988 resultados para Supernumerary chromosomes


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Linkage disequilibrium (LD) is a potentially powerful tool for the localization of disease genes for complex disorders. Most prior studies of the relationship between genetic distance and LD have examined only very short distances, focusing on the role of LD in fine-mapping and positional cloning. We examine here the relationship between marker-to-marker (M-M) LD and somewhat greater genetic distances. We analyzed 622 M-M pairings on chromosomes 6p, 8p, and 5q in 265 native Irish pedigrees ascertained for a high density of schizophrenia. LD, significant at the 5% level, was found for 96% of all M-M pairings within 0.5 cM, for 67% within 0.5-1 cM, for 35% within 1-2 cM, for 15% within 2-4 cM, for 8% within 5-10 cM, and for 7% above 10 cM. Thus, in Irish families selected for a high density of schizophrenia, M-M LD may be very common within 0.5 cM and frequent up to distances of 2 cM.

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Schizophrenia is clinically heterogeneous. Recent linkage studies suggest that multiple genes are important in the etiology of schizophrenia. The authors examined the hypothesis of whether the clinical variability in schizophrenia is due to genetic heterogeneity.

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Les topoisomérases I (topA) et III (topB) sont les deux topoisomérases (topos) de type IA d’Escherichia coli. La fonction principale de la topo I est la relaxation de l’excès de surenroulement négatif, tandis que peu d’information est disponible sur le rôle de la topo III. Les cellules pour lesquelles les deux topoisomérases de type IA sont manquantes souffrent d’une croissance difficile ainsi que de défauts de ségrégation sévères. Nous démontrons que ces problèmes sont majoritairement attribuables à des mutations dans la gyrase qui empêchent l’accumulation d’excès de surenroulement négatif chez les mutants sans topA. L’augmentation de l’activité de la gyrase réalisée par le remplacement de l’allèle gyrB(Ts) par le gène de type sauvage ou par l’exposition des souches gyrB(Ts) à une température permissive, permet la correction significative de la croissance et de la ségrégation des cellules topos de type IA. Nous démontrons également que les mutants topB sont hypersensibles à l’inhibition de la gyrase par la novobiocine. La réplication non-régulée en l’absence de topA et de rnhA (RNase HI) augmente la nécessité de l’activité de la topoisomérase III. De plus, en l’absence de topA et de rnhA, la surproduction de la topoisomérase III permet de réduire la dégradation importante d’ADN qui est observée en l’absence de recA (RecA). Nous proposons un rôle pour la topoisomérase III dans la ségrégation des chromosomes lorsque l’activité de la gyrase n’est pas optimale, par la réduction des collisions fourches de réplication s’observant particulièrement en l’absence de la topo I et de la RNase HI.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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La division cellulaire est un processus fondamental des êtres vivants. À chaque division cellulaire, le matériel génétique d'une cellule mère est dupliqué et ségrégé pour produire deux cellules filles identiques; un processus nommé la mitose. Tout d'abord, la cellule doit condenser le matériel génétique pour être en mesure de séparer mécaniquement et également le matériel génétique. Une erreur dans le niveau de compaction ou dans la dynamique de la mitose occasionne une transmission inégale du matériel génétique. Il est suggéré dans la littérature que ces phénomènes pourraient causé la transformation des cellules cancéreuses. Par contre, le mécanisme moléculaire générant la coordination des changements de haut niveau de la condensation des chromosomes est encore incompris. Dans les dernières décennies, plusieurs approches expérimentales ont identifié quelques protéines conservées dans ce processus. Pour déterminer le rôle de ces facteurs dans la compaction des chromosomes, j'ai effectué un criblage par ARNi couplé à de l'imagerie à haute-résolution en temps réel chez l'embryon de C. elegans. Grâce à cette technique, j'ai découvert sept nouvelles protéines requises pour l'assemblage des chromosomes mitotiques, incluant la Ribonucléotide réductase (RNR) et Topoisomérase II (topo-II). Dans cette thèse, je décrirai le rôle structural de topo-II dans l'assemblage des chromosomes mitotiques et ces mécanismes moléculaires. Lors de la condensation des chromosomes, topo-II agit indépendamment comme un facteur d'assemblage local menant par la suite à la formation d'un axe de condensation tout au long du chromosome. Cette localisation est à l'opposé de la position des autres facteurs connus qui sont impliqués dans la condensation des chromosomes. Ceci représente un nouveau mécanisme pour l'assemblage des chromosomes chez C. elegans. De plus, j'ai découvert un rôle non-enzymatique à la protéine RNR lors de l'assemblage des chromosomes. Lors de ce processus, RNR est impliqué dans la stabilité des nucléosomes et alors, permet la compaction de haut niveau de la chromatine. Dans cette thèse, je rapporte également des résultats préliminaires concernant d'autres nouveaux facteurs découverts lors du criblage ARNi. Le plus important est que mon analyse révèle que la déplétion des nouvelles protéines montre des phénotypes distincts, indiquant la fonction de celles-ci lors de l'assemblage des chromosomes. Somme toute, je conclus que les chromosomes en métaphase sont assemblés par trois protéines ayant des activités différentes d'échafaudage: topoisomérase II, les complexes condensines et les protéines centromériques. En conclusion, ces études prouvent le mécanisme moléculaire de certaines protéines qui contribuent à la formation des chromosomes mitotiques.

