958 resultados para Perry, Scott


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Ontario Editorial Bureau (O.E.B.)

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Thomas Scott (1746-1824) was a politician and judge originally from Scotland. He came to Canada in 1800 after accepting the appointment of Attorney General of Upper Canada, and in 1806 was promoted to Chief Justice of Upper Canada. The declaration of war in 1812 brought into question the loyalty of the colony’s population, who were largely born in America. As concerns over allegiance intensified, the government sought out traitors in an attempt to make an example of them and deter others. The subsequent trials of citizens accused of treason resulted in 15 convictions, including Jacob Overholser. These trials were intended to assert the authority of the state, but also to demonstrate clemency. Only 8 of the convicts were executed, with the rest being banished from the colony. Scott supported these measures, although they were largely initiated by Attorney General John Beverly Robinson. Thomas Scott retired in 1816 and died in 1824.

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Dr. Stuart D. Scott has written extensively in the fields of prehistory and history. As an archaeologist, he has traveled to some of the most significant sites in the world, including Pompeii, Stonehenge, the Valley of the Kings, Egypt’s pyramids and the Taj Mahal. He spent nine months excavating with the Tikal Project in Guatemala before returning to the University of Arizona where he received a Ph.D. in 1963. He excavated in New Zealand as a Fulbright scholar in 1963-1964. In the fall of 1964, Dr. Scott started a long career in the Anthropology Department of the State University of New York. He taught graduate and undergraduate archaeology courses and continued his archaeological and historical research. In 1979, Scott established the Old Fort Niagara Archaeology in Progress Project at Old Fort Niagara in Youngstown, New York. For many years, he became involved with historical archaeology in western New York. It was during this work that he became interested in the Upper Canada Rebellion of 1837-1838 and its aftermath. Dr. Scott and his wife, Patricia Kay Scott, would use Christmas breaks, summer vacations, and sabbatical years to travel. They were repeatedly lured back to the South Pacific, conducting research in New Zealand, Australia and many of the Micronesian and Polynesian islands. To tell the whole story of the Rebellion and the prison exiles, they traveled extensively in Canada, the United States, England and Tasmania to collect archival research and to experience the scenes of this remarkable narrative. In 2004, Dr. Scott published To the Outskirts of Habitable Creation: Americans and Canadians Transported to Tasmania in the 1840s, which told the story of the men captured, tried, convicted, and exiled as a result of the Rebellion, also called the Patriot War. Other contributions include: • A collaboration with Dr. Charles Cazeau on the book Exploring the Unknown, Great Mysteries Reexamined published by Plenum Press in 1979 • The Patriot Game: New Yorkers and the Canadian Rebellion of 1837-1838, which appeared in New York History, Vol. 68, No.3. 1987 • A Frontier Spirit: The Life of James Gemmell published in Australiasian Canadian Studies, Vol. 25, No. 2 2007 • To the Outskirts of Habitable Creation which appeared in the Friends of the National Archives, Vol. 20, No. 1 2009 • Numerous academic journal publications • Service on conference panels • Various research papers and proposals Before retiring in 1997 and while still a resident of Buffalo, N.Y., Dr. Scott spent considerable time with Brock University President Emeritus James A. Gibson and History Professor Colin Duquemin. The three shared a love of Rebellion history. It was largely because of this connection that Brock University was chosen as the recipient of Dr. Scott’s research materials.

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A vignette of the residence of James Scott, Esq., Lot 18, Stamford.

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UANL

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Ayant recours aux théories de la «surconscience linguistique», du «choc des langues» et des «zones de contact» telles que développées par Lise Gauvin, Sherry Simon et Catherine Leclerc, ce mémoire a pour objectif de développer une littérature montréalaise activée par la langue et les langues dans un contexte contemporain. S'inspirant des débats entourant la littérature anglo-québécoise, et la place accordée à l'imaginaire anglo-montréalais et à ses représentants dans l'histoire, deux romans sont analysés du point de vue des langues : La logeuse d'Eric Dupont et Heroine de Gail Scott. À la lumière d'une interdiction formulée par Gilles Marcotte dans « Neil Bissoondath disait… », célèbre brûlot qui prohibe l’analyse conjointe des littératures de langue française et anglaise, l'approche adoptée dans ce mémoire vise par l'intermédiaire des romans à dépasser les propos de Marcotte afin de créer une spécificité montréalaise orientée par des préoccupations linguistiques. Ce mémoire démontre que les propos de Gilles Marcotte sont intenables dans le contexte actuel où les langues ne sont plus une source de division, mais bien un prétexte à joindre dans un propos qui les englobe et les dépasse les corpus de langue anglaise et française dans le contexte montréalais. La logeuse et Heroine témoignent d'un imaginaire et de préoccupations linguistiques comparables et de ce fait, permettent de définir les contours d'une littérature montréalaise activée par les langues. Enfin, ce mémoire se questionne sur l'équation entre langue et culture, mais également entre littérature et culture afin qu'une langue montréalaise, à l'instar d'une littérature montréalaise, prenne forme.

