999 resultados para Exclusion et renvoi vers la torture
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Sous le titre ci-dessus est le récit en prose, mêlé de vers, des cérémonies qui suivirent la mort, arrivée à Blois, le 9 janvier 1514, de la reine Anne de Bretagne, et qui accompagnèrent son corps, depuis le château de Blois jusqu'à l'enterrement à St-Denis, et son coeur jusqu'aux Carmes de Nantes, où le narrateur clôt sa relation, à la date du 1er juin 1514. Cette relation est précédée d'une dédicace en 14 vers, de l'auteur à Louise de Savoie, duchesse d'Angoulême, mère de François Ier. Premiers vers (fol. 1. v°) : « Dame royalle, très excellente princesse, D'Angomays et d'Anjou noble duchesse... » La relation commence et finit par des vers. Premiers vers (fol. 2 r°) : « Noblesse, hélas ! si je n'ai bouche ou langue, Pour faire icy suffisante harangue... » Derniers vers (fol. 57 v°) : « Si les prie et requier de faire à Dieu prière Qu'il mecte ma povre ame en celeste lumiere. Amen ! » Dans le cours de cette relation sont insérés : — fol. 3, « la genealogie de ladite dame » ; — fol. 19 à 21, « rondeaux, en forme d'epitache et complaincte de mort » et « la deploracion des lieux où plus souvent lad. dame frequentoit », par « ung sien secretaire nommé maistre ANDRY DE LA VIGNE » ; — fol. 27, autre « rondeau » du même, « mys à St-Saulveur » de Blois. Ornementation. — L'ornementation de ce ms. mérite d'être décrite Elle se compose de miniatures et d'armoiries peintes. Les miniatures sont au nombre de dix et à pleine page, savoir : — fol. 12 v°, Anne de Bretagne, revêtue de ses habits royaux, est étendue sur un lit de parade « en sa salle d'honneur, au corps de maison neuf, sur le devant dud. chasteau de Bloys, où la noble dame print repos jusques au lundi soir », 16 janvier 1514 ; — fol. 14 v°, la mise en bière, à laquelle assistent, lit-on (fol. 15) : « Piédouant, roy d'armes, et heraulx Bretaigne, Vennes et Hennebont » ; — fol. 16 v°, le cercueil d'Anne de Bretagne entouré de religieux, avec les trois hérauts d'armes au pied dud. cercueil ; — fol. 19 r°, « ung signe qui avoit esté veu sur la ville de Suze, le jour qu'elle mourut » ; — fol. 25 r°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans « l'eglise S. Saulveur, hors du chasteau » ; — fol. 38 v°, ledit cercueil porté « soubz ung poisle » dans les rues de Paris : — fol. 40 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de N.-D. de Paris ; — fol. 42 v°, ledit cercueil sous la chapelle ardente établie dans l'église de St-Denis; — fol. 51 v°, chapelle ardente établie dans l'église des Carmes de Nantes, pour la cérémonie qui précéda le dépôt du coeur de ladite reine « soubz la voulte où gisoient le père et la mère de lad. dame »; — fol. 55 r°, figure du coeur d'or, dans lequel était placé le coeur d'Anne de Bretagne. Les armoiries peintes sont les suivantes : — fol. 1 v°, écu parti de France et de Bretagne, surmonté de deux couronnes et soutenu à destre par un ange, de l'épaule gauche duquel tombe en arrière une banderole sur laquelle on lit : « Rogo pro te, Anna », et à senestre par un lion de la gueule duquel sort une banderole sur laquelle on lit : « Libera eam de ore leonis » ; et est à noter que ledit écu est entouré d'une cordelière d'or, au-dessous de laquelle est une hermine ayant au col un fanion aux armes de France et de Bretagne, et que cette hermine a au-dessous d'elle un cartouche qui porte ces mots : « A ma vie » ; — fol. 28 r°, armes de Blois ; — fol. 30 v°, armes d'Orléans ; — fol. 31 v°, armes de Janville ; — fol. 32 v°, armes d'Étampes ; — fol. 33 r°, armes d'une famille d'Étampes, tirant son origine de « Hue Le Maire, Sr de Chaillou » ; — fol. 37 v°, armes de la ville de Paris ; — fol. 49 r°, armes de la ville de Nantes et écu parti de France et de Bretagne, écu répété en marge du feuillet 50 v°. Les armoiries de villes ci-dessus indiquées sont placées en marge des endroits où il est question du passage du cortège funèbre à travers lesdites villes.
