983 resultados para Kemys, Lawrence, d. 1618.
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Contient : Instructions « au sieur de Malras » [Rome], 1571 (f. 1), — au duc de Nevers et autres [Savoie], 1574 (f. 8), — au sieur d'Abain de La Rochepozay [Rome], 1576 (f. 18), — au cardinal de Gondi [Rome], 1588 (f. 22), — à de Fresne-Forget [Espagne], 1589 (f. 28), — à monsieur de Brèves [Constantinople], 1592 (f. 68), — à monsieur de La Clyelle [Florence], « après la conversion du Roy » (f. 92), — au duc de Nevers [Rome], 1593 (f. 100), et pièces annexes (f. 110 v), — au sieur de Morlasse [Angletere], 1593 (f. 113), — à monsieur de Sillery et au maréchal de Biron [Savoie], 1596 (f. 125), — à messieurs de Bellièvre et de Sillery [pour la paix de Vervins], 1598 (f. 132), — à monsieur de Sillery [Rome], 1599 (f. 141), — au sieur d'Halincourt [Rome], 1600 (f. 157), et 1605 (f. 193), — au sieur de Béthune [Rome], 1601 (f. 163), — au sieur de Barrault [Espagne], 1603 (f. 175), — au sieur de Caumartin [Suisse], 1604 (f. 185), — « au sieur de Monglas » [Allemagne], 1606 (f. 205), — au sieur de Chevrières [Savoie], 1607 (f. 220), — à monsieur de Brèves [Rome], 1608 (f. 230), — au cardinal de La Rochefoucauld [Rome], 1609 (f. 246), — « à monsieur le cardinal de Vicence, allant à Florence pour se condouloir de la mort du Grand-Duc » Ferdinand Ier, 1609 (f. 250), — à monsieur de Boissise [Allemagne], 1610 (f. 254),et pièces annexes (f. 255), — au sieur de Béthune [Hollande], 1610 (f. 260), — au cardinal de Joyeuse [Rome], 1611 (f. 264), — et à monsieur de Boissise [Hollande], 1618 (f. 274) ; Pièces diplomatiques et historiques diverses, parmi lesquelles on remarque : « Mémoire touchant l'abbaye de Vaucelles » ; « Instruction envoyée en Allemagne sur le fait de la Saint-Barthélemi, 1572 » ; « Ambassade que monsieur de Fresnes-Forget fit en Espagne..., incontinant après la mort du duc de Guise », 1589 ; « Instruction... présentée à N. S. Père le pape par monsieur le commandeur de Diou », pour la Ligue ; Lettre du duc de Mayenne au pape, 1589
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Contient : 1 Lettres par lesquelles « ALBERT et ISABEL CLARA EUGENIA, infante d'Espaigne, par la grace de Dieu archiducqz d'Austrice », donnent la charge de premier roi d'armes, vacante par le dcès de Philippe Borluut, à « Adrien de Riebeke, escuyer... à condition expresse que, moyennant » les gages et profits attachés audit office de premier roi d'armes, il sera « obligé de prendre et avoir en sa garde la librairie » de la « court comme a faict ledict Phelippe Borluut,... Donné en nostre ville de Bruxelles, le second jour de may, l'an de grace 1611 ». Copie ; 2 Lettres des mêmes archiducs « à... Philippe Stercke, conseillier et commis, et Paul de Croonendaele, aussy conseillier, garde des chartres et greffier de noz demaines et finances », leur mandant que incontinent ils procèdent et entendent « soigneusement et diligemment à reveoir et visiter le dernier inve[n]toire » des livres de la librairie de la cour, « l'ampliant de tout ce que depuis la confection d'icelluy a esté de plus mis en mains dudict feu Borluut, avecq speciffication d'où il est venu, et le diminuant de ce qu'en pourroit avoir esté osté et levé, là, où et à quy il auroit esté dlivré et distribué », le tout pour aboutir au renouvellement dudit inventaire et faire dlivrance pertinente desdits livres « ès mains dudict de Riebeke », etc. Bruxelles, 7 septembre 1611. Copie ; a Ancien fonds ; b « Aultres livres en toutes sciens et universes langues, procedans de la librairie dont feu le president Viglius avoit eu charge, ausquelz ont presentement esté joinctz les livres que depuis le premier de may XVe quatrevingtz quatorze l'on a recouvert de pluisieur imprimeurs, selon l'ordonnance de feu l'archiducq Ernest, et conte de Fuentès, lesdicts livres nouveaulx inventoriez à la fin du chapiltre, où il appertient, selon les matières dont ilz traictent » ; A la fin dudit inventaire est premièrement la copie, collationnée à l'original, du certificat de remise par les commissaires ci-dessus dsignés desdits livres ès mains d'Adrien de Riebeke, certificat daté de Bruxelles, 20 dcembre 1617 ; secondement, la copie du certificat de réception desdits livres par Adrien de Riebeke, qui promet d'en faire bonne garde. Même date ; Lettres des mêmes archiducs, par lesquelles ils dclarent avoir dchargé Adrien de Riebeke de la garde des livres de la librairie de la cour et avoir commis ce soin, avec le titre de bibliothécaire, à « messire Aubertus Miraeus, presbtre, prothonotaire appostollicque, licentié en la saincte theologie, chanoisne de l'eglise cathedralle d'Anvers et chappellain de » leur « oratoire ». 20 septembre 1617 (sic). Copie ; « Aultre copie ». Acte portant que lesdits archiducs ont commis « François de Kinschot, conseillier et greffier de leurs finances » à l'effet de « proceder et entendre soigneusement et diligemment à reveoir et visiter le dernier inventoire desdicts livres, et l'ampliant de tout ce qui, depuis la confection d'icelluy, a esté de plus mis ès mains dudict Riebeke ; recepvoir le renseignement qu'il en fera, et proceder au renouvellement dudict inventoire, faire delivrance pertinente desdicts livres ès mains dudict Miraeus, signer et veriffier ledict inventoire et le faire signer par ledict Miraeus, luy delaissant ung double dudict inventoire... ». Bruxelles, 22 septembre 1617 ; « Ampliation de l'inventoire precedent, faict en janvier 1618, par François de Kirschot », contenant l'indication des livres entrés dans la librairie de la cour depuis la confection dudit precedent inventaire, le tout remis par ledit Kinschot audit Aubertus Miraeus, qui en donne reçu à la fin de ladite ampliation, le 31 janvier 1618. Copie collationnée
