863 resultados para American Convention on Human Rights
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Trabalho de project de Mestrado em Antropologia de Direitos Humanos e Movimentos Sociais
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La liberté de religion, souvent reconnue comme étant la « première liberté » dans de nombreuses traditions juridiques, reflète également les différentes conceptions de la place de l’individu et de la communauté dans la société. Notre étude analysera les modèles constitutionnels canadien, américain et européen de liberté de religion et conscience. Dans un premier chapitre, nous examinerons les conceptions théoriques de la religion dans les sciences sociales ainsi les approches juridiques afin de mieux cerner comment la religion est conçue et de plus, comprendre les diverses influences sur sa conceptualisation. Dans un second et troisième chapitre, nous tenterons d’une part, de qualifier la relation entre la liberté de conscience et la liberté de religion au Canada en nous livrant à une analyse approfondie des deux libertés et d’autre part, d’identifier les questions qui demeurent irrésolues. Dans le chapitre final, nous observerons comment la liberté de conscience a été interprétée dans les contextes américain et dans l’Union Européenne, par le biais de la Cour Européenne des droits de l’Homme. Notre hypothèse est que l’on peut arriver à une meilleure compréhension de la relation entre les libertés de conscience et religion en clarifiant les conceptions théoriques de la religion et de la conscience en droit constitutionnel comparé.
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After clarifying the outlines of Raz’s interest theory of rights and its relationship to aspects of the principles theory of rights, I consider how his recent observations on human rights fit (or fail to fit) into the interest theory. I then address two questions. First, I elaborate on Raz’s definition of morally fundamental rights, arguing that he is right in claiming that there are no such rights. I then show that the interest theory accommodates the notion that rights may take qualitative precedence over conflicting considerations – a question that has become increasingly relevant in light of recent writing on rights.
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Includes bibliography
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Why does the European Union (EU) join international human rights treaties? This paper develops motivational profiles pertaining either to a ‘logic of appropriateness’ or a ‘logic of consequentialism’ in order to answer this question. It compares the EU’s motivations for its recent accession to the United Nations Convention on the Rights of Persons with Disabilities (UNCRPD) with those dominating the EU’s nonaccession to the Council of Europe Convention on preventing and combating violence against women and domestic violence (Istanbul Convention). Based on this cross-case analysis, I argue that the EU’s accession decisions are best viewed as cost-benefit calculations and explained by the strength of opposition and the desire to spread its norms. The EU is only marginally concerned with efforts to construct an ‘appropriate role’, although its accession considerations are positively influenced by (varying degrees) of an internalized commitment to human rights. The paper aims at deepening the understanding of the EU’s motivations in the paradigmatic hard case of accession to international human rights treaties not least to evaluate the EU’s ‘exceptional nature’, facilitate its predictability for stake-holders and contribute to political and ethical debates surrounding future rites of passage as a global actor.
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"B-240397"--P. [1]
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La Turquie va-t-elle adhérer à l'Union européenne? Sa candidature a toujours été sujette à critiques: droits de l'homme non respectés, restrictions des droits et libertés, notamment de la liberté d'expression, de religion et des droits politiques. Les dossiers sensibles comme le problème kurde et la question chypriote sont à l'origine des multiples plaintes contre l'État turc devant la Cour européenne des droits de l'homme. Dotée des caractéristiques essentielles d'un État moderne et laïque, le pays dispose de structures formellement démocratiques, mais sa démocratie se révèle fragile: ses politiques tant internes qu'externes sont décidées par un Conseil national de sécurité composé pour l'essentiel de militaires. En outre, l'armée qui a pris le pouvoir à maintes reprises a donné au régime une dimension autoritaire. Cela non seulement en vertu des principes fondateurs de la République (tradition centralisatrice de l'État turc), mais aussi de la priorité que l'institution militaire accorde à la sécurité, à l'unité et à l'identité nationales. En effet, les mesures d'exception (état d'urgence, cours de sûreté de l'État, loi anti-terroriste) ont contribué aux violations des droits de l'homme, d'où l'opposition entre le droit conventionnel et le droit national. De plus, le système judiciaire et administratif instauré par les militaires en 1982 n'est pas conçu dans l'intérêt des justiciables. Certes, l'accès à la modernité n'a pu se faire que sous la contrainte et le contrôle de l'armée, mais le régime en Turquie peut-il continuer à s'appuyer sur les«piliers de l'ordre» que sont l'armée, la police et la justice ? L’État semble cependant se réorganiser progressivement pour permettre au pouvoir politique d'assurer un contrôleur les forces de sécurité et pour donner une meilleure indépendance à la justice. Le processus mis en route et les critères imposés pour l'adhésion à l'UE devraient contribuer à mettre en œuvre les réformes institutionnelles capables d'harmoniser la démocratie à l'État de droit, à l'image des pays européens. En effet, les changements récents sont liés à l'agenda européen. Le gouvernement turc semble être déterminé et ambitieux dans sa vocation européenne. Les progrès réalisés pour intégrer l'UE lui sont un moteur de propulsion devant servir au pays et à sa population.
