942 resultados para Herpes simplex keratitis
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A bottlenose dolphin, stranded in the Canary Islands in 2001 exhibited non-suppurative encephalitis. No molecular detection of cetacean morbillivirus (CeMV) was found, but a herpesviral-specific band of 250 bp was detected in the lung and brain. The sequenced herpesviral PCR product was compared with GenBank sequences, obtaining 98% homology (p-distance of 0.02) with Human herpesvirus 1 (herpes simplex virus 1 or HSV-1). This is the first report of a herpes simplex-like infection in a stranded dolphin.
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Recent advances in corneal graft technology, including donor tissue retrieval, storage and surgical techniques, have greatly improved the clinical outcome of corneal grafts. Despite these advances, immune mediated corneal graft rejection remains the single most important cause of corneal graft failure. Several host factors have been identified as conferring a "high risk" status to the host. These include: more than two quadrant vascularisation, with associated lymphatics, which augment the afferent and efferent arc of the immune response; herpes simplex keratitis; uveitis; silicone oil keratopathy; previous failed (rejected) grafts; "hot eyes"; young recipient age; and multiple surgical procedures at the time of grafting. Large grafts, by virtue of being closer to the host limbus, with its complement of vessels and antigen-presenting Langerhans cells, also are more susceptible to rejection. The diagnosis of graft rejection is entirely clinical and in its early stages the clinical signs could be subtle. Graft rejection is largely mediated by the major histocompatibility antigens, minor antigens and perhaps blood group ABO antigens and some cornea-specific antigens. Just as rejection is mediated by active immune mediated events, the lack of rejection (tolerance) is also sustained by active immune regulatory mechanisms. The anterior chamber associated immune deviation (ACAID) and probably, conjunctiva associated lymphoid tissue (CALT) induced mucosal tolerance, besides others, play an important role. Although graft rejection can lead to graft failure, most rejections can be readily controlled if appropriate management is commenced at the proper time. Topical steroids are the mainstay of graft rejection management. In the high-risk situations however, systemic steroids, and other immunosuppressive drugs such as cyclosporin and tacrolimus (FK506) are of proven benefit, both for treatment and prevention of rejection.
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The authors present 2 cases of AIDS revealed by severe recurrent genital herpes simplex. The patients are 2 young, previously healthy, African women without histories of homosexuality or drug abuse. The first patient died after 5 months of follow-up (post mortem findings: viral bronchopneumonia with positive cultures for herpes and cytomegalovirus (CMV), viral colitis due to CMV). The second patient survived. She has been treated, during the last 11 months, for filariasis, buccal and vaginal candidiasis and cerebral toxoplasmosis.
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Defects in renewal and repair of ocular surface as a result of limbal stem cell deficiency are now known to cause varying ocular, surface morbidity including persistent photophobia, repeated and persistent surface breakdown and overt conjunctivalisation of the cornea. Ocular conditions with abnormalities of ocular surface repair include pterygium, limbal tumours, aniridia, severe scarring following burns, cicatricial pemphigoid and Stevens-Johnson Syndrome, sequelae of mustard gas exposure and Herpes simplex epithelial disease, radiation keratopathy, contact lens induced keratopathy, neuroparalytic keratitis and drug toxicity. Restoring ocular health in these eyes has traditionally been frustrating. An understanding of these intricate cell renewal and maintenance processes has spurred the evolution in recent years of new treatment methods for several blinding diseases of the anterior segment; many more exciting modalities are in the offing. However, there is inadequate awareness among ophthalmologists about the current principles of management of ocular surface disorders. The purpose of this article is to help elucidate the important principles and current treatment methods relevant to ocular surface disorders.