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Contient : 1 « Instruction à monseigneur de Boissize, s'en allant en Allemagne... Faict à Paris, le XXIXe decembre 1609 » ; 2 « Instruction baillée au sieur baron Du Tour, s'en allant en Angleterre ambassadeur extraordinaire... Faict à Paris, le XIXe jour de decembre 1605 » ; 3 « Instruction baillée au sieur de La Boderie, s'en allant en Angleterre, au mois de decembre 1609 » ; 4 « Instruction baillée à monseigneur de Bouillon, s'en allant en Angleterre, au mois d'avril 1612 » ; 5 « Instruction baillée à monsieur le mareschal de Lavardin, au mois de decembre 1610 » ; 6 « Instruction baillée à monsieur de Vaucelas, s'en allant ambassadeur en Espagne, au mois d'aoust 1609 » ; 7 « Instruction baillée à monsieur le duc de Mayenne, s'en allant en Espagne, au mois de juin 1612 » ; 8 « Instruction baillée à monseigneur de Puisieux, s'en allant en Espagne, au mois de juillet 1612 » ; 9 « Instruction baillée à monseigneur de Berny, au mois d'octobre 1604 » ; 10 « Instruction pour le sieur de Preaux, s'en allant resider en Flandre, au mois de mars 1611 » ; 11 et 12 Deux instructions « à monseigneur de Barrault, s'en allant en Savoye, au mois de febvrier 1611 » ; 13 « Instruction baillée à monsieur de Bullion, s'en allant en Piedmont, au mois de mars 1609 » ; 14 et 15 Deux instructions à « monsieur de Bullion, s'en allant en Piedmont, en avril 1610 » ; 16 « Instruction baillée à monseigneur le cardinal de La Rochefoucault,... s'acheminant à Rome... au mois d'octobre 1609 » ; 17 « Instruction à monsieur de Caumartin, s'en allant resider ambassadeur en Suisse, en decembre 1604 » ; 18 « Instruction baillée à monseigneur Ancel, allant en Allemagne, au mois d'avril 1612 » ; 19 « Instruction à monsieur de Leon, s'en allant ambassadeur à Venize, le XXVII octobre 1611 » ; 20 « Instruction baillée à monseigneur le baron de Sancy,... ambassadeur en la Porte, le XXVIII avril 1611 » ; 21 « Instruction à monseigneur de La Clielle, allant à Mantoue, au mois de mars 1611 » ; 22 « Instruction baillée au secretaire Gueffier, s'en allant à Mantoue, au mois de juin 1613 » ; 23 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Coeuvre, s'en allant à Mantoue, au mois de decembre 1613 » ; 24 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Tresnel, s'en allant ambassadeur à Rome, au mois d'avril 1614 » ; 25 « Instruction baillée à monseigneur de Refuge, s'en allant aux Païs Bas, au mois d'aoust 1614 » ; 26 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Rambouillet, s'en allant en Savoye, au mois de septembre 1614 » ; 27 « Instruction baillée à M. Paschal, s'en allant ambassadeur pour Sa Majesté aux trois ligues grises, le XXIXe jour de novembre 1604 » ; 28 « Instruction baillée à monseigneur de Nevers, s'en allant à Rome, le XXe septembre 1608 » ; 29 « Instruction baillée à monseigneur Desmarest, s'en allant ambassadeur en Angleterre, au mois de juillet 1615 » ; 30 « Instruction seconde baillée à monseigneur de Nevers, s'en allant à Rome, en septembre 1608 » ; 31 « Instruction à monseigneur l'archevesque de Lyon, s'en allant à Rome, au mois de juin 1617 » ; 32 « Instruction baillée à monseigneur de Sceaulx, s'en allant en Espagne, au mois de septembre 1617 » ; 33 « Instruction baillée à monseigneur de Modene, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Piedmont, au mois de janvier 1618 » ; 34 « Instruction baillée à monseigneur Miron, s'en allant ambassadeur en Suisse, au mois de may 1617 » ; 35 « Instruction baillée à monseigneur Denan, secretaire Angusse, s'en allant en Levant, au moys de may 1618 » ; 36 « Instruction baillée à monseigneur de Boissize, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Hollande, au mois de juillet 1618 » ; 37 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Coeuvre, s'en allant ambassadeur ordinaire à Rome, au mois de novembre 1618 » ; 38 « Instruction baillée à M. de Bullion, s'en allant en Piedmont, au mois d'octobre 1609 » ; 39 « Instruction baillée à monseigneur le marquis de Tresnel, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Angleterre, au mois d'avril 1609 » ; 40 « Instruction baillée à monseigneur le comte de Tilliers, s'en allant ambassadeur ordinaire en Angleterre, au mois d'aoust 1619 » ; 41 « Instruction baillée à monseigneur de Fargis, s'en allant ambassadeur ordinaire en Espagne, au mois de febvrier 1620 » ; 42 « Instruction à messieurs le duc d'Angoulesme, de Bethune et de Preaux, s'en allant