l'espérance de vie, de nouvelles complications telles que le diabète associé à la FK (DAFK) ont vu le jour. Le DAFK semble principalement dû à un défaut de sécrétion d'insuline. Des études ont montré que les femmes et les personnes homozygotes ΔF508 ont un risque plus élevé de développer le DAFK. Objectifs : Comparer la sécrétion d'insuline entre les hommes et les femmes FK selon leur génotype CFTR. Notre hypothèse était que les femmes FK présentaient une sécrétion d'insuline moins élevée que des hommes. Méthodes : Deux cents sujets adultes sans diabète connu ont été recrutés dans la clinique de FK du CHUM et inclus dans cette étude. Cent seize ont été revus après un suivi de 24 ± 10 mois. Leur génotype CFTR a été extrait à partir des dossiers médicaux. Tous les sujets ont subi une hyperglycémie provoquée par voie orale de 2-h (HGPO) afin de déterminer leur tolérance au glucose : normale (NGT), intolérance (IGT) ou DAFK. Des échantillons de sang ont été prélevés aux temps 0, 30, 60, 90, et 120 min de l’HGPO. À partir de ces derniers, la sécrétion d'insuline et la sensibilité à l’insuline des sujets ont été évaluées en utilisant les indices de Stumvoll et les aires sous la courbe de l’insuline durant l’HGPO. Résultats : Pour une excursion glycémique comparable, il y avait des différences significatives dans les concentrations d'insuline entre les hommes et les femmes et selon le génotype CFTR. Ainsi, les femmes et les sujets hétérozygotes avaient des concentrations d’insuline plus élevées que les hommes et les sujets homozygotes. Cela restait significatif quelle que soit leur tolérance au glucose. Le calcul du disposition index représentant la sécrétion d'insuline ajustée pour le degré de sensibilité à l’insuline a suggéré une sécrétion d'insuline plus élevée chez les femmes que les hommes. Le suivi prospectif nous a permis de déterminer que cette sécrétion plus élevée d’insuline était associée à une évolution plus favorable pour la tolérance au glucose. Fait intéressant, cette constatation n'était vraie que pour les femmes. Conclusion : Dans une vaste cohorte prospective observationnelle de patients FK sans diabète connu, nous avons démontré qu’en dépit d’un âge et d’une fonction pulmonaire semblables, les femmes présentaient une sécrétion d'insuline supérieure à celle des hommes et que cela pourrait avoir un effet protecteur, à court terme, chez celles-ci pour le développement du DAFK.

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Parmi l’ensemble des désordres métaboliques retrouvés en insuffisance rénale chronique (IRC), la résistance à l’insuline demeure l’un des plus importantes à considérer en raison des risques de morbidité et de mortalité qu’elle engendre via les complications cardiovasculaires. Peu d’études ont considéré la modulation de transporteurs de glucose comme mécanisme sous-jacent à l’apparition et à la progression de la résistance à l’insuline en IRC. Nous avons exploré cette hypothèse en étudiant l’expression de transporteurs de glucose issus d’organes impliqués dans son homéostasie (muscles, tissus adipeux, foie et reins) via l’utilisation d’un modèle animal d’IRC (néphrectomie 5/6e). La sensibilité à l’insuline a été déterminée par un test de tolérance au glucose (GTT), où les résultats reflètent une intolérance au glucose et une hyperinsulinémie, et par les études de transport au niveau musculaire qui témoignent d’une diminution du métabolisme du glucose en IRC (~31%; p<0,05). La diminution significative du GLUT4 dans les tissus périphériques (~40%; p<0,001) peut être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. De plus, l’augmentation de l’expression protéique de la majorité des transporteurs de glucose (SGLT1, SGLT2, GLUT1; p<0,05) au niveau rénal en IRC engendre une plus grande réabsorption de glucose dont l’hyperglycémie subséquente favorise une diminution du GLUT4 exacerbant ainsi la résistance à l’insuline. L’élévation des niveaux protéiques de GLUT1 et GLUT2 au niveau hépatique témoigne d’un défaut homéostatique du glucose en IRC. Les résultats jusqu’ici démontrent que la modulation de l’expression des transporteurs de glucose peut être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC. L’impact de la parathyroïdectomie (PTX) sur l’expression du GLUT4 a été étudié étant donné que la PTX pourrait corriger l’intolérance au glucose en IRC. Nos résultats démontrent une amélioration de l’intolérance au glucose pouvant être attribuable à la moins grande réduction de l’expression protéique du GLUT4 dans les tissus périphériques et ce malgré la présence d’IRC. L’excès de PTH, secondaire à l’hyperparathyroïdie, pourrait alors être à l’origine de la résistance à l’insuline en IRC en affectant l’expression du GLUT4. L’IRC partage de nombreuses similitudes avec le prédiabète quant aux défaillances du métabolisme du glucose tout comme l’hyperinsulinémie et l’intolérance au glucose. Aucune étude n’a tenté d’évaluer si l’IRC pouvait ultimement mener au diabète. Nos résultats ont par ailleurs démontré que l’induction d’une IRC sur un modèle animal prédisposé (rats Zucker) engendrait une accentuation de leur intolérance au glucose tel que constaté par les plus hautes glycémies atteintes lors du GTT. De plus, certains d’entre eux avaient des glycémies à jeun dont les valeurs surpassent les 25 mmol/L. Il est alors possible que l’IRC puisse mener au diabète via l’évolution de la résistance à l’insuline par l’aggravation de l’intolérance au glucose.

