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Likely a photo of Rick Sullivan and Phil McCann. The man on the left remains unknown.
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with coach Tony Biernacki
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with coach Tony Biernacki
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Rowing down the course.
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Back Row: ?, John Stokes, Jim Brandford, Geoff Cudmore, Mike Nictota, Dave Iogna, Mike Cocca, Mike Taylor Front Row: ?, Rob Kelly, Alun Huges, Dave Underhill, Ken White, Joe ?, Mike ?, Jim Robinson
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Pakistan had a plural society per excellence. Its people were divided geographically between two separate regions, spoke different languages, had different cultures and economic structures. Like other plural societies elsewhere, Pakistan also faced the problem of national integration. Cleavages along the lines of traditional attachments are fundamental to any plural society, as they were in Pakistan. But their political manifestation could have been kept within managable limits if the Central Government, overwhelmingly composed of the West Pakistanis, was seriously committed to the task. All that Pakistan needed to maintain her integrated existence was deliberate, calculated and conscious efforts on the part of the Central Government to give the Bengalis, the majority linguistic and geographic group in the country, a partnership in the state of Pakistan, an effective power in the decision-making process of the country, a reasonable share from the economic resources of the country, and to show respect to their hopes and aspirations. In addition, Pakistan needed a national platform to bring her divergent linguistic and geographic groups toge~her for some common, national purpos~s. Political parties were the only institutions which could have served this purpose. Pakistan miserably failed to sustain national political parties and failed to satisfy Bengalis' demands. This failure eventually resulted in the falling apart of the political system of Pakistan in 1971.
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The summary of the bill reads: "A By-Law authorizing an application for supplementary letters patent re-classifying and increasing the capital of the company."
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Bill no.71: An act respecting the Public Works of Ontario (10 ½ pages, printed). S.D. Woodruff has signed this copy of the bill and has made a note in pension “regulations for management”, 1868.
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UANL
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UANL
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UANL
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UANL
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La guerre franco-prussienne (ou franco-allemande) de 1870-71 fut un conflit majeur dont l’issue changea considérablement l’équilibre des puissances en Europe avec notamment l’émergence de l’Empire allemand. Pourtant, elle a été oubliée. Bien que depuis la fin du XIXe siècle, elle fut largement traitée par l’historiographie, la question des responsabilités relativement à son déclenchement demeure un sujet de débat. Tandis que certains historiens estiment que cette guerre fut sciemment provoquée par Bismarck afin de parachever l’unification allemande, d’autres croient que la responsabilité est partagée et que ce conflit était tout simplement inévitable dans le contexte du refroidissement des rapports franco-allemands depuis la défaite autrichienne de Königgrätz (Sadowa). Le présent mémoire entend se dissocier de ces interprétations en jetant un nouveau regard sur le rôle joué par Bismarck lors des « préliminaires » (Vorgeschichte) de 1870. En s’appuyant sur des sources primaires ainsi que sur ce que les historiographies allemande, française et anglo-saxonne nous apprennent, il sera démontré premièrement que la candidature Hohenzollern pour le trône d’Espagne n’a pas été « fabriquée » volontairement par le chef de la diplomatie prussienne afin de compléter l’unification allemande, mais qu’elle fut promue d’abord et avant tout pour des considérations de prestige politique. Deuxièmement, la fameuse dépêche d’Ems modifiée par Bismarck ne peut être considérée comme l’élément déclencheur de ce conflit, car la décision d’aller en guerre fut prise à Paris avant que les effets de la dépêche ne se fassent sentir. Enfin, par son besoin d’un succès politico-diplomatique qui aurait consolidé le Second Empire en faisant oublier les reculades antérieures, par son refus de se satisfaire du retrait de la candidature Hohenzollern et par les erreurs de sa politique étrangère en général, la France a adopté une position belliqueuse et s’est retrouvée seule dans une guerre qu’elle n’avait su ni prévenir, ni préparer. L’enjeu à Paris n’était finalement pas le règlement pacifique des différends avec la Prusse, mais la pérennisation de la prépondérance française sur le continent européen.