208 resultados para Sepse fulminante
Resumo:
Rôle du génotype 3 du virus de l'hépatite C dans la progression de la fibrose hépatique, une revue systématique avec méta-analyse. On estime à 170 millions le nombre de personnes atteintes d'hépatite C chronique dans le monde. La principale conséquence de cette maladie est la fibrose du foie, qui évolue plus ou moins rapidement, pour aboutir au développement d'une cirrhose et/ou d'un hépatocarcinome. Certains des facteurs accélérateurs de la fibrose, comme l'âge avancé au moment de l'infection, le sexe masculin, la consommation d'alcool, sont bien connus. On a longtemps considéré que les six différents génotypes viraux n'influençaient pas la progression de la fibrose. Des études récentes ont cependant suggéré que certains génotypes, en particulier ie génotype 3, pouvaient entraîner une fibrose plus rapide. Le but de ce travail de thèse était de déterminer à l'aide d'une méta-analyse le rôle du génotype viral dans la progression de la fibrose dans l'infection chronique au virus de l'hépatite C. Les études ont été sélectionnées dans la littérature médicale à partir d'une série de mots-clés. Le degré de fibrose a été estimé par biopsie, en utilisant le score Metavir. Deux types d'études ont décrits de manière différente la durée d'infection. Les premières ont calculé la progression de la fibrose depuis le moment estimée de l'infection (« études avec une biopsie »), les secondes ont exprimés cette durée comme étant l'intervalle entre deux biopsies (« études avec deux biopsies »). L'analyse a permis d'identifier 8 études avec une biopsie pour un collectif total de 3182 patients ainsi que 8 études avec deux biopsies pour un collectif de 896 patients. Dans une méta-analyse de type « random effect », le rapport de cote pour l'association du génotype 3 avec une fibrose accélérée est de 1.52 (95% IC 1.12-2.07, p=0.007) pour les études à une biopsie. Pour les études à deux biopsies, le rapport de cote pour cette association est de 1.37 (95% IC 0.87-2.17, P=0.17). Cette étude montre que les patients avec une hépatite C chronique due au génotype 3 ont une progression de fibrose plus rapide que ceux qui sont infectés par les autres génotypes. Alors que la méta-analyse des études avec une biopsie est clairement significative, celle des études avec deux biopsies est au-dessous du seuil de significativité. Les études à deux biopsies peuvent être limitées par plusieurs facteurs, comprenant un « biais d'indication » (seuls les patients évoluant rapidement vers la cirrhose ont plus de risque d'avoir une deuxième biopsie), une durée d'observation très courte (5 années comparée à 13 années pour les études à 2 biopsies), et un nombre de patient limité (896 pour le études à 2 biopsies comparé à 3182 pour les études à 1 biopsie). Impact d'un programme de vaccination sur l'immunité contre l'hépatite Β dans une clinique suisse du VIH Le virus de l'hépatite Β cause une infection aigûe dont la symptomatologie varie d'une présentation subclinique à une progression fulminante. Dans une minorité de cas, l'infection aigiie est suivie d'une infection chronique pouvant évoluer vers une cirrhose hépatique et/ou un hépatocarcinome. La prévalence de l'hépatite Β aiguë et chronique chez les personnes vivant avec le virus d'immunodéficience humaine (VIH) est supérieure à celle de la population générale. Par ailleurs la co-infection avec le virus du VIH entraine une progression plus rapide de l'hépatite B. Dès lors, l'immunité pour le virus de l'hépatite Β représente un facteur primordial de prévention dans la population infectée par le virus de l'HIV. Bien que l'administration d'un vaccin contre l'hépatite Β soit particulièrement recommandée chez tous les individus infectés par le VIH, la couverture vaccinale dans cette population est souvent insuffisante. Le but de cette étude était de déterminer l'état d'immunisation contre le virus de l'hépatite Β dans la population infectée par le VIH de la cohorte Suisse HIV et d'analyser l'efficacité d'un programme de vaccination administré par le personnel soignant. L'immunité avant et après intervention dans notre centre a été comparée aux autres centres de la cohorte HIV en Suisse. L'immunité pour le centre d'intervention a passé de 32% avant intervention à 76% après intervention alors que pour les autres centres, l'immunité n'a progressé que de 33% à 39% dans le même laps de temps (n=2712, P=0.001). Cette étude montre qu'un contrôle systématique de l'immunité par du personnel soignant augmente de manière significative l'immunité pour le vaccin de l'hépatite Β dans la population HIV.
