753 resultados para Critical theory
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The recent sacking of the eminent scientist Tim Hunt from one of the UK’s leading research institutions is only the latest in a series of cases where public individuals have been derided for comments made in jest on social media, with serious consequences for their professional and personal lives. This article discusses the case of Tim Hunt as an example of the extent to which the privileging of the correct over the true which has long pervaded media discourse is taken to the extreme by the instant-response culture of social media. It points to the emergence of a new form of instantaneity enabled by these networked forms of communication that serves to reinforce systemic inaction rather than the change widely associated with these technologies. It draws on philosophy and Critical Theory as useful conceptual frameworks for highlighting the ways in which Twitter & co. increasingly call us to action but crowd out thought, thereby passing over opportunities for real social change.
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During the 1980's and for much of the 1990's, many countries in the Asia Pacific were renowned for their economic development and prosperity. The Asian tigers were a source of great interest for many economists and international investors. The 1997 Asian financial crisis, however, dramatically altered the growth and the performance of these economies. The crisis sent several ofAsia's best performing economies on a downward spiral from which many have yet to fully recover. The crisis exposed the financial and the political weaknesses ofmany countries in the region. Moreover, the crisis severely affected the wellbeing and the security ofmany ofthe region's citizens. This text will examine the economic crisis in greater detail and explore current debates in the study of international relations theory. More specifically, this paper will examine recent challenges posed to traditional international relations theory and address alternative approaches to this field of study. This paper will examine Critical theory and its role in shifting the referent object of security from the state to the individual. In this context, this paper will also assess Critical theory's role in enabling such issues as gender and human security to find a place on the agendas of international relations scholars and foreign policy makers. The central focus ofthis study will be the financial crisis and its impact on human security in the Southeast Asia. Furthermore, this paper will assess the recovery efforts ofthe domestic governments, international organizations and various Canadian sponsored initiatives in the context ofhuman security.
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My focus is on assessment criteria of language proficiency in community college education. To demand clear writing is an application of scientism; it seeks to keep separate the fact/value distinction of positivism. This dangerously undermines the democratizing possibilities of education, since clear writing, taken to its extreme, is ultimately anonymous and dehumanizing. The active student-as-citizen is, therefore, subsumed under the neoliberal dictate of the passive student-as-consumer. The process of language acquisition is reduced to a fictitious act of knowledge transmission and regurgitation, and, therefore, those subversive aspects of language learning, such as creativity and critical inquiry, are undermined. An initial overview of the tenets of modernity will provide a conceptual framework for this examination.
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L'espace public (1962) de Jürgen Habermas est souvent lu comme le premier ouvrage de sa carrière. Notre mémoire tâche de porter un éclairage différent sur celui-ci, de lire L'espace public comme point d'aboutissement de la pensée habermassienne des années 1950. Par l'exploration d'un certain nombre d'écrits mineurs et majeurs pré-1962, L'espace public se révèle une sorte de théorie critique de la société, encore fortement empreinte de marxisme, faisant figure de synthèse partielle des écrits de jeunesse.
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Traduction du titre en anglais: Making sense of governance in non-formal education : A critical analysis of the Senegalese faire faire strategy
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Dans la philosophie existentialiste de Sartre, l’existence précède l’essence. C’est-à-dire que c’est la réalité humaine vécue qui définit l’homme, et non une essence abstraite qui précèderait l’existence. L’essence de la vie humaine ne serait donc pas à la portée de la philosophie, qui voudrait établir une essence qui transcenderait la réalité humaine. Pour Sartre, cette tentative d’établir une essence est vaine. L’homme n’est pas simplement, mais a à être. Sartre entrevoit dans cette exigence la seule vraie possibilité de la liberté : la liberté c’est précisément le néant qui est au cœur de l’homme et qui contraint la réalité humaine à se faire au lieu d’être. Cette notion de la liberté absolue de l’homme est très forte et a évidemment suscité la critique. Sartre s’est attiré notamment la désapprobation des penseurs de l’École de Francfort. Ils lui reprochent de ne pas rendre justice aux déterminations spécifiques qu’impose le contexte historique, social et matériel. Sa notion de liberté viendrait dissocier l’horizon des possibilités des processus qui les fixent et, du coup le mène à cautionner tacitement le statut quo, en empêchant la liberté de servir de critère pour critiquer la domination existante. Une philosophie existentialiste reste-t-elle possible par-delà cette critique? La croyance en le caractère absurde de la vie humaine et l’exigence à se faire pour donner un sens à l’existence peuvent-elles tenir sans postuler la liberté absolue? Ou bien cette liberté doit-elle nécessairement être circonscrite par une théorie sociale critique, sans quoi l’existentialisme colportera clandestinement le maintien du statu quo?