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Contient : « Genealogiacomitum Provincie, ex qua facile cognoscitur jus pertinensad Christianissimum regem Francie in pluribus regnis..., ratione successionis ejusdem comitatus » ; « Compendiosa demonstratio, qua clare dignoscitur civitatem Avinionis et comitatum Venaysini esse de comitatu Provinciæ, et ad Christianissimum dominum nostrum regem comitem pertinere » ; « Jura Christianissimi regis in comitatibus Nicie, Vintimilii et in Terra nova » ; « Designatio jurium regiorum comitatus Pedimontis et quarundam civitatum... Lombardie » ; « Demonstratio juris Christianissimi regis in regnis Aragonum, Valentie, Corsice, Sardinie, Majoricarum, Minoricarum, Evice, comitatus Barchinonensis [et] aliis pluribus dominiis » ; « Discours fait par Jean de Selva [Selve], premier président du Parlement de Paris, ambassadeur vers Charles-Quint, empereur, pour la délivrance du roy François premier » [cf, mss français 18055, f. 79 ; 18059, f. 1, etc.] ; Entrevues de François de Tournon, archevêque d'Embrun, et du président de Selve, avec le chancelier de l'Empereur, et procès-verbal de négociations diverses, au sujet de la même affaire, 1525 [cf. mss français 18058, 18059, f. 5, etc.] ; « La descente et succession des princes de France et de Bourgogne » [cf, ms. français 18563, 2e partie, f. 88] ; Négociations des traités de Madrid, 1525 (f. 88), — et de Cambrai, 1529 (f. 127 v) ; Traité des privilèges qu'ont les rois de France sur les églises de leur royaume ; « Degrez et branchages pour monstrer que la duché de Bourgoigne est par succession escheue au roy Jehan et unye à la Couronne... » ; Recueil de pièces et de mémoires concernant le duché d'Alençon et le Perche ; « Mémoire pour remonstrer au Roy les grandes usurpations que faict le duc de Savoye et ses officiers sur les terres de l'archevesque de Lyon estant oultre le fleuve de la Saonne » ; « Mémoire touchant la duché de Bar et de Lorraine » ; « De Sabaudia et confinibus regni Francie et Imperii disputatio cum oratoribus ducis Sabaudie » (f. 252 v), — et pièces diverses, concernant les relations diplomatiques entre la France et la Savoie au XVe siècle, notamment actes de Louis, duc de Savoie (f. 300 v et suiv.), et de Louis XI (f. 304) ; Pièces relatives aux foires de Brie et de Champagne, actes royaux, etc. (f. 316), — notamment actes de Louis XI (f. 332) ; « Privilèges de la ville de Paris, confirmez par le roy Charles VIIIe », 1483 ; Table récente pour une partie du volume, en tête ; Table ancienne pour l'autre partie, « tabula hujus secundi voluminis », en tête de cette seconde partie
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Contient : 1° Sermons ; 2° « L'Estoire des Troiens... escrite en griu par DARES le Frigien », traduction de « JOFROI DE WATREFORD et SERVAIS COPALE » ; 3° « L'Estoire des Romains, escrite par ETROPIUS », traduction de « JOFROI DE WATREFORD et SERVAIS COPALE » ; 4° Le « Segré de segrez », par « ARISTOTLES », traduction de « JOFROI DE WATREFORD et SERVAIS COPALE » ; 5° « L'Ymagene del monde » [par GAUTIER DE METZ] ; 6° « Li Sermons de la crois » ; 7° « La Passion Deu » ; 8° Le Trépassement Notre-Dame ; 9° Les Fables d'«YSOPE », traduction de « MARIE DE FRANCE » ; 10° « Li petis Livres de moralitez » ; 11° « Le Livre que om apelle Lucidaire » ; 12° « Li Prologes de Secré de secrés » d'« ARISTOTLE », par « JOFROI DE WATREFORD »