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Le virus herpès simplex de type 1 (HSV 1) affecte la majorité de la population mondiale. HSV 1 cause de multiples symptômes délétères dont les plus communs sont les lésions orofaciales usuellement appelées feux sauvages. Le virus peut aussi causer des effets plus sérieux comme la cécité ou des troubles neurologiques. Le virus réside de façon permanente dans le corps de son hôte. Malgré l’existence de nombreux traitements pour atténuer les symptômes causés par HSV 1, aucun médicament ne peut éliminer le virus. Dans le but d’améliorer les connaissances concernant le cycle viral de HSV 1, ce projet cible l’étude du transport du virus dans la cellule hôte. Ce projet aura permis la collecte d’informations concernant le modus operandi de HSV 1 pour sortir des compartiments cellulaires où il séjourne. Les différentes expérimentations ont permis de publier 3 articles dont un article qui a été choisi parmi les meilleurs papiers par les éditeurs de « Journal of Virology » ainsi qu’un 4e article qui a été soumis. Premièrement, un essai in vitro reproduisant la sortie de HSV 1 du noyau a été mis sur pied, via l’isolation de noyaux issus de cellules infectées. Nous avons démontré que tout comme dans les cellules entières, les capsides s’évadent des noyaux isolés dans l’essai in vitro en bourgeonnant avec la membrane nucléaire interne, puis en s’accumulant sous forme de capsides enveloppées entre les deux membranes nucléaires pour finalement être relâchées dans le cytoplasme exclusivement sous une forme non enveloppée. Ces observations appuient le modèle de transport de dé-enveloppement/ré-enveloppement. Deuxièmement, dans le but d’identifier des joueurs clefs viraux impliqués dans la sortie nucléaire du virus, les protéines virales associées aux capsides relâchées par le noyau ont été examinées. La morphologie multicouche du virus HSV 1 comprend un génome d’ADN, une capside, le tégument et une enveloppe. Le tégument est un ensemble de protéines virales qui sont ajoutées séquentiellement sur la particule virale. La séquence d’ajout des téguments de même que les sites intracellulaires où a lieu la tégumentation sont l’objet d’intenses recherches. L’essai in vitro a été utilisé pour étudier cette tégumentation. Les données recueillies suggèrent un processus séquentiel qui implique l’acquisition des protéines UL36, UL37, ICP0, ICP8, UL41, UL42, US3 et possiblement ICP4 sur les capsides relâchées par le noyau. Troisièmement, pour obtenir davantage d’informations concernant la sortie de HSV 1 des compartiments membranaires de la cellule hôte, la sortie de HSV 1 du réseau trans golgien (TGN) a aussi été étudiée. L’étude a révélé l’implication de la protéine kinase D cellulaire (PKD) dans le transport post-TGN de HSV 1. PKD est connue pour réguler le transport de petits cargos et son implication dans le transport de HSV 1 met en lumière l’utilisation d’une machinerie commune pour le transport des petits et gros cargos en aval du TGN. Le TGN n’est donc pas seulement une station de triage, mais est aussi un point de rencontre pour différentes voies de transport intracellulaire. Tous ces résultats contribuent à une meilleure compréhension du processus complexe de maturation du virus HSV 1, ce qui pourrait mener au développement de meilleurs traitements pour combattre le virus. Les données amassées concernant le virus HSV 1 pourraient aussi être appliquées à d’autres virus. En plus de leur pertinence dans le domaine de la virologie, les découvertes issues de ce projet apportent également de nouveaux détails au niveau du transport intracellulaire.