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Theodor W. Adorno (1903-1969) propose une philosophie dont les problèmes centraux concernent la réalité sociale. Depuis cette perspective, nous démontrerons, à travers la présentation de quelques modèles théoriques, comment les problèmes traités sont déterminés historiquement et comment la quête de leur résolution engage la philosophie à entrer dans un rapport critique avec elle-même. Cette critique a pour but de corriger les excès de la théorie de la vérité comme adéquation dont la philosophie s’est montrée responsable, tant vis-à-vis d’elle-même que vis-à-vis de l’histoire. À travers ce parcours, nous défendons la thèse que le modèle adornien effectue une « négation déterminée » du concept de totalité sociale en vue d’orienter le penser vers la conscience et la connaissance des éléments hétérogènes de la réalité. Selon nous, une telle réorientation permettrait de rouvrir la conscience à l’expérience de ce qu’elle a de plus précieux : la possibilité de rendre compte de ses erreurs et de les corriger.
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L’histoire du concept d’idéologie est riche des différentes définitions qui ont tenté de le circonscrire, en tension entre la description de visions du monde et la dénonciation de la « fausse conscience ». Chez les penseurs regroupés sous le nom d’ « École de Francfort », l’idéologie en vient à équivaloir au phénomène de l’industrie culturelle, c’est-à-dire la mise au service de la raison technique dans la production de la culture. Le statut du cinéma est intéressant à cet égard : non seulement est-ce un art né à l’époque industrielle et indissociable des possibilités techniques offertes par celle-ci, mais il a été mobilisé pour de nombreuses entreprises propagandistes, plus ou moins subtiles. La question directrice de l’interrogation est donc la suivante : selon la théorie critique de l’École de Francfort, le cinéma peut-il être considéré comme de l’art ou est-il confiné au domaine de l’idéologie ? Autrement dit, le cinéma peut-il revendiquer un statut qui ne ferait pas de lui qu’un support de la domination de l’humain par l’humain ?
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“A Shine of Truth in the ‘universal delusional context of reification’ (Theodor W. Adorno)” comprend sept chapitres, un prologue et un épilogue. Chaque partie se construit à deux niveaux : (1) à partir des liens qui se tissent entre les phrases contiguës ; et (2) à partir des liens qui se tissent entre les phrases non contiguës. Les incipit des paragraphes forment l’argument principal de la thèse. Le sujet de la thèse, Schein (apparence, illusion, clarté) est abordé de manière non formaliste, c’est à dire, de manière que la forme donne d’elle-même une idée de la chose : illusion comme contradiction imposée. Bien que le sujet de la thèse soit l’illusion, son but est la vérité. Le Chapitre I présente une dialectique de perspectives (celles de Marx, de Lukács, de Hegel, de Horkheimer et d'Adorno) pour arriver à un critère de vérité, compte tenu du contexte d’aveuglement universel de la réification ; c’est la détermination de la dissolution de l’apparence. Le Chapitre II présente le concept d’apparence esthétique—une apparence réversible qui s’oppose à l’apparence sociale générée par l’industrie de la culture. Le Chapitre III cherche à savoir si la vérité en philosophie et la vérité en art sont deux genres distincts de vérités. Le Chapitre IV détermine si l’appel à la vérité comme immédiateté de l’expression, fait par le mouvement expressionniste du 20e siècle, est nouveau, jugé à l’aune d’un important antécédent à l’expressionisme musical : « Der Dichter spricht » de Robert Schumann. Le Chapitre V se penche sur la question à savoir si le montage inorganique est plus avancé que l’expressionisme. Le Chapitre VI reprend là où Peter Bürger clôt son essai Theorie de l’avant-garde : ce chapitre cherche à savoir à quel point l’oeuvre d’art après le Dada et le Surréalisme correspond au modèle hégélien de la « prose ». Le Chapitre VII soutient que Dichterliebe, op. 48, (1840), est une oeuvre d’art