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Contient : 1° Sermons ; 2° « L'Estoire des Troiens... escrite en griu par DARES le Frigien », traduction de « JOFROI DE WATREFORD et SERVAIS COPALE » ; 3° « L'Estoire des Romains, escrite par ETROPIUS », traduction de « JOFROI DE WATREFORD et SERVAIS COPALE » ; 4° Le « Segré de segrez », par « ARISTOTLES », traduction de « JOFROI DE WATREFORD et SERVAIS COPALE » ; 5° « L'Ymagene del monde » [par GAUTIER DE METZ] ; 6° « Li Sermons de la crois » ; 7° « La Passion Deu » ; 8° Le Trépassement Notre-Dame ; 9° Les Fables d'«YSOPE », traduction de « MARIE DE FRANCE » ; 10° « Li petis Livres de moralitez » ; 11° « Le Livre que om apelle Lucidaire » ; 12° « Li Prologes de Secré de secrés » d'« ARISTOTLE », par « JOFROI DE WATREFORD »
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Contient : 1 « Epistre envoyée d'une dame de Paris à son mary à La Rochelle. De JEHANNE à Jehan » ; 2 « Chanson qui ce relist au rebours, et chacune ligne rentre enclose » ; 3 Épître par le roi FRANÇOIS Ier ; 4 Rondeau ; 5 Rondeau ; 6 Rondeau ; 7 Rondeau ; 8 Rondeau ; 9 Rondeau ; 10 Rondeau ; 11 Rondeau ; 12 Rondeau ; 13 Rondeau ; 14 Rondeau ; 15 Rondeau ; 16 Rondeau ; 17 Rondeau ; 18 Rondeau ; 19 Rondeau ; 20 Rondeau ; 21 Rondeau ; 22 Rondeau ; 23 Rondeau ; 24 Rondeau ; 25 Rondeau ; 26 Rondeau ; 27 Rondeau ; 28 Rondeau ; 29 Rondeau ; 30 Rondeau ; 31 Rondeau ; 32 Rondeau ; 33 Rondeau ; 34 Rondeau ; 35 Rondeau ; 36 Rondeau ; 37 « La Harengue de monseigneur le duc CARLES D'OLEANS » ; 38 « L'Oraison que feist Demonstenes au roy Alexendre » ; 39 Rondeau ; 40 Stances ; 41 « Espistre adresante à monseigneur de Ligny », par le « bailly D'ESTELLAN » ; 42 « Responce au bailly d'Estellan », par « monseigneur DE LIGNY » ; 43 « Aultre Responce au dict seigneur conte de Ligny », par « le bailly D'ESTELLAN » ; 44 « Espitre du dict seigneur conte DE LIGNY au dict bailly d'Estellan, dont il n'y a que quatre lignez de sa main et le surplus de maistre JEHAN LE MERE » ; 45 « Autre Responce au dict seigneur de Ligny », par le « bailly D'ESTELAN » ; 46 « Autre Espitre du dict seigneur conte DE LIGNY adressante au dict d'Estellan, faicte par le dict MERE » ; 47 « Espitre du dict D'ESTELLAN au dict seigneur conte de Ligny » ; 48 « Autre Responce du bailly D'ESTELLAN à une espitre perdue que le dict seigneur conte luy avoit envoyée » ; 49 « Espitre adresante à madamoysselle de La Tour » ; 50 « Autre Espitre à la dicte damoyselle de La Tour » ; 51 « Responce de la dicte damoyselle DE LA TOUR à la lectre premyere » ; 52 « Responce à la dicte damoyselle de La Tour à l'espitre qui est devant ceste cy » ; 53 « Espitre » ; 54 « Espitre » ; 55 « Espitre » ; 56 « Espitre » ; 57 « Espitre » ; 58 « Espitre » ; 59 « Responce de la baillifve DE VIENNOYS à une espitre que l'escuier Bernart de La Villeneufve luy avoyt escripte » ; 60 « Espitre à monseigneur de Guysse » ; 61 « Espitre de la Maistresse de Portz de Lyon à monseigneur de Chastillon » ; 62 « Espitre de monseigneur DE CHASTILLON et du bailly D'ESTELLAN, adressante au bastard du Liege » ; 63 « Espitre de monseigneur DE CHASTILLON, adressante au bailly d'Estellan » ; 64 « Responce du dict bailly D'ESTELLAN au dict seigneur de Chastillon,... » ; 65 « Autre Responce du dict seigneur DE CHASTILLON au dict bailly d'Estellan » ; 66 « Responce du dict ESTELLAN au dict seigneur de Chastillon » ; 67 « Espitre à messieurs de Calabre et de Fois » ; 68 « Response de monseigneur DE BONNEVAL et du bailly D'ESTELLAN adressante à monseigneur de Lautrec » ; 69 « Espitre à madamoyselle de Clere » ; 70 « Espitre » ; 71 « Espitre du bailly D'ESTELLAN à monseigneur de Lautrec » ; 72 « Espitre » ; 73 « Espitre » ; 74 « Responce à l'espitre precedante » ; 75 « Espitre adressante à monseigneur Des Chesnes, de par une dame », par madame « DE MAILLY » ; 76 « Responce à l'espitre precedante », par monseigneur « DES CHESNES » ; 77 « Espitre