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INTRODUCTION : Il a été démontré que le nombre de lipoprotéines apolipoprotéine B (apoB) est un prédicteur du développement du diabète de type 2 (DT2), mais le mécanisme est inconnu. La résistance à l'insuline (RI) et l'hyperinsulinémie compensatoire (HI) entraînent l’épuisement des cellules β et la progression vers le DT2. De plus, l'activation du système de l'interleukine -1β (IL- 1β) est impliquée dans la pathophysiologie du DT2. Notre objectif était donc d'étudier si l’apoB est associé à la RI et à l’HI chez les humains et si cette corrélation est médiée par l’activation du système IL-1β. MÉTHODOLOGIE : 47 femmes ménopausées, non diabétiques, obèses ou en surpoids et 28 hommes, âgés de 45 à 74 ans ont été recrutés. La sécrétion d'insuline (SI) et la sensibilité à l'insuline ont été mesurées par un clamp Botnia modifié. La 1ère et 2ème phase de SI furent mesurées lors d'un test de tolérance au glucose intraveineux (IVGTT) d’une heure, suivi d’un clamp hyperinsulinémique euglycémique (HEIC) de 3 heures (taux de perfusion d'insuline de 75 mU/m2/min) pour mesurer la sensibilité à l'insuline lors des 30 dernières minutes du clamp (état d'équilibre). La sensibilité à l'insuline est exprimée comme étant le taux de perfusion de glucose (GIR) seul ou divisé par le taux d’insuline à l’état d’équilibre (M/I). RÉSULTATS : Chez les femmes, l’apoB à jeun corrélait avec une augmentation de la 2e phase de SI, la SI totale et la sécrétion totale de C-peptide (r=0,202; r=0,168; r=0,204) et avec une diminution de la sensibilité à l'insuline (GIR r=-0,299; M/I r=-0,180) indépendamment de l'adiposité. L’IL-1Ra à jeun (indicateur de l’activation du système IL-1β) corrélait positivement avec la 2e phase, la SI totale et la sécrétion totale de C-peptide (r=0,217; r=0,154; r=0,198) et négativement avec la sensibilité à l'insuline (GIR r=-0,304; M/I r=-0,214). L’IL-1Ra était également corrélée avec l'apoB (r=0,352). Une fois corrigé pour l'IL-1Ra, toutes les associations entre l'apoB et les indices de sensibilité à l'insuline et de SI ont été perdues. Malgré des glycémies similaires, il n’y avait pas de corrélation de l’apoB avec les indices mesurés chez les hommes. CONCLUSION : L’apoB est associé à l’HI et la RI chez les femmes non diabétiques obèses et en surpoids, potentiellement via l'activation du système IL-1β. Ces différences sexuelles doivent être prises en compte dans l'exploration de la physiopathologie du DT2.

