860 resultados para Expérience subjective
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In this paper, we address the relationship between age and several dimension of subjective well-being. Whilst literature generally finds a U-shaped age-profile in subjective well-being, this age-pattern might only hold after controlling for objective life circumstances. The observed U-shaped age-profile might further not generalize to other dimensions of well-being and might vary across countries and cultures. Our study examines the relationship between age and several dimensions of well-being as well as the effect of objective life circumstances using the WHO Study on Global AGEing and Adult Health (SAGE). Our results suggest a decreasing age profile in the raw data associated with evaluative well-being, while experienced well-being shows a rather flat or slightly increasing pattern. However, age per se is not a cause of a decline in evaluative well-being. The negative age-profile in evaluative well-being is mainly explained by changes in life circumstances associated with aging. Controlling for socio-demographic factors, we find higher levels of well-being for older persons relative to their middle-aged counterparts. In contrast, we find that changes in life circumstances have a much smaller effect on experienced well-being.
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R��sum�� La mobilit�� ne signifie plus uniquement se mouvoir d'un point �� un autre ; il s'agit d'un concept lui-m��me en constante ��volution, gr��ce au progr��s technique et �� l'innovation sociale notamment. Aujourd'hui, la recherche de la vitesse n'est plus le seul enjeu au coeur de nos pr��occupations. Elle a ��t�� remplac��e par un retour au voyage enrichi par l'expérience et ce quelle que soit sa dur��e. Cet enrichissement s'est principalement fait par le truchement des technologies de l'information et de la communication et peut prendre plusieurs formes li��es aux probl��matiques contemporaines de la ville et du territoire. Citons comme exemple la valorisation du temps de d��placement, gr��ce �� un meilleur acc��s �� l'information (travail, r��seaux sociaux, etc.) et �� la recherche d'une plus grande coh��rence entre l'acte de se mouvoir et l'environnement proche ou lointain. Cette �� recontextualisation �� du mouvement nous interpelle dans notre rapport �� l'espace et nous donne ��galement des pistes pour repenser le m��tier d'urbaniste de la ville intelligente. Abstract Mobility issues do not only involve the act of moving nowadays. The concept itself evolves continuously thanks to technological and social innovations. The main stakes do not focus anymore on improving speed, but on enriching the experience of travelling, even in the case of short trips. One of the main factors that fosters this evolution is the progressive adoption of information and communication technologies that help to reshape the issues of contemporary cities. For example, the quality of travel time has improved thanks to the ubiquitous accessibility to information, and by offering a better coherence between the trip and the immediate social environment. The "recontextualisation" of everyday activities (working, interacting, etc.) challenges the relationship individuals have with space and offers many clues in regard to the required skills that urban planners and designers of the smart city should possess.
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Objectives: This study aims to explore subjectives theories (Flick, 1991) concerning sexualityamong gynaecologists. Methods: We conducted 27 deepened semi-structured interviews withmen and women gynaecologists, in the French part of Switzerland. A thematic contentanalysis was applied to the entire corpus. Results: We observe that discourse on sexualityissues can be source of discomfort during consultation with patients. Our analysis highlightsdisparities among levels of knowledge, attitudes and practices in gynaecologists. We observedthat their knowledges on sexuality seem to be constructed mainly on a profane knowledgebased on the common sense and/or their personal experiences. Furthermore, our findingsshow sex differences among physicians, especially on theoretical perspectives underlying theirdiscourse, and the time they allow themselves to spend with a patient. Conclusion: Nowadays,gynaecologists come across sexuality issues that go beyond anatomical and physiologicalconsiderations and for which they are not necessarily qualified. Our research suggests toanalyse both the role and the limits of gynaecologists as well as the motivations guiding theircurrent practice.
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Aim:  The aim of this research is to assess the associations between subjective pubertal timing (SPT) and onset of health-compromising behaviours among girls reporting an on-time objective pubertal timing (OPT). Methods:  Data were drawn from the Swiss SMASH 2002 survey, a self-administered questionnaire study conducted among a nationally representative sample of 7548 adolescents aged 16-20 years. From the 3658 girls in the initial sample, we selected only those (n = 1003) who provided information about SPT and who reported the average age at menarche, namely 13, considering this as an on-time OPT. Bivariate and logistic analyses were conducted to compare the early, on-time and late SPT groups in terms of onset of health-compromising behaviours. Results:  A perception of pubertal precocity was associated with sexual intercourse before age 16 [adjusted odds ratio (AOR): 2.10 (1.30-3.37)] and early use of illegal drugs other than cannabis [AOR: 2.55 (1.30-5.02)]. Conversely, girls perceiving their puberty as late were less likely to report intercourse before age 16 [AOR: 0.30 (0.12-0.75)]. Conclusion:  Faced with an adolescent girl perceiving her puberty as early, the practitioner should investigate the existence of health-compromising behaviours even if her puberty is or was objectively on-time.