adresante à madamoyselle de Haultot » ; 78 « Responce de la dicte damoyselle à l'espitre precedante » ; 79 « Autre Espitre à la dicte damoyselle de Hautot » ; 80 « Autre Responce de la dicte damoyselle DE HAUTOT » ; 81 « Autre Espitre à la dicte damoyselle de Hautot » ; 82 « Espitre adresant à Monseigneur », par « le bailly D'ESTELLAN » ; 83 « Responce de Monseigneur à l'espitre precedante » ; 84 « Epistre » ; 85 « Espitre pour responce d'une lectre que monseigneur de Larchau avoyt escripte au bailly d'Estellan,... » ; 86 « Espitre » ; 87 Épître ; 88 Ballade. Refrain : « Amour, desir, regrect, espoir et doubte » ; 89 « Rallade ». Refrain : « Ayant l'honneur de l'estrif et combat » ; 90 « Ballade ». Refrain : « On n'a jamaiz ce qu'amours ont cousté » ; 91 « Ballade ». Refrain : « Bien mauldit est qui ne saulve son ame » ; 92 « Ballade ». Refrain : « Coulde becquar moury plat sur sados » ; 93 Épître ; 94 Épître ; 95 Épître ; 96 Épître ; 97 Épître ; 98 Épître ; 99 Épître ; 100 « Espitre » ; 101 « Rondeau » ; 102 Épître ; 103 « Rondeau » ; 104 Épître ; 105 Rondeau ; 106 Épître ; 107 Rondeau ; 108 Procès et condamnation de Thomas Morus
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Contient : « Parties deues par le Roy à la royne d'Escosse, douairière de France » [cf. ms. français 15972, f. 35] ; « Estat de la despense fournie... par Monsieur de Beaumont, en divers voyages qu'il a faict faire exprès en Escosse..., vers Mr le baron Du Tour [Maupas], pour lui faire tenir les pacquetz de Sa Majesté... », duplicata, 1603 ; « Mémoire des sommes de deniers que la royne d'Angleterre a prestées ou desboursées pour le Roy très-chrestien », 1587-1596 ; « Mémoires touchant les traictez faicts entre les Anglois et François, pour empescher les pirateries et establir la liberté et seureté du commerce et de la navigation entre ces nations » [différents des pièces contenues dans le ms. français 15975, f. 71 et suiv.], et pièces relatives à divers actes de piraterie, états de marchandises, etc., 1559-1605 ; On remarque dans ce dossier : « Mémoire » orig. de Henri IV, « contenant la volonté du Roy sur les articles du règlement de la mer, proposez et traictez en Angleterre par le sieur de Boissize... », 1599 (f. 25), — une lettre orig. de « François Lefort » à Mr de Boissise, 1599 (f. 27), — et une lettre orig. de Henri IV au même, 1601 (f. 86) ; Pièces diverses, relatives au commerce des draps entre la France et l'Angleterre, 1600-1605
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Contient : 1 Histoire de Dagobert et de son fils Louis (Clovis II), et faits et gestes de Assaillant, comte de Dammartin, et de son fils Guérard, en 12 chapitres. Table des chapitres. (Fol. 1.) Le premier chapitre commence par : « En l'an de l'incarnation Nostre Seigneur six cens trante, Dagobert, roy de France... ». (Fol. 4 v°.) Le douzième chapitre finit par : «... et confundirent les mecréans en exaltant tousjours la loy de Nostre Seigneur ». (Fol. 64 v°) ; 2 Dispute entre Alexandre, Annibal et Scipion, au sujet de la prééminence, et jugement de Minos ; 3 Pièce de vers en l'honneur d'une dame ; 4 « L'Epytaphe de Hector » ; 5 « L'Espytaphe d'Achilles » ; 6 Complainte sur la mort de Charles VIII, incomplète du commencement. Les premiers vers sont ; 7 « Epitaphe du roy Charles huitiesme de ce nom » ; 8 Sur la mort de Philippe Ier d'Autriche, roi d'Espagne, mort le 25 sept. 1506, agé de 28 ans ; 9 Note sur le mariage, le 1er sept. 1538, de « noble homme Françoys d'Orléans, seigneur de Rouzay, filz de ... Françoys d'Orléans, grenetier d'Issoidum », et de « Jehanne Boutet », et sur la naissance de leurs enfants