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OBJECTIF: L’apoB plasmatique prédit le diabète de type 2 chez l’humain. Une clairance ralentie des triglycérides (TG) favorise la lipotoxicité et la résistance à l’insuline (RI). Nous avons démontré ex vivo que les LDL, forme majeure d’apoB-lipoprotéines, altèrent le stockage des gras dans le tissu adipeux blanc (TAB) humain. Nous émettons l’hypothèse que le lien reliant l’apoB plasmatique à la RI et l’hyperinsulinémie est médié par un retard de clairance des gras diététiques. MÉTHODE/RÉSULTATS: Nous avons examiné la sécrétion d’insuline (SI), puis la RI lors d’un test de tolérance au glucose intraveineux suivi d’un clamp hyperinsulinémique-euglycémique chez des sujets obèses normoglycémiques (N=29, 45%hommes, indice de masse corporelle (IMC)≥27kg/m2, 45-74ans, post-ménopausés). La clairance des TG diététiques a été mesurée suivant l’ingestion d’un repas gras marqué au 13C. La fonction d’une biopsie de TAB (à jeun) a été mesurée comme la capacité à stocker un substrat de 3H-TG. L’apoB était de 1,03±0,05g/L et corrélait avec la RI, la 2ième phase de SI, un délai de clairance des TG diététiques et une réduction de la fonction du TAB. Un retard de clairance des TG diététiques était associé à la RI et la 2ième phase de SI. Une correction pour la clairance des TG diététiques ou la fonction du TAB a éliminé l’association entre l’apoB et la RI et la 2ième phase de SI. CONCLUSION: L’association entre l’apoB plasmatique et la RI et la SI chez les sujets obèses est médiée par une clairance ralentie des gras diététiques et une dysfonction du TAB.

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La Fibrose kystique (FK) est une maladie génétique qui se traduit par une destruction progressive des poumons et éventuellement, à la mort. La principale complication secondaire est le diabète associé à la FK (DAFK). Une dégradation clinique (perte de poids et de la fonction pulmonaire) accélérée est observée avant le diagnostic. L’objectif principal de mon projet de doctorat est de déterminer, par l’intermédiaire du test d’hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO), s’il existe un lien entre l’hyperglycémie et/ou l’hypoinsulinémie et la dégradation clinique observée avant le diagnostic du DAFK. Nous allons ainsi évaluer l’importance des temps intermédiaires de l’HGPO afin de simplifier le diagnostic d’une dysglycémie ainsi que d’établir des nouveaux marqueurs indicateurs de patients à risque d’une détérioration clinique. L’HGPO est la méthode standard utilisée dans la FK pour le diagnostic du DAFK. Nous avons démontré que les valeurs de glycémie obtenues au temps 90-min de l’HGPO seraient suffisantes pour prédire la tolérance au glucose des patients adultes avec la FK, autrement établie à l’aide des valeurs à 2-h de l’HGPO. Nous proposons des glycémies à 90-min de l’HGPO supérieure à 9.3 mmol/L et supérieure à 11.5 mmol/L pour détecter l’intolérance au glucose et le DAFK, respectivement. Une cause importante du DAFK est un défaut de la sécrétion d’insuline. Les femmes atteintes de la FK ont un risque plus élevé de développer le DAFK que les hommes, nous avons donc exploré si leur sécrétion était altérée. Contrairement à notre hypothèse, nous avons observé que les femmes avec la FK avaient une sécrétion d’insuline totale plus élevée que les hommes avec la FK, mais à des niveaux comparables aux femmes en santé. Le groupe de tolérance au glucose récemment proposé et nommé indéterminé (INDET : 60-min HGPO > 11.0 mais 2h-HGPO <7.8mmol/L) est à risque élevé de développer le DAFK. Par contre, les caractéristiques cliniques de ce groupe chez les patients adultes avec la FK n’ont pas été établies. Nous avons observé que le groupe INDET a une fonction pulmonaire réduite et similaire au groupe DAFK de novo et aucun des paramètres glucidiques et insulinémiques expliqueraient cette observation. Dans une population pédiatrique de patients avec la FK, une association a été rapportée entre une glycémie élevée à 60-min de l’HGPO et une fonction pulmonaire diminuée. Dans notre groupe de patients adultes avec la FK, il existe une association négative entre la glycémie à 60-min de l’HGPO et la fonction pulmonaire et une corrélation positive entre l’insulinémie à 60-min de l’HGPO et l’indice de masse corporelle (IMC). De plus, les patients avec une glycémie à 60-min HGPO > 11.0 mmol/L ont une fonction pulmonaire diminuée et une sensibilité à l’insuline basse alors que ceux avec une insulinémie à 60-min HGPO < 43.4 μU/mL ont un IMC ainsi qu’une fonction pulmonaire diminués. En conclusion, nous sommes le premier groupe à démontrer que 1) le test d’HGPO peut être raccourci de 30 min sans compromettre la catégorisation de la tolérance au glucose, 2) les femmes avec la FK démontrent une préservation de leur sécrétion de l’insuline, 3) le groupe INDET présente des anomalies précoces de la fonction pulmonaire comparable au groupe DAFK de novo et 4) la glycémie et l’insuline à la première heure de l’HGPO sont associées aux deux éléments clefs de la dégradation clinique. Il est crucial d’élucider les mécanismes pathophysiologiques importants afin de mieux prévoir la survenue de la dégradation clinique précédant le DAFK.