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L’élimination des cellules infectées par apoptose constitue un mécanisme de défense antivirale. Les virus de l’herpès simplex (HSV) de type 1 et 2 encodent des facteurs qui inhibent l’apoptose induite par la réponse antivirale. La sous-unité R1 de la ribonucléotide réductase d’HSV-2 (ICP10) possède une fonction anti-apoptotique qui protège les cellules épithéliales de l’apoptose induite par les récepteurs de mort en agissant en amont ou au niveau de l’activation de la procaspase-8. Puisqu’une infection avec un mutant HSV-1 déficient pour la R1 diminue la résistance des cellules infectées vis à vis du TNFα, il a été suggéré que la R1 d’HSV-1 (ICP6) pourrait posséder une fonction anti-apoptotique. Le but principal de cette thèse est d’étudier le mécanisme et le potentiel de la fonction anti-apoptotique de la R1 d’HSV-1 et de la R1 d'HSV-2. Dans une première étude, nous avons investigué le mécanisme de la fonction anti-apoptotique de la R1 d’HSV en utilisant le TNFα et le FasL, deux inducteurs des récepteurs de mort impliqués dans la réponse immune anti-HSV. Cette étude a permis d’obtenir trois principaux résultats concernant la fonction anti-apoptotique de la R1 d’HSV. Premièrement, la R1 d’HSV-1 inhibe l’apoptose induite par le TNFα et par le FasL aussi efficacement que la R1 d’HSV-2. Deuxièmement, la R1 d’HSV-1 est essentielle à l’inhibition de l’apoptose induite par le FasL. Troisièmement, la R1 d’HSV interagit constitutivement avec la procaspase-8 d’une manière qui inhibe la dimérisation et donc l’activation de la caspase-8. Ces résultats suggèrent qu’en plus d’inhiber l’apoptose induite par les récepteurs de mort la R1 d’HSV peut prévenir l’activation de la caspase-8 induite par d’autres stimuli pro-apoptotiques. Les ARN double-brins (ARNdb) constituant un intermédiaire de la transcription du génome des HSV et activant l’apoptose par une voie dépendante de la caspase-8, nous avons testé dans une seconde étude l’impact de la R1 d’HSV sur l’apoptose induite par l’acide polyriboinosinique : polyribocytidylique (poly(I:C)), un analogue synthétique des ARNdb. Ces travaux ont montré qu’une infection avec les HSV protège les cellules épithéliales de l’apoptose induite par le poly(I:C). La R1 d’HSV-1 joue un rôle majeur dans l’inhibition de l’activation de la caspase-8 induite par le poly(I:C). La R1 d’HSV interagit non seulement avec la procaspase-8 mais aussi avec RIP1 (receptor interacting protein 1). En interagissant avec RIP1, la R1 d’HSV-2 inhibe l’interaction entre RIP1 et TRIF (Toll/interleukine-1 receptor-domain-containing adapter-inducing interferon β), l’adaptateur du Toll-like receptor 3 qui est un détecteur d’ARNdb , laquelle est essentielle pour signaler l’apoptose induite par le poly(I:C) extracellulaire et la surexpression de TRIF. Ces travaux démontrent la capacité de la R1 d’HSV à inhiber l’apoptose induite par divers stimuli et ils ont permis de déterminer le mécanisme de l’activité anti-apoptotique de la R1 d’HSV. Très tôt durant l’infection, cFLIP, un inhibiteur cellulaire de la caspase-8, est dégradé alors que la R1 d’HSV s’accumule de manière concomitante. En interagissant avec la procapsase-8 et RIP1, la R1 d’HSV se comporte comme un inhibiteur viral de l’activation de la procaspase-8 inhibant l’apoptose induite par les récepteurs de mort et les détecteurs aux ARNdb.
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Les virus exploitent la machinerie cellulaire de l’hôte de façon très variée et plusieurs types vont même jusqu’à incorporer certaines protéines cellulaires. Nous avons récemment effectué la première analyse protéomique du virion mature de l’Herpès simplex de type 1 (HSV-1), ce qui nous a permis de déterminer que jusqu’à 49 protéines cellulaires différentes se retrouvaient dans ce virus (Loret, S. et al. (2008). "Comprehensive characterization of extracellular herpes simplex virus type 1 virions." J Virol 82(17): 8605-18.). Afin de déterminer leur importance dans le cycle de réplication d’HSV-1, nous avons mis au point un système de criblage nous permettant de quantifier le virus produit et relâché dans le milieu extracellulaire en utilisant un virus marqué à la GFP ainsi que des petits ARN interférents (pARNi) ciblant spécifiquement ces protéines cellulaires. Cette approche nous a permis de démontrer que 17 des protéines identifiées précédemment jouaient un rôle critique dans la réplication d’HSV-1, suggérant ainsi que leur incorporation dans le virus n’est pas aléatoire. Nous avons ensuite examiné le rôle d’une de ces protéines, DDX3X (DEAD (Asp-Glu-Ala-Asp) box polypeptide 3, X-linked), une protéine multifonctionnelle connue pour son implication dans les cycles de réplication de plusieurs virus humains. À l’aide de pARNi ainsi que de différentes lignées cellulaires, dont une lignée DDX3X thermosensible, nous avons démontré que l’inhibition de DDX3X résultait en une diminution du nombre de capsides intracellulaires et induisait une importante diminution de l’expression des gènes viraux. Nous avons aussi démontré que la fraction de DDX3X incorporée dans le virion contribuait activement au cycle infectieux d’HSV-1. Ces résultats confirment l’intérêt de notre approche afin d’étudier les interactions hôte-pathogène en plus de démontrer la contribution des protéines cellulaires incorporées à HSV-1 dans l’infection virale.
