971 resultados para Mandibular prosthesis


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Computational modelling is becoming ever more important for obtaining regulatory approval for new medical devices. An accepted approach is to infer performance in a population from an analysis conducted for an idealised or ‘average’ patient; we present here a method for predicting the performance of an orthopaedic implant when released into a population—effectively simulating a clinical trial. Specifically we hypothesise that an analysis based on a method for predicting the performance in a population will lead to different conclusions than an analysis based on an idealised or ‘average’ patient. To test this hypothesis we use a finite element model of an intramedullary implant in a bone whose size and remodelling activity is different for each individual in the population. We compare the performance of a low Young’s modulus implant (View the MathML source) to one with a higher Young’s modulus (200 GPa). Cyclic loading is applied and failure is assumed when the migration of the implant relative to the bone exceeds a threshold magnitude. The analysis for an idealised of ‘average’ patient predicts that the lower modulus device survives longer whereas the analysis simulating a clinical trial predicts no statistically-significant tendency (p=0.77) for the low modulus device to perform better. It is concluded that population-based simulations of implant performance–simulating a clinical trial–present a very valuable opportunity for more realistic computational pre-clinical testing of medical devices.

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DESIGN: A multi-centre randomised controlled study in 14 dental schools. This report is an interim analysis at 3 years.

INTERVENTION: Patients were allocated to either the Removable dental prosthesis group (RPD)-109 patients or the no prosthesis group (SDA) -106 patients. Patients had to be older than 35 years with no molars in the study jaw. Follow-up visits were scheduled at 4 to 8 wks (baseline), at 6 months, and at 1, 2, 3, 4, and 5 yrs after treatment.

OUTCOME MEASURE: Time to loss of first tooth following intervention or no intervention.

RESULTS: 81 patients received a RDP and 69 patients received no treatment in the end. This is a reduction of 26% and 35% respectively from the time when they were randomised to the two groups. Tooth loss occurred in 13 of the RDP group (16% of those who received the RDP, 12% of those allocated to the group at the start) with 5 of these being in the study jaw and 8 in the opposing jaw. Tooth loss occurred in 9 of the SDA group (13% of those who received SDA, 9% of those who were allocated to the group at the start) with 5 in the study jaw and 4 in the opposing jaw. The respective Kaplan-Meier survival rates at 38 months were 0.83 (95% CI: 0.74-0.91) in the RDP group and 0.86 (95% CI: 0.78-0.95) in the SDA group.

CONCLUSIONS: The difference in tooth loss at three years between patients treated with RDP and those not treated with RDP was not significant.

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Tesis (Maestría en Salud Pública con Especialidad en Odontología Social) U.A.N.L.

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Tesis (Maestría en Ciencias Odontológicas con Especialidad en Ortodoncia) U.A.N.L.

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Tesis ( Maestría en Ciencias Odontológicas con Especialidad en Ortodoncia) U.A.N.L.

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La supériorité des prothèses mandibulaires retenues par deux implants (IODs) sur les prothèses conventionnelles (CDs) nécessitent d’être éclaircies notamment en rapport à leur influence sur la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire (OHRQoL) ainsi que sur la stabilité de cet effet de traitement. De plus, l’influence des facteurs psychologiques, tel que le sens de cohérence (SOC), sur l’effet de traitement reste encore inconnue. Le but de cette étude est de déterminer l’amplitude de l’influence du port des IODs et des CDs sur l’OHRQoL et d’évaluer la stabilité de l’effet de traitement dans le temps, tout en prenant en considération le niveau du SOC. MÉTHODOLOGIE: Des participants édentés (n=172, âge moyen 71, SD = 4.5) ayant reçu des CDs ou des IODs ont été suivis sur une période de deux ans. L’OHRQoL a été évaluée à l’aide du questionnaire « Oral Health Impact Profile (OHIP -20) » et ce avant le traitement et à chacun des deux suivis. Le SOC a été évalué à l’aide du questionnaire « The Orientation to Life (SOC -13) » à chacun des deux suivis. Des analyses statistiques ont été effectuées pour évaluer les différences intra et entre groupes (analyses statistiques descriptives, bivariées et multivariées). RÉSULTATS: Une amélioration statistiquement significative de l’OHRQoL entre les statuts avant et après traitement a été notée dans les deux groupes (Wilks’s Lambda = 0.473, F (1,151) = 157.31, p < 0.0001). L’amplitude de l’effet du traitement IOD est 1.5 fois plus grande que celle du traitement CD. Ces résultats ont été stables pendant les deux années d’étude et ils n’ont pas été influencés par le SOC. CONCLUSION: Le traitement IOD amène une meilleure OHRQoL à long terme en comparaison avec le traitement CD et ce sans influence du niveau du SOC. Ces résultats sont cliniquement significatifs et confirment la supériorité des IODs sur les CDs.