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Cette thèse analyse les négociations interculturelles des Gens du Centre (groupe amazonien multi-ethnique) avec les discours universels de droits humains et de développement mobilisés par l’État colombien. L’analyse se concentre sur le Plan de sauvegarde ethnique Witoto chapitre Leticia (ESP), qui est un des 73 plans formulés et implémentés par l’État colombien pour reconnaître les droits des peuples autochtones en danger par le déplacement forcé causé par les conflits armés internes. J’analyse l’ESP à travers la notion de friction (Tsing, 2005) qui fait référence aux caractéristiques complexes, inégalitaires et changeantes des rencontres contemporaines entre les différences des savoirs locaux et globaux. Mon analyse se base aussi sur des approches foucaldiennes et/ou subalternes de pouvoir comme la recherche anticoloniale et de la décolonisation, les perspectives critiques et contre-hégémoniques des droits humains, le post-développement, et les critiques du féminisme au développement. L’objectif de la thèse est d’analyser les savoirs (concepts de loi, de justice et de développement); les logiques de pensée (pratiques, épistémologies, rôles et espaces pour partager et produire des savoirs); et les relations de pouvoir (formes de leadership, associations, réseaux, et formes d’empowerment et disempowerment) produits et recréés par les Gens du Centre au sein des frictions avec les discours de droits humains et du développement. La thèse introduit comment la région habitée par les Gens du Centre (le Milieu Amazone transfrontalier) a été historiquement connectée aux relations inégalitaires de pouvoir qui influencent les luttes actuelles de ce groupe autochtone pour la reconnaissance de leurs droits à travers l’ESP. L’analyse se base à la fois sur une recherche documentaire et sur deux terrains ethnographiques, réalisés selon une perspective critique et autoréflexive. Ma réflexion méthodologique explore comment la position des chercheurs sur le terrain influence le savoir ethnographique et peut contribuer à la création des relations interculturelles inclusives, flexibles et connectées aux besoins des groupes locaux. La section analytique se concentre sur comment le pouvoir circule simultanément à travers des échelles nationale, régionale et locale dans l’ESP. J’y analyse comment ces formes de pouvoir produisent des sujets individuels et collectifs et s’articulent à des savoirs globaux ou locaux pour donner lieu à de nouvelles formes d’exclusion ou d’émancipation des autochtones déplacés. Les résultats de la recherche suggèrent que les Gens du Centre approchent le discours des droits humains à travers leurs savoirs autochtones sur la « loi de l’origine ». Cette loi établit leur différence culturelle comme étant à la base du processus de reconnaissance de leurs droits comme peuple déplacé. D’ailleurs, les Gens du Centre approprient les discours et les projets de développement à travers la notion d’abondance qui, comprise comme une habileté collective qui connecte la spiritualité, les valeurs culturelles, et les rôles de genre, contribue à assurer l’existence physique et culturelle des groupes autochtones. Ma thèse soutient que, même si ces savoirs et logiques de pensée autochtones sont liés à des inégalités et à formes de pouvoir local, ils peuvent contribuer à des pratiques de droits humains et de développement plurielles, égalitaires et inclusives.
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En el presente trabajo se analiza la obligación de investigar graves violaciones de Derechos Humanos y Derecho Internacional Humanitario, a la luz de la sentencia de la Corte Constitucional Colombiana referente a la constitucionalidad del Marco Jurídico para la paz. De la aparente remisión que hace la Corte Constitucional a la Corte Interamericana de Derechos Humanos sobre el deber de investigar graves violaciones de Derechos Humanos y de Derecho Internacional Humanitario se concluye que la Corte Constitucional propone como premisa mayor una obligación que surge de una interpretación extensiva de la Convención Interamericana. De la misma forma, se estudia el tratamiento indebido del derecho aplicable a las amnistías e indultos, que se relaciona con la necesidad de evitar cualquier tipo de impunidad, cuyo concepto sirve para esclarecer cuáles son los estándares que se quiere proteger. Por último, se analiza el contexto al que se pretende aplicar dicha obligación, es decir, la justicia transicional, proponiendo un modelo interpretativo de los fines de la pena, y su aplicación por medio de la favorabilidad penal, para la justicia transicional, que sea acorde a la interpretación de la Convención Interamericana.