ambassadeurs extraordinaires en Allemagne, au mois de may 1620 » ; 43 « Instruction baillée à monseigneur de Villiers, s'en allant ambassadeur ordinaire à Venize, au mois de may 1620 » ; 44 « Instruction baillée à monseigneur le mareschal de Cadenet, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Angleterre, au mois de decembre 1620 » ; 45 « Instruction baillée à monseigneur de Bassompierre, s'en allant ambassadeur extraordinaire en Espagne, au mois de febvrier 1621 » ; 46 « Instruction baillée à monseigneur de Montolon, s'en allant ambassadeur extraordinaire aux Grisons, au mois de mars 1621 » ; 47 « Instruction à monseigneur le commandeur de Sillery, s'en allant ambassadeur à Rome, en l'an 1622 » ; 48 « Instruction au Sr d'Halincourt, chevalier des ordres du roy et capitaine de cent hommes d'armes de ses ordonnances, allant devers nostre St pere le pape, par le commandement de Sa Majesté »
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Contient : 1 « Monuments et titres de l'abbaye de Fontenay, diocese de Bayeux » ; a « Excerpta e cartulario abbatiae Sti Stephani, protomartyris, de Fontaneto ». En latin ; b « Antiquités qui se trouvent dans l'abbaye de Fontenay, à deux lieues de Caen ». Dessins à la plume et au lavis. On y voit les « armes de Pierre Du Val, evesque de Seez, qui assista au concile de Trente et fut premier abbé commendataire de Fontenay » (fol. 62) ; « les armes des Tessons, fondateurs de lad. abbaye » (fol. 62) ; la composition tombale en briques sur laquelle est représentée «... ude de Brucourt, fame de mons. Raout Tesson, seignour de Saint Vaut et de Fontana » (fol. 63) ; une « histoire » macabre (fol. 64) ; « Raout Teccon » en pied (fol. 65) ; la composition tombale en briques sur laquelle est représenté un chevalier armé (fol. 65) ; la composition tombale en briques sur laquelle est représenté « dam Guillaume de Croisilles, jadis rectour de Saint Martin de Salon, pour une portion, qui trespassa l'an MCCCXL, le samedi avant Noel » (fol. 65) ; quatre tombeaux sans noms (fol. 66-7) ; 2 « Abbaye de Barbery » ; a Notice sur l'origine de cette abbaye et liste de ses abbés, depuis « Radulphe », premier abbé, jusqu'à « Pierre Du Poisson », 31e abbé ; b « Nons des anciennes familles qui ont aumosné des biens à lad. abbaye » ; c Transcription de la charte de fondation, rédigée, en 1181, au nom de Robert de Marmion. En latin ; 3 Villedieu ; a Transcription d'un acte par lequel RICHARD COEUR DE LION, roi D'ANGLETERRE, donne à la « maison et hospital de Jerusalem » tout le domaine qui lui appartenait à Villedieu, donation faite l'an Ve de son règne et confirmée en novembre 1209 par PHILIPPE AUGUSTE, roi DE FRANCE. Traduit du latin ; b Transcription des « statuts du mestier de poeslerie du bourg de Villedieu », confirmés par CHARLES VI et par CHARLES VII ; 4 « Abbaye d'Aulnay » ; a Transcription d'un acte du roi JEAN, alors qu'il n'était que duc DE NORMANDIE, par lequel il vidime, en faveur de l'abbaye d'Aulnay, deux actes en latin, le premier de HENRI II, roi D'ANGLETERRE, le second de RICHARD COEUR DE LION, fils dudit Henri, concernant les libéralités accordes par Henri II à Richard Du Hommet, et confirmées à Guillaume Du Hommet, fils dudit Richard Du Hommet, par Richard Coeur de Lion. 1348 ; b « Coppie d'une chartre de RICHARD DU HOMMET pour l'abbaye d'Aulnay ». En latin ; c Transcription d'une charte de HENRI II, roi D'ANGLETERRE, confirmant les donations faites à l'abbaye d'Aulnay. En latin ; d Autre confirmation accorde par le même roi à la même abbaye. En latin. Copie ; 5 Vire ; a « Armes qui sont à l'eglise parroissiale de Vire, diocese de Bayeux » ; b « Extrait d'un des comptes du tresor de l'eglize de Vire », concernant les dgâts commis en l'église de Notre-Dame de Vire, le 1er septembre 1568, par l'armée du « comte de Mongommery ». Ce compte est daté du 1er août 1569 ; 6 « Monuments et titres de l'abbaye de Trouart, diocese de Bayeux » ; a « Coppie de la premiere chartre de fondation de l'abbaye de Trouard par ROGER DE MONGOMMERY ». En latin ; b « Coppie de la seconde chartre de fondation de l'abbaye de Trouard », par le même. En latin ; c « Coppie de chartre de confirmation de GUILLAUME, roy D'ANGLETERRE, des biens donnés à l'abbaye de Trouard en 1068 ». En latin ; d « Bulle du pape INNOCENT IV, donnée l'an Xe de son pontificat, à l'abbé de Troarn ». En latin. Copie ; e « Bulle de GREGOIRE Xe ». En latin. Copie ; f Bulle du pape MARTIN. En latin. Copie ; g « Extraits tirés des archives de l'abbaye de Trouard » depuis la fondation jusqu'en 1320 ; h « Extraits curieux tirés de l'ancien cartulaire de l'abbaye de Trouard, pour faire voir son ancienne fondation ». En latin ; i « Coppie, tirée du chartrier de l'abbaye de Trouard, de reglements et privileges pour la province de Normandie, faits par LOUIS X, roy de France, en l'année 1314 » ; j « Liste des abbez de l'abbaye de S. Martin de Troarn... depuis sa fondation » jusqu'en 1677 ; k « Formule des professions religieuses de l'abbaie de Trouart, conformes à celle de l'ancien pontifical romain : Ego LUDOVICUS D'ARLENGES, offerens trado meipsum monasterio S. Martini de