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UANL
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L’intérêt marqué porté actuellement aux recherches NBIC (nano-bio-info-cognitivo technologies) visant l’optimisation des capacités humaines augure d’un profond bouleversement dans nos représentations du corps humain et du rapport humain-machine. Tour à tour, des travaux issus des domaines du génie génétique, de la pharmacologie, des biotechnologies ou des nanotechnologies nous promettent un corps moins sujet à la maladie, mieux « adapté » et surtout plus malléable. Cette construction en laboratoire d’un corps amélioré fait amplement écho aux préoccupations contemporaines concernant la santé parfaite, le processus de vieillissement, l’inaptitude, l’apparence, la performance, etc. En vue d’analyser les transformations qu’induisent ces recherches sur les représentations du corps, nous avons construit un modèle théorique appuyé, d’une part, sur des travaux en sociologie du corps et, d’autre part, sur des travaux en épistémologie des sciences. Puis, en scrutant différents textes de vulgarisation scientifique produits par des chercheurs transhumanistes – militant ouvertement en faveur d’une optimisation radicale des capacités humaines par le biais des technosciences –, il a été observé que les représentations du corps s’organisent autour de trois principaux noyaux. Le corps humain est présenté, dans ce discours, comme étant à la fois informationnel, technologiquement perfectible et obsolète. Cette représentation tripartite du corps permet aux transhumanistes d’ériger leur modèle d’action (i.e. amélioration des capacités physiques, intellectuelles, sensitives, émotionnelles, etc.) à titre de nécessité anthropologique. À leurs yeux, l’amélioration des conditions humaines doit passer par une mutation contrôlée de la biologie (i.e. une hybridation avec la machine) du fait que le corps serait « inadapté » au monde contemporain. Ainsi, les promesses NBIC, une fois récupérées par les chercheurs transhumanistes, se voient exacerbées et prennent une tonalité péremptoire. Ceci contribue vivement à la promotion du posthumain ou du cyborg, soit d’un individu transformé dans l’optique d’être plus robuste et intelligent, de moduler sa sensitivité et ses états émotifs et de vivre plus longtemps, voire indéfiniment. Enfin, situé à mi-chemin entre la science et la science-fiction, ce projet est qualifié de techno-prophétie en ce qu’il produit d’innombrables prévisions basées sur les avancées technoscientifiques actuelles et potentielles. Afin d’accroître l’acceptabilité sociale de leur modèle d’action, les transhumanistes ne font pas uniquement appel à la (potentielle) faisabilité technique; ils s’appuient également sur des valeurs socialement partagées, telles que l’autodétermination, la perfectibilité humaine, l’égalité, la liberté ou la dignité. Néanmoins, la lecture qu’ils en font est parfois surprenante et rompt très souvent avec les conceptions issues de la modernité. À leur avis, le perfectionnement humain doit s’opérer par le biais des technosciences (non des institutions sociales), sur le corps même des individus (non sur l’environnement) et en vertu de leur « droit » à l’autodétermination compris comme un droit individuel d’optimiser ses capacités. De même, les technosciences doivent, disent-ils, être démocratisées afin d’en garantir l’accessibilité, de réduire les inégalités biologiques et de permettre à chacun de renforcer son sentiment d’identité et d’accomplissement. L’analyse du discours transhumaniste nous a donc permis d’observer leurs représentations du corps de même que la résonance culturelle du projet qu’ils proposent.