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Cet article d��crit les proc��dures de soins mises en place depuis 10 ans au Centre de jeu excessif �� Lausanne pour int��grer les proches dans le traitement des addictions aux jeux d'argent. Ce bilan permet de d��gager ��galement des pistes pour am��liorer cette prise en compte des proches, que ce soit au niveau de la formation ou au niveau politique. (r��d.).
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La prise en charge des voies a��riennes est un aspect majeur de l'anesth��sie dont le d��faut de gestion reste la premi��re cause de mortalit�� per-anesth��sique. La fibroscopie reste �� l'heure actuelle une technique cl�� pour la gestion des situations d'intubation difficiles, mais les fibroscopes standards r��utilisables sont couteux, fragiles et doivent ��tre nettoy��s et d��sinfect��s entre chaque utilisation. L'apparition sur le march�� de l'Ambu ��aScope?2, vid��oscope souple �� usage unique pourrait servir d'alternative si ses capacit��s d'intubation dans des situations cliniques difficiles ��taient d��montr��es. Plusieurs ��tudes existaient d��montrant l'efficacit�� de cet appareil sur des mannequins en situation standard ou difficile simul��e, mais aucune n'avait test�� son efficacit�� dans des situations difficiles sur patients r��els, l'expérience dans se domaine se limitant �� quelques case reports. Le but de cette ��tude ��tait de comparer l'Ambu ��aScope?2 au fibroscope conventionnel dans des situations d'intubation difficiles sur patients r��els. Apr��s leur accord, 100 patients pr��vus pour une chirurgie ��lective n��cessitant une intubation oro-trach��ale ont ��t�� r��partis de fa��on al��atoire en deux groupes homog��nes de 50. La difficult�� d'intubation ��tait induite par la mise en place d'une minerve semi-rigide apr��s anesth��sie g��n��rale, emp��chant ainsi toute mobilisation cervicale et limitant grandement l'ouverture de bouche. Les points de comparaisons ��taient : Succ��s ou ��chec d'intubation, temps n��cessaire pour la proc��dure, difficult�� subjective du geste et qualit�� de vision des structures anatomiques. Tous les patients ont ��t�� intub��s avec succ��s dans les deux groupes dans des d��lais tout �� fait satisfaisant. Cependant, le temps n��cessaire �� l'obtention d'un positionnement correct du tube dans la trach��e ��tait significativement plus long avec l'Ambu ��aScope?2. Par ailleurs, la qualit�� de vision, tout en restant suffisante pour permettre l'intubation ��tait globalement moins bonne avec l'appareil �� usage unique. Quand �� la difficult�� subjective du geste, elle ��tait plus souvent class��e interm��diaire ou difficile dans ce groupe, sans pour autant que la diff��rence soit significative. Les difficult��s ��taient principalement dues �� un manque de mobilit�� de la partie flexible, l'absence de canal d'aspiration des s��cr��tions et une lentille de moins bonne qualit��, troublant la vision au contacte de la salive. Bien que le taux de succ��s des intubations soit identique dans les deux groupes, il est probable que la solide expérience de l'anesth��siste en mati��re de fibroscopie ait permis de contourner les conditions plus difficiles du groupe de l'Ambu ��aScope?2 et ses performances techniques inf��rieures. Il est donc difficile de le recommander comme alternative ��quivalentes au fibroscope conventionnel pour les diverses situations d'intubation difficiles que l'on peut rencontre en clinique.
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Des ��quipes mobiles de psychiatrie ont ��t�� d��velopp��es dans les trois ��ges pour r��pondre aux besoins de personnes qui devraient b��n��ficier d'une ��valuation ou de soins sp��cialis��s, lorsque ceux-ci doivent avoir lieu �� domicile. Pour arriver �� ce but, les ��quipes tissent de forts liens de partenariat dans le r��seau, que ce soit avec les proches ou avec les professionnels impliqu��s. Les principes g��n��raux d'intervention sont semblables entre les ��ges : une population cible d��finie, une intervention �� domicile au b��n��fice ��galement des proches et des soins de proximit��, des ��quipes pluridisciplinaires avec une charge de cas limit��e pour garantir leur disponibilit��. Les sp��cificit��s de chaque ��ge seront analys��es. Mobile teams have been developed for the three ages to meet the needs of people who should receive--but do not access to--a psychiatric assessment or to specialized care. To achieve this goal, the teams built a strong partnership within the social network, both with relatives and professionals involved. The general principles of intervention are similar between the ages: a focused target population, assertive outreach which benefits also relatives and carers, multidisciplinary teams with a limited caseload to ensure availability. The specificities of each age will be analyzed