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OBJECTIVE: To compare insulin sensitivity (Si) from a frequently sampled intravenous glucose tolerance test (FSIGT) and subsequent minimal model analyses with surrogate measures of insulin sensitivity and resistance and to compare features of the metabolic syndrome between Caucasians and Indian Asians living in the UK. SUBJECTS: In all, 27 healthy male volunteers (14 UK Caucasians and 13 UK Indian Asians), with a mean age of 51.2 +/- 1.5 y, BMI of 25.8 +/- 0.6 kg/m(2) and Si of 2.85 +/- 0.37. MEASUREMENTS: Si was determined from an FSIGT with subsequent minimal model analysis. The concentrations of insulin, glucose and nonesterified fatty acids (NEFA) were analysed in fasting plasma and used to calculate surrogate measure of insulin sensitivity (quantitative insulin sensitivity check index (QUICKI), revised QUICKI) and resistance (homeostasis for insulin resistance (HOMA IR), fasting insulin resistance index (FIRI), Bennetts index, fasting insulin, insulin-to-glucose ratio). Plasma concentrations of triacylglycerol (TAG), total cholesterol, high density cholesterol, (HDL-C) and low density cholesterol, (LDL-C) were also measured in the fasted state. Anthropometric measurements were conducted to determine body-fat distribution. RESULTS: Correlation analysis identified the strongest relationship between Si and the revised QUICKI (r = 0.67; P = 0.000). Significant associations were also observed between Si and QUICKI (r = 0.51; P = 0.007), HOMA IR (r = -0.50; P = 0.009), FIRI and fasting insulin. The Indian Asian group had lower HDL-C (P = 0.001), a higher waist-hip ratio (P = 0.01) and were significantly less insulin sensitive (Si) than the Caucasian group (P = 0.02). CONCLUSION: The revised QUICKI demonstrated a statistically strong relationship with the minimal model. However, it was unable to differentiate between insulin-sensitive and -resistant groups in this study. Future larger studies in population groups with varying degrees of insulin sensitivity are recommended to investigate the general applicability of the revised QUICKI surrogate technique.

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There is evidence to suggest that insulin sensitivity may vary in response to changes in sex hormone levels. However, the results Of human studies designed to investigate changes in insulin sensitivity through the menstrual cycle have proved inconclusive. The aims of this Study were to 1) evaluate the impact of menstrual cycle phase on insulin sensitivity measures and 2) determine the variability Of insulin sensitivity measures within the same menstrual cycle phase. A controlled observational study of 13 healthy premenopausal women, not taking any hormone preparation and having regular menstrual cycles, was conducted. Insulin sensitivity (Si) and glucose effectiveness (Sg) were measured using an intravenous glucose tolerance test (IVGTT) with minimal model analysis. Additional Surrogate measures Of insulin sensitivity were calculated (homoeostasis model for insulin resistance [HOMA IR], quantitative insulin-to-glucose check index [QUICKI] and revised QUICKI [rQUICKI]), as well as plasma lipids. Each woman was tested in the luteal and follicular phases of her Menstrual cycle, and duplicate measures were taken in one phase of the cycle. No significant differences in insulin sensitivity (measured by the IVGTT or Surrogate markers) or plasma lipids were reported between the two phases of the menstrual cycle or between duplicate measures within the same phase. It was Concluded that variability in measures of insulin sensitivity were similar within and between menstrual phases.

