890 resultados para 1ST-EPISODE PSYCHOSIS


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Abnormalities in fronto-limbic-striatal white matter (WM) have been reported in bipolar disorder (BD), but results have been inconsistent across studies. Furthermore, there have been no detailed investigations as to whether acute mood states contribute to microstructural changes in WM tracts. In order to compare fiber density and structural integrity within WM tracts between BD depression and remission, whole-brain fractional anisotropy (FA) and mean diffusivity (MD) were assessed in 37 bipolar I disorder (BD-I) patients (16 depressed and 21 remitted), and 26 healthy individuals with diffusion tensor imaging. Significantly decreased FA and increased MD in bilateral prefronto-limbic-striatal white matter and right inferior fronto-occipital, superior and inferior longitudinal fasciculi were shown in all BD-I patients versus controls, as well as in depressed BD-I patients compared to both controls and remitted BD-I patients. Depressed BD-I patients also exhibited increased FA in the ventromedial prefrontal cortex. Remitted BD-I patients did not differ from controls in FA or MD. These findings suggest that BD-I depression may be associated with acute microstructural WM changes.

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Structural magnetic resonance imaging and postmortem studies showed volume loss in the hippocampus in schizophrenia. The noted tissue reduction in the posterior section suggests that some cellular subfractions within this structure might be reduced in schizophrenia. To address this, we investigated numbers and densities of neurons, oligodendrocytes and astrocytes in the posterior hippocampal subregions in postmortem brains from ten patients with schizophrenia and ten matched controls using design-based stereology performed on Nissl-stained sections. Compared to the controls, the patients with schizophrenia showed a significant decrease in the mean number of oligodendrocytes in the left and right CA4. This is the first finding of reduced numbers of oligodendrocytes in CA4 of the posterior part of the hippocampus in schizophrenia. Our results are in line with earlier findings in the literature concerning decreased numbers of oligodendrocytes in the prefrontal cortex in schizophrenia. Our results may indicate disturbed connectivity of the CA4 of the posterior part of the hippocampus in schizophrenia and, thus, contribute to the growing number of studies showing the involvement of posterior hippocampal pathology in the pathophysiology of schizophrenia.

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L'objectif général de cette thèse est d'examiner le lien entre les traits de personnalité évalués selon l'approche des cinq facteurs et les résultats des traitements psychosociaux auprès de jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique. Afin d'atteindre cet objectif, 129 personnes ont été recrutées à participer à une étude expérimentale randomisée. Les participants ont été assignés soit à un groupe de thérapie cognitive-comportementale, soit à un groupe d'entraînement aux habiletés sociales visant la gestion des symptômes, soit à une liste d'attente. Les participants ont complété pré- et post-traitement le Questionnaire bref de personnalité NEO Révisé (Costa & McCrae, 1992), l'Échelle abrégée d'évaluation psychiatrique (Lukoff et al., 1986; Ventura et al., 1993) et l'Échelle d'adaptation cybernétique (Edwards & Baglioni, 1993). Dans le premier article, les profils de personnalité et la stabilité temporelle des traits de personnalité des jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique ont été étudiés. Les résultats révèlent différents profils de personnalité et une stabilité des traits de personnalité. Dans le second article, les profils de personnalité et la valeur prédictive des traits de personnalité ou des profils sur les résultats thérapeutiques ont été investigués. Les résultats révèlent aussi différents profils de personnalité, aucun spécifiquement lié aux symptômes. Aucun lien n'a pu être rapporté entre les traits de personnalité et l'amélioration symptomatologique. Toutefois, les traits de personnalité et les profils sont liés à l'amélioration des stratégies actives d'adaptation. Dans le dernier article, la valeur prédictive des traits de personnalité sur les résultats thérapeutiques selon le groupe de traitement spécifique a été étudiée. Les résultats démontrent un lien entre les traits de personnalité et l'amélioration symptomatologique et des stratégies d'adaptation selon le traitement. Les traits de personnalité sont particulièrement liés aux résultats thérapeutiques des stratégies actives d'adaptation. Cette thèse contribue à l'avancement des connaissances en se penchant sur l'importance des traits de personnalité dans le traitement psychosocial des jeunes adultes présentant un premier épisode psychotique et en soulignant la nécessité d'étudier davantage les différences individuelles de la personnalité de cette clientèle. Les implications cliniques des résultats et les recommandations pour la recherche sont présentées.