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L'hépatite D chronique est la forme la moins fréquente, mais la plus sévère des hépatites virales chroniques. L'hépatite D ne s'observe qu'en combinaison avec une infection par le virus de l'hépatite B (HBV). Chaque patient dont l'antigène HBsAg est positif doit être mis au bénéfice d'un dépistage sérologique à la recherche d'une co-infection par le virus de l'hépatite D (HDV). Une hépatite D chronique doit être plus particulièrement recherchée dans les situations suivantes: hépatite active avec HBsAg positif et HBV DNA faible ou indétectable, exacerbation d'une hépatite B chronique avec anticorps IgM anti-HBc négatif, hépatite B aiguë sévère ou fulminante. Le traitement actuel consiste en l'administration d'interféron-a pégylé. Ce traitement n'est cependant curatif que chez 20% des patients environ. Une transplantation hépatique doit être envisagée chez les patients ayant une cirrhose avancée ou un carcinome hépatocellulaire d'extension limitée. Les mesures préventives contre l'hépatite D sont les mêmes que celles contre l'hépatite B.
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Neste artigo é descrito um caso de osteoartropatia hipertrófica associada a tuberculose pulmonar. Esta alteração é uma complicação rara da tuberculose e pode estar associada à forma grave e fulminante da doença. Entre os métodos de imagem utilizados no diagnóstico estavam radiografias dos membros inferiores, que mostravam reação periosteal bilateralmente, e radiografias e tomografia computadorizada do tórax, que evidenciaram massa no lobo superior do pulmão direito. Embora a punção aspirativa por agulha fina tivesse sido sugestiva de tuberculose, o diagnóstico definitivo foi dado pelo exame histopatológico da massa, após a realização de toracotomia. O paciente evoluiu com melhora sintomática e radiológica após o tratamento com drogas tuberculostáticas.
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Os autores relatam um caso de paciente do sexo masculino, 38 anos de idade, motorista, soropositivo para HIV há oito anos, sem acompanhamento, com quadro de tosse produtiva com secreção acinzentada e episódios intermitentes de dispnéia há 15 dias. Informava dois episódios pregressos de tuberculose pulmonar (1983 e 2001) tratados. A radiografia de tórax evidenciou áreas de hipotransparência nodular e broncogramas aéreos bilateralmente. A tomografia computadorizada de tórax evidenciou vários achados inespecíficos, dentre eles áreas esparsas de consolidação, cavitação, bronquiectasia, opacidade em vidro fosco, espessamento intersticial e broncogramas aéreos. A lavagem broncoalveolar evidenciou numerosas hifas com raros septos bifurcados sugestivos de Aspergillus sp. e a cultura foi positiva para Nocardia sp. e Mycobacterium tuberculosis. Foi instituída terapia com anfotericina B, sulfametoxazol-trimetoprim e anti-retrovirais. Após 20 dias, recebeu alta sem queixas pulmonares. Decorridos 15 dias, retornou com diarréia, febre, disfagia e emagrecimento importante. Foi a óbito após cinco dias, por sepse estafilocócica.
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Mediastinite pós-cirurgias torácicas é definida como a infecção dos órgãos e tecidos do espaço mediastinal, ocorrendo em 0,4% a 5% dos casos. A gravidade da infecção pós-operatória varia desde infecção de tecidos superficiais da parede torácica até mediastinite fulminante com envolvimento esternal. O critério diagnóstico da tomografia computadorizada para mediastinite aguda pós-cirúrgica é a presença de coleção mediastinal, podendo estar associada ou não a anormalidades periesternais como edema/borramento de partes moles, separação dos segmentos esternais com reabsorção óssea marginal, esclerose e osteomielite. Achados associados incluem linfonodomegalias, consolidações pulmonares e derrame pleural e pericárdico. Pequenas coleções e gás mediastinais podem ser usualmente encontradas em pós-operatório recente de cirurgias torácicas sem a presença de infecções, limitando a eficácia da tomografia computadorizada nas duas primeiras semanas. Após esse período, a tomografia alcança quase 100% de sensibilidade e especificidade. Pacientes com suspeita clínica de mediastinite devem ser submetidos a exame de tomografia para pesquisa de coleções, identificando a extensão da doença e sua natureza. A versão de multidetectores propicia recursos de reconstruções em diversos planos e janelas, contribuindo especialmente para o estudo do esterno.
