946 resultados para Intervention for men
Resumo:
The HIV epidemic in the United States continues to be a significant public health problem, with approximately 50,000 new infections occurring each year. National public health priorities have shifted in recent years towards targeted HIV prevention efforts among people living with HIV/AIDS (PLWHA) that include: increasing engagement in and retention in care, improving HIV treatment adherence, and increasing screening for and treatment of substance use and psychological difficulties. This study evaluated the efficacy of Positive Choices (PC), a brief, care-based, theory-driven, 3-session counseling intervention for newly HIV-diagnosed men who have sex with men (MSM), in the context of current national HIV prevention priorities. The study involved secondary analysis of data from a preliminary efficacy trial of the PC intervention (n=102). Descriptive statistics examined baseline substance use, psychological characteristics and strategies, and care engagement and HIV-related biological outcomes. Generalized Estimating Equations (GEE) examined longitudinal changes in these variables by study condition. Results indicated that PC improved adherence to HIV treatment, but increased use of illicit drugs, specifically amyl nitrates and other stimulant drugs; additionally, moderation analyses indicated differences in patterns of change over time in viral load by baseline depression status. Implications of the findings and suggestions for future research are discussed.
Resumo:
L’isolement avec ou sans contention (IC) en milieu psychiatrique touche près d’un patient sur quatre au Québec (Dumais, Larue, Drapeau, Ménard, & Giguère-Allard, 2011). Il est pourtant largement documenté que cette pratique porte préjudice aux patients, aux infirmières et à l’organisation (Stewart, Van der Merwe, Bowers, Simpson, & Jones, 2010). Cette mesure posant un problème éthique fait l’objet de politiques visant à la restreindre, voire à l’éliminer. Les études sur l’expérience de l’isolement du patient de même que sur la perception des infirmières identifient le besoin d'un retour sur cet évènement. Plusieurs équipes de chercheurs proposent un retour post-isolement (REPI) intégrant à la fois l’équipe traitante, plus particulièrement les infirmières, et le patient comme intervention afin de diminuer l’incidence de l’IC. Le REPI vise l’échange émotionnel, l’analyse des étapes ayant mené à la prise de décision d’IC et la projection des interventions futures. Le but de cette étude était de développer, implanter et évaluer le REPI auprès des intervenants et des patients d’une unité de soins psychiatriques aigus afin d’améliorer leur expérience de soins. Les questions de recherche étaient : 1) Quel est le contexte d’implantation du REPI? 2) Quels sont les éléments facilitants et les obstacles à l’implantation du REPI selon les patients et les intervenants? 3) Quelle est la perception des patients et des intervenants des modalités et retombées du REPI?; et 4) L’implantation du REPI est-elle associée à une diminution de la prévalence et de la durée des épisodes d’IC? Cette étude de cas instrumentale (Stake, 1995, 2008) était ancrée dans une approche participative. Le cas était celui de l’unité de soins psychiatriques aigus pour premier épisode psychotique où a été implanté le REPI. En premier lieu, le développement du REPI a d’abord fait l’objet d’une documentation du contexte par une immersion dans le milieu (n=56 heures) et des entretiens individuels avec un échantillonnage de convenance (n=3 patients, n=14 intervenants). Un comité d’experts (l’étudiante-chercheuse, six infirmières du milieu et un patient partenaire) a par la suite développé le REPI qui comporte deux volets : avec le patient et en équipe. L’évaluation des retombées a été effectuée par des entretiens individuels (n= 3 patients, n= 12 intervenants) et l’examen de la prévalence et de la durée des IC six mois avant et après l’implantation du REPI. Les données qualitatives ont été examinées selon une analyse thématique (Miles, Huberman, & Saldana, 2014), tandis que les données quantitatives ont fait l’objet de tests descriptifs et non-paramétriques. Les résultats proposent que le contexte d’implantation est défini par des normes implicites et explicites où l’utilisation de l’IC peut générer un cercle vicieux de comportements agressifs nourris par un profond sentiment d’injustice de la part des patients. Ceux-ci ont l’impression qu’ils doivent se conformer aux attentes du personnel et aux règles de l’unité. Les participants ont exprimé le besoin de créer des opportunités pour une communication authentique qui pourrait avoir lieu lors du REPI, bien que sa pratique soit variable d’un intervenant à un autre. Les résultats suggèrent que le principal élément ayant facilité l’implantation du REPI est l’approche participative de l’étude, alors que les obstacles rencontrés relèvent surtout de la complexité de la mise en œuvre du REPI en équipe. Lors du REPI avec le patient, les infirmières ont pu explorer ses sentiments et son point de vue, ce qui a favorisé la reconstruction de la relation thérapeutique. Quant au REPI avec l’équipe de soins, il a été perçu comme une opportunité d’apprentissage, ce qui a permis d’ajuster le plan d’intervention des patients. Suite à l’implantation du REPI, les résultats ont d’ailleurs montré une réduction