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We describe a polymerase chain reaction which amplifies part of the Eco RI repeat unit of the fowl W chromosome. The resulting 447 bp fragment enables DNA from female birds to be identified. The composition of this DNA is confirmed by a nested polymerase chain reaction which specifically amplifies a known internal 263 bp region in this fragment. Using this technique it is possible to follow the fate of female cells in male germline chimaeras. The polymerase chain reaction fragment can be traced in cells of the embryonic and hatchling gonad and in adult sperm implying that cells containing the W chromosome are capable of being processed through the avian testis.

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The rulAB operon of Pseudomonas spp. confers fitness traits on the host and has been suggested to be a hotspot for insertion of mobile elements that carry avirulence genes. Here, for the first time, we show that rulB on plasmid pWW0 is a hotspot for the active site-specific integration of related integron-like elements (ILEs) found in six environmental pseudomonads (strains FH1–FH6). Integration into rulB on pWW0 occurred at position 6488 generating a 3 bp direct repeat. ILEs from FH1 and FH5 were 9403 bp in length and contained eight open reading frames (ORFs), while the ILE from FH4 was 16 233 bp in length and contained 16 ORFs. In all three ILEs, the first 5.1 kb (containing ORFs 1–4) were structurally conserved and contained three predicted site-specific recombinases/integrases and a tetR homologue. Downstream of these resided ORFs of the ‘variable side’ with structural and sequence similarity to those encoding survival traits on the fitness enhancing plasmid pGRT1 (ILEFH1 and ILEFH5) and the NR-II virulence region of genomic island PAGI-5 (ILEFH4). Collectively, these ILEs share features with the previously described type III protein secretion system effector ILEs and are considered important to host survival and transfer of fitness enhancing and (a)virulence genes between bacteria.

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The Neotropical genus Eigenmannia is a fish group with unknown species diversity where representatives possess a broad range of chromosomal sex determining systems namely XY/XX, X1X2Y/X1X1X2X2, ZZ/ZW as well as homomorphic sex chromosomes. To test the homology of two heteromorphic XY sex chromosome systems present in two sympatric populations, reciprocal cross-species FISH experiments were performed using probes derived by microdissection of X and Y chromosomes present in analyzed specimens of Eigenmannia virescens and Eigenmannia sp.2, respectively. While X and Y paint probes hybridized to species-specific sex chromosomes, in reciprocal cross-FISH both probes hybridized exclusively to autosomes. The result suggests multiple independent origins of the XY systems in the analyzed populations. Copyright (C) 2008 S. Karger AG, Basel.

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The genus Eigenmannia comprises several species groups that display a surprising variety of diploid chromosome numbers and sex-determining systems. In this study, hypotheses regarding phylogenetic relationships and karyotype evolution were investigated using a combination of molecular and cytogenetic methods. Phylogenetic relationships were analyzed for 11 cytotypes based on sequences from five mitochondrial DNA regions. Parsimony-based character mapping of sex chromosomes confirms previous suggestions of multiple origins of sex chromosomes. Molecular cytogenetic analyses involved chromosome painting using probes derived from whole sex chromosomes from two taxa that were hybridized to metaphases of their respective sister cytotypes. These analyses showed that a multiple XY system evolved recently (<7 mya) by fusion. Furthermore, one of the chromosomes that fused to form the neo-Y chromosome is fused independently to another chromosome in the sister cytotype. This may constitute an efficient post-mating barrier and might imply a direct function of sex chromosomes in the speciation processes in Eigenmannia. The other chromosomal sex-determination system investigated is shown to have differentiated by an accumulation of heterochromatin on the X chromosome. This has occurred in the past 0.6 my, and is the most recent chromosomal sex-determining system described to date. These results show that the evolution of sex-determining systems can proceed very rapidly. Heredity (2011) 106, 391-400; doi:10.1038/hdy.2010.82; published online 23 June 2010