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Le virus Herpès simplex de type 1 (HSV-1), agent étiologique des feux sauvages, possède une structure multicouche comprenant une capside icosaédrale qui protège le génome viral d’ADN, une couche protéique très structurée appelée tégument et une enveloppe lipidique dérivant de la cellule hôte et parsemée de glycoprotéines virales. Tous ces constituants sont acquis séquentiellement à partir du noyau, du cytoplasme et du réseau trans-golgien. Cette structure multicouche confère à HSV-1 un potentiel considérable pour incorporer des protéines virales et cellulaires. Toutefois, l’ensemble des protéines qui composent ce virus n’a pas encore été élucidé. De plus, malgré son rôle critique à différentes étapes de l’infection, le tégument demeure encore mal défini et ce, tant dans sa composition que dans la séquence d’addition des protéines qui le composent. Toutes ces incertitudes quant aux mécanismes impliqués dans la morphogenèse du virus nous amènent à l’objectif de ce projet, soit la caractérisation du processus de maturation d’HSV-1. Le premier article présenté dans cette thèse et publié dans Journal of Virology s’attarde à la caractérisation protéique des virus extracellulaires matures. Grâce à l’élaboration d’un protocole d’isolation et de purification de ces virions, une étude protéomique a pu être effectuée. Celle-ci nous a permis de réaliser une cartographie de la composition globale en protéines virales des virus matures (8 protéines de la capside, 23 protéines du tégument et 13 glycoprotéines) qui a fait la page couverture de Journal of Virology. De plus, l’incorporation potentielle de 49 protéines cellulaires différentes a été révélée. Lors de cette étude protéomique, nous avons aussi relevé la présence de nouveaux composants du virion dont UL7, UL23, ICP0 et ICP4. Le deuxième article publié dans Journal of General Virology focalise sur ces protéines via une analyse biochimique afin de mieux comprendre les interactions et la dynamique du tégument. Ces résultats nous révèlent que, contrairement aux protéines ICP0 et ICP4, UL7 et UL23 peuvent être relâchées de la capside en présence de sels et que les cystéines libres jouent un rôle dans cette relâche. De plus, cet article met en évidence la présence d’ICP0 et d’ICP4 sur les capsides nucléaires suggérant une acquisition possible du tégument au noyau. La complexité du processus de morphogenèse du virus ainsi que la mise en évidence d’acquisition de protéines du tégument au noyau nous ont incités à poursuivre nos recherches sur la composition du virus à un stade précoce de son cycle viral. Les capsides C matures, prémisses des virus extracellulaires, ont donc été isolées et purifiées grâce à un protocole innovateur basé sur le tri par cytométrie en flux. L’analyse préliminaire de ces capsides par protéomique a permis d’identifier 28 protéines virales et 39 protéines cellulaires. Les données recueilles, comparées à celles obtenues avec les virus extracellulaires, suggèrent clairement un processus séquentiel d’acquisition des protéines du tégument débutant dans le noyau, site d’assemblage des capsides. Finalement, tous ces résultats contribuent à une meilleure compréhension du processus complexe de maturation d’HSV-1 via l’utilisation de techniques variées et innovatrices, telles que la protéomique et la cytométrie en flux, pouvant être appliquées à d’autres virus mais aussi permettre le développement de meilleurs traitements pour vaincre l’HSV-1.
