1000 resultados para Histoire, historiographie, antiquité tardive


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L'anthologie du futurisme que livre Giovanni Lista en 2015 soulève de nombreuses questions. Combien de futurismes existe-t-il ? Quelle place l'historien occupe-t-il dans l'histoire qu'il écrit ? Quels liens, enfin, cette histoire entretient-elle avec les événements qui lui succèdent et l'actualité ? Il s'agit dans ces lignes de dépasser le dossier «G. Lista 2015» afin de proposer une réflexion sur l'historiographie du futurisme, qui représente à maints égards «la quadrature du cercle dans l'histoire des avant-gardes du XXe siècle» (G. Lista, Qu'est-ce que le futurisme ?, p. 866).

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Comprend : De l'ame et de son immortalité ; Essai sur la chronologie

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Contient : Fragment d'une notice, en français, sur l'abbaye de Sainte-Benoite d'Origny, extraite d'un ms. de l'abbaye ; Notes sur des chartes relatives à diverses abbayes du Midi de la France ; Archevêques d'Aix ; Évêques d'Albi ; Évêques de Périgueux et d'Arles ; Évêques d'Orléans, placard imprimé ; Évêques de Beauvais ; Listes des abbés des monastères du diocèse de Beauvais ; Évêques de Castres ; Évêques d'Angoulême ; Évêques de Poitiers ; Évêques d'Angoulême ; Évêques de Saintes ; Préface d'Isaac, évêque de Langres, à son recueil de canons ; Évêques de Lescar ; Textes relatifs aux archevêques de Lyon ; Évêques de Luçon ; Évêques de Maillezais ; Évêques de Marseille ; Évêques de Nantes ; Obits de divers évêques d'Orléans ; Archevêques de Narbonne ; Extraits du Livre rouge de l'archevêché de Narbonne ; Évêques de Nîmes ; Évêques de Saint-Papoul ; Évêques de Paris ; Pièces diverses sur l'église et les évêques de Paris ; Évêques de Soissons ; Sur l'origine des comtes de Soissons ; Extrait du Livre Vert de l'église de Sisteron ; Évêques de Toulouse ; Évêques de Tréguier ; Archevêques de Tours ; Évêques du Puy ; Notes et pièces sur diverses abbayes du diocèse de Soissons ; Documents sur divers archevêques de Tours ; C'est la vie et légende de Monsieur saint Arnoul, évesque et martyr. (Imprimé, Chartres, 1607 ; in-8°) ; Inscriptions métriques de la basilique de Saint-Martin de Tours ; Vers latins en l'honneur de François Gueslé, archevêque de Tours (placard imprimé) ; Lettres de Besly à A. Duchesne au sujet de la Chronique de Tours ; Notes sur divers archevêques de Tours ; « Recherches de l'antiquité de l'église cathédrale de Viviers, par Jacques de Romieu », et lettre de celui-ci à Duchesne ; Extraits d'une Notitia Vasconiae, de Scipion Dupleix ; Extraits de Bernard Gui ; Testament d'Haduindus, évêque du Mans (Pardessus, n° 300) ; Notes sur les évêques de Noyon ; Notes diverses ; Épitaphe en vers de Jean Olivier, évêque d'Angers ; Extraits d'une histoire manuscrite du Ponthieu ; Documents relatifs aux évêques d'Orléans ; Notice sur Gautier de Bruges, évêque de Poitiers ; Épitaphe de Pierre Trousseau, évêque de la même ville ; Liste des prieurs de Saint-Martin-des-Champs, par Dom M. Marrier (placard imprimé, 1616) ; Notice de la découverte d'une chapelle souterraine à Montmartre, le 12 juillet 1611 (placard imprimé, 1611) ; Notice sur l'abbaye de Saint-Jean de Laon ; Notice sur l'abbaye de Saint-Ruf d'Avignon ; Pouillé de l'abbaye de Marmoutier ; Pouillé de l'abbaye de Montiérender ; Pouillé de l'abbaye de Saint-Germain d'Auxerre ; Pouillé de l'abbaye de Saint-Rémi de Reims ; « Beneficia in exemptione Fiscanensi constituta » ; Notice sur l'abbaye de Saint-Père de Melun ; Pouillé du monastère de Saint-Florent de Saumur ; Pouillé de l'abbaye de Saint-Jouin de Marne ; Extraits des pouillés des abbayes d'Evron, Ruricourt, Saint-Martin de Pontoise, Saint-Denis, etc ; Pouillé de l'abbaye de Montiéramey, et liste des prieurés dépendant de Moissac ; Notes sur divers légats pontificaux