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La schizophrénie est un trouble mental qui touche environ un pour cent de la population et dont les symptômes et troubles associés affectent la capacité des individus à fonctionner dans la communauté. Dans la dernière décennie, des services spécialisés dans la détection et l’intervention précoce dès le premier épisode psychotique ont été implantés dans plusieurs pays. Or, ces services ont surtout ciblé, jusqu’ici, la réduction des symptômes et de la demande de soins. Les difficultés fonctionnelles des jeunes adultes schizophrènes justifient que les services qui leur sont destinés misent également sur la réadaptation et l’amélioration du fonctionnement dans la communauté. Les besoins, priorités et préférences de cette population, ainsi que l’impact des particularités développementales du jeune âge adulte sur leur fonctionnement, sont méconnus. Cette étude propose de documenter le fonctionnement dans la communauté des jeunes adultes schizophrènes au stade du premier épisode psychotique et de le comparer à celui de leurs pairs sans psychopathologie. L’utilisation d’un modèle théorique de réadaptation, le modèle de Compétence, permet de conceptualiser le fonctionnement sous l’angle de la relation personne-environnement. Ce projet s’inscrit dans une approche de recherche synthétique ; le devis préconisé est une étude de cas multiples avec l’utilisation de méthodes mixtes (qualitatives et quantitatives), selon un modèle concurrent de triangulation (Creswell & Plano Clark, 2007). Les résultats mettent en lumière des différences entre les deux groupes dans les domaines des relations sociales et conjugales, du cheminement académique et de l’indépendance résidentielle et financière. Les données qualitatives, analysées selon le modèle de la théorisation ancrée (Glaser & Strauss, 1967), permettent de comprendre les processus sociaux impliqués dans l’accomplissement des tâches développementales au jeune âge adulte, ainsi que les conditions personnelles et systémiques sous-jacentes. Les résultats soulignent l’importance d’adapter les services résidentiels aux particularités développementales, de favoriser le soutien aux études et d’inclure les amis et les pairs dans la réadaptation des personnes touchées. Cette thèse permet à la fois d’identifier les besoins et priorités de cette population, de donner une voix aux jeunes adultes schizophrènes dans l’élaboration des services qui leur sont destinés et d’examiner les enjeux méthodologiques reliés à l’utilisation d’un devis mixte en recherche clinique.

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De nos jours, l’idée selon laquelle bon nombre d’individus atteints de psychose peuvent se rétablir sensiblement au fil du temps est de plus en plus répandue. Alors que le milieu médical associe le rétablissement à la rémission symptomatique, les usagers de services en santé mentale le voient plutôt comme un processus où l’absence de symptômes n’est pas une condition sine qua non. Ne s’opposant à ni l’un ni l’autre de ces points de vue, le traitement actuel des psychoses vise le retour à un fonctionnement social approprié. Chez les jeunes atteints d’un premier épisode psychotique, une diminution marquée des symptômes après un traitement pharmacologique se traduit rarement en une amélioration significative du fonctionnement, ce qui justifie la mise en place d’interventions psychosociales. On connait aujourd’hui quelques variables associées au fonctionnement social chez cette population, mais celui-ci a peu été étudié de façon spécifique. De même, on connait mal la manière dont ces jeunes vivent leur rétablissement en tant que processus. Cette thèse porte donc sur le rétablissement et le fonctionnement social de jeunes en début de psychose. La première partie consiste en une introduction aux concepts de rétablissement et de réadaptation, et en une revue de la littérature des interventions psychosociales pouvant favoriser leurs rétablissement et fonctionnement. Plus spécifiquement, nous illustrons comment ces interventions peuvent s’appliquer aux adolescents, clientèle sur laquelle peu de littérature existe actuellement. La deuxième partie présente les résultats d’une étude sur la valeur prédictive de variables sur trois domaines du fonctionnement social de 88 jeunes adultes en début de psychose. Des équations de régression multiple ont révélé qu’un niveau plus élevé de dépression était associé à une vie sociale moins active, qu’un moins bon apprentissage verbal à court terme était associé à un plus bas fonctionnement vocationnel, que le fait d’être de sexe masculin était négativement associé aux habiletés de vie autonome, et qu’un niveau plus élevé de symptômes négatifs prédisait de moins bonnes performances dans les trois sphères du fonctionnement. Finalement, la troisième partie s’intéresse au processus de rétablissement en début de psychose par l’analyse de récits narratifs selon un modèle en cinq stades. Nous avons découvert que l’ensemble de notre échantillon de 47 participants se situaient dans les deux premiers stades de rétablissement lors du premier temps de mesure, et que le fait de se trouver au deuxième stade était associé à de meilleurs scores d’engagement social et de fonctionnement occupationnel, à un meilleur développement narratif, à moins de symptômes négatifs et positifs, et à plus d’années de scolarité. Par ailleurs, l’examen des stades à deux autres temps de mesure a révélé des profils relativement stables sur une période de neuf mois. En somme, les résultats démontrent la nécessité d’évaluer le fonctionnement social de façon plus spécifique et l’importance d’offrir des interventions psychosociales en début de psychose visant notamment le développement des relations et l’intégration scolaire/professionnelle, ou visant à améliorer le faible développement narratif. Cette thèse est, de plus, un premier pas dans l’étude du processus de rétablissement des jeunes atteints de psychose.