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A evolução tecnológica dos recursos diagnósticos e terapêuticos das últimas décadas tem possibilitado mudanças no manejo de pacientes com abscessos hepáticos piogênicos (AHP). A abordagem cirúrgica tem sido substituída ou complementada com os métodos de punção guiados por tomografia computadorizada (TC) ou por ultra-sonografia (US). Foi realizado um estudo retrospectivo de 27 casos de AHP atendidos num período de 15 anos, objetivando principalmente avaliar os métodos diagnósticos e terapêuticos utilizados em nosso hospital neste período, comparando a nossa realidade com os dados da literatura mundial. Dor abdominal (96%), febre (92%), e hepatomegalia (85%) foram os sinais e sintomas mais comuns; leucocitose (85%) com aumento dos bastões (88%), hipoalbuminemia (77%) e elevação da fosfatase alcalina (66%) foram as alterações laboratoriais mais freqüentes. Escherichia coli e Staphylococcus sp foram os agentes mais comumente identificados. A US abdominal foi o exame de eleição, fazendo diagnóstico em 92% dos casos, e a TC foi utilizada em 44% dos pacientes, complementar à US. Cinco pacientes (19%) foram tratados por punção com inserção de catéter de drenagem dirigida por US, enquanto 16 (59%) foram submetidos a laparotomia para drenagem e seis (22%) foram tratados apenas com antibioticoterapia. Sepse (37%) e derrame pleural (19%) foram as complicações mais freqüentes. Houve três óbitos (mortalidade de 11 %). Os métodos de drenagem percutânea apresentam menor morbidade que a drenagem cirúrgica em relação ao procedimento, diminuindo o risco de contaminação da cavidade peritoneal, além de apresentarem bons e similares resultados. A citologia do material aspirado possibilita também a complementação diagnóstica, principalmente para doenças subjacentes, facilitando a identificação da etiologia dos AHP. A drenagem por videolaparoscopia pode constituir outra alternativa à drenagem cirúrgica, com a vantagem da identificação dos abscessos não acessíveis à drenagem percutânea, mas apresentando ainda o risco de contaminação da cavidade peritoneal. Portanto, a indicação de drenagem por laparotomia para pacientes portadores de AHP deveria restringir-se àqueles onde houve falha na drenagem percutânea ou impossibilidade de acesso aos abscessos, principalmente no caso de abscessos múltiplos, e quando houver ruptura do abscesso ou grave comprometimento do estado geral do paciente. É necessário oferecer ao paciente o melhor tratamento de acordo com os recursos disponíveis do hospital, permitindo assim a diminuição das taxas de morbidade e mortalidade para esta doença.
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O objetivo do presente estudo é apresentar as complicações que ocorreram em seiscentos pacientes consecutivos com doença do refluxo gastroesofágico submetidos à fundoplicatura laparoscópica. O procedimento de Nissen-Rosetti (fundoplicatura de 360°) foi realizado em 587 pacientes (97,8%) e o de Toupet (fundoplicatura de 270°) em 13 (2,2%). Oitenta e um pacientes também foram submetidos à colecistectomia no mesmo ato operatório, e um a diverticulectomia faringoesofágica cervical com miotomia cricofaringeana. Trinta e nove pacientes tinham operação prévia no abdome superior. O período de internação hospitalar variou de 12 horas a 23 dias, com média de 1,2 dias. A via de acesso foi convertida em laparotomia em dez pacientes (1,7%). A principal causa de conversão foi a presença de aderências. A complicação intra- operatória mais freqüente foi pneumotórax, que foi observado em oito pacientes. Todos os pneumotóraces ocorreram nos cem primeiros casos. Cinco pacientes apresentaram hemorragia significante, sendo que dois deles necessitaram laparotomia para controle do sangramento. Úlcera gástrica foi diagnosticada em sete pacientes. Um paciente etilista morreu de pancreatite aguda e outro de síndrome de disfunção de múltiplos órgãos e sistemas conseqüente à perfuração gástrica. Outras complicações importantes foram: dois abscessos intra-abdominais, uma perfuração esofágica, uma sepse secundária à perfuração gástrica, um choque hemorrágico e uma obstrução gástrica secundária à herniação da fundoplicatura. Concluímos que a taxa de complicações da fundoplicatura laparoscópica é baixa e diminui significativamente com a experiência do cirurgião.