significative de l’utilisation de l’isolement et du temps passé en isolement. Les résultats de cette thèse soulignent la possibilité d’outrepasser le malaise initial perçu tant par le patient que par l’infirmière en systématisant le REPI. De plus, cette étude met l’accent sur le besoin d’une présence authentique pour atteindre un partage significatif dans la relation thérapeutique, ce qui est la pierre d’assise de la pratique infirmière en santé mentale. Cette étude contribue aux connaissances sur la prévention des comportements agressifs en milieu psychiatrique en documentant le contexte dans lequel se situe l’IC, en proposant un REPI comportant deux volets de REPI et en explorant ses retombées. Nos résultats soutiennent le potentiel du développement d’une prévention tertiaire qui intègre à la fois la perspective des patients et des intervenants.
Resumo:
The coming out process has been conceptualized as a developmental imperative for those who will eventually accept their same-sex attractions. It is widely accepted that homophobia, heterosexism, and homonegativity are cultural realities that may complicate this developmental process for gay men. The current study views coming out as an extra-developmental life task that is at best a stressful event, and at worst traumatic when coming out results in the rupture of salient relationships with parents, siblings, and/or close friends. To date, the minority stress model (Meyer, 1995; 2003) has been utilized as an organizing framework for how to empirically examine external stressors and mental health disparities for lesbians, gay men, and bisexual individuals in the United States. The current study builds on this literature by focusing on the influence of how gay men make sense of and represent the coming out process in a semi-structured interview, more specifically, by examining the legacy of the coming out process on indicators of wellness. In a two-part process, this study first employs the framework well articulated in the adult attachment literature of coherence of narratives to explore both variation and implications of the coming out experience for a sample of gay men (n = 60) in romantic relationships (n = 30). In particular, this study employed constructs identified in the adult attachment literature, namely Preoccupied and Dismissing current state of mind, to code a Coming Out Interview (COI). In the present study current state of mind refers to the degree of coherent discourse produced about coming out experiences as relayed during the COI. Multilevel analyses tested the extent to which these COI dimensions, as revealed through an analysis of coming out narratives in the COI, were associated with relationship quality, including self-reported satisfaction and observed emotional tone in a standard laboratory interaction task and self-reported symptoms of psychopathology. In addition, multilevel analyses also assessed the Acceptance by primary relationship figures at the time of disclosure, as well as the degree of Outness at the time of the study. Results revealed that participant’s narratives on the COI varied with regard to Preoccupied and Dismissing current state of mind, suggesting that the AAI coding system provides a viable organizing framework for extracting meaning from coming out narratives as related to attachment relevant constructs. Multilevel modeling revealed construct validity of the attachment dimensions assessed via the COI; attachment (i.e., Preoccupied and Dismissing current state of mind) as assessed via the Adult Attachment Interview (AAI) was significantly correlated with the corresponding COI variables. These finding suggest both methodological and conceptual convergence between these two measures. However, with one exception, COI Preoccupied and Dismissing current state of mind did not predict relationship outcomes or self-reported internalizing and externalizing symptoms. However, further analyses revealed that the degree to which one is out to others moderated the relationship between COI Preoccupied and internalizing. Specifically, for those who were less out to others, there was a significant and positive relationship between Preoccupied current state of mind towards coming out and internalizing symptoms. In addition, the degree of perceived acceptance of sexual orientation by salient relationship figures at the time of disclosure emerged as a predictor of mental health. In particular, Acceptance was significantly negatively related to internalizing symptoms. Overall, the results offer preliminary support that gay men’s narratives do reflect variation as assessed by attachment dimensions and highlights the role of Acceptance by salient relationship figures at the time of disclosure. Still, for the most part, current state of mind towards coming out in this study was not associated with relationship quality and self-reported indicators of mental health. This finding may be a function of low statistical power given the modest sample size. However, the relationship between Preoccupied current state of mind and mental health (i.e., internalizing) appears to depend on degree of Outness. In addition, the response of primary relationships figures to coming out may be a relevant factor in shaping mental health outcomes for gay men. Limitations and suggestions for future research and clinical intervention are offered.