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Objectifs: Les études quantitatives ont documenté l’ampleur des problèmes d’observance en début de psychose et les conséquences cliniques qui en découlent. La compréhension du phénomène demeure toutefois limitée. Notre étude propose d’explorer, à partir de trois perspectives (celles des patients, des proches et des cliniciens), les raisons pour lesquelles les patients en début de psychose acceptent ou refusent les traitements. Méthode: La collecte des données s’est faite à l’aide d’entrevues individuelles semi-structurées auprès de 18 patients d’une clinique spécialisée en psychose débutante classifiés comme étant observants, ambivalents ou non observants, et auprès de 13 de leurs proches, ainsi qu’à l’aide d’un focus group réunissant 8 cliniciens de la clinique. Résultats: L’observance semble s’inscrire dans un processus marqué par une certaine ambivalence pour la plupart des sujets. Cette ambivalence est modulée par: des enjeux identitaires, des enjeux relationnels, la compréhension du diagnostic et la signification du traitement. Conclusion: L’ambivalence et l’inobservance seraient des étapes normales du processus au cours duquel le patient lutte pour reconstruire son identité. La présence d’un lien de confiance permet la résolution progressive de l’ambivalence, facilitant ainsi le processus de réappropriation du traitement par le patient.

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This paper aims to discuss and test the hypothesis raised by Fusar-Poli [Fusar-Poli P. Can neuroimaging prove that schizophrenia is a brain disease? A radical hypothesis. Medical Hypotheses in press, corrected proof] that ""on the basis of the available imaging literature there is no consistent evidence to reject the radical and provocative hypothesis that schizophrenia is not a brain disease"". To achieve this goal, all meta-analyses on `fMRI and schizophrenia` published during the current decade and indexed in Pubmed were summarized, as much as some other useful information, e.g., meta-analyses on genetic risk factors. Our main conclusion is that the literature fully supports the hypothesis that schizophrenia is a syndrome (not a disease) associated with brain abnormalities, despite the fact that there is no singular and reductionist pathway from the nosographic entity (schizophrenia) to its causes. This irreducibility is due to the fact that the syndrome has more than one dimension (e.g., cognitive, psychotic and negative) and each of them is related to abnormalities in specific neuronal networks. A psychiatric diagnosis is a statistical procedure; these dimensions are not identically represented in each diagnosticated case and this explains the existence of more than one pattern of brain abnormalities related to schizophrenia. For example, chronification is associated with negativism while the first psychotic episode is not; in that sense, the same person living with schizophrenia may reveal different symptoms and fMRI patterns along the course of his life, and this is precisely what defines schizophrenia since the time when it was called Dementia Praecox (first by pick then by Kraepelin). It is notable that 100% of the collected meta-analyses on `fMRI and schizophrenia` reveal positive findings. Moreover, all meta-analyses that found positive associations between schizophrenia and genetic risk factors have to do with genes (SNPs) especially activated in neuronal tissue of the central nervous system (CNS), suggesting that, to the extent these polymorphisms are related to schizophrenia`s etiology, they are also related to abnormal brain activity. (C) 2009 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Background: schizophrenia's endophenotipic profile is not only generally complex, but often varies from case to case. The perspective of trying to define specific anatomic correlates of the syndrome has led to disappointing results. In that context, neurophysiologic hypotheses (e. g. glutamatergic hypothesis) and connectivity hypotheses became prominent. Nevertheless, despite their commitment to the principle of denying 'localist' views and approaching the syndrome's endophenotype from a whole brain perspective, efforts to integrate both have not flourished at this moment in time. Objectives: This paper aims to introduce a new etiological model that integrates the glutamatergic and the WM (WM) hypotheses of schizophrenia's etiology. This model proposes to serve as a framework in order to relate to patterns of brain abnormalities from the onset of the syndrome to stages of advanced chronification. Highlights: Neurotransmitter abnormalities forego noticeable WM abnormalities. The former, chiefly represented by NMDAR hypo-function and associated molecular cascades, is related to the first signs of cell loss. This process is both directly and indirectly integrated to the underpinning of WM structural abnormalities; not only is the excess of glutamate toxic to the WM, but its disruption is associated to the expression of known genetic risk factors (e. g., NRG-1). A second level of the model develops the idea that abnormal neurotransmission within specific neural populations ('motifs') impair particular cognitive abilities, while subsequent WM structural abnormalities impair the integration of brain functions and multimodality. As a result of this two-stage dynamic, the affected individual progresses from experiencing specific cognitive and psychological deficits, to a condition of cognitive and existential fragmentation, linked to hardly reversible decreases in psychosocial functioning.