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Privacy is commonly seen as an instrumental value in relation to negative freedom, human dignity and personal autonomy. Article 8 ECHR, protecting the right to privacy, was originally coined as a doctrine protecting the negative freedom of citizens in vertical relations, that is between citizen and state. Over the years, the Court has extended privacy protection to horizontal relations and has gradually accepted that individual autonomy is an equally important value underlying the right to privacy. However, in most of the recent cases regarding Article 8 ECHR, the Court goes beyond the protection of negative freedom and individual autonomy and instead focuses self-expression, personal development and human flourishing. Accepting this virtue ethical notion, in addition to the traditional Kantian focus on individual autonomy and human dignity, as a core value of Article 8 ECHR may prove vital for the protection of privacy in the age of Big Data.
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There is no doubt that demand for the respect of human rights was one of the factors behind the Arab Spring and Libya is no exception. Four decades of absolute dictatorship headed by Muammar Gaddafi had been further tainted with gross violations of human rights of Libyan citizens and restrictions on their basic freedoms. Before the revolution, Libya was a country where no political parties were allowed. Freedom of expression and the press were extremely restricted. Reports about the country’s human rights violations published by a number of international organizations documented large scale human rights abuses at the hands of the Gaddafi regime. The 17 February 2011 revolution in Libya led to a turning point in the country’s history. The regime of Muammar Gaddafi which had dominated the country since 1969 eventually collapsed, leading to the beginning of the painful task of reconciliation and state building. Nonetheless it is estimated that more than 7000 prisoners are held captive by various militias and armed groups without due process. This in addition to thousands of internally displaced persons. State building involves the consolidation of a democratic state based on a democratic constitution. In 2011, a constitutional declaration was adopted to replace the one that had been in effect since 1969. This was intended as a stop-gap solution to allow the new political forces unleashed in the country time to write a new democratic constitution. To help consolidate the democratic state, three elements are required: that human rights be placed at its core; that these rights are truly implemented and applied; and lastly that the independence of the judiciary is safeguarded. For all this to happen it is also essential to strengthen education on human rights by encouraging non-governmental organizations to take a stronger role in promoting human rights. Libyan citizens can only avail themselves of these rights and strengthen their implementation if they know what they are and how they can benefit from their implementation
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Structured human rights dialogues are held with each of the five Central Asian republics. They are designed to discuss questions of mutual interest and enhance cooperation on human rights as well as to raise the concerns of the EU on human rights in Central Asia. In addition, the dialogues seek to involve human rights activists, NGO members, and academia representatives from both Europe and Central Asia through civil society seminars. But is this working? Is improvement in human rights noticeable in the region? This policy brief reviews and evaluates the performance of the dialogues to date, paying specific attention to the shortcomings of the existing practices, and provides recommendations for what could be improved with regard to planning and procedures.
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This Working Paper offers detailed analysis of EU-UNICEF cooperation on the rights of the child in the European Union's external relations, in particular as regards linkages between the EU policy priorities and concrete actions to advance the protection and promotion of child rights in third countries. It addresses a number of crucial questions: how has the EU’s external policy on the rights of the child developed over the past decade, what were these developments influenced by and what role did UNICEF play in these processes; what is the legal and policy framework for EU-UNICEF cooperation in foreign policy and what added-value it brings; what mechanisms are used by the EU and UNICEF to improve child rights protection in third countries and what are the motivations behind their field cooperation. The study starts by examining the development of the EU’s foreign policy on the rights of the child and covers the legal basis enshrined in EU treaties, the policy framework, and the implementation instruments and then investigates the evolution of the EU’s relations with the United Nations. The paper focuses on the EU’s cooperation with UNICEF by looking into the legal and political framework for EU-UNICEF relations, the policy-oriented cooperation and joint implementation of projects on the ground in third countries. This section outlines the rationale behind the practical cooperation as well as the factors for success and obstacles hindering the delivery of sustainable results. Finally, the Working Paper concludes with suggestions on how EU-UNICEF cooperation could be further enhanced following recent developments, namely the 2012 EU Strategic Framework and the Action Plan on Human Rights as well as human rights country strategies.