Troarno... ». En latin. Copie ; l « Patronnage de Reville ». Recueil de copies de pièces concernant le prieuré de Réville du XIe au XVIIe siècle. En latin et en français ; m Copie d'une charte de S. LOUIS, roi de FRANCE, confirmant un échange conclu entre l'abbaye de S. Martin de Troarn et le monastère de « Briwtonia » en Angleterre. Vincennes, août 1261. En latin ; n Suite du recueil d'extraits et de copies de pièces concernant le patronage de Réville, XIIIe-XVIIIe siècles. En latin et en français ; 7 Extraits concernant l'abbaye de Lessay, tirés du « Livre noir » de ladite abbaye. XIIe siècle. En latin ; 8 Monuments de l'abbaye de Troarn. Dessins à la plume et au lavis. On y voit le « tombeau de Guillaume de Silly, abbé en 1484 » (fol. 199) ; l'épitaphe en latin d'Etienne Bureau, prieur de Troarn, mort en 1640 (fol. 200) ; le « tombeau d'Anthoine Brunfer, abbé de Trouart » (fol. 201) ; les épitaphes en latin de Mathurin de Harville, ancien abbé de Troarn, mort en 1584, et dudit Antoine Brunfer, appelé dans l'epitaphe de Brunfay, mort en 1618 (fol. 202) ; une pierre tombale, avec figure couchée, sans nom (fol. 203) ; le « tombeau de la contesse Mabille, fondatrice de l'abbaye de Trouart » (fol. 204) ; la pierre tombale où est représenté « Monsieur Giesse Le Metar, qui trespassa l'an 1331 » (fol. 205) ; la pierre tombale de Guillaume Graverant, abbé, dcéd en 1385, sur laquelle est gravée une main tenant une crosse d'abbé (fol. 206) ; la pierre tombale de Nicolas Auberi, dcéd en 1399, sur laquelle est gravée une main tenant une crosse d'abbé (fol. 207) ; la pierre tombale sans figure de « Gougeul, clerc, qui trespassa l'an » 1330 (fol. 208) ; une pierre tombale sur laquelle est figuré un guerrier avec la légende gravée au-dessus de sa tête : « Hic jacet Radulfus de Mellant, miles et dominus de Corseulle » (fol. 209) ; pierre tombale sur laquelle est représenté un guerrier, avec la légende gravée : « Hic jacet Willelmus de Angrelle, miles, qui obiit anno Domini 1309 » (fol. 210) ; 9 Acte par lequel Guillaume, abbé de N.-D. d'Ardenne, confirme en 1408, les actes par lesquels, en 1238 et en 1304, les « fevres de Caen » avaient été reçus « en freres et participans » des « oraisons » et « benefices » tant de l'abbaye d'Ardenne que de toutes les autres de l'ordre de Prémontré ; 10 « Monuments de l'abbaye du Mont-Saint-Michel, diocèse d'Avranches, et mémoires pour servir à l'histoire du mesme monastère » ; a Description de nombreux écussons parmi lesquels 47 sont figurés dans le corps même du texte de la description, la plupart très bien peints, quelques-uns seulement dessinés à l'encre. En dehors des écussons on a représenté dans cette description deux tombeaux : celui de « Jean de Lamps, dernier abé religieux, mort en 1523 », et celui de Guillaume de Lamps, son frère. On y trouve également une pièce rapportée, en parchemin, sur laquelle est représenté S. François d'Assise. Au dos de cette pièce on lit : « Cette figure a esté coppiée après une petitte statue de careau de Caen, qui est au cloistre du Mont-S.-Michel » ; b Petite notice des principales chartes des archives de l'abbaye ; c « Ensuit le nombre des gentilshommes, lesquels avec le sieur d'Etoutevile, capitaine du Mont-St-Michel, garderent ladite place contre la puissance des Anglois, lesquels pour lors occupoient toute Normandie, au reste d'icelle place ; lesd. noms prins et recueillis en une suitte d'armes anciennes, laquelle fust minse en l'an 1427 par lesdits gentilshommes, estant aud. lieu du Mont, devant l'autel S. Sauveur, en l'abbaye dud. lieu. Et y sont les noms et armes de 119 gentilhommes, en 8 lignes » ; d Transaction entre Thomas de S.-Jean et l'abbé du Mont-S.-Michel : « Notum sit... quod Thomas de S. Johanne, incepto castello suo apud S. Johannem, cepit nemora... ». En latin. Copie ; e Don de la terre de Verson par le duc RICHARD : « In nomine sanctae et individuae Trinitatis, Patris et Filii et Spiritus Sancti. Inter caetera bene agenda... » En latin. Copie ; f Note sur le cartulaire noir et sur le cartulaire blanc de l'abbaye, avec la copie de la pièce par laquelle se termine le cartulaire blanc, qui est une « lettre missive envoiée par GABRIEL LE MARMAIS, capitaine du Mont-S.-Michel, aux gens et officiers du roy à Avranches », concernant une contestation entre lui et l'abbé du Mont, au sujet du droit de taxer les vivres qui entrent dans la ville, lettre suivie du jugement rendu ès assises d'Avranches, le 28 nov. 1499, sur cette contestation ; g Lettre autographe signée « DE MOIDRE » et adressée de « Pontorson, le 9 novembre 1704 », à l'intendant Foucault ; h Lettre autographe signée « le prieur du Mont Saint Michel » et adressée à l'intendant Foucault de « Pontorson, ce 20e octobre 1703 » ; i Lettre autographe signée « DE LA BENSERIE » et adressée de Coutances, le 29 août 1704, à l'intendant Foucault ; j Note concernant quelques points du cartulaire noir ; k Autre copie de la charte indiquée plus haut sous la cote e ; l Copie de la charte par laquelle « GONOR » abandonne son fief de Breteville à l'abbaye du Mont-S.-Michel. En latin ; 11 « Abbaye de La Luzerne, ordre de Premontré, diocese d'Avranches » ; a « Nomina quorumdam virorum illustrium praecedentium saeculorum », liste en latin ; b « Extractum necrologii abbatiae sanctissimae Trinitatis de Lucerna, ab anno 1143°, tempore quo fundata fuit Lucerna », extrait en latin ; c Histoire abrégée des abbés de La Luzerne ; d « Monuments de l'abbaye de La Luzerne », notice de 6 tombeaux ; 12 « Passion de Nostre-Seigneur par Nicodeme, copiée sur un manuscrit qui est dans l'abaye de Savigny, eslection de Mortain », récit apocryphe en latin