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The 3rd Schizophrenia International Research Society Conference was held in Florence, Italy, April 14-18, 2012 and this year had as its emphasis, "The Globalization of Research". Student travel awardees served as rapporteurs for each oral session and focused their summaries on the most significant findings that emerged and the discussions that followed. The following report is a composite of these summaries. We hope that it will provide an overview for those who were present, but could not participate in all sessions, and those who did not have the opportunity to attend, but who would be interested in an update on current investigations ongoing in the field of schizophrenia research. (C) 2012 Elsevier B.V. All rights reserved.

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Introduction: Neuroimaging has been widely used in studies to investigate depression in the elderly because it is a noninvasive technique, and it allows the detection of structural and functional brain alterations. Fractional anisotropy (FA) and mean diffusivity (MD) are neuroimaging indexes of the microstructural integrity of white matter, which are measured using diffusion tensor imaging (DTI). The aim of this study was to investigate differences in FA or MD in the entire brain without a previously determined region of interest (ROI) between depressed and non-depressed elderly patients. Method: Brain magnetic resonance imaging scans were obtained from 47 depressed elderly patients, diagnosed according to DSM-IV criteria, and 36 healthy elderly patients as controls. Voxelwise statistical analysis of FA data was performed using tract-based spatial statistics (TBSS). Results: After controlling for age, no significant differences among FA and MD parameters were observed in the depressed elderly patients. No significant correlations were found between cognitive performance and FA or MD parameters. Conclusion: There were no significant differences among FA or MD values between mildly or moderately depressed and non-depressed elderly patients when the brain was analyzed without a previously determined ROI. (C) 2012 Elsevier Ltd. All rights reserved.

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Symptom development during the prodromal phase of psychosis was explored retrospectively in first-episode psychosis patients with special emphasis on the assumed time-related syndromic sequence of "unspecific symptoms (UN)-predictive basic symptoms (BS)-attenuated psychotic symptoms (APS)-(transient) psychotic symptoms (PS)." Onset of syndromes was defined by first occurrence of any of their respective symptoms. Group means were inspected for time differences between syndromes and influence of sociodemographic and clinical characteristics on the recalled sequence. The sequence of "UN-BS/APS-PS" was clearly supported, and both BS and, though slightly less, APS were highly sensitive. However, onset of BS and APS did not show significant time difference in the whole sample (N = 126; 90% schizophrenia), although when each symptom is considered independently, APS tended to occur later than first predictive BS. On descriptive level, about one-third each recalled an earlier, equal and later onset of BS compared with APS. Level of education showed the greatest impact on the recall of the hypothesized sequence. Thereby, those with a higher school-leaving certificate supported the assumed sequence, whereas those of low educational background retrospectively dated APS before BS. These findings rather point out recognition and recall bias inherent to the retrospective design than true group characteristics. Future long-term prospective studies will have to explore this conclusively. However, as regards the criteria, the results support the notion of BS as at least a complementary approach to the ultrahigh risk criteria, which may also allow for an earlier detection of psychosis.