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La présente recherche porte sur la théorie des parties du discours dans l’Antiquité grecque et plus particulièrement sur la réflexion entourant les conjonctions. Le premier chapitre se concentre sur la définition de la conjonction trouvée dans la Poétique d’Aristote, de même que sur les autres passages du corpus aristotélicien qui permettent de mieux cerner les contours d’une entité grammaticale encore mal définie. Le second chapitre porte sur la conjonction dans les recherches logico-grammaticales de l’école stoïcienne. La définition stoïcienne de la conjonction, de même que les différentes catégories de conjonctions identifiées par les Stoïciens sont examinées. Le rôle central des conjonctions au sein de la théorie stoïcienne des propositions complexes est souligné et met en lumière l’interrelation étroite entre la logique et la grammaire à ce point du développement de la théorie grammaticale. Le chapitre final porte sur la définition et les catégories de conjonctions trouvées dans la Tekhnè grammatikè, un bref manuel de grammaire attribué au philologue alexandrin Denys le Thrace. L’influence de la théorie stoïcienne des propositions complexes sur cette première tentative de systématisation grammaticale est mise en lumière, de même que l’interférence de préoccupations philologiques.

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Cette thèse tente de réfléchir sur l’écriture de Boubacar Boris Diop. Les romans de cet écrivain doivent une grande part de leur originalité à la présence obsédante des discours de la mémoire et de l’histoire. Son esthétique s’inscrit dans une revisitation permanente des récits de l'historiographie. Cette écriture convoque le passé et l'investit comme matériau dans cette exploration des formes du roman. Une telle démarche scripturale semble être la pierre angulaire de cette fiction aux confluences desquelles se rencontrent et s'intègrent systématiquement, aussi bien les genres romanesques hétérogènes de l'oralité (contes, épopées, mythes...), que des disciplines non romanesques. Cette stratégie de construction romanesque traduit, au-delà d'une simple exploration formelle et innovatrice des possibles du roman, une esthétique de distanciation et d'hétérogénéité qui traverse en filigrane l'œuvre de Boubacar Boris Diop. Cette forme d’écriture singularise son esthétique et constitue une rupture épistémologique dans le champ littéraire africain, qui a été souvent caractérisé par des récits linéaires classiques. L’usage de ces discours de l’histoire et de la mémoire, dans l’esthétique romanesque de Boubacar Boris Diop, s’articule d’abord dans une démarche de renouvellement des habitudes dans le champ littéraire africain, et ouvre aussi cette «phase autoréférentielle» (Sob, 2007 : 8) du roman en inscrivant son discours dans la modernité. Ensuite, cette pratique scripturale se construit sur l’élaboration d’un style romanesque particulier, se déployant dans une mise en scène et une parodisation permanentes du fonctionnement et des modalités de l’écriture. Sur fond d’une déconstruction perpétuelle des procédés de composition romanesque, se dessinent les contours d’une esthétique qui promeut et institue l’ambivalence généralisée comme le mode principal de son déploiement. Une telle pratique intertextuelle permet à l’écriture romanesque de se construire en confrontant les discours officiels de l’historiographie en général et l’histoire africaine contemporaine en particulier. En légitimant la déconstruction systématique comme dispositif de la composition romanesque, l’écriture se place dans une dynamique de «soupçon» qui sous-tend l’esthétique romanesque de Boubacar Boris Diop. La présente étude a le dessein de répertorier et d'analyser d'abord l'intégration des discours de l'histoire et de la mémoire, dans leurs manifestations et configurations dans l'œuvre de Diop, et ensuite, d'étudier leurs modalités d'insertion et d'utilisation dans l’élaboration de la fiction. Il s'agira, dans un cadre intertextuel, de voir comment ces discours sont investis et retravaillés par la fiction et, au-delà, d’essayer de repérer les motifs et les modalités discursives qui gouvernent leur usage. Une telle approche nous permettra d’appréhender les dimensions significatives de cette démarche scripturale et de voir éventuellement, s’il existe une poétique de la mémoire chez Boubacar Boris Diop. Les différentes théories sur la fiction, la mémoire et le discours historiographique nous serviront de charpente théorique qui sous-tendra notre thèse.