vraie. Trois conclusions résultent de cette analyse musicale détaillée : (1) en exploitant, dans certains passages, une ambigüité dans les règles de l’harmonie qui fait en sorte tous les douze tons sont admis dans l’harmonie, l’Opus 48 anticipe sur Schoenberg—tout en restant une musique tonale ; (2) l’Opus 48, no 1 cache une tonalité secrète : à l'oeil, sa tonalité est soit la majeur, soit fa-dièse mineur, mais une nouvelle analyse dans la napolitaine de do-dièse majeur est proposée ici ; (3) une modulation passagère à la napolitaine dans l’Opus 48, no 12 contient l’autre « moitié » de la cadence interrompue à la fin de l’Opus 48, no 1. Considérés à la lumière de la société fausse, l’Allemagne des années 1930, ces trois aspects anti-organiques témoignent d’une conscience avancée. La seule praxis de vie qu’apporte l’art, selon Adorno, est la remémoration. Mais l’effet social ultime de garder la souffrance vécue en souvenir est non négligeable : l’émancipation universelle.
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Les archives sont aujourd’hui utilisées et envisagées hors de leur lieu traditionnel qu’est le service d’archives et souvent même hors de l’action des archivistes. Cette thèse de doctorat propose un renversement dialectique benjaminien dans la conception de l’archivistique dont le point central devient l’utilisation des archives définitives plutôt que la production des documents. Les premiers chapitres retracent les différentes compréhensions des archives depuis la création des institutions nationales au 19e siècle jusqu’au renouvellement opéré par certains archivistes se réclamant de la postmodernité à la fin du 20e siècle. Cette histoire des archives et de l’archivistique montre que les archives définitives sont caractérisées au regard du rapport au passé qu’elles permettent et que les archivistes pensent leur objet depuis la question historiographique de l’écriture de l’histoire. Ainsi, deux conceptions générales des archives coexistent aujourd’hui et apparaissent comme essentiellement contradictoires en ce que l’une (traditionnelle) est centrée sur le créateur des documents et le passé compris comme l’ensemble des actes posés par le créateur, tandis que l’autre (postmoderne) se fonde sur les fonctions sociales des archives et sur le rôle de l’archiviste. L’élément commun à ces deux visions est l’absence de prise en charge théorique des utilisateurs et de l’exploitation des documents. Or, en suivant les traces et la pensée de Walter Benjamin, nous proposons de penser la double nature des archives comme documents et comme témoignage tout en articulant cette pensée à l’archive comme modalité d’inscription de soi dans le temps. Il en ressort que les archives peuvent être considérées comme une objectivation du passé relevant d’une temporalité chronologique au cœur de laquelle réside, à l’état latent, l’archive potentiellement libératrice. L’exploitation artistique des archives, telle qu’elle est présentée dans le cinquième chapitre, montre comment la notion d’archives explose. En outre, l’observation de ce type particulier d’exploitation permet de mettre au jour le fait que les archives sont toujours inscrites dans des conditions d’utilisation (contexte, matérialité, dispositif, rapport au public) qui sont autant de conditions d’existence de l’archive. Parmi les questions abordées par les artistes celles de la mémoire, de l’authenticité, des archives comme moyen d’appropriation du monde et comme objet poétique sont alors autant de points d’entrée possibles pour revisiter l’archivistique. Le dernier chapitre synthétise l’ensemble des renouvellements proposés au fil de la thèse de manière implicite ou explicite. Nous y envisageons une temporalité non chronologique où les archives sont un objet du passé qui, saisi par un présent dialectique singulier, sont tournées à la fois vers le passé et vers l’avenir. De nouvelles perspectives sont ouvertes pour l’archivistique à partir des caractéristiques assignées aux archives par les artistes. Finalement, c’est le cycle de vie des archives qui peut être revu en y incluant l’exploitation comme dimension essentielle.