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Background: Insulin sensitivity (Si) is improved by weight loss and exercise, but the effects of the replacement of saturated fatty acids (SFAs) with monounsaturated fatty acids (MUFAs) or carbohydrates of high glycemic index (HGI) or low glycemic index (LGI) are uncertain. Objective: We conducted a dietary intervention trial to study these effects in participants at risk of developing metabolic syndrome. Design: We conducted a 5-center, parallel design, randomized controlled trial [RISCK (Reading, Imperial, Surrey, Cambridge, and Kings)]. The primary and secondary outcomes were changes in Si (measured by using an intravenous glucose tolerance test) and cardiovascular risk factors. Measurements were made after 4 wk of a high-SFA and HGI (HS/HGI) diet and after a 24-wk intervention with HS/HGI (reference), high-MUFA and HGI (HM/HGI), HM and LGI (HM/LGI), low-fat and HGI (LF/HGI), and LF and LGI (LF/LGI) diets. Results: We analyzed data for 548 of 720 participants who were randomly assigned to treatment. The median Si was 2.7 × 10−4 mL · μU−1 · min−1 (interquartile range: 2.0, 4.2 × 10−4 mL · μU−1 · min−1), and unadjusted mean percentage changes (95% CIs) after 24 wk treatment (P = 0.13) were as follows: for the HS/HGI group, −4% (−12.7%, 5.3%); for the HM/HGI group, 2.1% (−5.8%, 10.7%); for the HM/LGI group, −3.5% (−10.6%, 4.3%); for the LF/HGI group, −8.6% (−15.4%, −1.1%); and for the LF/LGI group, 9.9% (2.4%, 18.0%). Total cholesterol (TC), LDL cholesterol, and apolipoprotein B concentrations decreased with SFA reduction. Decreases in TC and LDL-cholesterol concentrations were greater with LGI. Fat reduction lowered HDL cholesterol and apolipoprotein A1 and B concentrations. Conclusions: This study did not support the hypothesis that isoenergetic replacement of SFAs with MUFAs or carbohydrates has a favorable effect on Si. Lowering GI enhanced reductions in TC and LDL-cholesterol concentrations in subjects, with tentative evidence of improvements in Si in the LF-treatment group. This trial was registered at clinicaltrials.gov as ISRCTN29111298.

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Background:Excessive energy intake and obesity lead to the metabolic syndrome (MetS). Dietary saturated fatty acids (SFAs) may be particularly detrimental on insulin sensitivity (SI) and on other components of the MetS. Objective:This study determined the relative efficacy of reducing dietary SFA, by isoenergetic alteration of the quality and quantity of dietary fat, on risk factors associated with MetS. Design:A free-living, single-blinded dietary intervention study. Subjects and Methods:MetS subjects (n=417) from eight European countries completed the randomized dietary intervention study with four isoenergetic diets distinct in fat quantity and quality: high-SFA; high-monounsaturated fatty acids and two low-fat, high-complex carbohydrate (LFHCC) diets, supplemented with long chain n-3 polyunsaturated fatty acids (LC n-3 PUFAs) (1.2 g per day) or placebo for 12 weeks. SI estimated from an intravenous glucose tolerance test (IVGTT) was the primary outcome measure. Lipid and inflammatory markers associated with MetS were also determined. Results:In weight-stable subjects, reducing dietary SFA intake had no effect on SI, total and low-density lipoprotein cholesterol concentration, inflammation or blood pressure in the entire cohort. The LFHCC n-3 PUFA diet reduced plasma triacylglycerol (TAG) and non-esterified fatty acid concentrations (P<0.01), particularly in men. Conclusion:There was no effect of reducing SFA on SI in weight-stable obese MetS subjects. LC n-3 PUFA supplementation, in association with a low-fat diet, improved TAG-related MetS risk profiles.

