901 resultados para Alves, Rubem, 1933-


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Annual Convocation proceedings for the year 1933. The title varies slightly and convocation is held at different cities or towns in Canada. Seventy-fifth annual convocation.

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A drink manual for the establishment Sloppy Joe's Bar in Havana, Cuba. The manual is pocket size and contains 40 pages of drink recipes. The first few pages describe the bar in Havana, Cuba along with a brief biography of Jose Abeal (Sloppy Joe).

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Tesis (Maestría en Bibliotecología) UANL

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Tesis (Maestría en Ciencias con Especialidad en Ciencias Sociales) UANL, 2010.

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UANL

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Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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Au début des années 1920, la ville de Montréal se retrouve dans une situation assez unique. À l’époque, les États-Unis et toutes les provinces canadiennes à l’exception du Québec ont adopté la prohibition de la vente d’alcool. Mais même au Québec, environ la moitié de la population de la province est alors touchée par des prohibitions locales (votées au niveau municipal), des prohibitions qui ont largement perduré tout au long de la période à l’étude. Durant cette ère de prohibition de l’alcool nord-américaine, Montréal est la plus grande ville, et une des seules sur le continent non régie par une loi sur la prohibition. C’est aussi celle qui dispose des lois les plus libérales envers l’alcool des deux côtés du 49ème parallèle grâce à la création de la Commission des Liqueurs de Québec (CLQ), le premier système de contrôle gouvernemental de l’alcool en Amérique du Nord. C’est dans ce contexte que Montréal devient une rare oasis dans un continent assoiffé et le plus grand cobaye du modèle de contrôle gouvernemental de l’alcool. Ce mémoire examine les impacts de cette conjoncture sur le développement de cette ville, de son industrie touristique, de sa vie nocturne et de sa réputation. En premier lieu, le mémoire présente une mise en contexte de la situation aux États-Unis, au Canada et au Québec afin de faire ressortir le caractère unique de Montréal pendant cette période. En deuxième lieu, l’essor du tourisme dit « de liqueur » et de la vie nocturne montréalaise, à la fois légale et illicite, est exploré. En dernier lieu, le mémoire met au jour l’impact que cette conjoncture a eu sur la construction de la réputation de la ville à travers l’examen des écrits des anti- et pro-prohibitionnistes qui ont chacun propagé des visions idéalisées et démonisées de cette ville « bien arrosée », ainsi que des documents associés à l’essor du tourisme, tels que les chansons, les guides touristiques et les récits de voyage, qui, pour leur part, ont présenté un image plus romancée de la métropole et associée à un refuge festif de la prohibition. Malgré leurs différences, ces trois visions de Montréal l’ont néanmoins associée à la liberté, que ce soit une liberté ordonnée, dangereuse ou bien émancipatrice. Ainsi, à partir de l’expérience de la prohibition et du tourisme de liqueur, Montréal devient connue comme une ville « ouverte », dans ses acceptions à la fois positives et négatives.