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Les changements socioéconomiques des dernières décennies ont profondément transformé le rapport qu’entretient le Québec avec ses professionnels de la santé. En ouvrant le champ à l’accumulation privée du capital dans les années 1990, se met en place au sein de la fonction publique une philosophie politique issue du monde des affaires. Dès lors, le paradigme de la gouvernance investit les hôpitaux, où exerce 65 % de l’effectif infirmier québécois. Des chercheurs ont investigué les contraintes et torts subis par les infirmières consécutivement à la restructuration du système de santé, cependant, peu d’entre eux ont tenu compte des rapports de force et des structures de pouvoir dans lesquels s’enracine le vécu des infirmières. La présente étude a pour but d’explorer les expériences vécues d’infirmières soignantes politiquement engagées qui exercent en centre hospitalier (CH), de rendre compte de l’ordre social existant au sein de cette institution, de décrire la façon dont elles aimeraient idéalement exercer et de répertorier les idées qu’elles ont et les actions qu’elles mettent en place individuellement ou collectivement de façon à favoriser la transformation de l’ordre social et de l’exercice infirmier en CH. Épistémologiquement, notre étude qualitative s’inscrit dans cette idée que la réalité est complexe, mouvante et dépendante de la perception des personnes, proposant une orientation compréhensive et contextualisée de l’action humaine et du politique; c’est ainsi que le point de vue politique des infirmières participantes est pris en compte. L’articulation des expériences vécues, de l’idéal normatif et de l’action politique des participantes est explorée suivant une perspective postmoderniste, praxéologique et dialectique issue de la théorie critique qui réfléchit non seulement sur ce qui est, mais également sur ce qui est souhaitable; une réflexion qui sous certaines conditions s’ouvre sur l’action transformatrice. Les notions de pouvoir, de rapport de force, de résistance et d’émancipation influencent notre analyse. Au terme de cette étude, les résultats indiquent la présence d’une déprofessionnalisation graduelle en faveur d’une technicisation du soin infirmier et d’une dérive autoritaire grandissante au sein des CH s’arrimant au registre sémantique de l’économie de marché à partir des notions d’efficacité, de performance et d’optimisation. Les infirmières soignantes perçues comme des « automates performants » se voient exclues des processus décisionnels, ce qui les prive de leurs libertés de s’exprimer et de se faire critiques devant ce qui a été convenu par ceux qui occupent les hautes hiérarchies du pouvoir hospitalier et qui déterminent à leur place la façon dont s’articule l’exercice infirmier. Le pouvoir disciplinaire hospitalier, par l’entremise de technologies politiques comme la surveillance continue, les représailles et la peur, la technicisation du soin et le temps supplémentaire obligatoire, concourt à la subjectivation des infirmières soignantes, en minimisant l’importance de leur jugement clinique, en affaiblissant la solidarité collective et en mettant au pas l’organisation syndicale, ce qui détournent ces infirmières de la revendication de leurs droits et idéaux d’émancipation les ramenant à une position subalterne. Nos résultats indiquent que les actions politiques que les participantes souhaitent déployer au sein des CH visent l’humanisation des soins et l’autodétermination professionnelle. Toutefois, nombre des actions répertoriées avaient pour finalité fonctionnelle la protection et la survie des infirmières au sein d’un dispositif hospitalier déshumanisant. Certaines infirmières soignantes s’objectent en conscience, déploient des actions de non-coopération individuelles et collectives, font preuve d’actes de désobéissance civile ou souhaitent agir en ce sens pour établir un rapport de force nécessaire à la prise en compte de leurs revendications par une gouvernance hospitalière qui autrement ferait la sourde oreille. Le pouvoir exercé de façon hostile par la gouvernance hospitalière doit à notre avis être contrecarré par une force infirmière collective égale ou supérieure, sans quoi les politiques qui lui sont associées continueront de leur être imposées. Le renouvellement radical de la démocratie hospitalière apparaît comme la finalité centrale vers laquelle doivent s’articuler les actions infirmières collectives qui permettront l’établissement d’un nouveau rapport de force puisque c’est à partir de celle-ci que les infirmières soignantes pourront débattre de l’orientation que doit prendre l’exercice infirmier.
