993 resultados para Italo-Ethiopian War, 1895-1896.
Resumo:
On leaf preceding the t.p.: Battles of Chippawa and Lundy's Lane, by Charles Anderson, guide to the battle ground.
Resumo:
Lewis Tyrell married Jane Gains on August 31, 1849 in Culpeper Court House, Virginia. Jane Gains was a spinster. Lewis Tyrell died September 25, 1908 at his late residence, Vine St. and Welland Ave., St. Catharines, Ont. at the age of 81 years, 5 months. Jane Tyrell died March 1, 1886, age 64 years. Their son? William C. Tyrell died January 15, 1898, by accident in Albany, NY, age 33 years, 3 months. John William Taylor married Susan Jones were married in St. Catharines, Ont. on August 10, 1851 by William Wilkinson, a Baptist minister. On August 9, 1894 Charles Henry Bell (1871-1916), son of Stephen (1835?-1876) and Susan Bell, married Mary E. Tyrell (b. 1869?) daughter of Lewis and Alice Tyrell, in St. Catharines Ontario. By 1895 the Bell’s were living in Erie, Pennsylvania where children Delbert Otto (b. 1895) and Edna Beatrice (b. 1897) were born. By 1897 the family was back in St. Catharines where children Lewis Tyrell (b. 1899), Gertrude Cora (b. 1901), Bessie Jane (b. 1902), Charles Henry (b. 1906), Richard Nelson (b. 1911) and William Willoughby (b. 1912) were born. Charles Henry Bell operated a coal and ice business on Geneva Street. In the 1901 Census for St. Catharines, the Bell family includes the lodger Charles Henry Hall. Charles Henry Hall was born ca. 1824 in Maryland, he died in St. Catharines on November 11, 1916 at the age of 92. On October 24, 1889 Charles Hall married Susan Bell (1829-1898). The 1911 Census of Canada records Charles Henry Hall residing in the same household as Charles Henry and Mary Bell. The relationship to the householder is step-father. It is likely that after Stephen Bell’s death in 1876, his widow, Susan Bell married Hall. In 1939, Richard Nelson Bell, son of Charles Henry and Mary Tyrell Bell, married Iris Sloman. Iris (b. 22 May 1912 in Biddulph Township, Middlesex, Ontario) was the daughter of Albert (son of Joseph b. 1870 and Elizabeth Sloman, b. 1872) and Josie (Josephine Ellen) Butler Sloman of London, Ont. Josie (b. 1891) was the daughter of Everett Richard and Elizabeth McCarthy (or McCarty) Butler, of Lucan Village, Middlesex North. According to the 1911 Census of Canada, Albert, a Methodist, was a porter on the railroad. His wife, Josephine, was a Roman Catholic. Residing with Albert and Josie were Sanford and Sadie Butler and Sidney Sloman, likely siblings of Albert and Josephine. The Butler family is descended from Peter Butler, a former slave, who had settled in the Wilberforce Colony in the 1830s. Rick Bell b. 1949 in Niagara Falls, Ont. is the son of Richard Nelson Bell. In 1979, after working seven years as an orderly at the St. Catharines General Hospital while also attending night school at Niagara College, Rick Bell was hired by the Thorold Fire Dept. He became the first Black professional firefighter in Niagara. He is a founding member of the St. Catharines Junior Symphony; attended the Banff School of Fine Arts in 1966 and also performed with the Lincoln & Welland Regimental Band and several other popular local groups. Upon the discovery of this rich archive in his mothers’ attic he became passionate about sharing his Black ancestry and the contributions of fugitive slaves to the heritage Niagara with local school children. He currently resides in London, Ont.
Resumo:
On leaf preceding the t.p.: Battles of Chippawa and Lundy's Lane, by Charles Anderson, guide to the battle ground. On box: Chippawa and Lundy's Lane. Printed by John Simpson
Resumo:
The Intelligencer was an American newspaper that was established in Washington by Samuel Harrison Smith, a young Jeffersonian-Republican from Philadelphia. The paper was a supporter of the Jefferson and Madison administrations until 1810 when it was sold to Joseph Gales Jr. from North Carolina. In 1812 William Seaton joined Gales as a publishing partner. The paper made significant contributions to the nation and wielded considerable influence in political circles during its publication
Resumo:
UANL
Resumo:
UANL
Resumo:
Rédigés de manière non linéaire, "Monsieur Teste" (1946) de Paul Valéry et "Palomar" (1983) d’Italo Calvino posent les limites de l’intellection pure et les possibilités du texte littéraire à rendre compte d’une conscience, celle des sujets – Teste et Palomar – , comme les témoins réfléchis des phénomènes de l’univers. Bien qu’issus d’époques et de mouvements littéraires différents (poésie moderne française de l’entre-deux guerre chez Valéry, le néoréalisme italien chez Calvino) les deux auteurs parviennent néanmoins à une écriture comparable, qui valorise l’éclatement formel des catégories romanesques conventionnelles (intrigue, espace, temps, personnage) vers un nouveau réalisme, plus libre et moins contraignant. Que ce soit par le récit composites "Monsieur Teste" où Valéry met en scène Teste, un homme taciturne et solitaire vivant de l’intérieur, ou encore "Palomar" dont le protagoniste décide, un beau jour, d’arpenter du regard la moindre parcelle de l’univers, un élément demeure constant : le fragment, comme manière d’appréhender et de comprendre le monde et, par ricochet, de se saisir soir-même. L’analyse des incidences littéraires du fragment nous permettra d’interroger et de mettre en lumière, en les comparant, l’écriture fragmentaire de "Monsieur Teste" et "Palomar" comme la création d’une structure textuelle, mais aussi comme une forme donnant vie à un contenu : la pensée prenant conscience de ses actes.