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À l'aube des années 1930, l'Alsace partage un passé trouble avec la France et l'Allemagne. Alors que la région est redevenue française après la Première Guerre mondiale en 1919, Paris éprouve de la difficulté à la réintégrer à la République, parce qu'il ne comprend pas que les quarante ans de l'Alsace au sein du Reich allemand ont bouleversé la vie régionale aux niveaux politique, culturel, religieux et linguistique. La France ne perçoit pas le particularisme des populations retrouvées et leur volonté de conserver les valeurs qui leur sont chères. L'autonomisme alsacien des années 1920 et la répression du mouvement par les autorités françaises mettent à mal les relations entre Paris et Strasbourg. Alors que le début des années 1930 se déroule sur ce fond de tensions, l'arrivée d'Adolf Hitler au pouvoir en 1933 en Allemagne modifie radicalement la donne. Le présent mémoire s'interroge sur la perception par la presse alsacienne francophone de la montée du nazisme en Allemagne, de 1933 à 1939. L'Alsace remet-elle en question son allégeance à une France qui démontre des signes de faiblesses et qui ne comprend pas la région ou préfère-t-elle une Allemagne forte et stable? En consultant des journaux de différentes orientations politiques et religieuses, soit Les dernières nouvelles de Strasbourg, Le nouvelliste d'Alsace, Le Lorrain et L'éclair de l'Est, nous avons analysé l'opinion de la presse alsacienne sur les événements allemands des années 1930. Il apparaît évident que la presse francophone n'est pas en faveur d'un retour avec le Reich. Néanmoins, l'allégeance à la France n'est pas aussi nette que le laisse croire l'historiographie à ce sujet. Jusqu'en mars 1938, la presse alsacienne francophone ne revendique pas de statut particulier, insatisfaite qu'elle est des options qui s'offrent à elle, autant du côté de la France que de l'Allemagne. Le point de vue de la région change régulièrement. Alors que Hitler attire tous les regards en 1933, la situation politique instable en France ainsi que les décisions du Front populaire sont le point de mire pour la presse alsacienne francophone à partir de 1936. Ce n'est que lorsque la guerre semble inévitable qu'elle se range derrière la République française.

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Im folgenden werden die Schutzhaftgefangenen des Konzentrationslagers Breitenau in alphabetischer Reihenfolge mit den Geburtsdaten und Haftzeiten in Breitenau aufgeführt.

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Die Autoren, die Deutschland während der Herrschaft der Nationalsozialisten verlassen mussten, konnten nicht mehr bei einem etablierten Verlag in Deutschland veröffentlichen. Es war für viele Autoren schwer, ihre Manuskripte in einem Verlag im Exil zu veröffentlichen. Eine Reihe von ihnen entschloss sich daher, ihre literarischen Werke in den jeweiligen Exilländern selbst zu publizieren. Sogar bekannte Autoren wie Oskar Maria Graf, Else Lasker-Schüler, Hans Marchwitza und Paul Zech fungierten als Selbstverleger. Nach den Angaben der Deutschen Bibliothek existierten in den Jahren zwischen 1933 und 1945 siebzig Exilselbstverlage. Die Werke aus den Exilselbstverlagen blieben in der Öffentlichkeit weitgehend unbekannt und auch literaturwissenschaftliche Untersuchungen widmeten sich ihnen bisher kaum. Die Bedeutung des Wortes Selbstverlag lässt sich definieren als ’Veröffentlichung durch sich selbst‘. Damit ist eine grundlegende Eigenschaft festgelegt: Im Selbstverlag erfolgt die Produktion und Verbreitung eines Werkes durch den Autor persönlich. Die Gruppe der Selbstverleger setzte sich während des Exils aus Berufen wie Graphiker, Journalisten, Künstler, Militärberater, Parteifunktionäre, Pädagogen, Philosophen, Politiker, Professoren, Psychologen, Publizisten, Schriftsteller und Wissenschaftler zusammen. Vor allem in Europa erreichte im Jahr 1935 die Zahl der Selbstverlage mit elf einen Höchststand. Nach dem Ende des zweiten Weltkrieges im Jahre 1945 sank ihre Anzahl auffallend stark auf drei. In den USA, Israel und Südamerika entstanden in den Jahren 1939 bis 1945 neue Selbstverlage. Insgesamt existierten sie in 15 Ländern. Das Hauptmerkmal der Selbstverlage ist eine direkte Beziehung zwischen Autor und Leser. Die Leserschaft der Selbstverlage war auf einen kleinen Kreis von Freunden, Bekannten und Verwandten reduziert. Während des Exils wurden insgesamt 105 Werke in Selbstverlagen veröffentlicht. Dort wurden 32 Gedichtsbände, 9 Erzählungen und 5 Dramen publiziert. Insgesamt gesehen stellte die Selbstveröffentlichung der Exilautoren eine besondere Form des literarischen Lebens im Exil dar.