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This study assessed the level of knowledge, attitude and practice of Pap smear and human papillomavirus (HPV), in addition to analyzing the prevalence of genital HPV infection, Herpes Simplex Type 2 (HSV-2) and Chlamydia trachomatis in teenagers. The study consisted of two approaches, one based only on interviews conducted with adolescents enrolled in public schools or in public health facilities in the city of Natal. The other approach involved only a group of 132 adolescents enrolled among those admitted to two health units in Natal-RN. This second group of participants two specimens were collected for laboratory analysis: one was directed to prepare the blade for the Pap test, and other processed for DNA extraction for molecular analysis, focusing on the detection of HPV, HSV-2 and C . trachomatis. The presence of DNA of the three pathogens was investigated by the technique of polymerase chain reaction (PCR). The presence of each of the three pathogens was analyzed in terms of socio-demographic characteristics, as well as sexual and reproductive activity to identify risk factors for infection and development of lesions of the uterine cervix. The results show that the adolescents in this study had levels of knowledge and attitude very low, both in relation to cytology to HPV as though they have made a reasonable percentage of adequate practice exam and prevention of HPV infection. The overall prevalence of HPV infection was 54.5% and 48.2% in adolescents with normal cytology and 86.4% in those with abnormal cytology. We observed a higher proportion of cases of infection in the age group of 18 to 21. The prevalence of HPV infection was slightly higher among pregnant teenagers. The overall prevalence of HSV-2 infection was 13.6% and 11.8% in women with normal cytology and 22.7% in those with abnormal cytology. A higher proportion of cases of infection was found in the age group from 14 to 17, with a slightly higher prevalence among pregnant women. The C. trachomatis was found with an overall prevalence of 19.7% and 21.8% in adolescents with normal cytology and 9.1% in those with abnormal cytology. The prevailing rate was highest in the age group 18 to 21 years and in nonpregnant
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Herpes simplex is a virus that can be transmitted sexually and is potentially associated with vertical transmission. This study evaluated the prevalence of genital infection by herpes simplex virus (HSV) types 1 and 2 in pregnant and nonpregnant care in the city of Natal / RN, including a total of 222 women, 92 pregnant and 130 nonpregnant. The participants answered a questionnaire to obtain data and socio-demographic characteristics, as well as potential risk factors for sexually transmitted diseases. After the interview, we collected two cervical specimens, one for the Pap test and the other for DNA extraction and analyzed by polymerase chain reaction (PCR) to detect both virus serotypes. Then the women underwent a clinical examination by colposcopy. For statistical analysis, we used the chi-square and logistic regression by SSPS 17.0 Statistic. Most women were up to 30 years of age, nonwhite ethnicity, married, elementary education, family income below the poverty level; initiated sexual activity with age up to 18 years; had more than one sexual partner lifelong and was not pregnant, but has had at least one child. The HSV-1 showed a prevalence of 26.1% among pregnant women and 30.0% in non-pregnant women. While HSV-2 prevalence was found with 10.9% and 19.2% in pregnant and nonpregnant women, respectively. The largest proportion of morphological changes of the uterine cervix was detected among nonpregnant women, both in cytology and in colposcopy. The women were nonwhite ethnicity, married, became pregnant aged less than or equal to 18 years and who had one to two pregnancies had a lower risk of acquiring genital HSV infection. There was a high prevalence of genital HSV infection, HSV-1 is more prevalent than HSV-2. No association was found between morphological changes of the uterine cervix and the presence of the virus in pregnant and nonpregnant women, nor between genital HSV infection and the classic risk factors for sexually transmitted diseases
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The clinical use of topical photodynamic therapy in herpes simplex lesions in Sao Paulo is presented and discussed. Although previous attempts utilising this type of approach in the USA were discontinued in the early 1970s due to several presentations of post-treatment Bowen's disease, none of the cases from the clinic presented here have displayed any complications on follow-up. In addition, lesion recrudescence periods are generally much longer than with conventional approaches. This is thought to be due to improvements in the treatment protocol, viz, use of the non-toxic photosensitisers methylene blue and Hypericum perforatum extract in place of proflavine and neutral red in the original trials, differences in photosensitisation pathway and illumination of the treatment site with red rather than fluorescent/UV light. Post-treatment cosmesis is also excellent. (C) 2012 Elsevier B.V. All rights reserved.