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L’époque contemporaine est marquée par la mobilité des personnes, des biens et des idées. Dans ce contexte, les différences se côtoient et s’entrechoquent. Diverses stratégies sont mises de l’avant par les gouvernements, les groupes ou les individus pour réagir à ces nouveaux paradigmes. Nous montrons que la religion peut fournir un point d’ancrage et un cadre de signification partagé en reliant les gens dans un même espace-temps. L’étude de la communauté baha'ie de Montréal, un groupe religieux transnational qualifié de vieille « nouvelle religion », a permis de mettre en lumière l’articulation de l’idéologie cosmopolite, tant dans le message religieux que dans son appropriation par les membres. Cette idéologie est également une source d’inspiration dans la construction d’une identité baha'ie internationale puisqu’elle définit aussi l’appartenance à la communauté et qui se traduit par une appartenance au monde. L’identité religieuse est ici favorisée au détriment de l’identité ethnique tandis que l’accent est mis sur la diversité plutôt que l’homogénéité de la communauté. Les baha'is partagent des représentations collectives et un répertoire symbolique qui définissent leur projet de gouvernance mondiale. C’est dans ce contexte qu’ils allient les stratégies institutionnelles et personnelles pour reconnaître la place de tous en tant que citoyens du monde, et ce, dans la mise en place du « village global » baha'i.
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Cette présente recherche vise à défendre le point de vue selon lequel le don de l’Esprit dans le récit de la Pentecôte (Ac 2, 1-13) s’interprète principalement comme l’investissement d’une puissance habilitant au témoignage. À cette fin, nous posons l’hypothèse que le contenu d’Ac 2, 17-21 est un axe fondamental de la théologie pneumatique de l’œuvre lucanienne, lequel interprète la manifestation pentecostale dans une perspective prophétique. La démonstration se fait par le biais d’une analyse rédactionnelle d’Ac 2, 17-21, une citation de Jl 3,1-5 insérée dans un discours explicatif de Pierre du phénomène pentecostal. Nous examinons d’abord le lieu d’inscription de ce passage dans l’œuvre lucanienne afin d’évaluer la valeur stratégique de son emplacement (chapitre 1). Nous étudions ensuite l’interprétation que fait Luc de cette prophétie pour en venir à la conclusion qu’il envisage l’intervention de l’Esprit essentiellement dans une perspective d’habilitation à la prophétie (chapitre 2). Nous vérifions cette première conclusion dans l’Évangile de Luc (chapitre 3); puis ensuite dans les Actes des Apôtres (chapitre 4). Nous en arrivons ainsi à établir un parallélisme entre les étapes initiatiques du ministère de Jésus dans le troisième évangile et celui des disciples dans les Actes, pour y découvrir que, dans les deux cas, l’effusion de l’Esprit habilite à l’activité prophétique. Le ministère des disciples s’inscrit de la sorte dans le prolongement de celui du Maître. Nous soutenons, en fait, que tout le discours pneumatique de l’Évangile de Luc converge vers l’effusion initiale de l’Esprit sur les disciples dans le récit pentecostal, d’une part, et que cette effusion jette un éclairage sur l’ensemble de l’œuvre missionnaire des Actes, d’autre part. Bref, le passage explicatif du phénomène pentecostal, en l’occurrence Ac 2, 17-21, met en lumière un axe central des perspectives de Luc sur l’Esprit : Il s’agit de l’Esprit de prophétie. Dans cette optique, l’effusion de l’Esprit à la Pentecôte s’interpréterait essentiellement comme l’investissement du croyant d’une puissance en vue du témoignage.