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Das Forschungsfeld der vorliegenden Arbeit sind die Deutsch als Zweitsprache-Kurse, die im Zeitraum der Untersuchung (2002) noch vom Sprachverband Deutsch (vormals: für ausländische Arbeitnehmer) unterstützt wurden. Da sich mit diesem wichtigen und breiten Anwendungsgebiet der Fremdsprachendidaktik bisher nur wenige Studien beschäftigt haben, ist als Forschungsansatz eine explorativ-qualitative Herangehensweise gewählt worden. Die Kurse für erwachsene Einwanderer zeichnen sich durch eine große Heterogenität der Teilnehmenden aus, dementsprechend ist die zentrale Fragestellung der Studie, in der das professionelle Handlungswissen von Lehrenden erforscht wird, die Frage der Binnendifferenzierung. Ausgehend von bereits seit den siebziger Jahren des 20. Jahrhunderts vorliegenden allgemeindidaktischen Entwürfen zur Arbeit mit heterogenen Lerngruppen, in denen das Prinzip der Binnendifferenzierung entwickelt wird, werden im ersten Teil der Arbeit didaktische Möglichkeiten der Binnendifferenzierung im Deutsch als Zweitsprache-Unterricht entworfen. Ausgehend von diesem Vorverständnis ist dann die Befragung der Lehrenden durchgeführt worden, die im zweiten Teil der Arbeit dargestellt, ausgewertet und diskutiert wird. Dabei geht es nicht um eine Evaluation der Praxis anhand vorgefasster Kategorien, sondern im Gegenteil um eine explorative Erforschung des Problembereiches der Arbeit mit heterogenen Lerngruppen im Deutsch als Zweitsprache Unterricht. Anhand der am Material entwickelten Kategorien werden zentrale didaktische Gesichtspunkte herausgearbeitet, die charakteristisch für das Forschungsfeld Deutsch als Zweitsprache mit erwachsenen Einwanderern sind. Diese Kategorien sind nicht deckungsgleich mit denen, die durch die hermeneutisch orientierte Vorgehensweise im ersten Teil der Arbeit entwickelt werden konnten. Anhand dieser Diskrepanz wird das Theorie-Praxis-Verhältnis der didaktischen Forschung und Lehre aufgeschlüsselt und kritisch betrachtet. Ausblick der Arbeit ist der Verweis auf die Professionalisierungsdebatte und die Notwendigkeit einer praxisbezogenen Forschung, welche die Bedürfnisse von Lehrenden direkt einbezieht und im Sinne einer Aktionsforschung gleichzeitig zur Weiterbildung der Lehrenden beiträgt. Nur auf diesem Weg kann die Unterrichtspraxis unmittelbar weiter entwickelt werden. Aus der vorliegenden Studie ergeben sich viel versprechende Anknüpfungspunkte für kooperative Aktionsforschungsprojekte, die von den Lehrenden in den Interviews angeregt werden.
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L'objectiu d'aquest treball és explicar i fer la crítica de la Teoria de la Veritat recentment defensada per Apel. En primer lloc, el consens i pragmàtica de la Teoria de la Veritat d'Apel es presenta en relació amb el projecte de la Teoria Crítica de la Societat de Habermas i el problema dels fonaments en el raonament ètic. En segon lloc, la seva versió idealitzada i transcendental de la Veritat que invoca la noció de convergència en una comunitat ideal d'investigadors lliures és analitzada. Finalment, les entranyes de l'esperit wingensteinià i després de l'últim anàlisi de Putnam, s’ha intentat fer una avaluació crítica. El resultat de tot això serà una més modesta concepció de la Veritat com a tan sols una qualitat de la praxi lingüística humana, però no la seva primera pedra
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Lecture 6: Where are all the links taking us: Web Science Contains Powerpoint Lecture slides and Hypertext Research Papers: The Literati (The Cyberspace and critical theory website) (Eastgate website); Pervasive Hypertext at Southampton and at Aarhus; Adaptive Hypertext - The Next Big Thing: (De Bra & Chepegin, 2004); Web Science: Creating a Science of the Web (Berners-Lee, Hall, Hendler, Shadbolt & Weitzner, 2006).