963 resultados para Présentation antigénique
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Référence bibliographique : Weigert, 146
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Ce travail décrit le cas d'un patient présentant un carcinome parathyroïdien ayant occasionné des calcifications pulmonaires métastatiques d'évolution rapidement fatale, malgré une prise en charge médicale précoce et agressive. L'objectif de cette présentation est de faciliter le diagnostic ainsi que la prise en charge de cette pathologie rarement symptomatique mais potentiellement mortelle.¦Une revue extensive de littérature a été effectuée, afin de préciser les aspects étiologiques, pathogéniques, pathologiques, cliniques et radiologiques des calcifications pulmonaires métastatiques. Un recensement de tous les cas décrits ayant conduit au décès des patients a en outre été fait.¦La pathogenèse des calcifications pulmonaires métastatiques est encore incomplètement élucidée. Elle fait intervenir des variations de l'équillibre phospho- calcique, de la fonction rénale ou encore du pH. Les étiologies le plus souvent retouvées sont l'hyperparathyroïdie, les lésions osseuses lytiques néoplasiques et l'insuffisance rénale. Le diagnostic définitif est obtenu par l'histologie, les différents examens radiologiques n'étant que peu sensibles. Les manifestations clinique peuvent comprendre un syndrome pulmonaire restrictif, des troubles de la diffusion, une hypoxémie ou encore une insuffisance respiratoire.¦Le cas relaté démontre le caractère potentiellement fulminant et létàl des calcifications pulmonaires métastatiques. Il s'agit du premier cas mortel décrit de calcifications pulmonaires métastatiques secondaires à une néoplasie parathyroïdienne maligne.
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Introduction : Les carcinomes de la conjonctive sont les tumeurs oculaires épithéliales des plus fréquentes. Ces tumeurs peuvent se limiter à la membrane basale ou l'envahir pour devenir des tumeurs invasifs. Le diagnostic différentiel entre tumeurs intra‐épithéliales (CIN) et invasifs est exclusivement fait histologiquement. Le but de la présente étude est de définir les caractéristiques cliniques qui sont en faveur du diagnostic d'une CIN ou d'un carcinome invasif afin de améliorer le traitement. Méthode : étude rétrospective des carcinomes de la conjonctive examinés et traités à la Clinique Ophtalmologique Universitaire de Lausanne. Au total 100 dossiers de patients sont étudiés : divers signes cliniques sont notés et analysé selon le type de tumeur (intra‐épithélial et invasif). Résultats : 20 des tumeurs étudié étaient invasifs et 80 intra‐épihteliales, avec une moyenne d'âge de 65 ans. La lésion conjonctivale était localisée pour 40 cas sur 100 dans la région nasale, 22 temporale, 7 inférieures, 3 supérieurs. La forme gélatineuse de la tumeur se présente dans 36 cas sur 100 avec une fréquence relative de 17% en tumeur invasive et 83% en CIN. La forme nodulaire apparait dans 26 cas sur 100 avec 15% en tumeurs invasive et 85% en CIN. La forme papillaire elle se trouve dans 17 cas sur 100 avec 24% invasif et 76% CIN. 21 cas sur 100 sont de type diffus avec 29% invasif et 71% CIN. La kératine était présente dans 40 cas sur 100 avec 23% dans la tumeur invasive et 77% dans CIN. La cornée était touchée dans 74 cas sur 100 avec 20% des cas invasifs et 80% CIN. La taille la plus commune avec 57 cas sur 100 cas est la petite, 21 cas étaient de taille moyenne et 22 cas de taille volumineuse. La grande partie des tumeurs se présente avec un vasodilatation et 45 tumeurs avaient un vascularisation des muscles rectilignes VxR (18% invasif et 82% CIN), 25 cas avaient une vascularisation conjonctivale VxC (0% invasif et 100% CIN), et 30 cas plutôt une vascularisation mixte VxM (33% invasif et 67% CIN). On a trouvé qu'une vasodilatation de la vascularisation mixte (P=0,0294) est statistiquement significative pour caractériser une tumeur invasive et une vasodilatation de la vascularisation de la conjonctive est indicatif pour diagnostiquer un CIN (P=0,0159). La taille de la tumeur joue aussi un rôle important ; dans notre cas la taille volumineuse est statistiquement significative pour déterminer le risque d'avoir une tumeur invasive (P=0,0234). Conclusion : Pour le moment l'excision de la lésion est la méthode la plus plausible pour différencier les carcinomes de la conjonctive. Différents critères permettent de suspecter si la tumeur est invasive ou un CIN, mais ils ne sont pas suffisamment forts pour baser la décision thérapeutique là dessus.
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Gluten-induced enteropathy or coeliac disease is a condition characterized by malabsorption and a variety of clinical manifestations. In adults, coeliac disease may be discovered while investigating iron-deficient anemia, bone pain or unexplained weight loss. We have recently diagnosed a case of gluten-induced enteropathy in an elderly woman whose symptoms were unusual. The patient had episodes of laryngospasm secondary to severe hypocalcemia and hypomagnesemia. The malabsorption syndrome was responsible for low levels of vitamin D, causing the electrolytic imbalance. Laryngospasm is a rare symptom of hypocalcemia and has not, to our knowledge, been described in the context of coeliac disease.
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Référence bibliographique : Rol, 59050