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INTRODUCTION : En milieu urbain, l’amélioration de la sécurité des piétons pose un défi de santé publique. Pour chaque décès attribuable aux collisions routières, il y a des centaines de personnes blessées et, dans les pays riches, la diminution du nombre annuel de piétons décédés s’expliquerait en partie par la diminution de la marche. Les stratégies préventives prédominantes n’interviennent pas sur le volume de circulation automobile, un facteur pourtant fondamental. De plus, les interventions environnementales pour améliorer la sécurité des infrastructures routières se limitent habituellement aux sites comptant le plus grand nombre de décès ou de blessés. Cette thèse vise à décrire la contribution des volumes de circulation automobile, des pratiques locales de marche et de la géométrie des routes au nombre et à la répartition des piétons blessés en milieu urbain, et d’ainsi établir le potentiel d’une approche populationnelle orientée vers la reconfiguration des environnements urbains pour améliorer la sécurité des piétons. MÉTHODE : Le devis est de type descriptif et transversal. Les principales sources de données sont les registres des services ambulanciers d’Urgences-santé (blessés de la route), l’enquête Origine-Destination (volumes de circulation automobile), la Géobase du réseau routier montréalais (géométrie des routes) et le recensement canadien (pratiques locales de marche, position socioéconomique). Les analyses descriptives comprennent la localisation cartographique (coordonnées x,y) de l’ensemble des sites de collision. Des modèles de régression multi-niveaux nichent les intersections dans les secteurs de recensement et dans les arrondissements. RÉSULTATS : Les analyses descriptives démontrent une grande dispersion des sites de collision au sein des quartiers. Les analyses multivariées démontrent les effets significatifs, indépendants du volume de circulation automobile, de la présence d’artère(s) et d’une quatrième branche aux intersections, ainsi que du volume de marche dans le secteur, sur le nombre de piétons blessés aux intersections. L’analyse multi-niveaux démontre une grande variation spatiale de l’effet du volume de circulation automobile. Les facteurs environnementaux expliquent une part substantielle de la variation spatiale du nombre de blessés et du gradient socioéconomique observé. DISCUSSION : La grande dispersion des sites de collision confirme la pertinence d’une approche ne se limitant pas aux sites comptant le plus grand nombre de blessés. Les résultats suggèrent que des stratégies préventives basées sur des approches environnementales et populationnelle pourraient considérablement réduire le nombre de piétons blessés ainsi que les inégalités observées entre les quartiers.
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Problématique : La pénurie d’organes qui sévit actuellement en transplantation rénale incite les chercheurs et les équipes de transplantation à trouver de nouveaux moyens afin d’en améliorer l’efficacité. Le Groupe de recherche transdisciplinaire sur les prédicteurs du risque immunologique du FRSQ travaille actuellement à mettre en place de nouveaux outils facilitant la quantification du risque immunologique global (RIG) de rejet de chaque receveur en attente d’une transplantation rénale. Le calcul du RIG s’effectuerait en fonction de facteurs scientifiques et quantifiables, soit le biologique, l’immunologique, le clinique et le psychosocial. La détermination précise du RIG pourrait faciliter la personnalisation du traitement immunosuppresseur, mais risquerait aussi d’entraîner des changements à l’actuelle méthode de sélection des patients en vue d’une transplantation. Cette sélection se baserait alors sur des critères quantifiables et scientifiques. L’utilisation de cette méthode de sélection possède plusieurs avantages, dont celui d’améliorer l’efficacité de la transplantation et de personnaliser la thérapie immunosuppressive. Malgré tout, cette approche soulève plusieurs questionnements éthiques à explorer chez les différents intervenants œuvrant en transplantation rénale quant à sa bonne utilisation. Buts de l’étude : Cette recherche vise à étudier les perceptions de néphrologues transplanteurs et référents de la province de Québec face à l’utilisation d’une méthode de sélection des patients basée sur des critères scientifiques et quantifiables issus de la médecine personnalisée. Les résultats pourront contribuer à déterminer la bonne utilisation de cette méthode et à étudier le lien de plus en plus fort entre science et médecine. Méthodes : Des entretiens semi-dirigés combinant l’emploi de courtes vignettes cliniques ont été effectués auprès de 22 néphrologues québécois (transplanteurs et référents) entre juin 2007 à juillet 2008. Le contenu des entretiens fut analysé qualitativement selon la méthode d’analyse de Miles et Huberman. Résultats : Les résultats démontrent une acceptation généralisée de cette approche. La connaissance du RIG pour chaque patient peut améliorer le traitement et la prise en charge post-greffe. Son efficacité serait supérieure à la méthode actuelle. Par contre, la possible exclusion de patients pose un important problème éthique. Cette nouvelle approche doit toutefois être validée scientifiquement et accorder une place au jugement clinique. Conclusions : La médecine personnalisée en transplantation devrait viser le meilleur intérêt du patient. Malgré l’utilisation de données scientifiques et quantifiables dans le calcul du RIG, le jugement clinique doit demeurer en place afin d’aider le médecin à prendre une décision fondée sur les données médicales, son expertise et sa connaissance du patient. Une réflexion éthique approfondie s’avère nécessaire quant à l’exclusion possible de patients et à la résolution de la tension entre l’équité et l’efficacité en transplantation rénale.