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A hérnia no paciente maior de 65 anos, ainda hoje, admite questionamentos quanto à sua etiologia, evolução e manejo. As condições clínicas do paciente e a debilidade dos tecidos da parede abdominal multiplicam as dificuldades inerentes à herniorrafia. O manejo cirúrgico apropriado é o reparo eletivo precoce, que apresenta índices limitados de complicações, sendo de maneira geral uma operação segura. Em casos de emergência, tentativas de desencarceramento estão contra-indicadas, já que em idosos a sintomatologia de sepse intra-abdominal inicia1 é frustra. O tratamento cirúrgico deve ser preconizado, pois nas operações de emergência a morbi/mortalidade da herniorrafia está significativamente elevada. A presente revisão pretende analisar os fatores envolvidos no sucesso da herniorrafia no idoso, destacando os aspectos atuais do pré, trans e pós-operatório.
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Este trabalho procurou avaliar fatores preditivos de infecção no trauma de cólon e sua validade epidemiológica. Durante 24 meses, 160 pacientes com trauma de cólon foram estudados prospectivamente em um centro de trauma, onde foram analisados possíveis fatores de risco para complicações infecciosas como a idade, o mecanismo de trauma, a topografia da lesão, o Colon Organ Injury Scale (CIS), o Abdominal Trauma Index (ATI), a presença de choque, a técnica cirúrgica empregada, o grau de contaminação e o intervalo de tempo entre o trauma e a cirurgia. Como complicações infecciosas foram consideradas: infecção da ferida cirúrgica, abscesso intra-abdominal, abscesso retroperitoneal, peritonite e deiscência de sutura colônica. A análise estatística dos dados foi feita por Regressão Logística Múltipla. No grupo estudado, 152 pacientes eram do sexo masculino, a idade média foi de 27,8 ± 12 anos, 104 ferimentos foram produzidos por arma de fogo, 38 por arma branca e 18 foram contusos, sendo de 18 ± 9 o ATI médio. A análise dos fatores de risco para infecção mostrou que o grau de contaminação fecal, o escore CIS, o tempo decorrido entre o trauma e a cirurgia e a faixa etária correlacionaram-se com complicações infecciosas neste estudo. Com base nesses resultados foi traçado um perfil do paciente de risco para infecção no grupo estudado: homem, mais de 35 anos, com trauma abdominal penetrante, com Cis > 3 e contaminação fecal moderada ou grande, submetido à cirurgia após mais de três horas do trauma.
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OBJETIVO: A hipertensão portal esquistossomótica com antecedente de hemorragia digestiva foi tratada com esplenectomia + ligadura da veia gástrica esquerda (LVGE) + desvascularização da grande curvatura do estômago + esclerose endoscópica pós-operatória. Quando da existência de varizes de fundo gástrico, realizamos a abertura do fundo gástrico e sutura obliterante destas varizes. O objetivo deste trabalho foi avaliar a recidiva de hemorragia digestiva, repercussões laboratoriais e mortalidade do tratamento cirúrgico/endoscópico. MÉTODOS: Entre 1992 e 1998, foram operados no HC-UFPE 131 pacientes. O seguimento médio foi de 30 meses, em 111 pacientes, que foram solicitados a retornar ao ambulatório do HC-UFPE para a realização de controle clínico e laboratorial. RESULTADOS: A recidiva hemorrágica foi de 14,4% (16/111) e uma mortalidade de 5,4% (6/111). A recidiva de hemorragia digestiva alta foi exteriorizada através de hematemese em oito pacientes e oito por melena. Dos seis pacientes que foram a óbito, três apresentavam diagnóstico de linfoma, hepatocarcinoma e infarto agudo do miocárdio, respectivamente. Dois pacientes foram a óbito no pós-operatório imediato (sepse e coagulação intravascular disseminada). O sexto paciente foi a óbito por recidiva da hemorragia digestiva alta. Em nove pacientes, 13,2%, foi diagnosticada trombose da veia porta. Os dados laboratoriais, hematológicos e de função hepática também foram analisados. CONCLUSÕES: Os autores concluíram que o tratamento cirúrgico da hipertensão portal esquistossomótica, através da esplenectomia + LVGE + desvascularização da grande curvatura do estômago + esclerose endoscópica pós-operatória determina resultados compatíveis com a literatura em relação à recidiva de sangramento, mas preserva a funcionalidade hepática.