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‘The Father of Canadian Transportation’ is a term commonly associated with William Hamilton Merritt. Although he is most known for being one of the driving forces behind the building of the first Welland Canal, he was many things throughout his life; a soldier, merchant, promoter, entrepreneur and politician to name a few. Born on July 3, 1793 at Bedford, Westchester County, N.Y. to Thomas Merritt and Mary Hamilton, Merritt’s family relocated to Canada shortly after in 1796. The move came after Merritt’s father petitioned John Graves Simcoe for land in Upper Canada after serving under him in the Queen’s Rangers during the American Revolution. The family quickly settled into their life at Twelve Mile Creek in St. Catharines. Merritt’s father became sheriff of Lincoln County in 1803 while Merritt began his education in mathematics and surveying. After some brief travel and further education Merritt returned to Lincoln County, in 1809 to help farm his father’s land and open a general store. While a farmer and merchant, Merritt turned his attention to military endeavours. A short time after being commissioned as a Lieutenant in the Lincoln militia, the War of 1812 broke out. Fulfilling his duty, Merritt fought in the Battle of Queenston Heights in October of 1812, and numerous small battles until the Battle of Lundy’s Lane in July 1814. It was here that Merritt was captured and held in Cheshire, Massachusetts until the war ended. Arriving back in the St. Catharines area upon his release, Merritt returned to being a merchant, as well as becoming a surveyor and mill owner. Some historians hypothesize that the need to draw water to his mill was how the idea of the Welland Canals was born. Beginning with a plan to connect the Welland River with the Twelve mile creek quickly developed into a connection between the Lakes Erie and Ontario. Its main purpose was to improve the St. Lawrence transportation system and provide a convenient way to transport goods without having to go through the Niagara Falls portage. The plan was set in motion in 1818, but most living in Queenston and Niagara were not happy with it as it would drive business away from them. Along with the opposition came financial and political restraints. Despite these factors Merritt pushed on and the Welland Canal Company was chartered by the Upper Canadian Assembly on January 19, 1824. The first sod was turned on November 30, 1824 almost a year after the initial chartering. Many difficulties arose during the building of the canal including financial, physical, and geographic restrictions. Despite the difficulties two schooners passed through the canal on November 30, 1829. Throughout the next four years continual work was done on the canal as it expended and was modified to better accommodate large ships. After his canal was underway Merritt took a more active role in the political arena, where he served in various positions throughout Upper Canada. In 1851, Merritt withdrew from the Executive Council for numerous reasons, one of which being that pubic interest had diverted from the canals to railways. Merritt tried his hand at other public works outside transportation and trade. He looked into building a lunatic asylum, worked on behalf of War of 1812 veterans, aided in building Brock’s monument, established schools, aided refugee slaves from the U.S. and tried to establish a National Archives among many other feats. He was described by some as having “policy too liberal – conceptions too vast – views too comprehensive to be comprehensible by all”, but he still made a great difference in the society in which he lived. After his great contributions, Merritt died aboard a ship in the Cornwall canal on July 5, 1862. Dictionary of Canadian Biography Online http://www.biographi.ca/EN/ShowBio.asp?BioId=38719 retrieved October 2006 Today numerous groups carry on the legacy of Merritt and the canals both in the past and present. One such group is the Welland Canals Foundation. They describe themselves as: “. . . a volunteer organization which strives to promote the importance of the present and past Welland Canals, and to preserve their history and heritage. The Foundation began in 1980 and carries on events like William Hamilton Merritt Day. The group has strongly supported the Welland Canals Parkway initiative and numerous other activities”. The Welland Canals Foundation does not work alone. They have help from other local groups such as the St. Catharines Historical Society. The Society’s main objective is to increase knowledge and appreciation of the historical aspects of St. Catharines and vicinity, such as the Welland Canals. http://www.niagara.com/~dmdorey/hssc/dec2000.html - retrieved Oct. 2006 http://www.niagara.com/~dmdorey/hssc/feb2000.html - retrieved Oct. 2006
