904 resultados para Bilan de compétences
Resumo:
Palliative patients (patients with progressive incurable illnesses) have a number of needs, early and late in their illness trajectories. This article highlights some of the most important competencies required by physicians to address these needs. They cover a broad spectrum of domains and include pain and symptom management, communication, disclosure, prognostication, and psychological, social and spiritual needs. All physicians, generalists and specialists alike, should possess the basic competencies but should also recognize that some patients, especially those not responding to initial strategies, require timely referrals to specialized palliative care teams.
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The purpose of preoperative assessment is to evaluate the patient's health status, to address known or unidentified co-morbidities and to perform adequate complementary exams if necessary. On the other hand, it allows to prepare and protect the patient in order to reduce perioperative risk. The assessment consists of patient's history and physical examination, both focusing on cardiovascular and respiratory assessment. Complementary exams have to be chosen selectively depending on the patient's risk factors and the type of surgery. They are indicated if their result leads to a potential patient's benefit only, either by a modification in anesthetic and/or surgical management or by introduction of a pharmacological strategy, adequate and maximal if necessary, especially for cardioprotection.
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Dans cet article, nous présenterons le modèle biopsychosocial du trouble de ln personnalité borderline et le mettrons en lien avec les critères développés dans les manuels diagnostiques (DSM-IV-TR, CIM-10). Seront ensuite e:rplicité les principaux cadres de prise en charge de la thérapie comportementale- dialectique (TCD), tels que conçus par Marsha M. Linehan. Le modèle des dimensions de l'ouverture émotionnelle permettra d'enrichir la conceptualisation des émotions de la TCD. Nous insisterons particulièrement sur le groupe thérapeutique de Gestion des Émotions, inspiré des principes constitutifs de la TCD. Les premiers résultats d'une étude pilote et la présentation d'une étude randomisée contrôlée seront discutés, en tenant compte des exigences cliniques et des considérations méthodologiques de l'évaluation des psychothérapies.
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RÉSUMÉ Objectifs : Evaluer l'intérêt des examens paracliniques prescrits dans les morts du foetus in utéro pour aboutir à l'établissement d'un nouvel algorithme de prise en charge du bilan des morts in utero. Matériel et méthodes : Analyse rétrospective d'une série de 106 morts in utero recensées entre septembre 1989 et décembre 1998 dans le département de gynécologie - obstétrique du CHUV (maternité de type 3) à Lausanne. Nous avons défini la mort in utero à partir de la date limite de viabilité foetale. Seules les grossesses de 24 semaines ou plus ont été inclues dans cette série. Nous avons exclu les morts in utero survenues en cours d'interruption thérapeutique de grossesse ainsi que les cas présentant un dossier incomplet. La classification étiologique utilisée est celle décrite par Fretts. L'analyse a porté sur les différents examens demandés, ainsi que sur l'évaluation de leur pertinence dans l'établissement du diagnostic étiologique de chaque cas. La recherche de facteurs de risque significatifs a également été prise en considération. Nous avons comparé notre prise en charge aux données de la littérature, afin de proposer un nouvel algorithme. Résultats : L'étiologie de la mort foetale a pu être définie dans 90% des cas. Les causes principales en étaient les retards de croissance in utero (19,8 %), les anomalies congénitales et chromosomiques foetales (18,9%), les infections (15,1%), le décollement placentaire (7,5%), la prééclampsie (5,6%), le diabète maternel (3,8%). Le 18,9% restant se répartissant par petits nombres entre diverses autres causes. Dans 10,4% des cas nous n'avons pas trouvé d'explication à la mort in utero. Les examens les plus profitables dans le bilan de la mort in utero était l'autopsie foetale, qui était anormale dans 92,7% des cas examinés, l'anatomopathologie placentaire, anormale dans 93% des cas et le babygramme (radiographie du squelette foetal), pathologique dans 53% des cas. La sérologie maternelle infectieuse était informative dans 6,6% des cas. Conclusion : Nous présentons un protocole de prise en charge du bilan de la mort in utero différencié en fonction des circonstances entourant l'événement, afin de limiter les examens superflus.