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Cette lecture, tant critique, comparative, et théorique que pédagogique, s’ancre dans le constat, premièrement, qu’il advient aux étudiantEs en littérature de se (re)poser la question des coûts et complicités qu’apprendre à lire et à écrire présuppose aujourd’hui; deuxièmement, que nos pratiques littéraires se trament au sein de lieux empreints de différences, que l’on peut nommer, selon le contexte, métaphore, récit, ville; et, troisièmement, que les efforts et investissements requis sont tout autant couteux et interminable qu’un plaisir et une nécessité politique. Ces conclusions tendent vers l’abstrait et le théorique, mais le langage en lequel elles sont articulées, langage corporel et urbain, de la dépendance et de la violence, cherche d’autant plus une qualité matérielle et concrète. Or, l’introduction propose un survol des lectures et comparaisons de Heroine de Gail Scott qui centre ce projet; identifie les contextes institutionnels, historiques, et personnels qui risquent, ensuite, de décentrer celui-ci. Le premier chapitre permet de cerner le matérialisme littéraire qui me sert de méthode par laquelle la littérature, à la fois, sollicite et offre une réponse à ces interrogations théoriques. Inspirée de l’œuvre de Gail Scott et Réjean Ducharme, premièrement, et de Walter Benjamin, Elisabeth Grosz, et Pierre Macherey ensuite, ‘matérialisme’ fait référence à cette collection de figures de pratiques littéraires et urbaines qui proviennent, par exemple, de Georges Perec, Michel DeCerteau, Barbara Johnson, et Patricia Smart, et qui invitent ensuite une réflexions sur les relations entre corporalité et narrativité, entre la nécessité et la contingence du littéraire. De plus, une collection de figures d’un Montréal littéraire et d’une cité pédagogique, acquis des œuvres de Zygmunt Bauman, Partricia Godbout, et Lewis Mumford, constitue en effet un vocabulaire nous permettant de mieux découvrir (et donc enseigner) ce que lire et apprendre requiert. Le deuxième chapitre propose une lecture comparée de Heroine et des romans des auteures québécoises Anne Dandurand, Marie Gagnon, et Tess Fragoulis, dans le contexte, premièrement, les débats entourant l’institutionnalisation de la littérature (anglo)Québécoise et, deuxièmement, des questions pédagogiques et politiques plus larges et plus urgentes que nous pose, encore aujourd’hui, cette violence récurrente qui s’acharna, par exemple, sur la Polytechnique en 1989. Or, cette intersection de la violence meurtrière, la pratique littéraire, et la pédagogie qui en résulte se pose et s’articule, encore, par le biais d’une collection de figures de styles. En fait, à travers le roman de Scott et de l’œuvre critique qui en fait la lecture, une série de craques invite à reconnaître Heroine comme étant, ce que j’appelle, un récit de dépendance, au sein duquel se concrétise une temporalité récursive et une logique d’introjection nous permettant de mieux comprendre la violence et, par conséquent, le pouvoir d’une pratique littéraire sur laquelle, ensuite, j’appuie ma pédagogie en devenir. Jetant, finalement, un regard rétrospectif sur l’oeuvre dans son entier, la conclusion de ce projet se tourne aussi vers l’avant, c’est-à-dire, vers ce que mes lectures dites matérialistes de la littérature canadienne et québécoise contribuent à mon enseignement de la langue anglaise en Corée du Sud. C’est dans ce contexte que les propos de Jacques Rancière occasionnent un dernier questionnement quant à l’historique des débats et des structures pédagogiques en Corée, d’une part, et, de l’autre, les conclusions que cette lecture de la fiction théorique de Gail Scott nous livre.