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In March 1931, Captain Bruce Angus was sent to Sarnia by Gordon C. Leitch, general manager of Toronto Elevators. He was sent to inspect the Sarnian to ensure it was still seaworthy. Leitch was a savvy business man, who had been active in the business community for a number of years. Leitch began his career with a partner in the lumber business. When that went under he moved into graineries and worked for the Winnipeg Wheat Pool for 12 years. After Winnipeg he moved to Toronto, which was closer to his home town of Ridgetown, Ontario. In Toronto Leitch became manager of the Toronto branch of the Canadian Wheat Pool. While managing the wheat pools in Toronto Leitch became aware of huge costs associated with shipping the grains from the praries into the Toronto area. He felt that there was no need for such costs and decided to do something to make them better and cheaper for the business. Originally the grain was loaded onto Lakers that would bring the grain from the praries to Lake Huron and Georgian Bay. It was stored there until needed by the Toronto graineries and then hauled across land by either truck or train. The land journey was the most expensive and the one which Leitch wanted to eliminate. This was a fine plan except for 2 obstacles that were quickly overcome. First of all the Welland canals were not large enough to accommodate the large carriers that were bringing in the grain. This was changing as the expansion and widening of the canals was already underway. The second issue was the lack of storage in Toronto for the grain. The grain elevators had been destroyed by fire in the late 1880s and never replaced. Leitch propsed his company built its own storage elevators along the water front to allow not only for easier access to the grain, and more timely production of products. The elevators would aslo create a reduction in shipping costs and an overall more competitoive price for the customers of the grainery. The company refused, so Leitch went elsewhere to friends and contacts within the grain industry. The elevators were built and Leitch quit his job with the Canadian Wheat Pool and became the general manager of the elevators. Although the elevators were built and ready for storage the next issue was filling them. None of the carriers wanted to do business with Leitch because the competition in Georgian Bay threatened to cancel their contracts if they did. Leitch saw no way around this, but to provide his own transportation. This is when he sent Captain Bruce Angus to scout out potential ships. The ship was purchased for $37,000 and after another $30,000 was spent to fix it up, it was ready for business. The need for transportation and the finding of a seaworthy ship, lead to the beginnings of the Northland Steamship Company. The Sarnian proved to not be enough for the business underway. Leitch decided another ship was necessary. He joined forces with James Norris the owner of the Norris Grain Company. He proposed they join forces to create a more economical means of transportating their products.
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Ontario Hydro map of the St. Lawrence Power Project General Plan, n.d.
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Les sédiments sont des sites importants délimination dazote (N) puisqu’ils possèdent des gradients doxydoréduction leur conférant les conditions idales pour les réactions microbiennes de transformation de N. L’eutrophisation des régions côtières peut altérer ces gradients, par des changements dans la concentration doxygène (O2) de l’eau interstitielle, et modifier l’importance relative des processus transformant le N. Afin de mieux comprendre comment l’O2 pourrait influencer les transformations de N, nous avons mesuré les flux diffusifs de diazote (N2), nitrate (NO3-), oxygène et ammonium (NH4+) dans les sédiments de l’Estuaire Maritime du St-Laurent (EMSL), et nous avons estimé les taux de dnitrification. L’importance du couple nitrification-dnitrification en fonction dun gradient de concentrations dO2 dans la zone dhypoxie de l’EMSL fut aussi évaluée. La concentration des gaz dissous fut mesurée en utilisant une nouvelle approche dveloppée dans cette étude. Les flux diffusifs de N2, O2, NO3- et NH4+ variaient de 5.5 à 8.8, de -37.1 à -84.8, de -4.0 à -5.8 et de 0.6 à 0.8 μmol N m-2 h-1 respectivement. Les concentrations de N2 et NO3- dans l’eau porale et les flux de NO3- et de N2 des sédiments, suggèrent que la diffusion de NO3- provenant de l’eau à la surface des sédiments ne peut pas expliquer par elle-même la production de N2 observée. En utilisant une approche stoichiométrique, les taux de nitrification potentielle estimés comptent pour 0.01 à 52% du flux total de NO3 nécessaire pour aboutir aux flux de N2 observés et diminuent avec l’augmentation de l’hypoxie.