Resumo:
Aux lendemains de la Guerre de Sécession, le petit centre manufacturier de Warren, dans l’État du Rhode Island, attira plusieurs immigrants canadiens-français en quête de travail. Ces derniers s’organiseront rapidement en établissant un réseau paroissial, en fondant plusieurs sociétés mutuelles et en multipliant les commerces prêts à desservir une clientèle francophone de plus en plus nombreuse. Les premiers stades de développement de la communauté (1888-1895) avaient déjà été observés par Jean Lamarre dans le cadre de son mémoire de maîtrise (1985). D’une part, le chercheur avait remarqué un phénomène graduel d’enracinement des paroissiens et, d’autre part, l’analyse de leur profil socio-économique indiquait qu’ils travaillaient majoritairement à la filature. Par cette étude, nous avons voulu revisiter cette communauté au moment où sa présence dans le paysage industriel et urbain de Warren apparaît consolidée. Grâce aux listes nominatives du recensement fédéral de 1910 et aux publications gouvernementales parues à la même époque, nous évaluons l’ampleur des changements socio-économiques transformant la communauté en l’espace d’une quinzaine d’années. L’observation du processus d’intégration des Canadiens français à l’environnement industriel est complétée par une analyse de l’apport des femmes et des enfants au ménage ouvrier. Les conclusions principales de cette étude démontrent que malgré l’attrait indéniable que représente encore et toujours le secteur manufacturier auprès de nombreux travailleurs, les Canadiens français jouissent en 1910 d’une qualité de vie généralement supérieure à celle qui caractérisait leurs débuts au sein de la localité. Leur situation socio-économique s’apparentera d’ailleurs davantage à celle des anglophones de Warren, Yankees et Irlandais, que de celle des représentants de la « nouvelle vague d’immigration » (Polonais, Italiens et Portugais).
Resumo:
À la fin du 19e siècle, le Japon inaugure une politique expansionniste qu’il mène avec succès contre la Chine, puis la Russie et enfin l’Allemagne. De 1895 à 1923, les forces armées japonaises cumulent les victoires militaires impressionnantes et indéniables. Contre toute attente, cependant, Tokyo peine à convertir ces triomphes en un capital politique qui lui assurerait le statut de puissance tant convoité et une paix durable, proche de l’hégémonie régionale. Pour expliquer cet échec politique, il n’est pas à regarder vers la mise en œuvre de guerres de revanche menées par les vaincus. Ce sont plutôt étonnamment des puissances étrangères au conflit qui viennent brimer les aspirations stratégiques du Japon. Parce qu’ils sont inquiets des impacts de la montée en puissance du Japon, des pays neutres comme des nations alliées à Tokyo font obstacles à la pleine exploitation des victoires. Mêlant menaces militaires et manœuvres diplomatiques, certains pays européens et les États-Unis réussissent à contrer les ambitions impériales japonaises, à refuser l’obtention du statut de puissance et à contester la reconnaissance de l’égalité raciale. Par le biais d’une analyse du premier impérialisme japonais, notre étude veut démontrer que l’intervention d’une tierce partie, non impliquée dans la guerre, peut obliger le vainqueur à reconsidérer comment il compte profiter de ses tributs de guerre. Pour qu’un traité de paix soit durable, celui-ci ne peut prendre naissance sans égard du contexte général, sans égard des intérêts des principaux acteurs internationaux de l’époque.
Resumo:
La monografía buscó realizar un análisis crítico del concepto de Seguridad Humana en relación con la actuación de la MINUEE en el período de guerra(1998-2000) y luego del retiro de la Misión (Julio de 2008), para establecer una crítica constructiva al funcionamiento de las OMP de la ONU, determinar los aciertos y desaciertos de la Misión en el uso del concepto de Seguridad Humana y sus múltiples dimensiones definidas en el PNUD(Seguridad: de la comunidad, de la salud, política, alimentaria, ambiental y personal) y comprender por qué la Misión fracasó en su intento de dirimir la crisis humanitaria y dar fin al conflicto.
Resumo:
Publicado aunque no se ha encontrado el dep??sito legal
Resumo:
Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)
Resumo:
Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico (CNPq)