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Acute encephalitis is an inflammation of the brain, mostly caused by viral infection. A variety of cognitive symptoms may persist after the acute stage, and neuropsychological assessment is crucial in evaluation of the outcome. The most commonly reported sequelae are memory deficits. The main aims of this study were to investigate the types of memory impairment in various encephalitides, the frequency of global amnesia following encephalitis, and the changes in the deficits during follow-up. Between 1 January 1985 and 31 December 1994, 77 adult patients under the age of 75 with acute encephalitis but without alcohol abuse, or coexisting or previous neurological diseases were consecutively referred for neuropsychological examination at the Department of Neurology, Helsinki University Central Hospital. The aetiology was established in 44/77 (57%) patients; 17 had Herpes simplex virus encephalitis (HSVE). Transient amnesia (TENA) at the acute stage of the disease was found in 70% of patients. Furthermore, similarly to brain trauma, TENA was found to indicate cognitive outcome. The frequency of persisting global amnesia syndrome with both anterograde and retrograde amnesia in all encephalitic patients was 6%. One patient had isolated retrograde amnesia, which is very rare. In HSVE the frequency of global amnesia was 12.5%, which is lower than expected. As a group, HSVE patients were not found to have a homogeneous pattern of amnesia, instead subgroups among all encephalitic patients were observed: some patients had impaired semantic memory, some had difficulty predominantly with executive functions and some suffered from an increased forgetting rate. Herpes zoster encephalitis was found to result in mild memory impairment only, and the qualitative features indicated a subcortical dysfunction. On the whole, the cognitive deficits were predominantly found to diminish during follow-up. Progressive deterioration was often associated with intractable epilepsy. The frequency of dementia was 12.5%. In conclusion, the neuropsychological outcome, especially in HSVE, was more favourable than has previously been reported, possibly due to early acyclovir medication. Memory disorders after encephalitis should not be considered uniform, and the need for neuropsychological rehabilitation should be considered case-by-case
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Currently, there are nine known human herpesviruses and these viruses appear to have been a very common companion of humans throughout the millenia. Of human herpesviruses, herpes simplex viruses 1 and 2 (HSV-1, HSV-2), causative agents of herpes labialis and genital herpes, and varicella-zoster virus (VZV), causative agent of chicken pox, are also common causes of central nervous system (CNS) infections. In addition, human cytomegalovirus (CMV), Epstein-Barr virus (EBV) and human herpesviruses 6A, 6B, and 7 (HHV-6A, HHV-6B, HHV-7), all members of the herpesvirus family, can also be associated with encephalitis and meningitis. Accurate diagnostics and fast treatment are essential for patient recovery in CNS infections and therefore sensitive and effective diagnostic methods are needed. The aim of this thesis was to develop new potential detection methods for diagnosing of human herpesvirus infections, especially in immunocompetent patients, using the microarray technique. Therefore, methods based on microarrays were developed for simultaneous detection of HSV-1, HSV-2, VZV, CMV, EBV, HHV-6A, HHV-6B, and HHV-7 nucleic acids, and for HSV-1, HSV-2, VZV, and CMV antibodies from various clinical samples. The microarray methods developed showed potential for efficiently and accurately detecting human herpesvirus DNAs, especially in CNS infections, and for simultaneous detection of DNAs or antibodies for multiple different human herpesviruses from clinical samples. In fact, the microarray method revealed several previously unrecognized co-infections. The microarray methods developed were sensitive and provided rapid detection of human herpesvirus DNA, and therefore the method could be applied to routine diagnostics. The microarrays might also be considered as an economical tool for diagnosing human herpesvirus infections.