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Objectives: Neurofunctional alterations are correlates of vulnerability to psychosis, as well as of the disorder itself. How these abnormalities relate to different probabilities for later transition to psychosis is unclear. We investigated vulnerability- versus disease-related versus resilience biomarkers of psychosis during working memory (WM) processing in individuals with an at-risk mental state (ARMS). Experimental design: Patients with “first-episode psychosis” (FEP, n = 21), short-term ARMS (ARMS-ST, n = 17), long-term ARMS (ARMS-LT, n = 16), and healthy controls (HC, n = 20) were investigated with an n-back WM task. We examined functional magnetic resonance imaging (fMRI) and structural magnetic resonance imaging (sMRI) data in conjunction using biological parametric mapping (BPM) toolbox. Principal observations: There were no differences in accuracy, but the FEP and the ARMS-ST group had longer reaction times compared with the HC and the ARMS-LT group. With the 2-back > 0-back contrast, we found reduced functional activation in ARMS-ST and FEP compared with the HC group in parietal and middle frontal regions. Relative to ARMS-LT individuals, FEP patients showed decreased activation in the bilateral inferior frontal gyrus and insula, and in the left prefrontal cortex. Compared with the ARMS-LT, the ARMS-ST subjects showed reduced activation in the right inferior frontal gyrus and insula. Reduced insular and prefrontal activation was associated with gray matter volume reduction in the same area in the ARMS-LT group. Conclusions: These findings suggest that vulnerability to psychosis was associated with neurofunctional alterations in fronto-temporo-parietal networks in a WM task. Neurofunctional differences within the ARMS were related to different duration of the prodromal state and resilience factors

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Background: Early detection and treatment of mental disorders in adolescents and young adults can lead to better health outcomes. Mental health literacy is a key to early recognition and help seeking. Whilst a number of population health initiatives have attempted to improve mental health literacy, none to date have specifically targeted young people nor have they applied the rigorous standards of population health models now accepted as best practice in other health areas. This paper describes the outcomes from the application of a health promotion model to the development, implementation and evaluation of a community awareness campaign designed to improve mental health literacy and early help seeking amongst young people. Method: The Compass Strategy was implemented in the western metropolitan Melbourne and Barwon regions of Victoria, Australia. The Precede-Proceed Model guided the population assessment, campaign strategy development and evaluation. The campaign included the use of multimedia, a website, and an information telephone service. Multiple levels of evaluation were conducted. This included a cross-sectional telephone survey of mental health literacy undertaken before and after 14 months of the campaign using a quasi-experimental design. Randomly selected independent samples of 600 young people aged 12 - 25 years from the experimental region and another 600 from a comparison region were interviewed at each time point. A series of binary logistic regression analyses were used to measure the association between a range of campaign outcome variables and the predictor variables of region and time. Results: The program was judged to have an impact on the following variables, as indicated by significant region-by-time interaction effects ( p < 0.05): awareness of mental health campaigns, self-identified depression, help for depression sought in the previous year, correct estimate of prevalence of mental health problems, increased awareness of suicide risk, and a reduction in perceived barriers to help seeking. These effects may be underestimated because media distribution error resulted in a small amount of print material leaking into the comparison region. Conclusion: We believe this is the first study to apply the rigorous standards of a health promotion model including the use of a control region to a mental health population intervention. The program achieved many of its aims despite the relatively short duration and moderate intensity of the campaign.