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O estudo do processo de morte celular programada ganhou impulso a partir da demonstração da sua presença em células maduras não germinativas em 1971. A apoptose é um mecanismo vital normal, que acontece a todo o tempo nos organismos, permitindo a preservação da homeostase e renovação celular, possuindo características cito/histológicas próprias. Este trabalho faz uma revisão sumária de aspectos básicos da apoptose de interesse do cirurgião. São revistos dados da literatura referentes à apoptose no tocante às características cito/histológicas e sua importância na ontogênese, homeostasia, patogênese, inflamação sistêmica, sepse abdominal e trauma. Alterações no processo de apoptose no embrião podem levar a malformações congênitas. No adulto, algumas doenças expressam-se por aumento (ex. isquemia miocárdica, Alzheimer etc.) ou diminuição nas taxas de apoptose (ex. câncer, doenças auto-imunes etc.). De particular interesse para o cirurgião, a elevação numérica dos neutrófilos que ocorre durante processos de inflamação sistêmica e trauma, deve-se à inibição da apoptose. A morte celular programada nos neutrófilos pode ser alterada por uma série de processos celulares (ex: adesão, transmigração etc.), substâncias endógenas e exógenas (ex: citocinas e lipopolissacarídeo), produzindo diferentes taxas de apoptose de acordo com a interação dos fatores. O aprofundamento no estudo da morte celular programada, com a possibilidade de sua modulação, a coloca como potencialmente aliada na terapêutica.
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OBJETIVO: A peritonite é responsável por aproximadamente 50% das mortes por sepse e, apesar de avanços nos métodos usados para o seu diagnóstico e tratamento, cerca de um terço dos pacientes ainda morre de peritonite secundária grave. O objetivo do presente trabalho foi comparar a eficácia de diversos tipos de tratamento para a peritonite fecal grave e estabelecida. MÉTODOS: Foram usadas 40 ratas adultas, submetidas à peritonite fecal com injeção intraperitoneal de uma suspensão de fezes de ratos. Os animais foram divididos em oito grupos (n = 5): Grupo 1, controle; Grupo 2, limpeza mecânica intraperitoneal com gaze; Grupo 3, lavagem com solução salina a 0,9%, à temperatura ambiente; Grupo 4, lavagem com solução salina a 0,9%, a 37,8ºC; Grupo 5, lavagem com povidona-iodo a 0,5%; Grupo 6, lavagem com clorexidina a 0,05%; Grupo 7, injeção intramuscular de gentamicina e clindamicina; Grupo 8, introdução intraperitoneal de açúcar. RESULTADOS: Os grupos 5 e 8 foram os que apresentaram a mortalidade mais rápida (menos de 24 horas). Após 72 horas, permaneceu viva uma rata em cada um dos grupos 2, 3, 4 e 6. Nos grupos 1, 5, 7 e 8 não houve sobrevida. Apesar de todos os animais do Grupo 7 morrerem, o óbito ocorreu em um período mais longo (72 horas) do que o dos demais grupos. CONCLUSÃO: Somente ocorreu sobrevida nos grupos submetidos à limpeza peritoneal menos agressiva. Além disso, um procedimento terapêutico único de limpeza ou antibiótico sistêmico por um dia não é suficiente para prevenir a morte em ratos com peritonite fecal grave e estabelecida.