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Problématique : Les connaissances théoriques et pratiques au sujet de la mise en charge immédiate d’implants non jumelés chez les édentés sont limitées. Objectifs : Cette étude avait pour but de : (1) déterminer le taux de survie implantaire de 2 implants non jumelés supportant une prothèse totale mandibulaire suite à une mise en charge immédiate, (2) évaluer les changements des niveaux osseux et de stabilité implantaire survenus sur ces 2 implants durant une période de 4 mois et les comparer à un implant témoin, et (3) décrire les complications cliniques associées à ce mode de mise en charge. Méthodologie : Chez 18 individus édentés (âge moyen de 62±7 ans), cette étude de phase I avec un design pré/post a évalué les résultats cliniques suivant la mise en charge immédiate (<48 heures) de 2 implants non jumelés par une prothèse totale mandibulaire. À l’aide de radiographies périapicales, de sondages osseux et d’analyses de la fréquence en résonnance, les niveaux osseux péri-implantaires (en mm) et les niveaux de stabilité implantairte (en ISQ) de ces 2 implants insérés dans la région parasymphysaire ont été évalués à la chirurgie (T0) et au suivi de 4 mois (T1). Un implant non submergé et sans mise en charge inséré dans la région de la symphyse mandibulaire a été utilisé comme témoin. Les données ont été analysées avec des modèles mixtes linéaires, la méthode de Tukey ajustée, l’analyse de variance de Friedman et des tests de rang signés de Wilcoxon. Résultats : De T0 à T1, 3 implants mis en charge immédiatement ont échoué chez 2 patients. Le taux de survie implantaire obtenu était donc de 91,7% (33/36) et, par patient, de 88,9% (16/18). Aucun implant témoin n’a échoué. Les changements osseux documentés radiologiquement et par sondage autour des implants mis en charge immédiatement étaient, respectivement, de -0,2 ± 0,3 mm et de -0,5 ± 0,6 mm. Les pertes d’os de support implantaire n’ont pas été démontrées statistiquement différentes entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins. Les niveaux moyens de stabilité implantaire ont augmenté de 5 ISQ indépendamment de la mise en charge. Les niveaux moyens d’ISQ n’ont pas été démontrés statistiquement différents entre les implants avec mise en charge immédiate et les témoins à T0 ou T1. Cinq des 18 patients n’ont expérimenté aucune complication clinique, alors que 9 en ont eu au moins deux. Hormis les échecs implantaires, aucune de ces complications n’a entraîné de changements au protocole. Conclusion : Les résultats à court terme suggèrent que : (1) le taux de survie implantaire suite au protocole immédiat est similaire à ceux rapportés lors d’un protocole de mise en charge conventionnel (2) les changements d’os de support implantaire et de stabilité ne sont pas différents comparativement à ceux d’un implant témoin, (3) un niveau élevé d’expérience clinique et chirurgicale est requis pour effectuer les procédures et pour gérer les complications associées. Ces résultats préliminaires devraient être confirmés dans une étude clinique de phase II.

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At the end of the last century, a model to explain clinical observations related to the mandibular growth was developed. According to it, the lateral pterigoid muscle (LPM) was one of the main modulators of the differentiation of mesenquimal cells inside the condyle to condroblasts or osteoblasts, and therefore of the growth of the mandibular condilar cartilage (CCM). The main components of the model were the humoral and the mechanical. Nowadays, the humoral would include growth factors such as IGF-I, FGF-2 and VEGF, which seem to be involved in mandibular growth. Since skeletal muscle can secrete these growth factors, there is a possibility that LPM modulates the growth of CCM by a paracrine or endocrine mechanism. The mechanical component derived from the observations that both the blood flow inside the temporomandibular joint (ATM) and the action of the retrodiscal pad on the growth of the CCM, depend, in part, on the contractile activity of the LPM. Despite the fact that there are some results suggesting  hat LPM is activated under conditions of mandibular protrusion, there is no full agreement on whether this can stimulate the growth of CCM. In this review, the contributions and limitations of the works related to mandibular growth are discussed and a model which integrates the available information to explain the role of the LPM in the growth of the CCM is proposed.

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Resumen basado en el de la publicaci??n