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OBJECTIVE To investigate the relation between serum concentration of 25-hydroxyvitamin D [25(OH)D] and insulin action and secretion. RESEARCH DESIGN AND METHODS In a cross-sectional study of 446 Pan-European subjects with the metabolic syndrome, insulin action and secretion were assessed by homeostasis model assessment (HOMA) indexes and intravenous glucose tolerance test to calculate acute insulin response, insulin sensitivity, and disposition index. Serum 25(OH)D was measured by high-performance liquid chromatography/mass spectrometry. RESULTS The 25(OH)D3 concentration was 57.1 ± 26.0 nmol/l (mean ± SD), and only 20% of the subjects had 25(OH)D3 levels ≥75 nmol/l. In multiple linear analyses, 25(OH)D3 concentrations were not associated with parameters of insulin action or secretion after adjustment for BMI and other covariates. CONCLUSIONS In a large sample of subjects with the metabolic syndrome, serum concentrations of 25(OH)D3 did not predict insulin action or secretion. Clear evidence that D vitamin status directly influences insulin secretion or action is still lacking.

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The addition of oligofructose as a dietary fiber decreases the serum concentration and the hepatic release of VLDL-triglycerides in rats. Because glucose, insulin, insulin-like growth factor I (IGF-I) and gut peptides [i.e., glucose-dependent insulinotropic polypeptide (GIP) and glucagon-like peptide-1 (GLP-1)]) are factors involved in the metabolic response to nutrients, this paper analyzes their putative role in the hypolipidemic effect of oligofructose. Male Wistar rats were fed a nonpurified diet with or without 10% oligofructose for 30 d. Glucose, insulin, IGF-I and GIP concentrations were measured in the serum of rats after eating. GIP and GLP-1 contents were also assayed in small intestine and cecal extracts, respectively. A glucose tolerance test was performed in food-deprived rats. Serum insulin level was significantly lower in oligofructose-fed rats both after eating and in the glucose tolerance test, whereas glycemia was lower only in the postprandial state. IGF-I serum level did not differ between groups. GIP concentration was significantly higher in the serum of oligofructose-fed rats. The GLP-1 cecal pool was also significantly higher. In this study, we have shown that cecal proliferation induced by oligofructose leads to an increase in GLP-1 concentration. This latter incretin could be involved in the maintenance of glycemia despite a lower insulinemia in the glucose tolerance test in oligofructose-fed rats. We discuss also the role of hormonal changes in the antilipogenic effect of oligofructose.

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Although the independence of the association and causality has not been fully established, non-fasting (postprandial) triglyceride (TG) concentrations have emerged as a clinically significant cardiovascular disease (CVD) risk factor. In the current review, findings from three insightful prospective studies in the area, namely the Women's Health Study, the Copenhagen City Heart Study and the Norwegian Counties Study, are discussed. An overview is provided as to the likely etiological basis for the association between postprandial TG and CVD, with a focus on both lipid and non-lipid (inflammation, hemostasis and vascular function) risk factors. The impact of various lifestyle and physiological determinants are considered, in particular genetic variation and meal fat composition. Furthermore, although data is limited some information is provided as to the relative and interactive impact of a number of modulators of lipemia. It is evident that relative to age, gender and body mass index (known modulators of postprandial lipemia), the contribution of identified gene variants to the heterogeneity observed in the postprandial response is likely to be relatively small. Finally, we highlight the need for the development of a standardised ‘fat tolerance test’ for use in clinical trials, to allow the integration and comparison of data from individual studies