Resumo:
Objective: To assess depressive symptoms in men deprived from freedom in a prison in a Colombian intermediate city. Material and Method: A cross sectional study was performed on a sample of three hundred and three patients in the Medium Security penitentiary and Prison Facility of the city of Manizales between April and May 2014. The information was collected through the Zung self-rating depression scale (SDS), subsequently there were established the positive results for depression screening according to the final score of the scale. Results: 303 men deprived from freedom were evaluated, mean age of 32.96 years +/- 10.8 years, 43.5% were living in cohabitation, 38% were single and 10.2% married; 33.7% had a primary education, 58% had secondary or incomplete secondary education, 5.6% reported higher studies; 38.6% (95% CI: 35.8; 41.4) reported symptoms of depression, predominating in ages between 18 to 44 years, no statistically significant differences p> 0.05 between the variables analyzed were found. Conclusions: The results of this study give rise to clinical evaluation, by specialized staff in the area of psychiatry and his intervention, given the characteristics of self-reported depression for this population.
Resumo:
L’isolement avec ou sans contention (IC) en milieu psychiatrique touche près d’un patient sur quatre au Québec (Dumais, Larue, Drapeau, Ménard, & Giguère-Allard, 2011). Il est pourtant largement documenté que cette pratique porte préjudice aux patients, aux infirmières et à l’organisation (Stewart, Van der Merwe, Bowers, Simpson, & Jones, 2010). Cette mesure posant un problème éthique fait l’objet de politiques visant à la restreindre, voire à l’éliminer. Les études sur l’expérience de l’isolement du patient de même que sur la perception des infirmières identifient le besoin d'un retour sur cet évènement. Plusieurs équipes de chercheurs proposent un retour post-isolement (REPI) intégrant à la fois l’équipe traitante, plus particulièrement les infirmières, et le patient comme intervention afin de diminuer l’incidence de l’IC. Le REPI vise l’échange émotionnel, l’analyse des étapes ayant mené à la prise de décision d’IC et la projection des interventions futures. Le but de cette étude était de développer, implanter et évaluer le REPI auprès des intervenants et des patients d’une unité de soins psychiatriques aigus afin d’améliorer leur expérience de soins. Les questions de recherche étaient : 1) Quel est le contexte d’implantation du REPI? 2) Quels sont les éléments facilitants et les obstacles à l’implantation du REPI selon les patients et les intervenants? 3) Quelle est la perception des patients et des intervenants des modalités et retombées du REPI?; et 4) L’implantation du REPI est-elle associée à une diminution de la prévalence et de la durée des épisodes d’IC? Cette étude de cas instrumentale (Stake, 1995, 2008) était ancrée dans une approche participative. Le cas était celui de l’unité de soins psychiatriques aigus pour premier épisode psychotique où a été implanté le REPI. En premier lieu, le développement du REPI a d’abord fait l’objet d’une documentation du contexte par une immersion dans le milieu (n=56 heures) et des entretiens individuels avec un échantillonnage de convenance (n=3 patients, n=14 intervenants). Un comité d’experts (l’étudiante-chercheuse, six infirmières du milieu et un patient partenaire) a par la suite développé le REPI qui comporte deux volets : avec le patient et en équipe. L’évaluation des retombées a été effectuée par des entretiens individuels (n= 3 patients, n= 12 intervenants) et l’examen de la prévalence et de la durée des IC six mois avant et après l’implantation du REPI. Les données qualitatives ont été examinées selon une analyse thématique (Miles, Huberman, & Saldana, 2014), tandis que les données quantitatives ont fait l’objet de tests descriptifs et non-paramétriques. Les résultats proposent que le contexte d’implantation est défini par des normes implicites et explicites où l’utilisation de l’IC peut générer un cercle vicieux de comportements agressifs nourris par un profond sentiment d’injustice de la part des patients. Ceux-ci ont l’impression qu’ils doivent se conformer aux attentes du personnel et aux règles de l’unité. Les participants ont exprimé le besoin de créer des opportunités pour une communication authentique qui pourrait avoir lieu lors