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L’isolement avec ou sans contention (IC) en milieu psychiatrique touche près d’un patient sur quatre au Québec (Dumais, Larue, Drapeau, Ménard, & Giguère-Allard, 2011). Il est pourtant largement documenté que cette pratique porte préjudice aux patients, aux infirmières et à l’organisation (Stewart, Van der Merwe, Bowers, Simpson, & Jones, 2010). Cette mesure posant un problème éthique fait l’objet de politiques visant à la restreindre, voire à l’éliminer. Les études sur l’expérience de l’isolement du patient de même que sur la perception des infirmières identifient le besoin d'un retour sur cet évènement. Plusieurs équipes de chercheurs proposent un retour post-isolement (REPI) intégrant à la fois l’équipe traitante, plus particulièrement les infirmières, et le patient comme intervention afin de diminuer l’incidence de l’IC. Le REPI vise l’échange émotionnel, l’analyse des étapes ayant mené à la prise de décision d’IC et la projection des interventions futures. Le but de cette étude était de développer, implanter et évaluer le REPI auprès des intervenants et des patients d’une unité de soins psychiatriques aigus afin d’améliorer leur expérience de soins. Les questions de recherche étaient : 1) Quel est le contexte d’implantation du REPI? 2) Quels sont les éléments facilitants et les obstacles à l’implantation du REPI selon les patients et les intervenants? 3) Quelle est la perception des patients et des intervenants des modalités et retombées du REPI?; et 4) L’implantation du REPI est-elle associée à une diminution de la prévalence et de la durée des épisodes d’IC? Cette étude de cas instrumentale (Stake, 1995, 2008) était ancrée dans une approche participative. Le cas était celui de l’unité de soins psychiatriques aigus pour premier épisode psychotique où a été implanté le REPI. En premier lieu, le développement du REPI a d’abord fait l’objet d’une documentation du contexte par une immersion dans le milieu (n=56 heures) et des entretiens individuels avec un échantillonnage de convenance (n=3 patients, n=14 intervenants). Un comité d’experts (l’étudiante-chercheuse, six infirmières du milieu et un patient partenaire) a par la suite développé le REPI qui comporte deux volets : avec le patient et en équipe. L’évaluation des retombées a été effectuée par des entretiens individuels (n= 3 patients, n= 12 intervenants) et l’examen de la prévalence et de la durée des IC six mois avant et après l’implantation du REPI. Les données qualitatives ont été examinées selon une analyse thématique (Miles, Huberman, & Saldana, 2014), tandis que les données quantitatives ont fait l’objet de tests descriptifs et non-paramétriques. Les résultats proposent que le contexte d’implantation est défini par des normes implicites et explicites où l’utilisation de l’IC peut générer un cercle vicieux de comportements agressifs nourris par un profond sentiment d’injustice de la part des patients. Ceux-ci ont l’impression qu’ils doivent se conformer aux attentes du personnel et aux règles de l’unité. Les participants ont exprimé le besoin de créer des opportunités pour une communication authentique qui pourrait avoir lieu lors du REPI, bien que sa pratique soit variable d’un intervenant à un autre. Les résultats suggèrent que le principal élément ayant facilité l’implantation du REPI est l’approche participative de l’étude, alors que les obstacles rencontrés relèvent surtout de la complexité de la mise en œuvre du REPI en équipe. Lors du REPI avec le patient, les infirmières ont pu explorer ses sentiments et son point de vue, ce qui a favorisé la reconstruction de la relation thérapeutique. Quant au REPI avec l’équipe de soins, il a été perçu comme une opportunité d’apprentissage, ce qui a permis d’ajuster le plan d’intervention des patients. Suite à l’implantation du REPI, les résultats ont d’ailleurs montré une réduction significative de l’utilisation de l’isolement et du temps passé en isolement. Les résultats de cette thèse soulignent la possibilité d’outrepasser le malaise initial perçu tant par le patient que par l’infirmière en systématisant le REPI. De plus, cette étude met l’accent sur le besoin d’une présence authentique pour atteindre un partage significatif dans la relation thérapeutique, ce qui est la pierre d’assise de la pratique infirmière en santé mentale. Cette étude contribue aux connaissances sur la prévention des comportements agressifs en milieu psychiatrique en documentant le contexte dans lequel se situe l’IC, en proposant un REPI comportant deux volets de REPI et en explorant ses retombées. Nos résultats soutiennent le potentiel du développement d’une prévention tertiaire qui intègre à la fois la perspective des patients et des intervenants.

