1000 resultados para 303.4 Processi sociali - Cambiamento sociale
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There are still many vintage portland cement concrete (PCC) pavements, 18 ft wide (5.4 m), dating back to pre-World War II era in use today. Successive overlays have been placed to cover joints and to improve rideability. The average thickness of the existing asphalt cement concrete (ACC) along route E66 in Tama County, Iowa, was 6.13 in. (15.6 cm). The rehabilitation strategy called for widening the base using the top 3 in. (7.6 cm) of the existing ACC by a recycling process involving cold milling and mixing with additional emulsion/rejuvenator. The material was then placed into a widening trench and compacted to match the level of the milled surface. This project was undertaken to develop a rehabilitation methodology to widen these older pavements economically and to have a finished surface capable of carrying traffic with little or no additional work.
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Avant-propos : De nombreuses études ont été réalisées sur les inégalités factuelles des structures sociales, comprenant aussi bien l'aspect statique de la stratification sociale que l'aspect dynamique de la mobilité sociale (voir par exemple Levy et Suter, 2002, Lemel, 1991, Erikson et Goldthorpe, 1992, Esping-Andersen, 1993). Par contre, les recherches portant sur la perception, par les acteurs, des inégalités des structures sociales sont en comparaison peu nombreuses en ce qui concerne les représentations de la stratification sociale (Levy et al., 1997, Lorenzi-Cioldi et Joye, 1988, Coxon, Davies et Jones, 1986, Zwicky, 1989) et presque inexistantes dans le cas des représentations de la mobilité sociale (Attias-Donfut et Wolff, 2001). La présente recherche se propose d'étudier simultanément la perception de la stratification sociale et de la mobilité sociale intragénérationnelle par les acteurs en intégrant le caractère multidimensionnel du système d'inégalités. Elle défend la thèse fondamentale d'une double origine des inégalités perçues, qui participeraient à la fois d'aspects macrosociaux et mésosociaux de la stratification sociale, les premiers portant sur la structure sociale dans son ensemble, les seconds sur une partie seulement de celle-ci (voir par exemple Kelley et Evans, 1995, Levy, 2002). Dans une perspective systémique, on se trouverait, à côté de la structure macrosociale, en présence de sous-systèmes mésosociaux, de portée restreinte. La perception de la stratification sociale dépendrait alors du cadre de référence adopté par les acteurs, selon qu'il porte sur le système dans son ensemble ou sur un sous-système. Un des objectifs de cette recherche sera d'établir que la pertinence des cadres de référence macrosocial et mésosocial est étroitement liée à la lecture statique ou dynamique de la stratification sociale. Dans le cas statique, celui du positionnement, les représentations sociales s'articuleraient autour des inégalités macrosociales, tenant compte du système dans son ensemble, tandis que dans le cas dynamique, celui de la mobilité ou de l'évolution du positionnement, les inégalités mésosociales, propres aux sous-systèmes, l'emporteraient. D'une part, la perception du positionnement social dépendrait de l'insertion de l'acteur dans la structure sociale, comprise dans son ensemble, et reproduirait les inégalités factuelles macrosociales, telles qu'elles apparaissent par exemple au travers des catégories socioprofessionnelles. D'autre part, la perception du parcours de mobilité ? conservation, amélioration ou dégradation de la position perçue ? resterait indépendante des changements macrosociaux de l'insertion, mais relèverait avant tout de déterminants propres à l'environnement social immédiat de l'acteur. L'environnement de l'acteur, en tant qu'il s'inscrit dans une partie restreinte de la structure sociale, permettrait de saisir les inégalités mésosociales. L'expérience, par les acteurs, de ces deux aspects de la structure sociale conduirait à la mise en place de deux types d'inégalités perçues irréductibles les unes aux autres dans la mesure où le système macrosocial et les sous-systèmes mésosociaux présentent une certaine autonomie. Cette autonomie peut être vue d'une part en rapport avec l'importance propre des organisations de nature mésosociale - en particulier les entreprises - dans les sociétés contemporaines (Sainsaulieu et Segrestin, 1986, Perrow, 1991), d'autre part en relation avec l'hétérogénéité que ces dernières induisent en termes de segmentation du marché de l'emploi (Baron et Bielby, 1980). Dans une large mesure, les organisations intermédiaires se distinguent ainsi de la structure sociale prise dans son ensemble: plutôt que de reproduire les inégalités macrosociales, elles constitueraient des systèmes d'inégalités indépendants, notamment quant à la régulation des parcours professionnels (Bertaux, 1977). Ainsi, la perception de la structure sociale ne se réduirait pas aux seuls facteurs macrosociaux, mais dépendrait, en l'absence d'un modèle d'organisation mésosocial unique, de la diversité des structures intermédiaires. On