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Safety, efficacy and enhanced transgene expression are the primary concerns while using any vector for gene therapy. One of the widely used vectors in clinical. trials is adenovirus which provides a safe way to deliver the therapeutic gene. However, adenovirus has poor transduction efficiency in vivo since most tumor cells express low coxsackie and adenovirus receptors. Similarly transgene expression remains low, possibly because of the chromatization of adenoviral genome upon infection in eukaryotic cells, an effect mediated by histone deacetylases (HDACs). Using a recombinant adenovirus (Ad-HSVtk) carrying the herpes simplex thymidine kinase (HSVtk) and GFP genes we demonstrate that HDAC inhibitor valproic acid can bring about an increase in CAR expression on host cells and thereby enhanced Ad-HSVtk infectivity. It also resulted in an increase in transgene (HSVtk and GFP) expression. This, in turn, resulted in increased cell kill of HNSCC cells, following ganciclovir treatment in vitro as well as in vivo in a xenograft nude mouse model.
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The objective of this study was to assess the utility of two subjective facial grading systems, to evaluate the etiologic role of human herpesviruses in peripheral facial palsy (FP), and to explore characteristics of Melkersson-Rosenthal syndrome (MRS). Intrarater repeatability and interrater agreement were assessed for Sunnybrook (SFGS) and House-Brackmann facial grading systems (H-B FGS). Eight video-recorded FP patients were graded in two sittings by 26 doctors. Repeatability for SFGS was from good to excellent and agreement between doctors from moderate to excellent by intraclass correlation coefficient and coefficient of repeatability. For H-B FGS, repeatability was from fair to good and agreement from poor to fair by agreement percentage and kappa coefficients. Because SFGS was at least as good in repeatability as H-B FGS and showed more reliable results in agreement between doctors, we encourage the use of SFGS over H-B FGS. Etiologic role of human herpesviruses in peripheral FP was studied by searching DNA of herpes simplex virus (HSV) -1 and -2, varicella-zoster virus (VZV), human herpesvirus (HHV) -6A, -6B, and -7, Epstein-Barr virus (EBV), and cytomegalovirus (CMV) by PCR/microarray methods in cerebrospinal fluid (CSF) of 33 peripheral FP patients and 36 controls. Three patients and five controls had HHV-6 or -7 DNA in CSF. No DNA of HSV-1 or -2, VZV, EBV, or CMV was found. Detecting HHV-7 and dual HHV-6A and -6B DNA in CSF of FP patients is intriguing, but does not allow etiologic conclusions as such. These DNA findings in association with FP and the other diseases that they accompanied require further exploration. MRS is classically defined as a triad of recurrent labial or oro-facial edema, recurrent peripheral FP, and plicated tongue. All three signs are present in the minority of patients. Edema-dominated forms are more common in the literature, while MRS with FP has received little attention. The etiology and true incidence of MRS are unknown. Characteristics of MRS were evaluated at the Departments of Otorhinolaryngology and Dermatology focusing on patients with FP. There were 35 MRS patients, 20 with FP and they were mailed a questionnaire (17 answered) and were clinically examined (14 patients). At the Department of Otorhinolaryngology, every MRS patient had FP and half had the triad form of MRS. Two patients, whose tissue biopsies were taken during an acute edema episode, revealed nonnecrotizing granulomatous findings typical for MRS, the other without persisting edema and with symptoms for less than a year. A peripheral blood DNA was searched for gene mutations leading to UNC-93B protein deficiency predisposing to HSV-1 infections; no gene mutations were found. Edema in most MRS FP patients did not dominate the clinical picture, and no progression of the disease was observed, contrary to existing knowledge. At the Department of Dermatology, two patients had triad MRS and 15 had monosymptomatic granulomatous cheilitis with frequent or persistent edema and typical MRS tissue histology. The clinical picture of MRS varied according to the department where the patient was treated. More studies from otorhinolaryngology departments and on patients with FP would clarify the actual incidence and clinical picture of the syndrome.