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Cette thèse examine les impacts sur la morphologie des tributaires du fleuve Saint-Laurent des changements dans leur dbit et leur niveau de base engendrés par les changements climatiques prévus pour la période 2010–2099. Les tributaires sélectionnés (rivières Batiscan, Richelieu, Saint-Maurice, Saint-François et Yamachiche) ont été choisis en raison de leurs différences de taille, de dbit et de contexte morphologique. Non seulement ces tributaires subissent-ils un régime hydrologique modifié en raison des changements climatiques, mais leur niveau de base (niveau deau du fleuve Saint-Laurent) sera aussi affecté. Le modle morphodynamique en une dimension (1D) SEDROUT, à l’origine dveloppé pour des rivières graveleuses en mode daggradation, a été adapté pour le contexte spécifique des tributaires des basses-terres du Saint-Laurent afin de simuler des rivières sablonneuses avec un dbit quotidien variable et des fluctuations du niveau deau à l’aval. Un module pour simuler le partage des sédiments autour dîles a aussi été ajouté au modle. Le modle ainsi amélioré (SEDROUT4-M), qui a été testé à l’aide de simulations à petite échelle et avec les conditions actuelles découlement et de transport de sédiments dans quatre tributaires du fleuve Saint-Laurent, peut maintenant simuler une gamme de problèmes morphodynamiques de rivières. Les changements délévation du lit et dapport en sédiments au fleuve Saint-Laurent pour la période 2010–2099 ont été simulés avec SEDROUT4-M pour les rivières Batiscan, Richelieu et Saint-François pour toutes les combinaisons de sept régimes hydrologiques (conditions actuelles et celles prédites par trois modles de climat globaux (MCG) et deux scénarios de gaz à effet de serre) et de trois scénarios de changements du niveau de base du fleuve Saint-Laurent (aucun changement, baisse graduelle, baisse abrupte). Les impacts sur l’apport de sédiments et l’élévation du lit diffèrent entre les MCG et semblent reliés au statut des cours deau (selon qu’ils soient en état daggradation, de dgradation ou déquilibre), ce qui illustre l’importance dexaminer plusieurs rivières avec différents modles climatiques afin détablir des tendances dans les effets des changements climatiques. Malgré le fait que le dbit journalier moyen et le dbit annuel moyen demeurent près de leur valeur actuelle dans les trois scénarios de MCG, des changements importants dans les taux de transport de sédiments simulés pour chaque tributaire sont observés. Ceci est d à l’impact important de fortes crues plus fréquentes dans un climat futur de même qu’à l’arrivée plus hâtive de la crue printanière, ce qui résulte en une variabilité accrue dans les taux de transport en charge de fond. Certaines complications avec l’approche de modlisation en 1D pour représenter la géométrie complexe des rivières Saint-Maurice et Saint-François suggèrent qu’une approche bi-dimensionnelle (2D) devrait être sérieusement considrée afin de simuler de façon plus exacte la répartition des dbits aux bifurcations autour des îles. La rivière Saint-François est utilisée comme étude de cas pour le modle 2D H2D2, qui performe bien dun point de vue hydraulique, mais qui requiert des ajustements pour être en mesure de pleinement simuler les ajustements morphologiques des cours deau.
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Ayant recours aux théories de la «surconscience linguistique», du «choc des langues» et des «zones de contact» telles que dveloppées par Lise Gauvin, Sherry Simon et Catherine Leclerc, ce mémoire a pour objectif de dvelopper une littérature montréalaise activée par la langue et les langues dans un contexte contemporain. S'inspirant des dbats entourant la littérature anglo-québécoise, et la place accorde à l'imaginaire anglo-montréalais et à ses représentants dans l'histoire, deux romans sont analysés du point de vue des langues : La logeuse d'Eric Dupont et Heroine de Gail Scott. À la lumière d'une interdiction formulée par Gilles Marcotte dans « Neil Bissoondath disait… », célèbre brûlot qui prohibe l’analyse conjointe des littératures de langue française et anglaise, l'approche adoptée dans ce mémoire vise par l'intermédiaire des romans à dpasser les propos de Marcotte afin de créer une spécificité montréalaise orientée par des préoccupations linguistiques. Ce mémoire dmontre que les propos de Gilles Marcotte sont intenables dans le contexte actuel où les langues ne sont plus une source de division, mais bien un prétexte à joindre dans un propos qui les englobe et les dpasse les corpus de langue anglaise et française dans le contexte montréalais. La logeuse et Heroine témoignent d'un imaginaire et de préoccupations linguistiques comparables et de ce fait, permettent de dfinir les contours d'une littérature montréalaise activée par les langues. Enfin, ce mémoire se questionne sur l'équation entre langue et culture, mais également entre littérature et culture afin qu'une langue montréalaise, à l'instar d'une littérature montréalaise, prenne forme.