peut d'ailleurs supposer que la prise en compte des organisations mésosociales est susceptible de pallier la faiblesse des explications classiques en termes macrosociologiques, relevées par les tenants des thèses avançant le déclin du pouvoir structurant de la stratification sociale ou du travail (voir Levy, 2002 et, sur les thèses citées, par exemple Beck, 1983, Matthes, 1983, Berger et Hradil, 1990, Clark et Lipset, 1991). En effet, dans la mesure où l'acteur serait plus souvent confronté aux structures de son environnement social immédiat plutôt qu'à la structure sociale dans son ensemble, la perception pourrait dépendre en premier lieu de facteurs mésosociaux, susceptibles de supplanter ou, à tout le moins, d'atténuer l'effet des facteurs macrosociaux. Une telle approche permet de conserver une lecture structurelle de la perception du positionnement en enrichissant la relation classique entre structure macrosociale et acteur d'une composante mésosociologique, évitant ainsi le recours à une explication culturelle ad hoc Dès lors, la principale question de recherche s'adresse au lien entre structure sociale factuelle et structure sociale perçue. Dans la perspective statique du positionnement, l'effet des structures mésosociales serait tel qu'il se superposerait à la détermination macrosociale de la perception, sans pour autant subvertir la hiérarchie des positions induites par les catégories socioprofessionnelles. Dans la perspective dynamique, en revanche, les changements liés à l'insertion mésosociale peuvent l'emporter sur l'immobilité ou la mobilité définies en termes macrosociologiques. D'une part, en supposant que les plans mésosocial et macrosocial agissent de manière plus ou moins autonome sur la perception, l'amélioration, la conservation ou la dégradation de la position ne coïncide pas nécessairement selon ces deux plans. D'autre part, l'ampleur de la mobilité perçue due à l'écart entre le positionnement mésosocial passé et actuel peut dépasser celle qui est liée à la mobilité macrosociale, surtout si cette dernière est de faible distance. Le passage de la perspective statique à la perspective dynamique peut dès lors être vu comme un moyen de faire apparaître le rôle fondamental joué par les structures mésosociales au sein de la stratification sociale. L'orientation de la recherche consistera d'abord à mettre en évidence, par-delà les différences macrosociales des représentations des positions professionnelles, les variations de la perception au sein des catégories socioprofessionnelles. Ces étapes montreront, à différents égards, que les représentations se singularisent en relation avec l'insertion mésosociale de l'acteur. On verra également que la perception de la mobilité échappe à une détermination macrosociale, mais qu'elle présente une cohérence mésosociale certaine. Ces résultats, insistant sur la prise en compte des structures mésosociales, nous amèneront enfin à un examen systématique des déterminants de la perception du positionnement et du parcours de mobilité, mettant en oeuvre une variété de facteurs explicatifs dépassant un cadre d'analyse purement structurel. La recherche débute par une discussion de la place qui revient à une étude des représentations du parcours professionnel dans le champ des travaux sur la stratification et la mobilité sociale, en particulier sa justification théorique et empirique, et la formulation des hypothèses de recherche (chapitre 1). Elle se poursuit par la présentation de l'échantillonnage et des variables utilisées (chapitre 2). Le traitement des hypothèses de recherche fait l'objet de trois chapitres distincts. Chaque hypothèse s'accompagne, en plus des développements liés à son examen, d'une introduction et d'une conclusion spécifiques. Le premier (chapitre 3) porte sur la perception de la stratification sociale des positions professionnelles, le second (chapitre 4) sur la perception du parcours de mobilité et le troisième (chapitre 5) sur les déterminants sociologiques de la perception des inégalités liées au positionnement et à la mobilité professionnels. Enfin, au traitement des hypothèses fait suite la conclusion de la recherche (chapitre 6).
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"El Circo Máximo es su templo, su hogar, su asamblea y la esperanza de todos sus deseos" (AmmiAnvs mArc., Res gest., XXVIII, 4, 29: eisque templum et habitaculum et contio et cupitorum spes omnis Circus est maximus). De este modo describió el historiador Amiano Marcelino, hacia el 382/397, la pasión que la plebe de Roma sentía hacia los espectáculos, especialmente hacia los ludi circenses. Se trata de una afición que se fue incrementando a lo largo de toda la historia del Imperio Romano, hasta el extremo que a mediados del siglo iv, según el calendario de Filócalo (CIL, I2, 1, p. 256-278), se alcanzaron los 177 días de juegos anuales. Y evidentemente tal apasionamiento no fue exclusivo de la ciudad de Roma, sino que se vivió de un modo común en todo el Imperio, sobre todo en las ciudades más grandes, entre las que destacó de una manera especial la capital de Oriente, Constantinopla, la nueva Roma fundada por Constantino I.