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OBJETIVO: Comparar a eficácia de dois esquemas terapêuticos de antibióticos em vítimas de trauma penetrante de abdome com lesão gastrintestinal. MÉTODO: O estudo selecionou de forma prospectiva e randomizada, vítimas de trauma abdominal penetrante com lesão gastrintestinal, dividindo-os em dois grupos, conforme o esquema terapêutico: cefoxitina perioperatória exclusivamente (Grupo 1) e associação de gentamicina e metronidazol por cinco dias (Grupo 2). Os grupos foram estratificados em três níveis de acordo com o Abdominal Trauma Index (ATI) e os desfechos analisados foram complicações infecciosas em nível de sitio cirúrgico e não cirúrgico. Escores de trauma e diversas variáveis foram coletadas, como mecanismo e intervalo trauma - tratamento, choque à admissão, volume transfundido, tempo cirúrgico e lesões de cólon. RESULTADOS: Ambos os grupos foram semelhantes e perfeitamente comparáveis, demonstrando não haver diferença na eficácia entre os esquemas antibióticos. CONCLUSÃO: Para vítimas de trauma abdominal penetrante com lesão gastrintestinal, o uso de cefoxitina restrito ao perioperatório é perfeitamente válido.
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OBJETIVO: As fístulas enterocutâneas podem ocorrer de forma espontânea ou no período pós-operatório. A fístula pós-operatória representa mais de 90% de todas as fístulas intestinais e estão quase sempre relacionadas com alguma das principais complicações da cirurgia do aparelho digestivo. De acordo com os fatores de risco e as características destas fístulas, têm sido propostas diferentes classificações prognósticas. Este estudo tem por objetivo analisar o resultado do tratamento de pacientes portadores de fístulas enterocutâneas pós-operatórias. MÉTODO: Foram analisados 39 pacientes submetidos a tratamento cirúrgico que desenvolveram fístula enterocutânea. Havia 27 pacientes do sexo masculino (69,2%) e 12 do sexo feminino (30,8%) com média de idade de 45,8 anos. Os fatores de risco considerados foram sepse, nível da albumina sérica, débito da fístula, idade do paciente e cirurgia de emergência. RESULTADOS: Sepse esteve presente em 13 pacientes com 61,5% de mortalidade, fístula de alto débito em 23 pacientes com 30,4% de mortalidade, idade acima de 60 anos em 14 pacientes com 28,5% de mortalidade e a albumina sérica baixa na admissão também esteve relacionada com mortalidade. CONCLUSÃO: Os autores concluem que a presença de sepse não controlada foi o fator mais importante de mortalidade.
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OBJETIVO: O auto-implante esplênico parece constituir a única alternativa para preservação de tecido esplênico, após esplenectomia total. O objetivo deste trabalho foi analisar a depuração de Escherichia coli pelos órgãos do sistema mononuclear fagocitário (SMF) após esplenectomia total e auto-implante esplênico. MÉTODO: Utilizou-se um modelo experimental com ratos Wistar jovens e adultos, de ambos os sexos, submetidos a esplenectomia total e auto-implante esplênico. O método de avaliação foi a inoculação intravenosa de suspensão de Escherichia coli marcada com tecnécio - 99m. Analisou-se a captação desta bactéria pelos órgãos do SMF e o remanescente bacteriano na corrente sangüínea. RESULTADOS: Dentro de cada grupo, não foi encontrado diferença entre animais jovens e adultos no que se refere à captação de bactérias pelos órgãos do SMF. Na comparação entre os grupos verificou-se que o percentual médio de captação pelo baço e pelo fígado de animais do Grupo-Controle foi maior que o dos auto-implantes. Embora a captação de bactérias pelo baço de animais do Grupo-Controle tenha sido maior que o dos auto-implantes esplênicos, o remanescente bacteriano no sangue não foi diferente. Animais submetidos a esplenectomia total isolada apresentam maior remanescente de bactérias na corrente sangüínea que animais do Grupo-Controle ou do grupo submetido a esplenectomia total combinada com auto-implante esplênico. CONCLUSÃO: Nossos resultados indicam que o auto-implante esplênico é eficaz na depuração de bactérias, em rato, mediante a fagocitose por seus macrófagos, e não interfere na função de remoção bacteriana do fígado e do pulmão.