du REPI, bien que sa pratique soit variable d’un intervenant à un autre. Les résultats suggèrent que le principal élément ayant facilité l’implantation du REPI est l’approche participative de l’étude, alors que les obstacles rencontrés relèvent surtout de la complexité de la mise en œuvre du REPI en équipe. Lors du REPI avec le patient, les infirmières ont pu explorer ses sentiments et son point de vue, ce qui a favorisé la reconstruction de la relation thérapeutique. Quant au REPI avec l’équipe de soins, il a été perçu comme une opportunité d’apprentissage, ce qui a permis d’ajuster le plan d’intervention des patients. Suite à l’implantation du REPI, les résultats ont d’ailleurs montré une réduction significative de l’utilisation de l’isolement et du temps passé en isolement. Les résultats de cette thèse soulignent la possibilité d’outrepasser le malaise initial perçu tant par le patient que par l’infirmière en systématisant le REPI. De plus, cette étude met l’accent sur le besoin d’une présence authentique pour atteindre un partage significatif dans la relation thérapeutique, ce qui est la pierre d’assise de la pratique infirmière en santé mentale. Cette étude contribue aux connaissances sur la prévention des comportements agressifs en milieu psychiatrique en documentant le contexte dans lequel se situe l’IC, en proposant un REPI comportant deux volets de REPI et en explorant ses retombées. Nos résultats soutiennent le potentiel du développement d’une prévention tertiaire qui intègre à la fois la perspective des patients et des intervenants.
Resumo:
Purpose: To explore the literature regarding prevalance, risk factors and the involvement of antihypertensive drugs in erectile dysfunction (ED). Methods: Original research articles, reviews, editorials and case reports published in English language on the prevalence of sexual/erectile dysfunction in hypertensive men taking antihypertensive drugs and risk factors were identified through a search of four bibliographic databases, namely, PubMed, EMBASE, CINAHL and EBSCO Health. Results: Recent analyses suggest that hypertensive men of almost all age groups suffer from ED but it is more prevalent in elderly male patients. The involvement of β-blockers was found to be controversial. Nevertheless, some evidence had been found regarding the use of propranolol in high doses. Conclusion: The present review indicates the need for research to unravel the role of β-blockers in the manifestation of ED in hypertensive males, whom there are no contributory factors such as sedentary lifestyle, aging, stress and anxiety, etc.
Resumo:
Rapport de stage présenté à la Faculté des Arts et Sciences en vue de l’obtention du grade de Maître des Sciences (M. Sc.) en Criminologie, Option Stage en Intervention
Resumo:
Rapport de stage présenté à la Faculté des Arts et Sciences en vue de l’obtention du grade de Maître des Sciences (M. Sc.) en Criminologie, Option Stage en Intervention
An Intervention Study to Improve the Transfer of ICU Patients to the Ward - Evaluation by ICU Nurses
Resumo:
International evidence on the cost and effects of interventions for reducing the global burden of depression remain scarce. Aims: To estimate the population-level cost-effectiveness of evidence-based depression interventions and their contribution towards reducing current burden. Method: Primary-care-based depression interventions were modelled at the level of whole populations in 14 epidemiological subregions of the world. Total population-level costs (in international dollars or I$) and effectiveness (disability adjusted life years (DALYs) averted) were combined to form average and incremental cost-effectiveness ratios. Results: Evaluated interventions have the potential to reduce the current burden of depression by 10–30%. Pharmacotherapy with older antidepressant drugs, with or without proactive collaborative care, are currently more cost-effective strategies than those using newer antidepressants, particularly in lower-income subregions. Conclusions: Even in resource-poor regions, each DALYaverted by efficient depression treatments in primary care costs less than 1 year of average per capita income, making such interventions a cost-effective use of health resources. However, current levels of burden can only be reduced significantlyif there is a substantialincrease substantial increase intreatment coverage.