974 resultados para Karl Polanyi, performativité, désencastrement, réalisme
Resumo:
no.11(1929)
Resumo:
v.10:no.1(1945)
Resumo:
v.8:no.1(1940)
Resumo:
v.39:no.10(1957)
Resumo:
v.8:no.11(1944)
Resumo:
no.12(1930)
Resumo:
v.4:no.8(1931)
Resumo:
L'objectif de cet article est de revenir sur un point saillant de la théorie de la performativité des énoncés économiques, c'est-à-dire l'importance qu'elle accorde aux dispositifs techniques dans l'explication de l'influence des théories économiques sur le monde social. Cette démarche débouche sur le refus de mobiliser les catégories sociales (institution, convention, norme sociale, etc.) dans les explications qu'elle produit. On soulignera ici l'origine de cette posture épistémologique, la théorie de l'acteur-réseau, avant d'en faire la critique. On montrera principalement que penser les dispositifs techniques nécessite impérativement de les penser au sein d'un contexte conventionnel particulier. Dès lors, le rejet des catégories sociales est épistémologiquement contre-productif dans les études de performativité
Resumo:
Karl Barth (1886-1968) est sans nul doute l'un des géants de la théologie chrétienne du XXe siècle, toutes confessions confondues. À l'instar de ses plus prestigieux modèles - un saint Augustin, un Luther notamment -, c'est dans le corps à corps avec les Écritures saintes, singulièrement avec l'épître de Paul aux Romains, qu'il s'est forgé une conception originale de la pensée chrétienne et qu'il a bouleversé la situation religieuse et théologique de son temps. « Révolutionnaire » dans sa manière de vouloir congédier les théologies libérales du XIXe siècle et de contester en son principe toute forme de complicité du christianisme avec la monde profane ou même avec la modernité, le jeune Barth, celui des années 20, s'est peu à peu transformé en un imposant professeur de dogmatique et en un auteur universellement admiré, étudié, discuté, critiqué. Sa monumentale « Kirchliche Dogmatik », publiée de 1932 à 1968, inachevée, est devenue une référence, aussi bien à l'intérieur du protestantisme que pour le catholicisme romain, comme l'a montré son influence croissante sur des auteurs comme Balthasar, Bouillard et Küng et sur un certain nombre de Pères conciliaires à Vatican II. Le propos de cet ouvrage est de rompre avec les clichés et les idées reçues qui entourent la plupart du temps l'oeuvre multiforme de Barth. Barth y apparaît en permanente recherche, ouvert aux enjeux de la culture et de la société civile, en dialogue critique, certes, mais également très réceptif avec les courants de la modernité et en prise avec l'actualité politique - contre la guerre en 1918, contre le nazisme en 1933-1945, contre la bombe atomique et l'impérialisme américain à la fin de sa vie. L'éthique - individuelle, mais aussi sociale et politique - joue une place centrale dans sa pensée, elle est loin de se réduire à un simple appendice de la dogmatique. Un survol très large de la réception internationale de Barth permet de mesurer l'écho intellectuel et oecuménique considérable de cette théologie en mouvement. Le choix de textes proposé à la fin de l'ouvrage mêle des passages devenus classiques à des aperçus dérangeants et détonnants de l'existence théologique, éthique, politique et culturelle de Barth.
Resumo:
Référence bibliographique : Rol, 54219
Resumo:
Cet article traite d'un problème de métaéthique : la question de la possibilité du réalisme moral. Nous aborderons cette question à partir de ce que nous appellerons le point de vue du philosophe scientifique. L'objectif est de montrer l'incompatibilité de ce point de vue avec une position réaliste. La structure de l'article est la suivante. Nous commencerons par quelques éclaircissements terminologiques afin que le lecteur puisse se faire une idée précise de ce que nous entendons par réalisme moral (nous déclinerons notamment les différentes variantes possibles du réalisme au moyen d'un tableau) et point de vue scientifique sur la morale. Notre travail consistera ensuite à montrer de manière systématique qu'aucune des variantes du réalisme moral n'est acceptable pour un philosophe scientifique.