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L’Adversus nationes est un texte polémique où l’auteur, Arnobe de Sicca, défend le christianisme en plus d’attaquer le paganisme. Nous y retrouvons les principales accusations lancées contre le christianisme ainsi que les attaques des intellectuels chrétiens contre les païens. Il s’agit de l’un des derniers textes apologétiques rédigé avant la paix de Milan (311). Arnobe y explique l’importance de s’éloigner des erreurs du paganisme et d’adhérer au christianisme dans le but de sauver son âme. Bien qu’il ne s’agisse pas d’une œuvre à caractère historique, Arnobe fournit, pour étayer son argumentation, plusieurs indices sur sa conception de l’histoire romaine. L’Adversus nationes, qui n’est pas traduit intégralement en français à ce jour, n’a pas été très souvent étudié du point de vue de l’interprétation de l’histoire. Une telle étude permet de comprendre la pensée de son auteur sur Rome, son histoire et ses périodes politiques. La première partie de ce mémoire présentera une petite biographie d’Arnobe ainsi qu’un survol du contexte historique dans lequel il vivait. Puis, les principales caractéristiques de l’histoire rhétorique seront exposées au deuxième chapitre. La seconde partie du mémoire traitera de l’analyse de passages de l’Adversus nationes. Le troisième chapitre sera consacré aux grands personnages romains. Le quatrième chapitre traitera de la providence divine dans l’histoire romaine. Finalement, le cinquième chapitre cherchera à retrouver les sources d’Arnobe lorsqu’il traite d’évènements historiques importants. Ce mémoire offre, comme conclusions, une nouvelle hypothèse concernant la datation du livre 1 de l’Adversus nationes et une nouvelle influence concernant certains récits historiques rapportés par Arnobe.

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À la lecture d’ouvrages philosophiques anciens, nous sommes souvent surpris par la virulence des critiques adressées à l’écriture, dans la mesure où ces critiques nous parviennent au moyen de textes écrits. N’est-il pas paradoxal de tout à la fois rejeter et utiliser une même technologie ? Ou est-ce que les pratiques de l’oralité et de l’écriture des philosophes grecs, telles que ceux-ci les décrivent dans leurs ouvrages, peuvent être cohérentes avec leurs critiques ? Notre thèse visait, d’une part, à répondre à ce questionnement en confrontant les pratiques des philosophes anciens aux critiques qu’ils adressent à l’écriture, par le biais d’une étude systématique des discours sur la lecture et l’écriture dans des textes anciens d’auteurs et d’époques variés, et notamment des textes qui n’ont pas l’écriture pour objet. D’autre part, comme les travaux déjà publiés sur ce thème tentaient le plus souvent de trouver le point de rupture entre la tradition orale et la tradition écrite (cf. Havelock 1963, Lentz 1989), nous avons voulu inscrire notre objet d’étude dans une plus longue durée, ce qui nous a permis de constater qu’une rupture radicale entre les philosophes de tradition orale et ceux appartenant à la tradition écrite n’avait pas eu lieu, et que l’on observait plutôt une continuité des critiques et des pratiques de l’oralité et de l’écriture depuis l’époque classique jusqu’à l’Antiquité tardive. Malgré le développement de nouveaux supports matériels pour l’écriture, l’émergence d’une religion du livre, et la mise à l’écrit des poèmes homériques, la tradition philosophique grecque témoigne d’un usage circonspect de l’écriture et du refus de rejeter définitivement l’oralité.