925 resultados para Sierra Engarcerán-Gravat


Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Doctor en Ciencias con Especialidad en Ecología Acúatica y Pesca) U.A.N.L.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis ( Doctor en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Naturales) U.A.N.L.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Doctor en Ciencias con acentuación en Manejo y Administración de Recursos Vegetales) U.A.N.L. Facultad de Ciencias Biológicas, 2008.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Doctor en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Naturales) UANL, 2009.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Doctorado en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Naturales) UANL, 2013.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Doctor en Ciencias con Especialidad en Manejo de Recursos Sustentables) UANL, 2011.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Tesis (Doctor en Ciencias con especialidad en Ecología) UANL, 2014.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Cette thèse analyse la capacité d’action collective des populations marginalisées situées respectivement dans un bidonville appelé Cité de l’Éternel à Port-au-Prince (Haïti) et dans des campements à la Sierra Santa Catarina, Iztapalapa (Mexico). À Port-au-Prince, avant la chute de la dictature des Duvalier, des «tontons macoutes» envahirent un terrain situé en bordure du quai de la capitale, près du boulevard Harry Truman. Après s’y être installés, ils ont procédé à la vente de parcelles destinées à la construction de logement à des particuliers. Mais après la chute de Jean-Claude Duvalier, en 1986, des gens de la populace en ont profité pour envahir ce qui restait de ces terrains marécageux. Après l’occupation, ils se sont organisés pour défendre collectivement leur propriété avant d’entreprendre, par la suite, des démarches pour y amener des services et obtenir la régularisation de leur situation sur ces territoires. À la Sierra Santa Catarina, des populations conduites par des militants d’un Front populaire ont occupé des terrains situés au pied d’une montagne de sable afin d’accéder à la propriété et de construire leur demeure. À l’instar des populations de la Cité, ces gens se sont organisés pour aménager des espaces, y ériger des logements provisoires, monter la garde afin de ne pas être déguerpis par les forces de police. Tout en travaillant pour accéder à leur manière aux services de base, elles entreprennent des actions auprès des institutions publiques afin d’obtenir la régularisation de leur situation. Par rapport à la capacité d’action collective de ces populations, les théories sociologiques sont divisées. D’un côté, certains auteurs soutiennent la thèse de l’incapacité de ces populations d’avoir des intérêts collectifs et d’agir en conséquence. Selon eux, sans une médiation sociale ou à défaut d’une agrégation et d’une représentation politiques, ces populations sont incapables d’avoir une subjectivité collective. De l’autre, des auteurs pensent qu’à partir des liens d’amitié de parenté et de voisinage, indépendamment de leurs situations socioéconomiques, ces populations peuvent créer des stratégies de subsistance et de luttes qui leur permettent de trouver des solutions à des problèmes tant individuels que collectifs. S’agissant des populations qui envahissent des terrains en milieu urbain pour habiter, les actions de ces gens là sont définis déjà comme une forme d’action collective inscrite dans des rapports sociaux qui se caractérisent par la différenciation entre les groupes sociaux dans l’accès à la propriété. Ainsi, leurs revendications de reconnaissance et de régularisation auprès des instances étatiques sont déterminées par leur mode d’accès aux biens et aux richesses inégalement réparties en Haïti et au Mexique. Les populations des deux territoires ont entrepris diverses démarches auprès de certaines institutions et réalisé des actions collectives soit pour amener des services de base tels que l’eau et l’électricité, soit pour obtenir de l’État la reconnaissance des territoires envahis, c’est-à-dire leur jonction à la cartographie de la ville. Cette reconnaissance implique non seulement l’installation des services réguliers au bénéfice de la population mais aussi l’octroi à chaque propriétaire de son titre de propriété. Si dans le cas de la Sierra Santa Catarina les démarches sont entreprises auprès des institutions publiques, dans celui de Port-au-Prince, ce sont les ONG ou les agence de coopération qui sont touchées et qui fournissent certains services à la population conformément à la priorité de leurs bailleurs de fonds. Les interventions auprès de l’État se font plutôt dans le but d’obtenir une autorisation de fonctionnement d’une association locale. Il ressort des approches théoriques et des actions collectives réalisées par ces populations qu’on ne peut pas dire qu’elles sont incapables d’avoir une subjectivité collective et des intérêts communs sans une agrégation et une représentation politique. À partir de différents liens entre les individus, des associations sont créées lesquelles permettent d’établir une médiation entre les populations et d’autres organismes. Dans le cas des campements, les actions collectives sont certainement mises à contribution par quelques leaders. Cela participe de toute une tradition politique au Mexique. Néanmoins, dans certains campements, des populations parviennent à tenir tête jusqu’à révoquer certains leaders. Au-delà de leur situation socioéconomique, de l’emprise de certains dirigeants de campement, de l’indifférence de l’État (dans le cas de Port-au-Prince, notamment), ces populations font preuve d’une étonnante capacité critique de leur situation tant dans leurs relations avec les dirigeants des associations et des campements que par rapport à l’État. Ceci pourrait soulever des doutes quant à la possibilité qu’elles soient réellement ou inconsciemment manipulées. Cela suggère la possibilité d’actions collectives autonomes de portée critique là où les circonstances le permettent Mots clés : Marginalisation, action collective, reconnaissance, Débrouille, capacité critique, bidonvilles, instrumentalisation politique, reconnaissance fragmentée.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Unidad did??ctica dise??ada para el tercer ciclo de ense??anza Primaria y primero de Secundaria sobre el Parque Regional de Sierra Espu??a, ??nico espacio natural de la regi??n incluido dentro del programa de la UE conocido como CADISPA (conservaci??n y desarrollo de ??reas escasamente pobladas). Se trata de dos publicaciones, por un lado el libro del profesor, realizado para la orientaci??n de ??ste en su labor docente y la carpeta del alumno compuesta por un conjunto de actividades para descubrir Sierra Espu??a, conocerla, entenderla y colaborar en su conservaci??n. El desarrollo de esta unidad did??ctica est?? previsto para realizarlo durante tres semanas. Los planteamientos metodol??gicos se traducen en la aplicaci??n de m??todos activos y se ha integrado la mayor parte de los objetivos y contenidos de ??reas en un enfoque globalizador, siendo el eje de la unidad el Conocimiento del Medio.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Gu??a y unidad did??ctica cuyos objetivos educativos son, entre otros, fomentar en los alumnos h??bitos y actitudes positivas para la defensa y conservaci??n del medio ambiente; establecer relaciones entre consumo y medio ambiente ; reconocer la necesidad de una gesti??n equilibrada para conservar y proteger el medio natural, etc. Se elige Sierra Espu??a por ser un lugar que los alumnos conocen y perciben como parte de su entorno. El estudio se realiza como parte de un proyecto integrado de car??cter interdisciplinar para alumnos del tercer ciclo de ense??anza primaria aunque, con adaptaciones, puede servir para el primer ciclo de ense??anza secundaria . Con este trabajo el alumno buscar?? y leer?? informaci??n sobre Sierra Espu??a, realiza mapas, toma medidas, compara, hace encuestas y estudios y redacta informes con las conclusiones. El trabajo se completa con un v??deo did??ctico.