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Dans notre étude, nous cherchons à dmontrer qu'Arthur Buies se présente comme le témoin d'une forme de modernité dans ses chroniques sur les régions qui sont publiées dans les années 1870 dans divers journaux puis rassemblées en trois recueils. En effet, nous nous appuyons sur l'ide qu'il observerait sensiblement les mêmes traits dans ses chroniques rurales que dans ses chroniques urbaines. Nous pensons aussi que les postures littéraires (Jérôme Meizoz) qu'il adopte permettent à Buies de transmettre - de manière formelle - sa vision de la modernité. Au terme de la recherche, il ressort que Buies, conscient de ce qu'est la modernité, juge qu'elle ne se trouve pas inéluctablement dans les villes. Pour lui, Paris et San Francisco sont modernes, alors que Québec ne l'est pas. De plus, pour lui, il existe bel et bien une forme de modernité dans les chroniques rurales, puisqu'il y observe sensiblement les mêmes traits que ceux qu'il relevait dans ses chroniques sur Paris et San Francisco. Aussi, Buies est-il convaincu que la colonisation au Québec stagne. Il en vient à ce constat lorsqu'il la compare à celle se produisant simultanément aux États-Unis. Toutefois, il remarque un certain progrès au cours de la dcennie, insuffisant, selon lui, pour compenser l'absence de chemin de fer sur la rive nord du Saint-Laurent. Nous concluons, à partir de nos analyses, que les postures littéraires que Buies choisit - particulièrement celle du flâneur et celle du géographe - lui permettent de véhiculer les traits de la modernité dans l'écriture même de ses chroniques.
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This dissertation examines gendered fictional dialogue in popular works by D.H. Lawrence, Ernest Hemingway and E.M. Forster, including Howards End (1910), The Sun Also Rises (1926) and Lady Chatterley’s Lover (1928). I apply Judith Halberstam’s notion of female masculinity to direct speech, to explore how speech traits inform modernist literary aesthetics. My introduction frames this discussion in sociolinguistics, Judith Butler’s theory of performativity, M.M. Bakhtin’s discourse theory, and gender studies. It provides an opportunity to establish experimental dialogue techniques, and the manipulation of gendered talk, in transgressive texts including James Joyce’s Ulysses (1922), Virginia Woolf’s Orlando (1928) and Radcyffe Hall’s The Well of Loneliness (1928). The first chapter discusses taboos and dialect in D.H. Lawrence’s fictional dialogue. The second chapter establishes gender subversion as a crucial element in Ernest Hemingway’s dialogue style. The third chapter contrasts Forster’s latently gendered speech with his techniques of dialect emphasis and dialect suppression. Finally, my conclusion discusses gender identity in the poetry of Dorothy Parker and Baroness Elsa von Freytag Loringhoven, and the temporality of gender in “Time Passes” from Virginia Woolf’s To the Lighthouse (1927). New Woman characters like Lady Brett Ashley typified a crucial moment in women’s liberation. They not only subverted stereotypes of womanhood through their dress or sexual freedom, they also adopted/adapted masculine idiom to shock, to rebel against and challenge male dominance. Different speech acts incited fashionable slang, became a political protest symbol or inspired psychoanalytic theory. The intriguing functions of women’s masculine speech in early twentieth century fiction establishes the need to examine additional connections between gender and talk in literary studies.
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[ 1] The local heat content and formation rate of the cold intermediate layer (CIL) in the Gulf of Saint Lawrence are examined using a combination of new in situ wintertime observations and a three-dimensional numerical model. The field observations consist of five moorings located throughout the gulf over the period of November 2002 to June 2003. The observations demonstrate a substantially deeper surface mixed layer in the central and northeast gulf than in regions downstream of the buoyant surface outflow from the Saint Lawrence Estuary. The mixed-layer depth in the estuary remains shallow (< 60 m) throughout winter, with the arrival of a layer of near-freezing waters between 40 and 100 m depth in April. An eddy-permitting ice-ocean model with realistic forcing is used to hindcast the period of observation. The model simulates well the seasonal evolution of mixed-layer depth and CIL heat content. Although the greatest heat losses occur in the northeast, the most significant change in CIL heat content over winter occurs in the Anticosti Trough. The observed renewal of CIL in the estuary in spring is captured by the model. The simulation highlights the role of the northwest gulf, and in particular, the separation of the Gaspe Current, in controlling the exchange of CIL between the estuary and the gulf. In order to isolate the effects of inflow through the Strait of Belle Isle on the CIL heat content, we examine a sensitivity experiment in which the strait is closed. This simulation shows that the inflow has a less important effect on the CIL than was suggested by previous studies.
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Mostly because of a lack of observations, fundamental aspects of the St. Lawrence Estuary's wintertime response to forcing remain poorly understood. The results of a field campaign over the winter of 2002/03 in the estuary are presented. The response of the system to tidal forcing is assessed through the use of harmonic analyses of temperature, salinity, sea level, and current observations. The analyses confirm previous evidence for the presence of semidiurnal internal tides, albeit at greater depths than previously observed for ice-free months. The low-frequency tidal streams were found to be mostly baroclinic in character and to produce an important neap tide intensification of the estuarine circulation. Despite stronger atmospheric momentum forcing in winter, the response is found to be less coherent with the winds than seen in previous studies of ice-free months. The tidal residuals show the cold intermediate layer in the estuary is renewed rapidly ( 14 days) in late March by the advection of a wedge of near-freezing waters from the Gulf of St. Lawrence. In situ processes appeared to play a lesser role in the renewal of this layer. In particular, significant wintertime deepening of the estuarine surface mixed layer was prevented by surface stability, which remained high throughout the winter. The observations also suggest that the bottom circulation was intensified during winter, with the intrusion in the deep layer of relatively warm Atlantic waters, such that the 3 C isotherm rose from below 150 m to near 60 m.