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L’isolement avec ou sans contention (IC) en milieu psychiatrique touche près d’un patient sur quatre au Québec (Dumais, Larue, Drapeau, Ménard, & Giguère-Allard, 2011). Il est pourtant largement documenté que cette pratique porte préjudice aux patients, aux infirmières et à l’organisation (Stewart, Van der Merwe, Bowers, Simpson, & Jones, 2010). Cette mesure posant un problème éthique fait l’objet de politiques visant à la restreindre, voire à l’éliminer. Les études sur l’expérience de l’isolement du patient de même que sur la perception des infirmières identifient le besoin d'un retour sur cet évènement. Plusieurs équipes de chercheurs proposent un retour post-isolement (REPI) intégrant à la fois l’équipe traitante, plus particulièrement les infirmières, et le patient comme intervention afin de diminuer l’incidence de l’IC. Le REPI vise l’échange émotionnel, l’analyse des étapes ayant mené à la prise de décision d’IC et la projection des interventions futures. Le but de cette étude était de développer, implanter et évaluer le REPI auprès des intervenants et des patients d’une unité de soins psychiatriques aigus afin d’améliorer leur expérience de soins. Les questions de recherche étaient : 1) Quel est le contexte d’implantation du REPI? 2) Quels sont les éléments facilitants et les obstacles à l’implantation du REPI selon les patients et les intervenants? 3) Quelle est la perception des patients et des intervenants des modalités et retombées du REPI?; et 4) L’implantation du REPI est-elle associée à une diminution de la prévalence et de la durée des épisodes d’IC? Cette étude de cas instrumentale (Stake, 1995, 2008) était ancrée dans une approche participative. Le cas était celui de l’unité de soins psychiatriques aigus pour premier épisode psychotique où a été implanté le REPI. En premier lieu, le développement du REPI a d’abord fait l’objet d’une documentation du contexte par une immersion dans le milieu (n=56 heures) et des entretiens individuels avec un échantillonnage de convenance (n=3 patients, n=14 intervenants). Un comité d’experts (l’étudiante-chercheuse, six infirmières du milieu et un patient partenaire) a par la suite développé le REPI qui comporte deux volets : avec le patient et en équipe. L’évaluation des retombées a été effectuée par des entretiens individuels (n= 3 patients, n= 12 intervenants) et l’examen de la prévalence et de la durée des IC six mois avant et après l’implantation du REPI. Les données qualitatives ont été examinées selon une analyse thématique (Miles, Huberman, & Saldana, 2014), tandis que les données quantitatives ont fait l’objet de tests descriptifs et non-paramétriques. Les résultats proposent que le contexte d’implantation est défini par des normes implicites et explicites où l’utilisation de l’IC peut générer un cercle vicieux de comportements agressifs nourris par un profond sentiment d’injustice de la part des patients. Ceux-ci ont l’impression qu’ils doivent se conformer aux attentes du personnel et aux règles de l’unité. Les participants ont exprimé le besoin de créer des opportunités pour une communication authentique qui pourrait avoir lieu lors du REPI, bien que sa pratique soit variable d’un intervenant à un autre. Les résultats suggèrent que le principal élément ayant facilité l’implantation du REPI est l’approche participative de l’étude, alors que les obstacles rencontrés relèvent surtout de la complexité de la mise en œuvre du REPI en équipe. Lors du REPI avec le patient, les infirmières ont pu explorer ses sentiments et son point de vue, ce qui a favorisé la reconstruction de la relation thérapeutique. Quant au REPI avec l’équipe de soins, il a été perçu comme une opportunité d’apprentissage, ce qui a permis d’ajuster le plan d’intervention des patients. Suite à l’implantation du REPI, les résultats ont d’ailleurs montré une réduction significative de l’utilisation de l’isolement et du temps passé en isolement. Les résultats de cette thèse soulignent la possibilité d’outrepasser le malaise initial perçu tant par le patient que par l’infirmière en systématisant le REPI. De plus, cette étude met l’accent sur le besoin d’une présence authentique pour atteindre un partage significatif dans la relation thérapeutique, ce qui est la pierre d’assise de la pratique infirmière en santé mentale. Cette étude contribue aux connaissances sur la prévention des comportements agressifs en milieu psychiatrique en documentant le contexte dans lequel se situe l’IC, en proposant un REPI comportant deux volets de REPI et en explorant ses retombées. Nos résultats soutiennent le potentiel du développement d’une prévention tertiaire qui intègre à la fois la perspective des patients et des intervenants.