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The question of how to quantify insufficient coping behavior under chronic stress is of major clinical relevance. In fact, chronic stress increasingly dominates modern work conditions and can affect nearly every system of the human body, as suggested by physical, cognitive, affective and behavioral symptoms. Since freshmen students experience constantly high levels of stress due to tight schedules and frequent examinations, we carried out a 3-center study of 1,303 students from Italy, Spain and Argentina in order to develop socioculturally independent means for quantifying coping behavior. The data analysis relied on 2 self-report questionnaires: the Coping Strategies Inventory (COPE) for the assessment of coping behavior and the Zurich Health Questionnaire which assesses consumption behavior and general health dimensions. A neural network approach was used to determine the structural properties inherent in the COPE instrument. Our analyses revealed 2 highly stable, socioculturally independent scales that reflected basic coping behavior in terms of the personality traits activity-passivity and defeatism-resilience. This replicated previous results based on Swiss and US-American data. The percentage of students exhibiting insufficient coping behavior was very similar across the study sites (11.5-18.0%). Given their stability and validity, the newly developed scales enable the quantification of basic coping behavior in a cost-efficient and reliable way, thus clearing the way for the early detection of subjects with insufficient coping skills under chronic stress who may be at risk of physical or mental health problems.
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We present Very Long Baseline Interferometry (VLBI) observations of the high mass X-ray binary LS I +61˚303, carried out with the European VLBI Network (EVN). Over the 11 hour observing run, performed ~10 days after a radio outburst, the radio source showed a constant flux density, which allowed sensitive imaging of the emission distribution. The structure in the map shows a clear extension to the southeast. Comparing our data with previous VLBI observations we interpret the extension as a collimated radio jet as found in several other X-ray binaries. Assuming that the structure is the result of an expansion that started at the onset of the outburst, we derive an apparent expansion velocity of 0:003 c, which, in the context of Doppler boosting, corresponds to an intrinsic velocity of at least 0:4 c for an ejection close to the line of sight. From the apparent velocity in all available epochs we are able to establish variations in the ejection angle which imply a precessing accretion disk. Finally we point out that LS I +61˚303, like SS 433 and Cygnus X-1, shows evidence for an emission region almostorthogonal to the relativistic jet
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2,4 - Dimethoxybenzoates of Mn(II), Co(II) and Cu(II) have been synthesized as hydrated or anyhydrous polycrystalline solids and characterized by elemental analysis, IR spectroscopy, magnetic studies and X-ray diffraction measurements. They possess the following colours: Mn(II) - white, Co(II) - pink and Cu(II) - blue. The carboxylate groups bind as monodentate, or a symmetrical bidentate bridging ligands and tridentate. The thermal stabilities were determined in air at 293-1173K. When heated the hydrated complexes dehydrate to from anhydous salts which are decomposed to the oxides of respective metals. The magnetic susceptibilites of the 2,4-dimethoxybenzoates were measured over the range 76-303 K and their magnetic moments were calculated. The results reveal the complexes of Mn(II), Co(II) to be high-spin complexes and that of Cu(II) to form dimer.
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Physico-chemical properties of 3,4-dimethoxybenzoates of Co(II), Cu(II), La(III) and Nd(III) were studied. The complexes were obtained as hydrated or anhydrous polycrystalline solids with a metal ion-ligand mole ratio of 1 : 2 for divalent ions and of 1 : 3 in the case of trivalent cations. Their colours depend on the kind of central ion: pink for Co(II) complex, blue for Cu(II), white for La(III) and violet for Nd(III) complexes. The carboxylate groups in these compounds are monodentate, bidentate bridging or chelating and tridentate ligands. Their thermal decomposition was studied in the range of 293-1173 K. Hydrated complexes lose crystallization water molecules in one step and form anhydrous compounds, that next decompose to the oxides of respective metals. 3,4 - Dimethoxybenzoates of Co(II) is directly decomposed to the appropriate oxide and that of Nd(III) is also ultimately decomposed to its oxide but with the intemediate formation of Nd2O2CO3.. The magnetic moment values of 3,4-dimethoxybenzoates determined in the range of 76-303 K change from 4.22 µB to 4.61 µB for Co(II) complex , from 0.49 µB to 1.17 µB for Cu(II) complex , and from 2.69 µB to 3.15 µB for Nd(III) complex.