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Objective To highlight the contribution of the gut microbiota to the modulation of host metabolism by dietary inulin-type fructans (ITF prebiotics) in obese women. Methods A double blind, placebo controlled, intervention study was performed with 30 obese women treated with ITF prebiotics (inulin/oligofructose 50/50 mix; n=15) or placebo (maltodextrin; n=15) for 3 months (16 g/day). Blood, faeces and urine sampling, oral glucose tolerance test, homeostasis model assessment and impedancemetry were performed before and after treatment. The gut microbial composition in faeces was analysed by phylogenetic microarray and qPCR analysis of 16S rDNA. Plasma and urine metabolic profiles were analysed by 1H-NMR spectroscopy. Results Treatment with ITF prebiotics, but not the placebo, led to an increase in Bifidobacterium and Faecalibacterium prausnitzii; both bacteria negatively correlated with serum lipopolysaccharide levels. ITF prebiotics also decreased Bacteroides intestinalis, Bacteroides vulgatus and Propionibacterium, an effect associated with a slight decrease in fat mass and with plasma lactate and phosphatidylcholine levels. No clear treatment clustering could be detected for gut microbial analysis or plasma and urine metabolomic profile analyses. However, ITF prebiotics led to subtle changes in the gut microbiota that may importantly impact on several key metabolites implicated in obesity and/or diabetes. Conclusions ITF prebiotics selectively changed the gut microbiota composition in obese women, leading to modest changes in host metabolism, as suggested by the correlation between some bacterial species and metabolic endotoxaemia or metabolomic signatures.

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A cross-sectional analysis of ethnic differences in dietary intake, insulin sensitivity and beta-cell function, using the intravenous glucose tolerance test (IVGTT), was conducted on 497 healthy adult participants of the ‘Reading, Imperial, Surrey, Cambridge, and Kings’ (RISCK) study. Insulin sensitivity (Si) was significantly lower in African-Caribbean (AC) and South Asian (SA) participants [IVGTT-Si; AC: 2.13 vs SA: 2.25 vs white-European (WE): 2.84 (×10−4 mL µU min)2, p < 0.001]. AC participants had a higher prevalence of anti-hypertensive therapy (AC: 19.7% vs SA: 7.5%), the most cardioprotective lipid profile [total:high-density lipoprotein (HDL); AC: 3.52 vs SA: 4.08 vs WE: 3.83, p = 0.03] and more pronounced hyperinsulinaemia [IVGTT–acute insulin response (AIR)] [AC: 575 vs SA: 428 vs WE: 344 mL/µU/min)2, p = 0.002], specifically in female participants. Intake of saturated fat and carbohydrate was lower and higher in AC (10.9% and 50.4%) and SA (11.1% and 52.3%), respectively, compared to WE (13.6% and 43.8%, p < 0.001). Insulin resistance in ACs is characterised by ‘normal’ lipid profiles but high rates of hypertension and pronounced hyperinsulinaemia.

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OBJECTIVE: To determine whether the peroxisome proliferator-activated receptor (PPAR)-gamma Pro12ala polymorphism modulates susceptibility to diabetes in South Asians. RESEARCH DESIGN AND METHODS: South Asians (n = 697) and Caucasians (n = 457) living in Dallas/Forth Worth, Texas, and South Asians living in Chennai, India (n = 1,619), were enrolled for this study. PPAR-gamma Pro12Ala was determined using restriction fragment-length polymorphism. Insulin responsiveness to an oral glucose tolerance test (OGTT) was measured in nondiabetic subjects. RESULTS: The Caucasian diabetic subjects had significantly lower prevalence of PPAR-gamma 12Ala when compared with the Caucasian nondiabetic subjects (20 vs. 9%, P = 0.006). However, there were no significant differences between diabetic and nondiabetic subjects with reference to the Pro12Ala polymorphism among the South Asians living in Dallas (20 vs. 23%) and in India (19 vs. 19.3%). Although Caucasians carrying PPAR-gamma Pro12Ala had lower plasma insulin levels at 2 h of OGTT than the wild-type (Pro/Pro) carriers (76 +/- 68 and 54 +/- 33 microU/ml, respectively, P = 0.01), no differences in either fasting or 2-h plasma insulin concentrations were found between South Asians carrying the PPAR-gamma Pro12Ala polymorphism and those with the wild-type genotype at either Chennai or Dallas. CONCLUSIONS: Although further replication studies are necessary to test the validity of the described genotype-phenotype relationship, our study supports the hypothesis that the PPAR-gamma Pro12Ala polymorphism is protective against diabetes in Caucasians but not in South Asians.